L'efficacité des aides publiques en faveur du cinéma français
CLUZEL (Jean)
RAPPORT D'INFORMATION 11 (98-99), 1ère partie - OFFICE PARLEMENTAIRE D'ÉVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES
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- AVANT-PROPOS
- INTRODUCTION
- COMPTE RENDU DE LA RÉUNION DE L'OFFICE PARLEMENTAIRE D'ÉVALUATION DES POLITIQUES PUBLIQUES DU MERCREDI 8 JUILLET 1998
- AVANT-PROPOS
-
CHAPITRE PREMIER
PANORAMA DU SECTEUR (FRANCE, EUROPE, ÉTATS-UNIS)- I. ÉLÉMENTS DE COMPARAISONS INTERNATIONALES (EUROPE, ETATS-UNIS)
-
II. PANORAMA DU SECTEUR EN FRANCE (PRODUCTION, DISTRIBUTION, EXPLOITATION)
- A. LE SECTEUR DE LA PRODUCTION, CONFRONTÉ À UN FORT BESOIN D'INTERNATIONALISATION
- B. LA DISTRIBUTION, UN SECTEUR CLÉ, RELATIVEMENT PEU AIDÉ, QUI NE S'EST PAS MODERNISÉ
- C. L'EXPLOITATION, EN PROIE À UNE VAGUE D'INVESTISSEMENTS À LA RENTABILITÉ INCERTAINE, MENÉE PAR DES GROUPES
- D. L'EXPORTATION, UN POTENTIEL PAS ENCORE EXPLOITÉ
- E. LA DIFFUSION TÉLÉVISUELLE ET VIDÉO
-
CHAPITRE II
LES AIDES PUBLIQUES AU CINÉMA EN EUROPE
- I. SYNTHÈSE DU CHAPITRE
- II. DES AIDES PUBLIQUES DIRECTES DANS TOUS LES PAYS EUROPEENS 22 Cette partie repose essentiellement sur le rapport de synthèse élaboré par le CSA sur les aides à la production et sur les documents élaborés par l'association Territoire sur les mécanismes publics d'aide au cinéma et à l'audiovisuel en Europe.
- III. LES AIDES DIRECTES À LA PRODUCTION, AU COEUR DES DISPOSITIFS DE SOUTIEN EN EUROPE
- IV. LE CAS DES INCITATIONS FISCALES
-
V. LÉGITIMITÉ ET EFFICACITÉ DU DISPOSITIF DE SOUTIEN
SOCIAL
- A. UN CADRE RÉGLEMENTAIRE ET CONVENTIONNEL QUI MAÎTRISE MAL LES CONDITIONS DE L'EMPLOI DANS LE SECTEUR
- B. L'ORGANISATION DU TRAVAIL : UN CADRE RÉGLEMENTAIRE CONTRAIGNANT ET PEU RESPECTÉ
- C. UN SYSTÈME DE PROTECTION SOCIALE GÉNÉREUX ET DÉTOURNÉ PAR LES CONDITIONS CONCRÈTES D'ORGANISATION DU TRAVAIL
- D. LES CONSÉQUENCES DU DÉTOURNEMENT DU STATUT D'INTERMITTENT
-
CHAPITRE III
L'IMPACT DU SOUTIEN PUBLIC SUR L'ORGANISATION ET LA SITUATION ÉCONOMIQUE DU SECTEUR- I. SYNTHÈSE DU CHAPITRE
-
II. LES CAUSES DE LA FRAGILISATION ÉCONOMIQUE : UNE CONTRIBUTION
INDIRECTE DU SYSTÈME DE SOUTIEN
- A. UN SECTEUR QUI A DU MAL À AMORTIR SA PRODUCTION
-
B. UNE SURCAPACITÉ ÉCONOMIQUE ET UNE DÉGRADATION DES
CONDITIONS D'ACTIVITÉ ENTRETENUES PAR LE SYSTÈME DE SOUTIEN
- 1. Une surcapacité économique entretenue par l'afflux de financements
- 2. Une priorité donnée à l'augmentation de la production, plutôt qu'à l'adaptation entre l'offre et la demande
- 3. Une surcapacité conduisant à une fragilisation du secteur
- 4. Le système français d'aides au cinéma n'a pas favorisé l'émergence de grands groupes cinématographiques rentables
- 5. Une spirale qui s'étend aux industries techniques
- III. L'IMPACT DU DISPOSITIF DE SOUTIEN SUR LES PRINCIPAUX DYSFONCTIONNEMENTS DE LA FILIÈRE
-
CHAPITRE IV
L'IMPACT DU SOUTIEN À LA PRODUCTION SUR LE COÛT MOYEN DES FILMS D'INITIATIVE FRANÇAISE
- I. SYNTHÈSE DU CHAPITRE
- II. FILMS D'INITIATIVE FRANÇAISE : UN COÛT MOYEN MULTIPLIÉ PAR PLUS DE 3 ENTRE 1980 ET 1997
- III. LES POSTES DE DÉPENSES NE SONT PAS LA PRINCIPALE SOURCE D'INFLATION
- IV. L'ÉVOLUTION DES SOURCES DE FINANCEMENT A FORTEMENT CONTRIBUÉ À L'INFLATION DU BUDGET DES FILMS
- V. STRUCTURE DU BUDGET DES FILMS SELON L'IMPORTANCE DU DEVIS : TROIS ÉCONOMIES DU LONG MÉTRAGE
-
VI. DEUX FACTEURS LIÉS À L'ORGANISATION DU TRAVAIL QUI
ALIMENTENT L'INFLATION DES BUDGETS
-
A. UNE BONNE PROTECTION SOCIALE DES PROFESSIONNELS, MALGRÉ UN POIDS
RELATIVEMENT FAIBLE DES SYNDICATS
- 1. La force des syndicats des techniciens français est moindre que celle des syndicats américains
- 2. Les équipes de techniciens français sont plus productives que les américains et au moins aussi compétentes que les britanniques
- 3. En France, les professionnels bénéficient d'une meilleure protection, par le code du travail
- B. LA QUESTION DU RÔLE DU PRODUCTEUR DÉLÉGUÉ DANS LE FINANCEMENT DE LA PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE FRANÇAISE
-
A. UNE BONNE PROTECTION SOCIALE DES PROFESSIONNELS, MALGRÉ UN POIDS
RELATIVEMENT FAIBLE DES SYNDICATS
-
CHAPITRE V
CAPACITÉ DU DISPOSITIF DE SOUTIEN À S'ADAPTER AUX ÉVOLUTIONS DU SECTEUR- I. SYNTHÈSE DU CHAPITRE
- II. L'INTERNATIONALISATION DES OEUVRES ET DES ENTREPRISES : UNE CONTRAINTE ET UNE OPPORTUNITÉ
-
III. UNE RÉFORME TRÈS IMPORTANTE DE L'AGRÉMENT MISE EN
PLACE PAR LE CNC
- A. LA PROCÉDURE DE L'AGRÉMENT, EN DONNANT AUX PRODUCTEURS ACCÈS AU SOUTIEN AUTOMATIQUE, EST AU CENTRE DU DISPOSITIF D'AIDE À LA PRODUCTION
- B. ELLE N'INCITE PAS LES PRODUCTEURS À ACCROÎTRE LES PERFORMANCES DE LEURS FILMS SUR LE MARCHÉ DES SALLES FRANÇAIS
- C. L'AGRÉMENT DÉLIVRÉ PAR LE CNC, APRÈS AVIS D'UNE COMMISSION PROFESSIONNELLE
- D. UNE RÉGLEMENTATION DATANT DES ANNÉES 1960, MODIFIÉE SUR DES POINTS MINEURS EN 1989 ET 1992, NE CORRESPONDANT PLUS AU MARCHÉ
- E. UNE RÉFORME IMPORTANTE DE LA PROCÉDURE D'AGRÉMENT, ENTREPRISE PAR LE CNC
-
IV. OUTRE LA RÉFORME DE L'AGRÉMENT, LE CNC A
PROCÉDÉ À UNE MODIFICATION DU SOUTIEN AUTOMATIQUE À
L'EXPLOITATION.
- A. LE SOUTIEN À L'EXPLOITATION, DESTINÉ À FINANCER LES TRAVAUX D'ÉQUIPEMENT ET DE MODERNISATION AINSI QUE LES CRÉATIONS DE SALLES
- B. L'AVANTAGE OFFERT AUX COMPLEXES CONSTITUÉS DE PLUSIEURS SALLES
- C. LA REMISE EN CAUSE DE LA LÉGITIMITÉ DE L'AUGMENTATION DU SOUTIEN AUTOMATIQUE, PAR LE DÉVELOPPEMENT DES MULTIPLEXES
- D. L'AIDE SÉLECTIVE À L'EXPLOITATION PERMET ACTUELLEMENT D'AIDER UN NOMBRE SIGNIFICATIF DE SALLES DE 1 OU 2 ÉCRANS
- V. DES MODIFICATIONS EN COURS VISANT À RENDRE PLUS SÉLECTIVE L'AVANCE SUR RECETTES
- VI. UN RENFORCEMENT DES AIDES À L'ÉCRITURE
-
VII. UNE POLITIQUE À L'EXPORTATION CONFIÉE
TRADITIONNELLEMENT À UNIFRANCE FILM INTERNATIONAL
- A. L'OUVERTURE DE LA PRODUCTION VERS LES MARCHÉS INTERNATIONAUX EST DEVENUE L'UN DES PRINCIPAUX ENJEUX DE LA PROFESSION
- B. UNIFRANCE, UNE STRUCTURE AUTONOME GÉRÉE PAR LES PROFESSIONNELS
- C. UNE MISSION PRINCIPALE CONSACRÉE À LA RECHERCHE D'INFORMATION ET À L'ACCOMPAGNEMENT DES ENTREPRISES À L'EXPORTATION
- D. AFIN D'ACCOMPLIR CES MISSIONS PRINCIPALES, UNIFRANCE EXERCE TROIS MÉTIERS
- E. UNIFRANCE A STOPPÉ SON ACTIVITÉ D'ACHATS DE DROITS
- F. LE BUDGET D'UNIFRANCE PROVIENT PRINCIPALEMENT DU CNC
- G. DES RÉSULTATS QUI RESTENT MODESTES MALGRÉ LES EFFORTS FINANCIERS CONSENTIS
- H. DES ACTIONS PRIORITAIRES INSUFFISAMMENT TOURNÉES VERS LES PRINCIPAUX MARCHÉS D'EXPORTATION
- I. UN CONTRÔLE DU CNC SUR UNIFRANCE ESSENTIELLEMENT BUDGÉTAIRE
- VIII. UNE AIDE À L'EXPANSION DES FILMS À L'ÉTRANGER QUI RESTE FAIBLE
-
IX. UNE PARTICIPATION ACTIVE DU CNC À LA DÉFINITION ET À
LA MISE EN PLACE DES POLITIQUES EUROPÉENNES
- A. EURIMAGES, UN FONDS EUROPÉEN D'AIDE À LA COPRODUCTION
- B. L'OBJECTIF PRINCIPAL DE LA CRÉATION D'EURIMAGES, LA CIRCULATION DES FILMS EN EUROPE ET LEUR SORTIE EN SALLES, N'A ÉTÉ QUE TRÈS PARTIELLEMENT ATTEINT
- C. DES RÉFORMES INCOMPLÈTES MISES EN PLACE PAR EURIMAGES
- D. LA MISE EN PLACE DES RÉFORMES PERMETTANT UN MEILLEUR FONCTIONNEMENT D'EURIMAGES RESTE NÉCESSAIRE
- E. MEDIA, UN PROGRAMME MIS EN PLACE PAR LA COMMISSION EUROPÉENNE DEPUIS 1991.
- F. LE SOUTIEN À LA DISTRIBUTION CONSTITUE UNE AIDE COMPLÉMENTAIRE DES AIDES FRANÇAISES PERMETTANT DE STIMULER LA DISTRIBUTION DE FILMS FRANÇAIS EN EUROPE
- G. MEDIA II, UN PROGRAMME AMBITIEUX MAIS QUI DISPOSE DE MOYENS D'INTERVENTION LIMITÉS
- H. UNE AIDE À LA DISTRIBUTION QUI RESTE TROP FAIBLE POUR AVOIR UN IMPACT SUFFISANT
- X. EXISTE-T-IL UN RISQUE D'INCOMPATIBILITÉ ENTRE UNE POLITIQUE DE SOUTIEN À L'INDUSTRIE ET UNE POLITIQUE CULTURELLE ?
- ANNEXES
- ANNEXE 1
-
ANNEXE 2
ÉLÉMENTS DE COMPARAISONS INTERNATIONALES (UNION EUROPÉENNE, ÉTATS-UNIS)- I. LE CONTEXTE GÉNÉRAL
- II. LA FRÉQUENTATION DES SALLES
- III. LES RECETTES EN EUROPE
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IV. LA PRODUCTION
- A. UNE DÉFINITION DIFFÉRENTE DE LA PRODUCTION INDÉPENDANTE EN EUROPE ET AUX ETATS-UNIS
- B. EUROPE : UNE PRODUCTION IMPORTANTE CONCENTRÉE SUR UN NOMBRE RESTREINT DE PAYS
- C. ÉTATS-UNIS : UN NOMBRE DE FILMS PRODUITS COMPARABLE À CELUI DE L'UE, MAIS DES BUDGETS MOYENS TRÈS SUPÉRIEURS
- D. LE FINANCEMENT DE LA PRODUCTION
- V. LA DISTRIBUTION
- VI. L'EXPLOITATION
-
ANNEXE 3
PANORAMA DU SECTEUR EN FRANCE (PRODUCTION, DISTRIBUTION, EXPLOITATION)- I. LA FRÉQUENTATION EN FRANCE
-
II. LA PRODUCTION EN FRANCE
- A. UNE PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE DYNAMIQUE ET RENOUVELÉE
- B. UNE ÉVOLUTION MARQUÉE DES MODES DE FINANCEMENT, QUI PRIVILÉGIE LE PRÉFINANCEMENT PLUTÔT QUE L'AMORTISSEMENT
-
C. LES PRODUCTEURS BÉNÉFICIENT DES MÉCANISMES
COMPLÉMENTAIRES DES FINANCEMENTS AIDÉS
- 1. Le financement aidé se décompose en 3 grandes catégories
- 2. Le compte de soutien finance la production cinématographique à hauteur de 13% à 15% en moyenne du coût total de production
- 3. Le soutien sélectif bénéficie en principe aux films d'auteurs
- 4. Le poids des SOFICA reste stable et secondaire
-
D. UNE STRUCTURE DE PRODUCTION QUI NE S'EST PAS ASSAINIE
- 1. Un secteur recourant de manière intensive à la main d'oeuvre
- 2. Un tissu économique composé de petites entreprises , fragiles
- 3. Un niveau de croissance soutenu, mais un secteur qui demeure globalement déficitaire malgré l'importance du soutien public.
- 4. Une situation économique très délicate mais un secteur qui ne peut être considéré en faillite.
- 5. Des exportations en hausse mais un taux d'internationalisation du secteur qui reste stable
- E. UNE VOLONTÉ D'INTERNATIONALISATION QUI NE CONCERNE ESSENTIELLEMENT QUE LES GROSSES STRUCTURES
- F. UN RISQUE DE CRISE FINANCIÈRE À MOYEN TERME
-
III. LA DISTRIBUTION
- A. UNE OFFRE DE FILMS FRANÇAIS EN NETTE AUGMENTATION
- B. FILMS D'INITIATIVE FRANÇAISE : DES COÛTS D'ÉDITION ET DE PROMOTION QUI PROGRESSENT RAPIDEMENT
-
C. UN SECTEUR CARACTÉRISÉ PAR UNE " BI-POLARISATION "
DES ENTREPRISES SELON LEUR C.A.
- 1. Les statistiques n'isolent pas l'activité de distribution cinématographique
- 2. Un secteur composé d'un nombre important de très petites entreprises
- 3. Le chiffre d'affaires moyen réalisé par les petites et très petites entreprises s'est dégradé
- 4. Un secteur bénéficiaire, peu aidé et endetté
- 5. Des exportations en hausse, mais un taux d'internationalisation qui diminue légèrement
- D. CONCURRENCE : LE POIDS PRÉPONDÉRANT DES AMÉRICAINS
-
IV. L'EXPLOITATION
-
A. UN RÉSEAU DE SALLES EN FORTE CROISSANCE
- 1. Le réseau de salles français est le plus dense d'Europe
- 2. Le dynamisme des créations de salles se confirme depuis 1993
- 3. Les multiplexes relancent la fréquentation mais fragilisent d'autres exploitants
- 4. Les salles se modernisent et s'équipent progressivement
- 5. Les exploitants sont entrés dans une phase d'investissements
- B. LES EXPLOITANTS PROGRAMMENT EN PRIORITÉ DES FILMS AMÉRICAINS, QUI RESTENT PLUS LONGTEMPS À L'AFFICHE QUE LES FILMS FRANÇAIS
- C. UNE SITUATION ÉCONOMIQUE LARGEMENT DÉPENDANTE DE L'ÉVOLUTION DE LA FRÉQUENTATION ET DE LA POLITIQUE DES GRANDS GROUPES DE PROGRAMMATION
- D. CONCURRENCE : LA PART DE MARCHÉ DES GROUPEMENTS DE PROGRAMMATION BAISSE
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A. UN RÉSEAU DE SALLES EN FORTE CROISSANCE
-
V. L'EXPORTATION
-
A. UN FAIBLE DYNAMISME DES FILMS FRANÇAIS À L'EXPORTATION
- 1. Les chiffres d'exportation recouvrent plusieurs réalités
- 2. Les recettes à l'exportation de films français demeurent stables, tandis que les réexportations de films étrangers augmentent
- 3. Les exportations de films français sont concentrées sur un petit nombre de films et de producteurs
- 4. Les vrais marchés du cinéma français restent les marchés européens
-
A. UN FAIBLE DYNAMISME DES FILMS FRANÇAIS À L'EXPORTATION
-
VI. LA DIFFUSION DE FILMS À LA TÉLÉVISION ET EN
VIDÉO
-
A. UNE PROGRAMMATION DES CHAÎNES DE TV QUI REFLÈTE DE MOINS EN
MOINS LA DIVERSITÉ DE LA PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE
FRANÇAISE
- 1. Malgré l'augmentation de la production audiovisuelle française, l'approvisionnement des chaînes reste dépendant de l'étranger
- 2. Les achats de droits TV des films par les chaînes de télévision augmentent régulièrement depuis 1994
- 3. Cependant, l'audience des films à la télévision régresse1717 Une étude commune du CNC et du CSA, Le Cinéma à La Télévision, examine chaque année l'évolution de la programmation cinématographique à la télévision, regroupant des statistiques portant sur huit années de programmation. L'édition 1997 de cette étude examine en détail la programmation des années 1994 et 1995.
- 4. La programmation des diffuseurs se porte de plus en plus vers les fictions télévisées
- 5. La programmation des films français diminue sensiblement, surtout celle des films inédits
- 6. Une part importante de la production française n'est pas diffusée à la télévision
- B. POUR LES DIFFUSEURS, L'ENJEU DEVIENT LA RÉDUCTION DES DÉLAIS DE DIFFUSION
- C. LE MARCHÉ DE LA VIDÉO CONFIRME LA SUPRÉMATIE DES FILMS AMÉRICAINS
-
A. UNE PROGRAMMATION DES CHAÎNES DE TV QUI REFLÈTE DE MOINS EN
MOINS LA DIVERSITÉ DE LA PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE
FRANÇAISE
-
ANNEXE 4
COMMENTAIRES SUR LES SOURCES STATISTIQUES-
I. LES DONNÉES STATISTIQUES FINANCIÈRES
- A. LES STATISTIQUES SUR LESQUELLES EST FONDÉE L'ANALYSE FINANCIÈRE DE L'INDUSTRIE CINÉMATOGRAPHIQUE FRANÇAISE SONT ISSUES DU COMPTE MACRO-ÉCONOMIQUE DE L'AUDIOVISUEL
- B. DES RÉSULTATS NON DÉFINITIFS
- C. LE LECTEUR DOIT DONC CONSIDÉRER LES DONNÉES FINANCIÈRES SUR LES DIFFÉRENTS SOUS-SECTEURS DE L'INDUSTRIE CINÉMATOGRAPHIQUE FRANÇAISE, AVEC PRÉCAUTION
-
II. LES DONNÉES STATISTIQUES SUR LES DEVIS DES FILMS
- A. DEVIS PROFESSIONNEL DE PRODUCTION : UN NOMBRE IMPRESSIONNANT DE POSTES ÉLÉMENTAIRES
- B. DEVIS RÉCAPITULATIFS DEMANDÉS PAR LE CNC : UNE PRÉSENTATION ATYPIQUE
- C. DES STATISTIQUES FONDÉES SUR LES DEVIS DÉPOSÉS LORS DE LA DEMANDE D'AGRÉMENT
- D. UNE ANALYSE STATISTIQUE QUI PERMET DE FAIRE CERTAINS CONSTATS.
- E. L'INEXISTENCE DE DONNÉES STATISTIQUES SUR LES COÛTS D'ÉDITION ET DE PROMOTION DES FILMS D'INITIATIVE FRANÇAISE
-
I. LES DONNÉES STATISTIQUES FINANCIÈRES
-
ANNEXE 5
COMPLÉMENTS D'INFORMATION SUR LE SYSTÈME D'AIDES PUBLIQUES AU CINÉMA FRANÇAIS -
ANNEXE 6
ESTIMATION DU MONTANT TOTAL DES FINANCEMENTS AIDÉS OU DES OBLIGATIONS D'INVESTISSEMENT