Rapport général n° 74 (2004-2005) de M. Philippe MARINI , fait au nom de la commission des finances, déposé le 25 novembre 2004
Disponible en une seule page HTML (405 Koctets)
Disponible au format Acrobat (3,5 Moctets)
-
INTRODUCTION
-
CHAPITRE PREMIER :
LES PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES POUR 2005
-
I. RETOUR SUR UNE PRÉVISION POUR 2004
TRÈS PRUDENTE
-
II. DES CHIFFRES POUR 2005 PLUS VOLONTARISTES
-
I. RETOUR SUR UNE PRÉVISION POUR 2004
TRÈS PRUDENTE
-
CHAPITRE II :
LA STABILISATION DE LA DÉPENSE DE L'ETAT,
PREMIÈRE ETAPE D'UNE MAÎTRISE
DES DÉPENSES PUBLIQUES
-
CHAPITRE III :
ENCORE DES INCERTITUDES DANS LES PERSPECTIVES DE RECETTES
-
I. LE REBOND DES RECETTES FISCALES
-
II. DES RECETTES NON FISCALES À
GÉOMÉTRIE VARIABLE
-
III. DES PROBLÈMES RÉCURRENTS DE
LISIBILITÉ
-
A. LA MULTIPLICATION DES DÉPENSES
FISCALES VOTÉES HORS BUDGET
-
1. 30 % des mesures nouvelles d'une
année donnée ne proviennent pas d'une loi de finances
-
2. Dans le cas des lois votées en 2004, 20
% des mesures nouvelles proviendraient d'autres lois que de lois de
finances
-
3. En 2005, seulement un tiers des mesures
nouvelles proviendraient du présent projet de loi de finances
-
1. 30 % des mesures nouvelles d'une
année donnée ne proviennent pas d'une loi de finances
-
B. UN CAS TYPE DE MESURE EXCEPTIONNELLE : LA
SOULTE D'EDF
-
1. Rappels juridiques
-
2. La « soulte »
proposée pour 2005
-
3. La réduction du déficit public
par la soulte : une pratique conforme aux principes d'Eurostat
-
a) Le gouvernement considère la soulte
comme une recette des ODAC
-
b) Une pratique conforme aux principes d'Eurostat,
qui servent de base à la procédure de déficit
excessif
-
c) Une amélioration ponctuelle du solde
structurel des administrations publiques
-
d) L'interprétation des organes
communautaires
-
e) La France respectera-t-elle en 2005
l'engagement pris le 25 novembre 2003 en matière de
réduction du déficit structurel ?
-
a) Le gouvernement considère la soulte
comme une recette des ODAC
-
1. Rappels juridiques
-
A. LA MULTIPLICATION DES DÉPENSES
FISCALES VOTÉES HORS BUDGET
-
I. LE REBOND DES RECETTES FISCALES
-
CHAPITRE IV :
DÉFICIT ET DETTE : LES DÉSÉQUILIBRES JUMEAUX
-
I. UN DÉFICIT QUI NE DEVRAIT PLUS
ÊTRE EXCESSIF AU SENS DU PACTE DE STABILITÉ
-
A. UN RENVERSEMENT DE TENDANCE PLUS IMPORTANT QUE
PRÉVU
-
B. LA PERSISTANCE DE DÉSÉQUILIBRES
STRUCTURELS
-
1. Le risque de banalisation des déficits
courants par suite de la focalisation du débat sur le solde
structurel
-
2. Le recours aux mesures exceptionnelles
-
3. La spirale de la dette alimentée par des
déficits primaires chroniques et les déficits de
fonctionnement
-
4. La tentation des allègements fiscaux en
période haute du cycle
-
1. Le risque de banalisation des déficits
courants par suite de la focalisation du débat sur le solde
structurel
-
A. UN RENVERSEMENT DE TENDANCE PLUS IMPORTANT QUE
PRÉVU
-
II. UN FARDEAU DE LA DETTE TOUJOURS PLUS
LOURD
-
I. UN DÉFICIT QUI NE DEVRAIT PLUS
ÊTRE EXCESSIF AU SENS DU PACTE DE STABILITÉ
-
CHAPITRE V :
VERS LA CONSÉCRATION ORGANIQUE D'UN CODE DE BONNE CONDUITE BUDGÉTAIRE
-
EXAMEN EN COMMISSION