Rapport d'information n° 441 (2007-2008) de M. Bernard ANGELS , fait au nom de la délégation du Sénat pour la planification, déposé le 2 juillet 2008
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RÉSUMÉ
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PREMIÈRE QUESTION : LES DÉPENSES
PUBLIQUES INFLUENCENT-ELLES SIGNIFICATIVEMENT L'UTILISATION DES RESSOURCES
ÉCONOMIQUES ?
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DEUXIÈME QUESTION : EXISTE-T-IL DES
LIENS NÉGATIFS ENTRE DÉPENSES PUBLIQUES, CROISSANCE
ÉCONOMIQUE ET BIEN-ÊTRE ?
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I. LES ARGUMENTS THÉORIQUES SELON LESQUELS
LES DÉPENSES PUBLIQUES RÉDUIRAIENT STRUCTURELLEMENT LE RYTHME DE
LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE SONT INVÉRIFIABLES
CONCRÈTEMENT
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II. LA CONTRIBUTION DES DÉPENSES PUBLIQUES
À LA RICHESSE ÉCONOMIQUE EST SYSTÉMATIQUEMENT
SOUS-ESTIMÉE
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TROISIÈME QUESTION : QUE PEUT-ON DIRE
DE LA REDISTRIBUTIVITÉ DES DÉPENSES PUBLIQUES ?
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PREMIÈRE QUESTION : LES DÉPENSES
PUBLIQUES INFLUENCENT-ELLES SIGNIFICATIVEMENT L'UTILISATION DES RESSOURCES
ÉCONOMIQUES ?
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INTRODUCTION
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PREMIÈRE PARTIE - LE NIVEAU DES
DÉPENSES PUBLIQUES : DES DIFFÉRENCES ENTRE PAYS MAIS PEU
D'EFFETS SUR L'UTILISATION GLOBALE DES RESSOURCES ÉCONOMIQUES
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CHAPITRE I - LES DÉPENSES PUBLIQUES, UNE
DIVERSITÉ À GÉOMÉTRIE VARIABLE
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I. LE RÔLE PRINCIPAL DES TRANSFERTS DANS LES
NIVEAUX DES DÉPENSES PUBLIQUES ET LEURS ÉCARTS ENTRE PAYS
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A. LA PLACE PRÉPONDÉRANTE DES
TRANSFERTS, EN LIEN AVEC L'IMPORTANCE DES DÉPENSES SOCIALES
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B. DES DÉPENSES PUBLIQUES SOCIALES QUI
EXPLIQUENT UNE GRANDE PARTIE DES ÉCARTS DE NIVEAUX DE DÉPENSES
PUBLIQUES ENTRE PAYS DÉVELOPPÉS
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C. CES DERNIÈRES ANNÉES, LES
DÉPENSES PUBLIQUES SOCIALES ONT ÉTÉ MOINS FLEXIBLES QUE
LES AUTRES
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A. LA PLACE PRÉPONDÉRANTE DES
TRANSFERTS, EN LIEN AVEC L'IMPORTANCE DES DÉPENSES SOCIALES
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II. DES DÉPENSES PUBLIQUES DE PRODUCTION DE
BIENS ET SERVICES, MINORITAIRES ET RELATIVEMENT HOMOGÈNES DANS LES PAYS
DÉVELOPPÉS
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A. LES DÉPENSES PUBLIQUES CONSACRÉES
À LA PRODUCTION SONT MINORITAIRES ET RELATIVEMENT
HOMOGÈNES
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B. LES DIFFÉRENTS POSTES DE DÉPENSES
LIÉES À LA PRODUCTION PUBLIQUE : DES COMBINAISONS
PRODUCTIVES VARIABLES
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1. La consommation des administrations publiques,
une assez grande homogénéité mais quelques situations
atypiques
-
a) Un ralentissement de la croissance des
consommations publiques
-
b) Une relative homogénéité
des niveaux de consommations publiques mais quelques situations
singulières
-
c) Une assez grande
homogénéité des rémunérations publiques,
avec des exceptions notables...
-
d) ... dans un contexte où le poids
relatif de l'emploi public varie beaucoup
-
e) Une dispersion plus forte des consommations
intermédiaires
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a) Un ralentissement de la croissance des
consommations publiques
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2. L'investissement des administrations publiques,
une place réduite et diversifiée
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1. La consommation des administrations publiques,
une assez grande homogénéité mais quelques situations
atypiques
-
C. EN FRANCE, UNE PRODUCTION PUBLIQUE FORTEMENT
UTILISATRICE D'UNE MAIN-D'oeUVRE RELATIVEMENT PEU
RÉMUNÉRÉE
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A. LES DÉPENSES PUBLIQUES CONSACRÉES
À LA PRODUCTION SONT MINORITAIRES ET RELATIVEMENT
HOMOGÈNES
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III. LA DÉCOMPOSITION FONCTIONNELLE DES
DÉPENSES PUBLIQUES : LA PRÉDOMINANCE DES FONCTIONS
NON-RÉGALIENNES
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IV. LES DÉPENSES PUBLIQUES EN FRANCE,
MÊMES PRIORITÉS FONCTIONNELLES QU'AILLEURS MAIS UN NIVEAU
RELATIVEMENT PLUS ÉLEVÉ SURTOUT POUR LA PROTECTION SOCIALE
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A. LA RÉPARTITION FONCTIONNELLE DES
DÉPENSES PUBLIQUES EN FRANCE
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1. Une structure marquée, comme ailleurs,
par la prédominance de trois fonctions : protection sociale,
santé, éducation
-
2. Le renforcement de la place de la protection
sociale et de la santé
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3. Une structure fonctionnelle des dépenses
publiques qui correspond à la primauté des dépenses de
transferts
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1. Une structure marquée, comme ailleurs,
par la prédominance de trois fonctions : protection sociale,
santé, éducation
-
B. UN NIVEAU DE DÉPENSES PUBLIQUES
RELATIVEMENT ÉLEVÉ PRINCIPALEMENT DU FAIT DE LA PROTECTION
SOCIALE
-
A. LA RÉPARTITION FONCTIONNELLE DES
DÉPENSES PUBLIQUES EN FRANCE
-
I. LE RÔLE PRINCIPAL DES TRANSFERTS DANS LES
NIVEAUX DES DÉPENSES PUBLIQUES ET LEURS ÉCARTS ENTRE PAYS
-
CHAPITRE II - LA PROTECTION SOCIALE, DES NIVEAUX
TRÈS DIVERS DE DÉPENSES PUBLIQUES, MAIS, AU TOTAL, DES
PRÉLÈVEMENTS SUR LES RESSOURCES ÉCONOMIQUES PLUTÔT
HOMOGÈNES
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I. LES DÉPENSES SOCIALES EN EUROPE, UNE
RÉALITÉ COMPLEXE ET UNE DISPERSION EN LIEN AVEC LA RICHESSE
ÉCONOMIQUE DES PAYS
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A. DES ÉVOLUTIONS CONTRASTÉES
À TOUS POINTS DE VUE
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1. Les dépenses publiques de protection
sociale en points de PIB : une stabilité globale, mais des
évolutions nationales très différenciées
-
2. Les dépenses privées de
protection sociale : un fort dynamisme
-
3. Une croissance contrastée des
dépenses relatives aux différents « risques »
sociaux
-
4. Des dynamiques nationales de protection sociale
par habitant très variables
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1. Les dépenses publiques de protection
sociale en points de PIB : une stabilité globale, mais des
évolutions nationales très différenciées
-
B. UNE RELATIVE HOMOGÉNÉITÉ
DU POIDS DES DÉPENSES SOCIALES DANS LE PIB, MAIS UNE GRANDE
DIVERSITÉ SOUS L'ANGLE DE LA DÉPENSE SOCIALE PAR HABITANT
-
1. Une dispersion des dépenses sociales
dans le PIB qui s'est réduite
-
2. En revanche, une dispersion des dépenses
sociales par habitant qui, même si elle se réduit, reste
très forte
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1. Une dispersion des dépenses sociales
dans le PIB qui s'est réduite
-
A. DES ÉVOLUTIONS CONTRASTÉES
À TOUS POINTS DE VUE
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II. LES DÉPENSES SOCIALES DANS LES PAYS
DÉVELOPPÉS, DERRIÈRE LA DIVERSITÉ DES
DÉPENSES PUBLIQUES, UNE CERTAINE HOMOGÉNÉITÉ DES
RICHESSES TOTALES CONSACRÉES À LA PROTECTION SOCIALE
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A. LE CHAMP DE L'ANALYSE DES DÉPENSES DE
PROTECTION SOCIALE DOIT ÊTRE ÉLARGI POUR EN SAISIR
RÉELLEMENT LES ENJEUX
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B. LA PRISE EN COMPTE DES DÉPENSES
PRIVÉES DE PROTECTION SOCIALE RAPPROCHE LES
« MODÈLES » DES PAYS DE L'OCDE
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C. CE RAPPROCHEMENT EST ENCORE ACCENTUÉ
QUAND ON RAISONNE EN DÉPENSES SOCIALES NETTES
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1. Les dépenses publiques de protection
sociale nettes sont plus basses que les dépenses brutes
-
2. Les dépenses privées nettes
ajoutent à la protection sociale, mais très diversement selon les
pays
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3. Les dépenses totales nettes de
protection sociale sont beaucoup plus homogènes que les dépenses
publiques brutes
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1. Les dépenses publiques de protection
sociale nettes sont plus basses que les dépenses brutes
-
A. LE CHAMP DE L'ANALYSE DES DÉPENSES DE
PROTECTION SOCIALE DOIT ÊTRE ÉLARGI POUR EN SAISIR
RÉELLEMENT LES ENJEUX
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III. LES PRINCIPALES CATÉGORIES DE
DÉPENSES SOCIALES : UNE HOMOGÉNÉITÉ DES
DÉPENSES TOTALES PLUS FORTE QUE CELLES DES SEULES DÉPENSES
PUBLIQUES
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A. LES DÉPENSES DE RETRAITE
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B. LE NIVEAU DES DÉPENSES PUBLIQUES DE
RETRAITE DÉTERMINE LARGEMENT LA PLACE RELATIVE DES DÉPENSES
PUBLIQUES SOCIALES ET DONC DES DÉPENSES PUBLIQUES
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C. UN PANORAMA QUE MODIFIE LA PRISE EN COMPTE DES
RESSOURCES PRIVÉES CONSACRÉES À LA RETRAITE
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D. LES DÉPENSES DE SANTÉ, UN
PANORAMA ASSEZ HÉTÉROCLITE MAIS UN NOYAU DUR DE PAYS
COMPARABLES
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A. LES DÉPENSES DE RETRAITE
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I. LES DÉPENSES SOCIALES EN EUROPE, UNE
RÉALITÉ COMPLEXE ET UNE DISPERSION EN LIEN AVEC LA RICHESSE
ÉCONOMIQUE DES PAYS
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CHAPITRE III - LES DÉPENSES
D'ÉDUCATION, PRIMAUTÉ DES DÉPENSES PUBLIQUES,
DIVERSITÉ DES « MODÈLES », SINGULARITÉ
FRANÇAISE
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I. GLOBALEMENT, UNE ASSEZ FORTE AUGMENTATION DE
L'EFFORT RELATIF EN FAVEUR DE L'ÉDUCATION
-
II. DES EFFORTS D'INVESTISSEMENT DANS
L'ENSEIGNEMENT, VARIABLES À DIFFÉRENTS POINTS DE VUE
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A. SELON LE NIVEAU D'ENSEIGNEMENT
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B. SELON LE PAYS
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C. LE NIVEAU DES DÉPENSES PUBLIQUES JOUE UN
RÔLE SUR LE NIVEAU DE L'EFFORT D'ÉDUCATION, MAIS UN RÔLE QUI
N'EST, DE LOIN, PAS EXCLUSIF
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A. SELON LE NIVEAU D'ENSEIGNEMENT
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III. FOCUS SUR LA FRANCE : UN GROS EFFORT
CONSACRÉ À L'ENSEIGNEMENT MAIS DES SINGULARITÉS À
MÉDITER
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A. UN EFFORT D'ENSEIGNEMENT COMPARATIVEMENT PLUS
ÉLEVÉ QU'AILLEURS COMPTE TENU DE LA RICHESSE PAR HABITANT
-
B. LES SINGULARITÉS
FRANÇAISES
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C. UNE SITUATION QUI NE SEMBLE PAS RÉSULTER
DE FACTEURS SALARIAUX MAIS PLUTÔT D'ÉLÉMENTS
D'ORGANISATION
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D. UN COÛT MOYEN ÉLEVÉ DONT
LES EFFETS SUR LA MASSE DES DÉPENSES SONT AMPLIFIÉS PAR LA
DÉMOGRAPHIE SCOLAIRE
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A. UN EFFORT D'ENSEIGNEMENT COMPARATIVEMENT PLUS
ÉLEVÉ QU'AILLEURS COMPTE TENU DE LA RICHESSE PAR HABITANT
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I. GLOBALEMENT, UNE ASSEZ FORTE AUGMENTATION DE
L'EFFORT RELATIF EN FAVEUR DE L'ÉDUCATION
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CONCLUSION - LE NIVEAU DES DÉPENSES
PUBLIQUES, UN DÉTERMINANT MARGINAL DE L'UTILISATION DES RESSOURCES
ÉCONOMIQUES
-
I. UNE DISPERSION APPARENTE DES DÉPENSES
PUBLIQUES DE L'ORDRE DE 20 % DE LA MOYENNE DES DÉPENSES
PUBLIQUES
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II. POUR LES DÉPENSES PRIVÉES, UNE
DISPERSION DE L'ORDRE DE 64 % DE LA MOYENNE DES DÉPENSES
PRIVÉES
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III. DES PHÉNOMÈNES DE COMPENSATION
ET DES ÉCARTS MARGINAUX REPRÉSENTATIFS D'ÉLÉMENTS
DE CONTEXTE MAIS AUSSI DE CHOIX PLUS POLITIQUES
-
I. UNE DISPERSION APPARENTE DES DÉPENSES
PUBLIQUES DE L'ORDRE DE 20 % DE LA MOYENNE DES DÉPENSES
PUBLIQUES
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DEUXIEME PARTIE - LES DÉPENSES PUBLIQUES
CONTRE LA CROISSANCE ET LE POUVOIR D'ACHAT ?
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CHAPITRE I - LA BAISSE DES DÉPENSES
PUBLIQUES, SOURCE D'ACCÉLÉRATION À COURT TERME DE LA
CROISSANCE ÉCONOMIQUE ?
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CHAPITRE II - METTRE LES DÉPENSES
PUBLIQUES AU SERVICE DE LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE STRUCTURELLE
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I. LA CONTRIBUTION DES DÉPENSES PUBLIQUES
À LA CROISSANCE : POUR UN VRAI DÉBAT
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II. LES DÉPENSES PUBLIQUES CONTRE
L'ÉPARGNE ET L'INVESTISSEMENT ? UNE PRÉOCCUPATION QUI
N'APPARAÎT PAS FONDÉE, AU CONTRAIRE
-
A. PAS DE CORRÉLATION NÉGATIVE ENTRE
DÉPENSES PUBLIQUES, ÉPARGNE, INVESTISSEMENT ET CROISSANCE
-
B. POUR NE PAS NÉGLIGER LA CONTRIBUTION DES
DÉPENSES PUBLIQUES À L'INVESTISSEMENT
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1. Les messages contradictoires des
théories économiques...
-
2. ... appellent un dépassement pour
examiner les impacts empiriques des dépenses publiques sur le taux
d'épargne
-
3. La contribution des dépenses des
administrations publiques à l'épargne et à
l'investissement est sous-estimée notamment par la Comptabilité
nationale
-
4. Inversement, la contribution de
l'épargne privée à l'investissement national ne doit pas
être surestimée.
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1. Les messages contradictoires des
théories économiques...
-
A. PAS DE CORRÉLATION NÉGATIVE ENTRE
DÉPENSES PUBLIQUES, ÉPARGNE, INVESTISSEMENT ET CROISSANCE
-
III. LES DÉPENSES PUBLIQUES DE TRANSFERTS
SOCIAUX CONTRE LA CROISSANCE ? SORTIR DU SLOGAN POUR AMÉLIORER
L'EFFICACITÉ DES POLITIQUES SOCIALES
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A. LA RÉDUCTION DES DÉPENSES DE
RÉPARTITION, QUELLE FAISABILITÉ ?
-
B. QUEL IMPACT D'UNE RÉDUCTION DES
TRANSFERTS SOCIAUX ?
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1. Des performances macroéconomiques
indépendantes du niveau de la protection sociale publique ?
-
2. Des points de vue empiriques qui globalement ne
confirment pas l'effet désincitatif des dépenses sociales
-
3. Retraites et taux d'activité
-
4. Enrichir les assurances et prestations sociales
d'une dimension qualitative
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1. Des performances macroéconomiques
indépendantes du niveau de la protection sociale publique ?
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A. LA RÉDUCTION DES DÉPENSES DE
RÉPARTITION, QUELLE FAISABILITÉ ?
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I. LA CONTRIBUTION DES DÉPENSES PUBLIQUES
À LA CROISSANCE : POUR UN VRAI DÉBAT
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CHAPITRE III - LES DÉPENSES PUBLIQUES
CONTRE LE POUVOIR D'ACHAT ? UN ARGUMENT QUI REPOSE SUR DES CONVENTIONS
STATISTIQUES FRAGILES
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I. DES DÉPENSES PUBLIQUES,
CRÉATRICES DE RESSOURCES POUR LES MÉNAGES, NE SONT PAS PRISES EN
COMPTE EN TOTALITÉ COMME TELLES
-
II. TENTATIVES DE RÉESTIMATION DU POUVOIR
D'ACHAT DES MÉNAGES À PARTIR D'UNE MEILLEURE PRISE EN COMPTE DES
CONTREPARTIES DES DÉPENSES PUBLIQUES
-
III. LA CONTREPARTIE PRODUCTIVE DES
DÉPENSES PUBLIQUES EST SOUS-ESTIMÉE
-
I. DES DÉPENSES PUBLIQUES,
CRÉATRICES DE RESSOURCES POUR LES MÉNAGES, NE SONT PAS PRISES EN
COMPTE EN TOTALITÉ COMME TELLES
-
CONCLUSION
-
TROISIÈME PARTIE - LES DÉPENSES
PUBLIQUES AU SERVICE DE LA RÉDUCTION DES
INÉGALITÉS ?
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CHAPITRE I - LES DÉPENSES D'ASSURANCES
SOCIALES
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I. LES TRANSFERTS SOCIAUX MONÉTAIRES, UNE
CONTRIBUTION À LA RÉDUCTION DES INÉGALITÉS
TRÈS CONTRASTÉE SELON LES PAYS
-
II. DES DÉPENSES DE RETRAITE FAIBLEMENT
REDISTRIBUTIVES
-
A. AU SEIN D'UNE GÉNÉRATION
DONNÉE, UNE LÉGÈRE REDISTRIBUTIVITÉ AU PROFIT DES
MÉNAGES LES MOINS RICHES ET DES FEMMES
-
B. UNE REDISTRIBUTIVITÉ
MITIGÉE
-
C. LA QUESTION DE LA REDISTRIBUTION
INTERGÉNÉRATIONNELLE NE DOIT PAS ÊTRE TRAITÉE DE
FAÇON SIMPLISTE
-
A. AU SEIN D'UNE GÉNÉRATION
DONNÉE, UNE LÉGÈRE REDISTRIBUTIVITÉ AU PROFIT DES
MÉNAGES LES MOINS RICHES ET DES FEMMES
-
III. DES DÉPENSES DE SANTÉ AUX
PROPRIÉTÉS REDISTRIBUTIVES JUSTICIABLES DE JUGEMENTS
CONTRADICTOIRES SELON LE POINT DE VUE
-
I. LES TRANSFERTS SOCIAUX MONÉTAIRES, UNE
CONTRIBUTION À LA RÉDUCTION DES INÉGALITÉS
TRÈS CONTRASTÉE SELON LES PAYS
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CHAPITRE II - LES DÉPENSES
D'ÉDUCATION
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I. OBSERVATIONS LIMINAIRES
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II. LA DÉPENSE PUBLIQUE D'ÉDUCATION
AU SERVICE D'UNE ÉDUCATION DE MASSE : RESSORT D'UNE
REDISTRIBUTIVITÉ PLUS APPARENTE QUE RÉELLE
-
A. LA DÉPENSE PUBLIQUE D'ÉDUCATION
EST PLUTÔT CONCENTRÉE AU BÉNÉFICE DES FAMILLES LES
MOINS AISÉES
-
B. MAIS, AU TOTAL, LA REDISTRIBUTIVITÉ DES
DÉPENSES PUBLIQUES D'ÉDUCATION APPARAÎT PLUTÔT FAIBLE
-
A. LA DÉPENSE PUBLIQUE D'ÉDUCATION
EST PLUTÔT CONCENTRÉE AU BÉNÉFICE DES FAMILLES LES
MOINS AISÉES
-
I. OBSERVATIONS LIMINAIRES
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CONCLUSION - PROGRESSER VERS UNE MEILLEURE
CONTRIBUTION DES DÉPENSES PUBLIQUES À L'ÉGALITÉ DES
CHANCES
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CONCLUSION GÉNÉRALE
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EXAMEN EN DÉLÉGATION
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LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES ET
CONSULTÉES
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ANNEXES
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ANNEXE N° 1 - UN POINT DE VUE LONG SUR LES
DÉPENSES PUBLIQUES : L'ÉVOLUTION DES DÉPENSES
PUBLIQUES ENTRE 1960 ET 1990
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I. ENTRE 1960 ET 1990, DANS LES PAYS DE L'OCDE,
UNE PROGRESSION DU POIDS RELATIF AU PIB DE TOUTES LES CATÉGORIES DE
DÉPENSES PUBLIQUES, EXCEPTÉ L'INVESTISSEMENT
-
II. LA CONSOMMATION DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES,
UNE VARIATION ET DES CHOIX FORTEMENT DIFFÉRENCIÉS DANS LE TEMPS
ET SELON LES PAYS
-
III. LES TRANSFERTS SOCIAUX : PREMIÈRE
CAUSE DE L'AUGMENTATION RELATIVE DES DÉPENSES PUBLIQUES
-
IV. UN DYNAMISME NUANCÉ DES
DÉPENSES PUBLIQUES D'INTÉRÊTS ET DE SUBVENTIONS
-
V. LE RECUL RELATIF DE L'INVESTISSEMENT DES
ADMINISTRATIONS PUBLIQUES
-
I. ENTRE 1960 ET 1990, DANS LES PAYS DE L'OCDE,
UNE PROGRESSION DU POIDS RELATIF AU PIB DE TOUTES LES CATÉGORIES DE
DÉPENSES PUBLIQUES, EXCEPTÉ L'INVESTISSEMENT
-
ANNEXE N° 2 - AVERTISSEMENTS DE
MÉTHODE
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ANNEXE N° 3 - LA CLASSIFICATION DES
DÉPENSES PUBLIQUES PAR LA COMPTABILITÉ NATIONALE
-
ANNEXE N° 4 - LES DÉPENSES DE
PROTECTION SOCIALE : PROBLÈMES DE MESURE
-
ANNEXE N° 5 - LE « COIN
FISCALO-SOCIAL »
-
ANNEXE N° 6 - REVENUS DES
MÉNAGES : ÉLÉMENTS D'APPRÉCIATION
-
ANNEXE N° 7 - LES DÉPENSES DE
RETRAITE AUX ÉTATS-UNIS
-
ANNEXE N° 8 - LE SYSTÈME DE
SANTÉ AUX ÉTATS-UNIS