Rapport d'information n° 400 (2006-2007) de M. Philippe MARINI , fait au nom de la commission des finances, déposé le 18 juillet 2007
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AVANT-PROPOS
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I. LE SOCLE DE LA PRÉSENTE
LÉGISLATURE
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A. L'EXÉCUTION 2006 : UN DÉFICIT
NETTEMENT INFÉRIEUR À 3 POINTS DE PIB
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1. La fin de la procédure de
« déficit excessif » provient essentiellement d'un
dynamisme conjoncturel des recettes
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a) Une croissance du PIB intermédiaire entre
la prévision du gouvernement et celle du consensus des
conjoncturistes
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b) La fin de la procédure de
« déficit excessif »
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c) Une amélioration du solde public
provenant essentiellement, malgré une croissance du PIB médiocre,
d'un dynamisme conjoncturel des recettes
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d) Un déficit qui serait de 2,8 points de
PIB hors recettes exceptionnelles
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a) Une croissance du PIB intermédiaire entre
la prévision du gouvernement et celle du consensus des
conjoncturistes
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2. Un sujet d'inquiétude : des
dépenses qui continuent à augmenter de plus de 2 % par an en
volume
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1. La fin de la procédure de
« déficit excessif » provient essentiellement d'un
dynamisme conjoncturel des recettes
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B. L'EXÉCUTION 2007 : UN BUDGET DE
L'ETAT MAÎTRISÉ, DES COMPTES SOCIAUX SOUS TENSION
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A. L'EXÉCUTION 2006 : UN DÉFICIT
NETTEMENT INFÉRIEUR À 3 POINTS DE PIB
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II. L'ENJEU DE LA PROGRAMMATION PLURIANNUELLE
2008-2012 : ACCÉLÉRER LA CROISSANCE ET TROUVER PLUSIEURS
DIZAINES DE MILLIARDS D'EUROS D'ÉCONOMIES
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A. LES ENGAGEMENTS PLURIANNUELS DU PRÉSIDENT
DE LA RÉPUBLIQUE EN MATIÈRE DE FINANCES PUBLIQUES
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1. L'engagement du Président de la
République : ramener les finances publiques à
l'équilibre en 2012
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2. L'abandon de l'objectif irréaliste du
« rapport Pébereau », consistant à ramener
les finances publiques à l'équilibre en 2010 avec une croissance
du PIB de 2,25 % par an
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3. L'objectif du gouvernement demeure toujours plus
volontariste que la préconisation de votre commission des finances,
consistant à ramener à moyen terme le déficit à
1 point de PIB
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4. Le programme présidentiel : en
2012, un coût brut de 30 milliards d'euros, intégralement
financé ?
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1. L'engagement du Président de la
République : ramener les finances publiques à
l'équilibre en 2012
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B. COMMENT ATTEINDRE LES OBJECTIFS FIXÉS
PAR LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE EN TERMES DE FINANCES
PUBLIQUES ?
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1. Les dépenses publiques peuvent-elles
évoluer moins vite que le PIB à croissance économique
inchangée ?
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a) La croissance des dépenses publiques,
à politiques inchangées, semble être de l'ordre de 2,5 %
par an en volume
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(1) La fin probable de la diminution des taux
d'intérêt tend à augmenter la croissance des
dépenses publiques de 0,25 point par an
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(2) La croissance des dépenses de retraite
devrait augmenter la croissance des dépenses publiques de 0,1 point par
an
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(3) Les dépenses de santé augmentent
toujours structurellement plus vite que le PIB
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(4) L'effet de la diminution du chômage sur
les finances publiques reste incertain
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(5) Vers un ralentissement des dépenses des
collectivités territoriales ?
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(1) La fin probable de la diminution des taux
d'intérêt tend à augmenter la croissance des
dépenses publiques de 0,25 point par an
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b) Une croissance du PIB de l'ordre de 2,5 % par
an au cours des cinq prochaines années : une hypothèse
réaliste, sous réserve de réformes structurelles
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a) La croissance des dépenses publiques,
à politiques inchangées, semble être de l'ordre de 2,5 %
par an en volume
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2. Un risque majeur : le dynamisme
spontané des recettes publiques de ces dernières années
pourrait s'inverser
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3. Différents scénarios
d'évolution du solde public
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a) L'impossibilité de laisser les
dépenses publiques suivre leur « tendance
spontanée »
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b) Un fort ralentissement de la croissance des
dépenses publiques prévu par le gouvernement
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c) Pour retourner à l'équilibre en
2012, il est nécessaire de prendre des mesures améliorant le
solde public de plus de 80 milliards d'euros d'ici cette date
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d) Quelles mesures concrètes
envisager ?
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a) L'impossibilité de laisser les
dépenses publiques suivre leur « tendance
spontanée »
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4. Quels scénarios d'évolution de la
dette publique d'ici à 2012 ?
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1. Les dépenses publiques peuvent-elles
évoluer moins vite que le PIB à croissance économique
inchangée ?
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A. LES ENGAGEMENTS PLURIANNUELS DU PRÉSIDENT
DE LA RÉPUBLIQUE EN MATIÈRE DE FINANCES PUBLIQUES
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III. DÉSIGNER LES BONNES CIBLES POUR LA
RÉALISATION DES ÉCONOMIES
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A. LES DÉPENSES DE SÉCURITÉ
SOCIALE : UNE PRIORITÉ POUR LA REVUE GÉNÉRALE DES
PROGRAMMES
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B. LE BUDGET DE L'ETAT : COMPENSER LES
BAISSES DE RECETTES PAR UNE DIMINUTION DES DÉPENSES À DUE
CONCURRENCE ?
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A. LES DÉPENSES DE SÉCURITÉ
SOCIALE : UNE PRIORITÉ POUR LA REVUE GÉNÉRALE DES
PROGRAMMES
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IV. COMMENT RÉUSSIR LA PROGRAMMATION DES
FINANCES PUBLIQUES 2008-2012 ?
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A. COMMENT RENDRE CREDIBLE UNE PROGRAMMATION
PLURIANNUELLE DES FINANCES PUBLIQUES ?
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1. Une programmation non glissante, fondée
sur une norme de dépense pour l'ensemble formé par l'Etat et la
sécurité sociale
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2. Une norme de croissance des dépenses de
l'Etat qui doit aussi prendre en compte la dépense fiscale
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3. Une programmation déclinée par
mission, des engagements pluriannuels en termes de masse salariale
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4. La nécessité de clarifier les
relations entre l'Etat et la sécurité sociale
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1. Une programmation non glissante, fondée
sur une norme de dépense pour l'ensemble formé par l'Etat et la
sécurité sociale
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B. QUELS INSTRUMENTS NOUVEAUX POUR UNE
PROGRAMMATION REUSSIE ?
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A. COMMENT RENDRE CREDIBLE UNE PROGRAMMATION
PLURIANNUELLE DES FINANCES PUBLIQUES ?
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I. LE SOCLE DE LA PRÉSENTE
LÉGISLATURE
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EXAMEN EN COMMISSION