Rapport d'information n° 71 (2007-2008) de M. Philippe DALLIER , fait au nom de la commission des finances, déposé le 7 novembre 2007
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AVANT-PROPOS
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I. LES CRÉDITS D'INTERVENTION NE
RÉSUMENT PAS LA POLITIQUE DE LA VILLE
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II. UN CONSTAT SÉVÈRE, LARGEMENT
PARTAGÉ, QUI MET EN LUMIÈRE DES AMÉLIORATIONS
POSSIBLES
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I. LES CRÉDITS D'INTERVENTION NE
RÉSUMENT PAS LA POLITIQUE DE LA VILLE
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TRAVAUX DE LA COMMISSION : AUDITION POUR
SUITE A DONNER À L'ENQUÊTE RÉALISÉE PAR LA COUR DES
COMPTES EN APPLICATION DE L'ARTICLE 58-2° DE LA LOLF, SUR LES
CRÉDITS D'INTERVENTION DE LA POLITIQUE DE LA VILLE
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ANNEXE 1 : COMMUNICATION DE LA COUR DES
COMPTES À LA COMMISSION DES FINANCES DU SÉNAT SUR LA GESTION DES
CREDITS D'INTERVENTION DE L'ETAT AU TITRE DE LA POLITIQUE DE LA VILLE
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PARTIE I : INTRODUCTION
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PARTIE II : LE CADRE GEOGRAPHIQUE
DES INTERVENTIONS DE L'ÉTAT
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I. LA GEOGRAPHIE D'ORIGINE LEGISLATIVE ET
REGLEMENTAIRE : UN DECOUPAGE FIGE POUR LES ZUS ET LES ZRU, UNE EXTENSION
RAPIDE POUR LES ZFU
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II. LA « GÉOGRAPHIE
CONTRACTUELLE » : UN RENOUVELLEMENT PROFOND DONT LES
CONSÉQUENCES SONT ENCORE DIFFICILES À MESURER
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I. LA GEOGRAPHIE D'ORIGINE LEGISLATIVE ET
REGLEMENTAIRE : UN DECOUPAGE FIGE POUR LES ZUS ET LES ZRU, UNE EXTENSION
RAPIDE POUR LES ZFU
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PARTIE III : LE PILOTAGE DES
INTERVENTIONS DE L'ETAT
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I. LA MULTIPLICATION DES INSTANCES
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A. LE CONSEIL NATIONAL DES VILLES (CNV) :
INSTANCE DE CONSULTATION ET DE PROPOSITION
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B. LE COMITE INTERMINISTERIEL DES VILLES
(CIV) : INSTANCE DE DECISION NON REUNIE DE 2002 A 2005
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C. L'INSTABILITE DU POSITIONNEMENT DE LA POLITIQUE
DE LA VILLE AU SEIN DE L'ACTION GOUVERNEMENTALE
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D. L'EVOLUTION DE LA DIV : D'UNE
ADMINISTRATION DE MISSION A UNE ADMINISTRATION DE GESTION
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A. LE CONSEIL NATIONAL DES VILLES (CNV) :
INSTANCE DE CONSULTATION ET DE PROPOSITION
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II. LA REPARTITION DES RÔLES ENTRE LA DIV ET
LA NOUVELLE AGENCE NATIONALE POUR LA COHÉSION SOCIALE ET
L'ÉGALITÉ DES CHANCES (ACSÉ)
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III. LE PILOTAGE LOCAL DES INTERVENTIONS DE LA
POLITIQUE DE LA VILLE
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A. LES MODALITÉS D'ORGANISATION DES
SERVICES DE L'ETAT : DÉCLINAISON LOCALE DE
L'INTERMINISTÉRIALITÉ
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1. Un pilotage de la politique de la ville qui
participe du rôle général de coordination
interministérielle des préfets
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2. L'organisation du pilotage
interministériel au niveau départemental : des
modalités différentes résultant du degré
d'exposition aux problématiques urbaines
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3. L'interministérialité au plus
près du terrain : des acceptions différentes du rôle
dévolu aux délégués de l'État
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1. Un pilotage de la politique de la ville qui
participe du rôle général de coordination
interministérielle des préfets
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B. LE NIVEAU DU PARTENARIAT ENTRE ETAT ET
COLLECTIVITES TERRITORIALES : LE DEVELOPPEMENT DE LA CONTRACTUALISATION
INTERCOMMUNALE ET SA REMISE EN CAUSE RECENTE
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A. LES MODALITÉS D'ORGANISATION DES
SERVICES DE L'ETAT : DÉCLINAISON LOCALE DE
L'INTERMINISTÉRIALITÉ
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IV. CLARIFIER LE PILOTAGE DES INTERVENTIONS DE LA
POLITIQUE DE LA VILLE
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A. STABILISER LE PILOTAGE NATIONAL
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1. Garantir la continuité de
l'interministérialité
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Dans le prolongement de la réforme
engagée en 2002 pour le CNV, la Cour recommande de garantir la
continuité du pilotage de l'interministérialité en
organisant au moins une réunion annuelle du CIV, si possible
présidée par le Premier ministre. Cette disposition
nécessite une modification du décret du 28 octobre 1988.
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2. Définir un cadre cohérent de
pilotage au niveau national
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1. Garantir la continuité de
l'interministérialité
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B. RENDRE PLUS LISIBLE LE PILOTAGE LOCAL
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A. STABILISER LE PILOTAGE NATIONAL
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I. LA MULTIPLICATION DES INSTANCES
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PARTIE IV : LE PANORAMA DES
INTERVENTIONS DE L'ETAT
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I. LES « CREDITS
SPÉCIFIQUES » : UN PRINCIPE DE COMPLEMENTARITE NON
RESPECTE, UNE GESTION INSTABLE ET DISPERSÉE
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A. DONNÉES GENERALES POUR LE
PROGRAMME 147 « EQUITE SOCIALE ET TERRITORIALE ET
SOUTIEN » : INSTABILITE DES MOYENS SUR LA PÉRIODE RECENTE,
PERSISTANCE D'IMPAYES ET APPLICATION PROGRESSIVE DES PRINCIPES DE LA
LOLF
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1. Les enjeux financiers
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2. Les données globales sur la consommation
des crédits : une budgétisation perfectible des
interventions de la politique de la ville
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3. Les difficultés de gestion : les
impayés de l'État sur les dépenses d'intervention de la
politique de la ville
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4. Le passage en mode LOLF dans le cas des
dépenses d'intervention de la politique de la ville : une application
progressive des principes de la LOLF
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5. Les modalités de répartition des
crédits d'intervention entre les services
déconcentrés
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1. Les enjeux financiers
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B. DONNEES PAR BÉNÉFICIAIRES DES
DÉPENSES D'INTERVENTION DE L'ETAT AU TITRE DU PROGRAMME N°
147
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C. DONNEES PAR DISPOSITIFS D'INTERVENTION DE LA
POLITIQUE DE LA VILLE
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1. Le degré de rigidité des
interventions de la politique de la ville : des dépenses
fréquemment rigides en pratique
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2. Des dispositifs nombreux et instables dans le
temps
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Cette rigidité des dépenses
n'empêche pas une instabilité du régime juridique des
dispositifs d'intervention de la politique de la ville. Des tableaux de
synthèse de ces dispositifs sont présentés en annexe
à ce rapport. Ces tableaux font ressortir le nombre très
élevé de textes applicables à ces dispositifs et leur
variabilité dans le temps. Le régime des
« adultes-relais » a, ainsi, été
affecté par une instabilité caractérisée sur la
période récente.
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3. Des dispositifs très
hétérogènes d'un point de vue financier
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1. Le degré de rigidité des
interventions de la politique de la ville : des dépenses
fréquemment rigides en pratique
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A. DONNÉES GENERALES POUR LE
PROGRAMME 147 « EQUITE SOCIALE ET TERRITORIALE ET
SOUTIEN » : INSTABILITE DES MOYENS SUR LA PÉRIODE RECENTE,
PERSISTANCE D'IMPAYES ET APPLICATION PROGRESSIVE DES PRINCIPES DE LA
LOLF
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II. LA MOBILISATION DES « CRÉDITS
DE DROIT COMMUN » : UNE EVALUATION A FIABILISER, DES EFFETS DE
SUBSTITUTION A CONFIRMER, UNE COORDINATION À RENFORCER
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A. LES DIFFICULTES D'EVALUATION DE LA MOBILISATION
DES CRÉDITS DE DROIT COMMUN
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B. UNE ANALYSE DES EFFETS DE SUBSTITUTION A
RENFORCER
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C. LA COORDINATION OPÉRATIONNELLE ENTRE
DISPOSITIFS DE DROIT COMMUN ET DISPOSITIFS SPÉCIFIQUES
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1. Les nouveaux contrats urbains de
cohésion sociale ont vocation à constituer un vecteur de
mobilisation des politiques de droit commun
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2. Les constats faits sur place par la Cour
conduisent à mettre en exergue deux « bonnes
pratiques » pour la coordination entre dispositifs de droit commun et
dispositifs spécifiques
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1. Les nouveaux contrats urbains de
cohésion sociale ont vocation à constituer un vecteur de
mobilisation des politiques de droit commun
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A. LES DIFFICULTES D'EVALUATION DE LA MOBILISATION
DES CRÉDITS DE DROIT COMMUN
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III. LA DOTATION DE SOLIDARITÉ URBAINE ET
DE COHESION SOCIALE (DSU-CS) : SOURCE INDIRECTE DE FINANCEMENT EN FORTE
CROISSANCE
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A. PRÉSENTATION DE LA DSU
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B. LA DSU, INTERVENTION INDIRECTE DE L'ETAT AU
TITRE DE LA POLITIQUE DE LA VILLE
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C. LE CADRAGE PLURIANNUEL D'ÉVOLUTION DE LA
DSU-CS : UNE FORTE PROGRESSION GLOBALE
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D. L'INTRODUCTION DE COEFFICIENTS
« ZUS-ZFU » DANS LES CRITÈRES DE RÉPARTITION
DE LA DSU-CS
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E. LES CONSÉQUENCES DE L'APPLICATION DE CES
RÉFORMES : UNE PROGRESSION DE LA DSU DES COMMUNES PRINCIPALEMENT
COUVERTES PAR DES ZONES D'INTERVENTION DE LA POLITIQUE DE LA VILLE
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1. La réforme a globalement un effet
favorable très net pour les communes dotées de ZUS et/ou de
ZFU
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2. Les communes dont la population réside
majoritairement en ZUS sont les principales bénéficiaires de
la réforme
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3. L'application du critère du potentiel
financier a ramené à l'évolution minimale de 5 % certaines
communes comptant pourtant une part significative de leur population en ZUS et
en ZFU
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4. L'application de ces nouveaux coefficients
accentue les imperfections de la géographie prioritaire de la politique
de la ville
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1. La réforme a globalement un effet
favorable très net pour les communes dotées de ZUS et/ou de
ZFU
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F. UN DISPOSITIF DE SUIVI DE L'UTILISATION DE LA
DSU-CS EN PARTIE INAPPLIQUÉ
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A. PRÉSENTATION DE LA DSU
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I. LES « CREDITS
SPÉCIFIQUES » : UN PRINCIPE DE COMPLEMENTARITE NON
RESPECTE, UNE GESTION INSTABLE ET DISPERSÉE
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PARTIE V : LA GESTION DES SUBVENTIONS
DE L'ETAT AUX ASSOCIATIONS DANS LE CADRE DE TROIS CONTRATS DE VILLE
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I. LES ASSOCIATIONS
BÉNÉFICIAIRES : UNE GRANDE
HÉTEROGENEITÉ
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II. DES CONVENTIONS D'OBJECTIFS ET DE MOYENS PEU
DÉVELOPPÉES
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III. UN PROCESSUS COMPLEXE D'INSTRUCTION DES
DEMANDES DE SUBVENTION QUI CONDUIT À DES PAIEMENTS TARDIFS AUX
ASSOCIATIONS
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IV. UNE EVALUATION DES ACTIONS MENEES A RENFORCER
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V. UN CONTRÔLE DE L'EMPLOI DES FONDS
LACUNAIRE
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I. LES ASSOCIATIONS
BÉNÉFICIAIRES : UNE GRANDE
HÉTEROGENEITÉ
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PARTIE VI : L'IMPACT DES
INTERVENTIONS DE L'ETAT : UNE EFFICACITÉ ET UNE EFFICIENCE
INCERTAINES
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I. UN CADRE D'ANALYSE DE L'IMPACT DE LA POLITIQUE
DE LA VILLE MIEUX STRUCTURE
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II. L'EFFICACITÉ DE LA POLITIQUE DE LA
VILLE : LE CONSTAT GLOBAL D'UNE ABSENCE DE RATTRAPAGE DES ZUS DOIT ETRE
COMPLETE PAR D'AUTRES APPROCHES THÉMATIQUES ET LOCALES
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III. L'ANALYSE DE L'EFFICIENCE DE LA POLITIQUE DE
LA VILLE : UNE DÉMARCHE À CONSTRUIRE
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A. AU NIVEAU NATIONAL : DES PREMIERS ELEMENTS
D'APPRECIATION INSUFFISANTS
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B. AU NIVEAU LOCAL : L'ABSENCE D'UN SUIVI DE
L'EFFICIENCE
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1. Les indicateurs de résultats ne sont
suivis par l'ONZUS qu'au niveau national
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2. Un suivi de l'utilisation des crédits
parcellaire
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3. Travail exploratoire à partir du ratio
de dépenses d'intervention du programme 147 par habitant en ZUS et
en ZRU
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4. Les conditions de mise en oeuvre d'une
démarche d'analyse d'efficience
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1. Les indicateurs de résultats ne sont
suivis par l'ONZUS qu'au niveau national
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A. AU NIVEAU NATIONAL : DES PREMIERS ELEMENTS
D'APPRECIATION INSUFFISANTS
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I. UN CADRE D'ANALYSE DE L'IMPACT DE LA POLITIQUE
DE LA VILLE MIEUX STRUCTURE
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ANNEXE 2 : Observations communiquées
à votre commission