Rapport n° 278 (2009-2010) de M. Philippe MARINI , fait au nom de la commission des finances, déposé le 9 février 2010
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EXPOSÉ GÉNÉRAL
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INTRODUCTION
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PREMIÈRE PARTIE : LES FINANCES
PUBLIQUES EN PERSPECTIVE
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I. LES GRANDS ÉQUILIBRES DU PROJET DE LOI DE
FINANCES RECTIFICATIVE
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A. UNE PRÉVISION DE REPRISE
MODÉRÉE EN 2010
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B. DES RECETTES POUR 2010 LÉGÈREMENT
REVUES À LA HAUSSE
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C. DES DÉPENSES QUI INTÈGRENT LE
FINANCEMENT DES « INVESTISSEMENTS D'AVENIR »
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D. UN DÉFICIT BUDGÉTAIRE PORTÉ
À 149 MILLIARDS D'EUROS
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E. UN TABLEAU DE FINANCEMENT MODIFIÉ PAR LES
CONSÉQUENCES DE L'EMPRUNT NATIONAL
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1. 35 milliards d'euros de
« dépenses d'avenir » mais un besoin de financement
en hausse de « seulement » 22,7 milliards
d'euros
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2. Le plafond de variation de la dette à
moyen et long termes relevé de 22 milliards d'euros
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3. Un stock de dette paradoxalement en ligne avec
les estimations de la loi de finances initiale
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1. 35 milliards d'euros de
« dépenses d'avenir » mais un besoin de financement
en hausse de « seulement » 22,7 milliards
d'euros
-
A. UNE PRÉVISION DE REPRISE
MODÉRÉE EN 2010
-
II. LE PROGRAMME DE STABILITÉ
2010-2013
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I. LES GRANDS ÉQUILIBRES DU PROJET DE LOI DE
FINANCES RECTIFICATIVE
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DEUXIÈME PARTIE : L'EMPRUNT
NATIONAL
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I. LES PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE
L'EMPRUNT NATIONAL
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A. 35 MILLIARDS D'EUROS ATTRIBUÉS À
DIVERS OPÉRATEURS
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B. 45,4 % DE L'EMPRUNT NATIONAL CORRESPONDANT
À DES CRÉDITS NON CONSOMPTIBLES
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1. Un nouveau mode d'intervention qui n'a pas
encore fait ses preuves
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2. Le principe de la rémunération
des fonds non consomptibles déposés au Trésor
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3. Augmentation raisonnée des moyens des
opérateurs ou voie d'ajustement de leurs ressources ?
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4. Un financement parallèle au budget de
l'Etat qui nuit à la lisibilité des politiques publiques et
pourrait entrer en contradiction avec certains objectifs
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5. Les dotations en capital non consomptible, un
mode de financement réversible ?
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1. Un nouveau mode d'intervention qui n'a pas
encore fait ses preuves
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C. UN LISSAGE DES EFFETS SUR LA DETTE
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D. UNE GOUVERNANCE PROMETTEUSE, MAIS À
PRÉCISER
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1. Des fonds dont la gestion est
déléguée à des opérateurs dans le cadre d'un
processus contractuel
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2. Un commissariat général à
l'investissement qui assure la cohérence de la politique
d'investissement de l'Etat, sous le contrôle du comité de
surveillance des investissements d'avenir
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3. Des modalités de sélection dont
la transparence pourrait être accrue
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4. Un suivi budgétaire limité qui ne
doit pas empêcher la neutralité budgétaire de
l'emprunt
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5. Un suivi comptable facilité par
l'ouverture au profit de chaque gestionnaire d'un compte spécifique au
Trésor
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6. L'évaluation du programme
d'investissements, un enjeu essentiel
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1. Des fonds dont la gestion est
déléguée à des opérateurs dans le cadre d'un
processus contractuel
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E. LES DÉPENSES FINANCÉES PAR
L'EMPRUNT NATIONAL
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1. Environ 25 milliards d'euros destinés
à financer des subventions et 10 milliards d'euros devant financer des
prises de participations, avances remboursables et prêts
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2. La répartition temporelle des
décaissements : environ 4 milliards d'euros par an de 2010
à 2014, et 0,6 milliard d'euros par an ensuite ?
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3. Des modifications significatives par rapport
aux propositions de MM. Juppé et Rocard
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4. La priorité donnée à la
recherche
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1. Environ 25 milliards d'euros destinés
à financer des subventions et 10 milliards d'euros devant financer des
prises de participations, avances remboursables et prêts
-
A. 35 MILLIARDS D'EUROS ATTRIBUÉS À
DIVERS OPÉRATEURS
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II. UN IMPACT ÉCONOMIQUE
LIMITÉ
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A. A COURT TERME, UN SOUTIEN
« KEYNÉSIEN » DU PIB DE L'ORDRE DE 0,1 POINT EN
2010-2011
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B. UN IMPACT PEU SIGNIFICATIF SUR LA CROISSANCE
POTENTIELLE
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1. Des dépenses d'un montant
raisonnable
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2. Des dépenses peu
concentrées
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3. Une nécessaire compatibilité avec
le droit communautaire et les règles de l'OMC
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4. Des dépenses dont l'impact sur la
croissance potentielle est parfois difficile à estimer
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5. L'affirmation selon laquelle l'emprunt national
augmenterait la croissance de 0,3 point par an pendant 10 ans n'est pas
crédible
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6. Un supplément de croissance trop faible
pour permettre l'autofinancement de l'emprunt national
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7. La nécessité de favoriser les
projets qui s'autofinancent
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1. Des dépenses d'un montant
raisonnable
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C. UN FAIBLE IMPACT SUR LE DÉFICIT ET LA
DETTE PUBLICS
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A. A COURT TERME, UN SOUTIEN
« KEYNÉSIEN » DU PIB DE L'ORDRE DE 0,1 POINT EN
2010-2011
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I. LES PRINCIPALES CARACTÉRISTIQUES DE
L'EMPRUNT NATIONAL
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TROISIÈME PARTIE : LES
« INVESTISSEMENTS D'AVENIR »
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I. MISSION « RECHERCHE ET ENSEIGNEMENT
SUPERIEUR »
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II. MISSION « ENSEIGNEMENT
SCOLAIRE »
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III. MISSION « ECOLOGIE,
DÉVELOPPEMENT ET AMÉNAGEMENT DURABLES »
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IV. MISSION « ECONOMIE » ET
COMPTES SPÉCIAUX « PARTICIPATIONS FINANCIÈRES DE
L'ETAT » ET « PRÊTS ET AVANCES À DES
PARTICULIERS OU À DES ORGANISMES PRIVÉS »
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A. LES CRÉDITS OUVERTS DANS LE CADRE DU
PROJET DE LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE
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1. Une augmentation substantielle de
crédits sur des actions nouvelles
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2. Un pilotage interministériel dont le
rattachement à la mission « Economie » est
discutable
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3. Une gestion des crédits,
entièrement confiée à des opérateurs, qui pose la
question de la gouvernance des fonds
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4. Une justification des crédits
insuffisante, un fléchage des actions non contraignant et des
critères d'éligibilité trop généraux
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5. La question sans réponse de la
durée et de l'intensité du retour sur investissement
attendu
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1. Une augmentation substantielle de
crédits sur des actions nouvelles
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B. LES COMPTES SPÉCIAUX
« PARTICIPATIONS FINANCIÈRES DE L'ETAT » ET
« PRÊTS ET AVANCES À DES PARTICULIERS OU À DES
ORGANISMES PRIVÉS »
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C. LES MODIFICATIONS APPORTÉES PAR
L'ASSEMBLÉE NATIONALE
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A. LES CRÉDITS OUVERTS DANS LE CADRE DU
PROJET DE LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE
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V. MISSION « TRAVAIL ET
EMPLOI »
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VI. MISSION « VILLE ET
LOGEMENT »
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I. MISSION « RECHERCHE ET ENSEIGNEMENT
SUPERIEUR »
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EXAMEN DES ARTICLES
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PREMIÈRE PARTIE - CONDITIONS
GÉNÉRALES DE L'ÉQUILIBRE FINANCIER
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TITRE 1ER - DISPOSITIONS RELATIVES AUX
RESSOURCES
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ARTICLE 1er A (nouveau) - (Article 220 terdecies
du code général des impôts) Abaissement du seuil
d'éligibilité des coûts de développement au
crédit d'impôt en faveur des entreprises de création de
jeux vidéo
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ARTICLE 1er B (nouveau) - (Art.
885-0 V bis A du code général des impôts)
Extension de la réduction d'impôt de solidarité sur la
fortune (ISF) au titre des dons aux sommes versées à certaines
associations reconnues d'utilité publique
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ARTICLE 1er- Faire contribuer les banques au
fonds de garantie des dépôts tout en modifiant leur pratique en
matière de bonus
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ARTICLE 2 - (Art. 61 de la loi n° 2004-1484
du 30 décembre 2004 de finances pour 2005) - Ajustement des affectations
du droit de consommation sur les tabacs
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ARTICLE ADDITIONNEL APRES L'ARTICLE 2 - (Article
265 du code des douanes) - Ajustement du tarif de taxe intérieure de
consommation applicable à l'aquazole
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ARTICLE 1er A (nouveau) - (Article 220 terdecies
du code général des impôts) Abaissement du seuil
d'éligibilité des coûts de développement au
crédit d'impôt en faveur des entreprises de création de
jeux vidéo
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AUTRES DISPOSITIONS
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ARTICLE 3 - Ratification d'un décret
relatif à la rémunération de services rendus par
l'Etat
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ARTICLE 4 - Modalités d'attribution et de
gestion des fonds consacrés au financement des investissements d'avenir
et information du Parlement sur ces investissements
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ARTICLE 4 bis (nouveau) (Art. L. 332-1
à L. 332-3, L. 332-5 et L. 332-6 du code de la recherche)
- Changement de dénomination du Commissariat à l'énergie
atomique
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ARTICLE 3 - Ratification d'un décret
relatif à la rémunération de services rendus par
l'Etat
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TITRE II - DISPOSITIONS RELATIVES À
L'ÉQUILIBRE DES RESSOURCES ET DES CHARGES
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SECONDE PARTIE - MOYENS DES POLITIQUES PUBLIQUES
ET DISPOSITIONS SPÉCIALES
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TITRE II - DISPOSITIONS PERMANENTES
-
ARTICLE 8 - (Art. L. 725-24, L. 741-5, L.
741-16, L. 741-16-1 [nouveau],L. 751-10 et L. 751-18 du code rural) -
Exonération des cotisations patronales dues pour l'emploi des
travailleurs occasionnels agricoles
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ARTICLE 9 (nouveau) - (Art. 1723 quater du code
général des impôts) - Recouvrement des taxes
d'urbanisme
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ARTICLE ADDITIONNEL APRES L'ARTICLE 9 - (Article
200 quater du code général des impôts) - Clarifications
relatives au crédit d'impôt « Développement
durable »
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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS L'ARTICLE 9 -
(Art. 238 octies, 256, 257, 257 bis, 258, 260, 261, 261 D, 262, 266, 268,
269, 270, 278 ter, 278 sexies, 279-0 bis, 284, 285, 289, 290, 293 C, 296 ter,
634, 730, 852, 1115, 1384 A, 1594 F, 1594-0 G, 1692, 1757,
1788 A, 1829 du code général des impôts, art.
L. 88 et L. 176 du livre des procédures fiscales) -
Simplification de la TVA immobilière
-
ARTICLE ADDITIONNEL APRES L'ARTICLE 9 - (Art.
260 B du code général des impôts) - Option pour la
taxation à la TVA des entreprises qui réalisent des
opérations bancaires ou financières
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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS L'ARTICLE 9 -
(Art. 277 A, 302 F ter, 1695 et 1698 C du code
général des impôts, art. L. 80 K du livre des
procédures fiscales) - Simplification du régime des
entrepôts fiscaux
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ARTICLE ADDITIONNEL APRÈS L'ARTICLE 9 -
(Art. 302 bis KI [nouveau] du code général des impôts) -
Instauration d'une taxe sur la publicité en ligne
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ARTICLE 8 - (Art. L. 725-24, L. 741-5, L.
741-16, L. 741-16-1 [nouveau],L. 751-10 et L. 751-18 du code rural) -
Exonération des cotisations patronales dues pour l'emploi des
travailleurs occasionnels agricoles
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ANNEXE 1 : PRÉSENTATION, PAR MISSION
DU BUDGET GÉNÉRAL, DES ANNULATIONS DE CRÉDITS
PROPOSÉES PAR LE PROJET DE LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE
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ANNEXE 2 : AUDITIONS PAR LA COMMISSION
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I. AUDITION DE MME CHRISTINE LAGARDE, MINISTRE DE
L'ÉCONOMIE, DE L'INDUSTRIE ET DE L'EMPLOI ET DE M. ERIC WOERTH,
MINISTRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA
RÉFORME DE L'ETAT (20 JANVIER 2010)
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II. AUDITION DE M. PHILIPPE MILLS, DIRECTEUR
GÉNÉRAL DE L'AGENCE FRANCE TRÉSOR (27 JANVIER 2010)
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III. AUDITION DE M. BAUDOUIN PROT,
PRÉSIDENT, ET DE MME ARIANE OBOLENSKY, DIRECTRICE
GÉNÉRALE,
DE LA FÉDÉRATION BANCAIRE FRANÇAISE (FBF) (27 JANVIER 2010)
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IV. AUDITION DE MME CAROL SIROU, PRÉSIDENTE
DE STANDARD & POOR'S POUR LA FRANCE, MM. PIERRE CAILLETEAU, MANAGING
DIRECTOR, ARNAUD MARES, SENIOR VICE-PRESIDENT DU GROUPE D'ANALYSE RISQUE
SOUVERAIN DE MOODY'S FRANCE ET M. ERIC PAGET-BLANC, HEAD OF SUPRANATIONAL
RATINGS DE FITCH RATINGS FRANCE (3 FÉVRIER 2010)
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V. AUDITION DE M. RENÉ RICOL, COMMISSAIRE
GÉNÉRAL À L'INVESTISSEMENT (3 FÉVRIER 2010)
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I. AUDITION DE MME CHRISTINE LAGARDE, MINISTRE DE
L'ÉCONOMIE, DE L'INDUSTRIE ET DE L'EMPLOI ET DE M. ERIC WOERTH,
MINISTRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA
RÉFORME DE L'ETAT (20 JANVIER 2010)
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EXAMEN EN COMMISSION