Rapport général n° 68 (2002-2003) de M. Bertrand AUBAN , fait au nom de la commission des finances, déposé le 21 novembre 2002
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PRINCIPALES OBSERVATIONS
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1. Après l'euro, le budget annexe des
Monnaies et médailles ne s'équilibre que grâce à une
importante subvention du budget général
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2. Il a été demandé trop de
pièces d'euros à la Monnaie de Paris
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3. La durée de vie et le devenir des
pièces varient selon les coupures
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4. La monnaie courante est-elle condamnée
par le porte-monnaie électronique ?
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5. En 2003, les activités s'exercent presque
exclusivement dans le secteur concurrentiel
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6. Miser sur la marque « Monnaie de
Paris » constitue un projet ambitieux, voire un pari
risqué
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7. Les recettes commerciales font l'objet de
prévisions volontaristes mais réalisables dans l'ensemble
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8. Les effectifs affichés dans le bleu
budgétaire ont un caractère artificiel
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9. Certains chapitres de dépenses pourraient
être surestimés
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10. On ne peut nier un effort d'adaptation à
la récession
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11. Que devient le budget annexe dans le cadre de
la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de
finances ?
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1. Après l'euro, le budget annexe des
Monnaies et médailles ne s'équilibre que grâce à une
importante subvention du budget général
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UN BUDGET ANNEXE SUBVENTIONNÉ AU TIERS PAR
LE BUDGET GÉNÉRAL
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I. RECETTES : UN EFFONDREMENT DE LA PRINCIPALE
SOURCE
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A. LA CESSION AU TRÉSOR D'UN TRÈS
FAIBLE CONTINGENT DE PIÈCES DE MONNAIES FRANÇAISES
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B. LA PRÉPONDÉRANCE SANS
PRÉCÉDENT DU SECTEUR CONCURRENTIEL
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C. LA QUASI DISPARITION DES PRESTATIONS DE
SERVICES POUR LE COMPTE DE LA DIRECTION DU TRÉSOR
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D. L'INÉVITABLE RECOURS À UNE
SUBVENTION EN 2003
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A. LA CESSION AU TRÉSOR D'UN TRÈS
FAIBLE CONTINGENT DE PIÈCES DE MONNAIES FRANÇAISES
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II. DÉPENSES : LA BAISSE NE PEUT
SUIVRE CELLE DES RECETTES
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I. RECETTES : UN EFFONDREMENT DE LA PRINCIPALE
SOURCE
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EXAMEN EN COMMISSION