Rapport de commission d'enquête n° 321 (2002-2003) de M. Bernard PLASAIT et Mme Nelly OLIN , fait au nom de la commission d'enquête, déposé le 3 juin 2003
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INTRODUCTION
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LES TRAVAUX DE LA COMMISSION D'ENQUÊTE
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REPÈRES CHRONOLOGIQUES : DE LA
PHARMACOPÉE DES EMPEREURS DE CHINE À L'ECSTASY DES RAVE PARTIES
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LISTE DES PERSONNALITÉS
AUDITIONNÉES
PAR LA COMMISSION D'ENQUÊTE
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PREMIÈRE PARTIE
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UN CONSTAT TRÈS PRÉOCCUPANT
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I. L'EXPLOSION DES DROGUES
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A. UNE CONSOMMATION DE DROGUES EN CONSTANTE
AUGMENTATION DEPUIS DIX ANS
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1. Une consommation en pleine expansion
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a) Le cannabis : une consommation de masse
croissante, notamment chez les jeunes
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b) Les drogues dites dures : un usage
très circonscrit mais en augmentation préoccupante
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c) L'ecstasy, les amphétamines et les
drogues de synthèse : successeurs potentiels du cannabis au
« hit parade » de la consommation ?
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d) Les produits dopants : un usage important
bien que méconnu
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e) Les médicaments psychotropes
détournés de leur usage médical : un mal
français
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a) Le cannabis : une consommation de masse
croissante, notamment chez les jeunes
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2. Des modes de consommation et des comportements
addictifs en mutation
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1. Une consommation en pleine expansion
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B. UNE PRODUCTION ET UN TRAFIC MULTIFORME EN
CONSTANTE AUGMENTATION
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1. Les grands axes du trafic international et
l'émergence de nouvelles filières
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2. Le trafic en France : un trafic de passage
et de proximité
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3. Les revenus générés par la
production et le trafic de drogues illicites : des facteurs
déstabilisateurs pour l'ensemble des économies
concernées
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1. Les grands axes du trafic international et
l'émergence de nouvelles filières
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A. UNE CONSOMMATION DE DROGUES EN CONSTANTE
AUGMENTATION DEPUIS DIX ANS
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II. LA DANGEROSITÉ CERTAINE DES
DROGUES
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A. DES DOMMAGES SANITAIRES AVÉRÉS
TOUCHANT ESSENTIELLEMENT LA JEUNESSE
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B. DES DOMMAGES SOCIAUX RECONNUS
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1. Le risque de désocialisation
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2. Le lien entre usage de drogues et
délinquance
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3. Les dangers désormais reconnus du
cannabis en termes de conduite automobile
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4. Les dangers de la drogue en milieu
professionnel
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1. Le risque de désocialisation
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A. DES DOMMAGES SANITAIRES AVÉRÉS
TOUCHANT ESSENTIELLEMENT LA JEUNESSE
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I. L'EXPLOSION DES DROGUES
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DEUXIÈME PARTIE -
UNE POLITIQUE À LA DÉRIVE :
DES INSTRUMENTS DE LUTTE VIEILLIS ET INSUFFISANTS
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I. UNE ORGANISATION INTERMINISTÉRIELLE ET
UN ARSENAL LÉGISLATIF IMPORTANT
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II. UN DISPOSITIF RÉPRESSIF IMPORTANT SUR
LE TERRAIN MAIS AYANT LONGTEMPS SOUFFERT DE L'ABSENCE DE VOLONTÉ
POLITIQUE
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A. LA DOUANE : UNE NÉCESSAIRE
ADAPTATION EN MATIÈRE DE LUTTE CONTRE LES STUPÉFIANTS DU FAIT DE
LA LIBÉRALISATION DES ÉCHANGES
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1. L'organisation et les pouvoirs
généraux de contrôle des services douaniers
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2. Les pouvoirs et moyens spécifiques des
services douaniers en matière de lutte contre le trafic de
stupéfiants
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3. La nécessaire adaptation des
méthodes de travail des services douaniers
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4. Les moyens budgétaires des services
douaniers assignés à la lutte contre le trafic illicite de
stupéfiants
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1. L'organisation et les pouvoirs
généraux de contrôle des services douaniers
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B. LES FORCES DE POLICE AFFECTÉES À
LA LUTTE CONTRE LES STUPÉFIANTS
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C. LA GENDARMERIE NATIONALE : L'ABSENCE
D'ORGANISMES SPÉCIALISÉS
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D. LE DISPOSITIF DE CONTRÔLE DES PRODUITS
PRÉCURSEURS DE DROGUES
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E. LE DISPOSITIF RÉPRESSIF DE LUTTE CONTRE
LE BLANCHIMENT
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F. LE RENFORCEMENT DE LA COORDINATION DES SERVICES
RÉPRESSIFS NATIONAUX
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G. LE DISPOSITIF JUDICIAIRE
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A. LA DOUANE : UNE NÉCESSAIRE
ADAPTATION EN MATIÈRE DE LUTTE CONTRE LES STUPÉFIANTS DU FAIT DE
LA LIBÉRALISATION DES ÉCHANGES
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III. UNE RÉPONSE JUDICIAIRE
ERRATIQUE
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A. LA RÉPRESSION DE L'USAGE : UNE
DÉPÉNALISATION DE FAIT
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1. Des interpellations à la baisse
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2. Une réponse judiciaire affaiblie et
disparate
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a) L'injonction thérapeutique : une
mesure longtemps laissée en jachère et dont la relance reste
difficile
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(1) Une mesure mise en sommeil dès
l'origine ?
-
(2) Une relance laborieuse
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(3) Le bilan mitigé de l'injonction
thérapeutique à la fin des années 90
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(a) Le constat : un faible nombre
d'injonctions thérapeutiques
-
(b) La diversité des pratiques selon les
parquets
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(c) Un cloisonnement des acteurs
préjudiciable
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(1) Une mesure mise en sommeil dès
l'origine ?
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b) La politique du gouvernement pour la
période 1999-2001 : des intentions louables
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(1) Le plan triennal 1999-2001 de la MILDT
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(a) Des objectifs compris et partagés par
tous les acteurs
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(b) Prévenir la récidive en
privilégiant les alternatives à l'incarcération et le
suivi à la sortie de la prison
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(c) La généralisation des
conventions départementales d'objectifs comme instruments de mise en
oeuvre des orientations de politique pénale
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(2) La circulaire Guigou du 17 juin
1999 : utiliser la réponse judiciaire aux toxicomanies comme
tremplin pour une orientation sanitaire ou psychosociale
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(a) Une enquête de personnalité plus
approfondie à tous les stades de la procédure
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(b) L'adaptation des réponses judiciaires
tout au long de l'enquête initiale
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(c) L'adaptation des réponses judiciaires
dans la phase pré-sentencielle
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(d) L'adaptation des réponses judiciaires
dans les phases sentencielle et post-sentencielle : l'emprisonnement ferme
à l'encontre d'un usager n'ayant pas commis d'autre délit
connexe, utilisé comme un ultime recours
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(e) L'adaptation des réponses judiciaires
aux problématiques des mineurs usagers de drogues
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(3) L'objectif de la circulaire Chevènement
du 11 octobre 1999 relative au renforcement de la lutte contre l'usage et le
trafic local de stupéfiants : préciser la place de la police
dans la chaîne judiciaire
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(1) Le plan triennal 1999-2001 de la MILDT
-
c) Des résultats qui peuvent être
diversement appréciés
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(1) Une évaluation du plan par
l'OFDT
-
(2) Des difficultés méthodologiques
certaines
-
(3) Des objectifs diversement
réalisés
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(a) En matière d'intégration des
objectifs socio-sanitaires dans l'approche pénale
-
(b) En matière de capacité des
dispositifs socio-sanitaires à prendre en charge les usagers
-
(c) En matière d'accès aux soins des
interpellés
-
(d) En matière de recentrage de
l'injonction thérapeutique
-
(e) En matière de développement des
peines alternatives
-
(f) En matière de rapprochement entre
instances sanitaires et judiciaires
-
(4) Une disparition de la sanction sans prise en
charge effective ?
-
(1) Une évaluation du plan par
l'OFDT
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a) L'injonction thérapeutique : une
mesure longtemps laissée en jachère et dont la relance reste
difficile
-
1. Des interpellations à la baisse
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B. LA RÉPRESSION DU TRAFIC
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1. Les statistiques : le reflet de
l'activité des services répressifs
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2. La répression du petit deal et du trafic
local
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a) La nécessité de réprimer
les petits trafics
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b) La nécessité d'agir sur l'usager
à l'origine du trafic
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c) La délicate distinction entre l'usager
et l'usager-revendeur
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d) La difficile conciliation entre police de
proximité et police judiciaire
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e) Les difficultés de preuve
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f) Les récentes avancées
législatives
-
a) La nécessité de réprimer
les petits trafics
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3. La répression des réseaux
organisés et du trafic international : les difficultés
pratiques et institutionnelles de mise en oeuvre de la
législation
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a) Des difficultés liées à
l'insuffisante coordination institutionnelle des services
répressifs
-
b) Des difficultés liées à la
sophistication croissante des méthodes des trafiquants
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(1) Les nouvelles technologies au service des
trafiquants de drogues
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(2) Des méthodes d'interception
inadaptées à la nouvelle technique des
« go fast »
-
(3) Les « bolitas » :
nouvelle technique de transport des drogues dures
-
(4) Des difficultés liées à
l'insuffisante circulation de l'information et à l'absence de statut
des indicateurs
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(1) Les nouvelles technologies au service des
trafiquants de drogues
-
c) Des difficultés liées à
l'insuffisante exploitation des outils législatifs disponibles
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(1) Les dispositions visant à atteindre le
patrimoine des trafiquants ou de ceux dégageant un profit indirect du
trafic de drogues
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(a) Les sanctions patrimoniales spécifiques
au trafic de stupéfiants
-
(b) La création du délit de non
justification de ressources : une innovation méconnue
-
(c) La création du délit de
blanchiment de fonds provenant de tout crime ou de tout délit
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(2) Les dispositions visant à la lutte
contre la fabrication et la diffusion de nouvelles drogues de
synthèse
-
(1) Les dispositions visant à atteindre le
patrimoine des trafiquants ou de ceux dégageant un profit indirect du
trafic de drogues
-
a) Des difficultés liées à
l'insuffisante coordination institutionnelle des services
répressifs
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1. Les statistiques : le reflet de
l'activité des services répressifs
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A. LA RÉPRESSION DE L'USAGE : UNE
DÉPÉNALISATION DE FAIT
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IV. UNE POLITIQUE DE PRÉVENTION
DÉFAILLANTE : LES RAVAGES DE LA BANALISATION DE L'USAGE DES
DROGUES
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A. UN DISPOSITIF INTERMINISTÉRIEL AU
MESSAGE AMBIGU ET PEU CRÉDIBLE
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B. UN « BRUIT DE FOND »
COMPLAISANT ENVERS LA DROGUE
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C. L'IMBROGLIO DES STRUCTURES COMPÉTENTES
EN MATIÈRE DE PRÉVENTION, OBSTACLE À LEUR
EFFICACITÉ
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D. LES CARENCES DES ACTEURS NATURELS DE LA
PRÉVENTION
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1. La police et la gendarmerie, acteurs inattendus
mais désormais essentiels de la prévention
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2. Des actions globalement satisfaisantes dans le
milieu sportif
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3. La faiblesse du dispositif Santé et
affaires sociales
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4. Le dispositif Sécurité
routière : des carences en partie provisoires ?
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5. L'éducation nationale : la grande
absente de la prévention
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a) Une présence très importante des
drogues dans les établissements scolaires ayant des effets nocifs sur
les élèves
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b) Des instruments de prévention rares,
sous-utilisés et inefficaces
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(1) Les comités d'éducation à
la santé et à la citoyenneté (CESC) : des structures
de papier
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(2) La diffusion de publications sur les conduites
addictives au contenu discutable
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(3) Une formation inexistante des
personnels
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(4) Un dispositif de prévention sanitaire
et social inadapté en raison de la faiblesse de ses moyens
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(1) Les comités d'éducation à
la santé et à la citoyenneté (CESC) : des structures
de papier
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c) Des enseignants peu concernés
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d) Des actions de prévention
« sous-traitées » aux acteurs extra scolaires
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a) Une présence très importante des
drogues dans les établissements scolaires ayant des effets nocifs sur
les élèves
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6. Les parents : des partenaires prioritaires
largement oubliés
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1. La police et la gendarmerie, acteurs inattendus
mais désormais essentiels de la prévention
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A. UN DISPOSITIF INTERMINISTÉRIEL AU
MESSAGE AMBIGU ET PEU CRÉDIBLE
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V. UNE POLITIQUE DE RÉDUCTION DES RISQUES
AUJOURD'HUI INADAPTÉE AUX NOUVEAUX MODES DE CONSOMMATION
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A. LES IMPASSES DE LA POLITIQUE DE
RÉDUCTION DES RISQUES
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B. L'INADAPTATION DES STRUCTURES DE SOINS AUX
NOUVEAUX MODES DE CONSOMMATION : UN SYSTÈME COMPLEXE ET DES ACTEURS
MULTIPLES
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C. LE PLAN TRIENNAL 1999-2001
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A. LES IMPASSES DE LA POLITIQUE DE
RÉDUCTION DES RISQUES
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VI. UNE COOPÉRATION INTERNATIONALE QUI
MANQUE DE SOUFFLE
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A. DES CONVENTIONS INTERNATIONALES
BAFOUÉES
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1. Le système onusien de contrôle
des drogues : un dispositif complexe articulé autour de conventions
et d'institutions internationales spécialisées
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2. La situation actuelle dans le monde concernant
la production et le trafic illicites de drogues : « des
progrès encourageants dans la réalisation d'objectifs encore
lointains ».
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3. Le non-respect par certains Etats de leurs
obligations internationales, limite à l'efficacité du
système onusien
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1. Le système onusien de contrôle
des drogues : un dispositif complexe articulé autour de conventions
et d'institutions internationales spécialisées
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B. L'ABSENCE D'HARMONISATION
EUROPÉENNE
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1. Une politique européenne de lutte
contre les drogues embryonnaire
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2. Des législations très
disparates
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3. Deux exemples opposés : les
Pays-Bas et la Suède
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a) L'exemple des Pays-Bas
-
b) L'exemple suédois
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(1) Le constat : une consommation
relativement faible
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(2) La particularité de l'approche
suédoise: l'objectif d'une société sans drogues
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(3) Une répression
déterminée de l'usage comme du trafic
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(4) Drogue et prison
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(5) Une approche globale des soins
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(6) Une réticence à l'égard
de la politique de réduction des risques et de substitution
-
(7) La priorité accordée à
la prévention
-
(1) Le constat : une consommation
relativement faible
-
a) L'exemple des Pays-Bas
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1. Une politique européenne de lutte
contre les drogues embryonnaire
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C. DES INSTRUMENTS JURIDIQUES ENCORE
INSUFFISANTS
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1. Développer la coopération
internationale : un objectif essentiel du plan triennal de lutte contre la
drogue
-
2. Des dispositifs de coopération
internationale multiples et d'efficacité inégale
-
1. Développer la coopération
internationale : un objectif essentiel du plan triennal de lutte contre la
drogue
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A. DES CONVENTIONS INTERNATIONALES
BAFOUÉES
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I. UNE ORGANISATION INTERMINISTÉRIELLE ET
UN ARSENAL LÉGISLATIF IMPORTANT
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TROISIÈME PARTIE
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HUMANISME ET RESPONSABILITÉ :
LES DEUX PILIERS D'UNE NOUVELLE POLITIQUE
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I. UNE RÉPONSE JUDICIAIRE
SYSTÉMATIQUE
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A. ÉVITER LE PIÈGE DE LA
LIBÉRALISATION
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1. Des arguments théoriquement
séduisants
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a) L'échec de la loi de 1970,
paradoxalement à l'origine de tous les maux
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b) La proposition d'une légalisation
réglementée
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c) Une vision idyllique et utopique de la
légalisation des drogues
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(1) Des progrès en termes de santé
publique
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(a) Des drogues de qualité ?
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(b) Une politique de réduction des risques
enfin cohérente
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(2) En termes de sécurité
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(a) Les produits étant moins chers, la
délinquance induite des toxicomanes diminuerait...
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(b) ... ainsi que le crime organisé
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(3) Une légalisation sans augmentation de
la consommation
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(1) Des progrès en termes de santé
publique
-
a) L'échec de la loi de 1970,
paradoxalement à l'origine de tous les maux
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2. Des avantages incertains
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3. Des inconvénients
avérés
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4. Le débat sur la
légalisation : un débat biaisé
-
1. Des arguments théoriquement
séduisants
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B. RÉAFFIRMER L'IMPORTANCE DE LA
LOI
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C. PRÉVOIR UNE SANCTION
SYSTÉMATIQUE, GRADUÉE ET COMPRISE
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D. CONCILIER LE TRAITEMENT D'UN CONTENTIEUX DE
MASSE ET L'ORIENTATION SANITAIRE ET SOCIALE
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1. Eviter l'encombrement des juridictions
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a) Encourager le recours à l'ordonnance
pénale pour la contravention d'usage
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b) Etendre le champ de la «
procédure simplifiée » pour les usagers de drogues
récidivistes, mais ne nécessitant pas d'orientation
particulièrement poussée
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c) Elargir les mesures de composition
pénale à l'obligation de soins
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a) Encourager le recours à l'ordonnance
pénale pour la contravention d'usage
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2. Maintenir l'objectif d'orientation
sociosanitaire des usagers de drogues à l'occasion de la réponse
judiciaire en pérennisant les conventions départementales
d'objectifs justice-santé
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1. Eviter l'encombrement des juridictions
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E. HOMOGÉNÉISER LES SANCTIONS
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F. DES PISTES À CREUSER
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G. DÉVELOPPER L'INDISPENSABLE
PARTENARIAT
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A. ÉVITER LE PIÈGE DE LA
LIBÉRALISATION
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II. POUR UNE PRÉVENTION DIGNE DE CE
NOM
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A. ASSURER L'INFORMATION ET LA FORMATION
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B. ÉRIGER L'ÉCOLE EN
« FER DE LANCE DE LA PRÉVENTION »
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A. ASSURER L'INFORMATION ET LA FORMATION
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III. UN DISPOSITIF SANITAIRE ET SOCIAL EFFICACE
POUR LA PRISE EN CHARGE, LE TRAITEMENT ET LA RÉINSERTION
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A. LE NÉCESSAIRE DÉVELOPPEMENT DES
STRUCTURES D'ACCUEIL
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1. Le renforcement indispensable des
capacités en centres d'accueil
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2. La nécessaire adaptation de la prise en
charge sanitaire des détenus et des mineurs délinquants
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1. Le renforcement indispensable des
capacités en centres d'accueil
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B. FAVORISER DES MÉTHODES INNOVANTES DE
TRAITEMENT
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1. Des modalités nouvelles de prescription
des traitements de substitution
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2. Le nécessaire développement des
programmes de recherche sur les drogues
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3. La nécessité de promouvoir de
nouveaux savoir-faire
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1. Des modalités nouvelles de prescription
des traitements de substitution
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C. ABORDER LE PROBLÈME DE L'USAGE DES
DROGUES EN MILIEU PROFESSIONNEL
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1. La législation actuelle en
matière de drogue en milieu professionnel
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2. La nécessité de mieux prendre en
compte la réalité de la drogue au travail
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1. La législation actuelle en
matière de drogue en milieu professionnel
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A. LE NÉCESSAIRE DÉVELOPPEMENT DES
STRUCTURES D'ACCUEIL
-
I. UNE RÉPONSE JUDICIAIRE
SYSTÉMATIQUE
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RÉSUMÉ DES PROPOSITIONS
DE LA COMMISSION D'ENQUÊTE :
64 propositions autour de 4 priorités
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CONTRIBUTIONS DES GROUPES POLITIQUES