- I. DEPUIS 2017, UNE VOLONTÉ DE TRANSFORMER LA
RELATION AVEC LES PAYS AFRICAINS
- A. L'« AGENDA TRANSFORMATIONNEL » :
UN CHANTIER INACHEVÉ
- 1. Se tourner vers des pays sans histoire coloniale
française pour bénéficier de nouvelles opportunités
économiques : un pari pas forcément gagnant
- 2. Une volonté de s'orienter vers de
nouveaux secteurs d'activité et d'impliquer davantage les
sociétés civiles
- 3. La diplomatie féministe et la lutte
contre les discriminations
- 1. Se tourner vers des pays sans histoire coloniale
française pour bénéficier de nouvelles opportunités
économiques : un pari pas forcément gagnant
- B. LA RESTITUTION DES oeUVRES D'ART : UNE
DÉMARCHE ENRAYÉE ?
- C. LA DIFFICULTÉ D'AVANCER SUR LES QUESTIONS
« MÉMORIELLES » TOUT EN MAINTENANT DE FRAGILES
ÉQUILIBRES DIPLOMATIQUES
- D. MALGRÉ CETTE VOLONTÉ DE RENOUVEAU,
UNE DIFFICULTÉ PERSISTANTE À AMÉLIORER LA PERCEPTION DE LA
« POLITIQUE AFRICAINE » DE LA FRANCE
- A. L'« AGENDA TRANSFORMATIONNEL » :
UN CHANTIER INACHEVÉ
- II. UNE STRATÉGIE RATTRAPÉE PAR LA
PERSISTANCE DES QUESTIONS MILITAIRES ET SÉCURITAIRES
- A. UN CONTINENT ENCORE PERCLUS DE FOYERS DE TENSION
- B. L'OPÉRATION BARKHANE : UN CONFLIT
AUX CAUSES COMPLEXES OÙ LE MILITAIRE N'A PU PALLIER L'ABSENCE DE
SOLUTION POLITIQUE
- C. EN AFRIQUE DE L'OUEST, AU SAHEL ET EN AFRIQUE
CENTRALE, DES INTÉRÊTS FRANÇAIS MODESTES MAIS RÉELS
ET QUI DOIVENT ÊTRE PROTÉGÉS
- D. UNE RÉDUCTION MAL NÉGOCIÉE
DU FORMAT DES BASES FRANÇAISES EN AFRIQUE DE L'OUEST
- 1. Une diminution qui fait suite à de
précédentes déflations
- 2. Une nouvelle diminution des effectifs à
partir de 2023 et une rétrocession des bases au Sénégal et
en Côte d'Ivoire
- 3. Un dispositif qui permettait une grande
réactivité
- 4. Une nouvelle réduction qui n'a pas
été véritablement négociée avec les
partenaires africains
- 5. Une déflation qui risque d'avoir un
impact négatif à long terme sur les actions de formation et de
coopération...
- 6. ... de rendre plus difficile
d'éventuelles opérations d'évacuation des ressortissants
français ou européens...
- ...et de laisser le champ libre aux
compétiteurs stratégiques
- 1. Une diminution qui fait suite à de
précédentes déflations
- E. LA PERCEPTION D'UN
« RETRAIT » FORCÉ D'AFRIQUE DE L'OUEST A DES
CONSÉQUENCES NÉGATIVES POUR LE STATUT INTERNATIONAL DE LA
FRANCE
- F. LES DÉFIS LANCÉS PAR LES
COMPÉTITEURS STRATÉGIQUES DOIVENT ÊTRE
RELEVÉS
- 1. La Russie : un acteur à la
progression entravée sur le continent
- 2. La Turquie, un acteur en progression constante
sur le Continent
- 3. Des Émirats Arabes Unis de plus en plus
présents
- 4. La Chine : une présence d'abord
économique qui évolue vers davantage de présence
militaire
- 5. De nombreux autres acteurs tentent de
développer leurs actions sur le continent
- 1. La Russie : un acteur à la
progression entravée sur le continent
- A. UN CONTINENT ENCORE PERCLUS DE FOYERS DE TENSION
- III. UN OBSTACLE AU RENOUVEAU DES RELATIONS :
LA DÉGRADATION DE L'IMAGE DE LA FRANCE SUR LE CONTINENT
- A. UN PHÉNOMÈNE À NUANCER
MAIS À PRENDRE AU SÉRIEUX
- B. UNE AIDE AU DÉVELOPPEMENT TOUJOURS
CRITIQUÉE DANS SA MISE EN oeUVRE ET QUI NE BÉNÉFICIE QUE
MODÉRÉMENT À L'INFLUENCE FRANÇAISE
- C. LE PIÈGE DES COUPS D'ÉTAT ET
L'ACCUSATION DE « DOUBLE STANDARD »
- D. UN DISCOURS SUR LES « VALEURS » ET
LA DÉMOCRATIE SOUVENT MAL REÇU PAR NOS PARTENAIRES
- E. LA REVENDICATION D'UN ÉCHANGE
ÉCONOMIQUE ET COMMERCIAL MOINS INÉGAL
- A. UN PHÉNOMÈNE À NUANCER
MAIS À PRENDRE AU SÉRIEUX
- IV. L'ARCHITECTURE AFRICAINE DE PAIX ET DE
SÉCURITÉ DE L'UNION AFRICAINE : UNE DIFFICULTÉ À
MONTER EN PUISSANCE
- A. L'ARCHITECTURE AFRICAINE DE PAIX ET DE
SÉCURITÉ COLLECTIVE REPOSE SUR PLUSIEURS ORGANISATIONS
RÉGIONALES COORDONNÉES PAR L'UNION AFRICAINE.
- 1. Le rôle coordinateur et supranational de
l'Union africaine lui confère une légitimité
supérieure à celle des organisations régionales.
- 2. La montée en puissance des organisations
régionales sur les enjeux de paix et de sécurité.
- 3. Les problèmes de chevauchement entre
l'échelon continental et l'échelon régional
- 4. L'évolution des menaces a mené
à la création d'initiatives de sécurité ad hoc
(ASI).
- 1. Le rôle coordinateur et supranational de
l'Union africaine lui confère une légitimité
supérieure à celle des organisations régionales.
- B. CETTE ARCHITECTURE A PROGRESSIVEMENT PERMIS AUX
ORGANISATIONS AFRICAINES DE PRENDRE EN MAIN LEUR SÉCURITÉ
COLLECTIVE.
- C. DES DÉFAUTS STRUCTURELS QUI APPELLENT
DES RÉFORMES
- 1. L'union africaine reste une organisation
internationale à faible niveau d'intégration
- 2. Les relations entre l'UA et les CER restent
complexes au détriment de l'efficacité
- 3. La dépendance économique et
capacitaire de ces organisations vis-à-vis de la communauté
internationale pose des questions quant à leur marge de
manoeuvre.
- 4. Une contribution à la paix au total
mitigée
- 1. L'union africaine reste une organisation
internationale à faible niveau d'intégration
- D. L'ACTIVISME MILITAIRE DU RWANDA : UNE
MENACE POUR LA STABILITÉ RÉGIONALE ?
- A. L'ARCHITECTURE AFRICAINE DE PAIX ET DE
SÉCURITÉ COLLECTIVE REPOSE SUR PLUSIEURS ORGANISATIONS
RÉGIONALES COORDONNÉES PAR L'UNION AFRICAINE.
- V. LE BILAN GLOBALEMENT DÉCEVANT DES
OPÉRATIONS DE MAINTIEN DE LA PAIX DES NATIONS UNIES EN AFRIQUE
- VI. LES PROPOSITIONS DE LA COMMISSION
- 1. Ne pas chercher à élaborer une
nouvelle « politique africaine » unique mais s'efforcer de
reconstruire des relations à partir des acquis
- 2. Réduire la
« centralisation » présidentielle du discours sur
l'Afrique et sa mise en scène lors d'événements
organisés par la France
- 3. Continuer à jouer le rôle d'avocat
au sein des instances internationales en faveur d'une solidarité accrue
envers les pays africains et pour la paix et la sécurité en
Afrique
- 4. Ne pas laisser le champ libre aux
compétiteurs stratégiques de la France en Afrique de
l'Ouest
- 5. Continuer à investir le champ
informationnel en mobilisant des moyens extra-institutionnel et en investissant
plus, pour répondre au bon niveau aux acteurs de la
désinformation
- 6. Poursuivre et diversifier la coopération
militaire en compensant la fin des bases ou leur déflation par un
renforcement des moyens de la coopération de défense
- 7. Reprendre le renforcement de la diplomatie
française
- 8. Améliorer l'aide publique au
développement
- 9. Mettre fin au « double
standard », s'efforcer de renforcer la démocratie en
profondeur et faire preuve de discernement dans l'affirmation des
« valeurs » démocratiques et
sociétales
- 10. Poursuivre et amplifier la mise en oeuvre des
mesures réformant la politique des visas
- 11. Soutenir les progrès de l'architecture
de paix et de sécurité de l'Union africaine (APSA)
- 12. Favoriser la zone de libre-échange
continentale africaine
- 13. Soutenir davantage la francophonie
- 14. S'appuyer sur la relance des relations avec le
Maroc pour améliorer et développer les relations avec les pays
d'Afrique de l'Ouest
- 1. Ne pas chercher à élaborer une
nouvelle « politique africaine » unique mais s'efforcer de
reconstruire des relations à partir des acquis
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Rapports d'information
Rapport d'information n° 288 (2024-2025), déposé le