B. REVALORISER LA VOIE PROFESSIONNELLE POUR ALLIER INSERTION FACILITÉE ET SOCLE SOLIDE DE COMPÉTENCES
1. Le lycée professionnel est perçu comme insuffisamment attirant, insérant et professionnalisant
Le nombre d'élèves qui suivent des formations professionnelles au sein de lycées professionnels en France est en diminution continue, s'établissant aujourd'hui autour de 620 000 élèves contre 807 000 en 1980. Un collégien sur trois s'oriente aujourd'hui vers une formation professionnelle, dont environ 20 % en Bac Pro et 10 % en CAP.129(*) Près de 2 090 établissements accueillent des lycéens suivant des formations professionnelles, se répartissant entre lycées professionnels et lycées polyvalents. Le pourcentage d'élèves scolarisés en lycée professionnel est de 38 % en France, contre 49 % en moyenne dans l'Union européenne et jusqu'à 68 % en Autriche, en Finlande ou aux Pays-Bas130(*).
De l'avis de la plupart des personnes auditionnées, le lycée professionnel souffre aujourd'hui d'une image détériorée auprès des jeunes et des employeurs. Il est perçu comme insuffisamment accueillant, insérant et professionnalisant, a fortiori en comparaison avec la voie de l'apprentissage, qui s'est fortement développé ces dernières années.
PERCEPTION PAR LES ENTREPRISES DE
L'ADÉQUATION À LEURS BESOINS
DE LA FORMATION DISPENSÉE
EN LYCÉE PROFESSIONNEL
Source : Sondage OpinionWay pour CCI France, La Tribune, LCI, juin 2023
Selon un sondage récent de CCI France auprès d'un millier d'entreprises, 34 % des chefs d'entreprises estiment que les jeunes issus de lycée professionnel ne sont pas suffisamment formés ou pas du tout formés aux besoins concrets de l'entreprise à leur sortie du lycée professionnel. Ces taux sont particulièrement élevés dans l'industrie et dans la construction.131(*)
De fait, les taux d'insertion à la sortie du lycée professionnel sont peu élevés. Ils sont particulièrement bas pour les pour les diplômes de niveau inférieur : ainsi, en 2020, 47 % des diplômés de CAP n'avaient pas trouvé d'emploi au cours des deux années suivant la fin de leur formation, contre 18 % des diplômés de BTS132(*). 34 % des diplômés de BTS étaient en emploi stable durant les deux premières années suivant leurs études, mais seulement 13 % des diplômés de CAP.
TAUX D'INSERTION DES ÉLÈVES DIPLÔMÉS DE LYCÉES PROFESSIONNELS PAR FILIÈRE EN 2021
Source : DEPP, « Repères et références statistiques Enseignements, Formation, Recherche 2021 »
Pis, 61 % du décrochage des jeunes en France intervient au sein des lycées professionnels.133(*) Jusqu'au tiers des élèves de lycée professionnel ne terminent pas leur formation et interrompent leurs études sans obtenir de diplôme ni titre. Dans un système éducatif français qui reste fortement déterminé par le diplôme134(*), il s'agit d'un désavantage majeur sur le marché de l'emploi et pour les parcours de vie. Alors qu'en 2023, 13 % des jeunes en France ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (« NEET »), la prévention du décrochage et de l'éloignement du marché de l'emploi est un enjeu de société majeur.135(*) Elle doit commencer dès le secondaire, en améliorant l'orientation au sein de la voie professionnelle et en accompagnant les élèves en difficulté avant qu'ils n'abandonnent leur formation initiale.
Il est essentiel d'améliorer l'insertion à la sortie des lycées professionnels, ceux-ci devant justement former les élèves à l'entrée dans l'entreprise dans les meilleures circonstances. Parmi les métiers les plus recherchés, les plus en tensions, et ceux qui se développeront le plus dans la décennie à venir, la grande majorité sont des métiers correspondant à des diplômes délivrés par les lycées professionnels : c'est un enjeu à la fois social et économique.
Selon les personnes entendues par les rapporteurs, les difficultés du lycée professionnel peuvent s'expliquer par plusieurs facteurs :
· un fort manque d'attractivité de la voie professionnelle, perçue comme une « voie de garage » ou « voie part défaut », par opposition à la voie générale. Les élèves et leurs parents sont souvent réticents à s'y orienter, même lorsque leur projet professionnel est cohérent avec les formations dispensées au sein des lycées professionnels ;
· une orientation insuffisamment accompagnée et choisie, dès le collège, vis-à-vis des diplômes et titres professionnels. De nombreux élèves choisissent ainsi, faute de connaissance réelle des cursus ou de soutien, des formations ou des secteurs qui ne leur conviennent pas puis sont contraints de se réorienter, voire décrochent ;
· en conséquence, un cumul de difficultés scolaires et sociales au sein des lycées professionnels, qui peut compliquer les conditions d'enseignement et accroître le déficit d'image des établissements. Certains des enseignants entendus par les rapporteurs ont notamment évoqué l'augmentation du nombre d'élèves très peu à l'aise avec la lecture et l'écriture, non-francophones, ou connaissant des situations familiales très difficiles pesant fortement sur leur scolarité ;
· le jeune âge des élèves des lycées professionnels, la proportion des élèves de 15 ans ou moins à l'entrée en première année de CAP ou en seconde professionnelle étant passée de 25 % en 2005 à 58 % en 2019.136(*) Ce jeune âge peut compliquer l'insertion professionnelle et l'acquisition des savoir-être de plus en plus valorisés par les employeurs ;
· une insuffisance des « passerelles » entre modes de formation (apprentissage/pas d'apprentissage) et entre diplômes, qui n'est pas de nature à rassurer les élèves et les familles sur la possibilité à « retomber sur leurs pieds » en cas de difficulté. De fait, seuls 12 % des lycéens sortis de BTS reprennent leurs études, et seulement 5 % des diplômés de CAP. Les diplômés de Bac Pro peinent souvent à s'orienter vers un BTS, et l'on constate de nombreux décrochages aux moments de transition de ces parcours ;
· un fort engouement des jeunes pour l'apprentissage depuis la réforme de 2018, qui peut contribuer à attirer les élèves aux meilleurs résultats vers les centres de formation d'apprentis au détriment des lycées professionnels, même lorsque ceux-ci forment des apprentis ;
· un manque de pertinence ou d'adaptation du contenu de l'enseignement en lycée professionnel aux outils, aux techniques ou aux enjeux les plus récents. Ce point a souvent été relevé lors des auditions des rapporteurs, les entreprises déplorant un manque de réactivité de l'Éducation nationale qui contraint les entreprises à « re-former » les jeunes à leur entrée dans l'entreprise et peut désinciter à l'embauche. Ce manque de pertinence s'expliquerait aussi par un lien insuffisant entre lycées professionnels et tissu économique local, qui nuit à la prise en compte des besoins de compétences et des opportunités d'insertion réelles du bassin d'emploi.
2. Rénover enfin l'enseignement professionnel pour améliorer l'orientation, flexibiliser les parcours, renforcer les liens avec les entreprises et mieux accompagner l'insertion professionnelle
En dépit de ces difficultés identifiées de longue date, le lycée professionnel a été l'angle mort des dernières réformes de l'enseignement scolaire et secondaire. Il était le grand absent de la loi « Avenir professionnel » en 2018, bien qu'indirectement impacté par la libéralisation, la croissance et le succès de l'offre de formation en apprentissage.
Les rapporteurs estiment donc qu'il est urgent de rénover le lycée professionnel pour en refaire une voie attractive, insérante, correspondant aux attentes des élèves et des entreprises. Ils formulent à cet égard plusieurs recommandations.
a) Améliorer la qualité de l'orientation vers la voie professionnelle
D'abord, pour améliorer la qualité de l'orientation des élèves vers la voir professionnelle, et comme évoqué dans la première partie du présent rapport, développer la sensibilisation aux métiers dès le collège, sans attendre la troisième. Il convient à cet égard de systématiser les temps de découverte des métiers et des entreprises, en les intégrant pleinement dans le temps scolaire.
Pour compléter ce contact avec les professionnels et les entreprises, il faut approfondir les efforts d'information aux élèves et à leurs familles quant aux débouchés des formations vers lesquelles ils envisagent de s'orienter. Si beaucoup de ressources existent déjà en ligne, notamment grâce aux documents de l'ONISEP, il convient de développer l'accessibilité immédiate de ces données, notamment sur le service en ligne « Affectation après la 3e » utilisé par les élèves pour transmettre leurs demandes d'affectation en lycée professionnel. Ne sont aujourd'hui affichés que les taux d'insertion par filière au niveau régional : ils devraient être détaillés pour chaque établissement et diplôme, et contextualisés grâce à des niveaux de rémunération moyens ou au degré de tension du métier.
Recommandation n° 13 :
Pour améliorer l'orientation des élèves, compléter dès la rentrée 2023 l'information disponible sur le service en ligne « Affectation après la 3e » et relative aux débouchés des filières de formation professionnelle, en :
précisant pour chaque établissement les taux d'insertion professionnelle de chaque diplôme ou titre ;
les complétant par des informations relatives au taux de poursuite d'études, aux rémunérations et au degré de tension du métier correspondant au niveau national et dans le bassin d'emploi.
b) Permettre une plus grande individualisation des parcours pour éviter le décrochage et améliorer l'insertion
Ensuite, élèves et entreprises expriment un besoin de plus grande souplesse et d'individualisation des parcours au sein du lycée professionnel.
Pour certains élèves en difficulté sur les compétences de base, notamment vis-à-vis de la lecture et de l'écriture ou de certains savoir-être, des modules additionnels de renforcement pourraient être prévus pour prévenir le décrochage ou l'échec.
Pour les élèves envisageant de poursuivre leurs études à l'issue de leur CAP ou de leur Bac Pro, des modules pourraient consolider et approfondir la formation reçue afin de préparer au mieux la transition entre une formation et une autre, notamment avant un BTS - transition trop souvent difficile pour les élèves issus de Bac Pro.
Pour les élèves ayant identifié un secteur les intéressant particulièrement et ayant un projet professionnel bien identifié, il serait utile de développer encore les mécanismes complémentaires de spécialisation, comme la « coloration » et les « formations complémentaires d'initiative locale » (FCIL). Face à la rigidité des contenus des diplômes et titres, à l'impulsion des collectivités territoriales et des branches professionnelles, ont été créées des « colorations » qui permettent d'adosser une spécialisation sectorielle ou métier à un diplôme existant ; ainsi que les FCIL, qui viennent compléter la formation grâce à des enseignements complémentaires ciblés137(*). Ces dispositifs doivent être encouragés, car ils favorisent l'insertion professionnelle des élèves en contribuant à rendre leur formation plus concrète et plus ciblée sur les besoins précis des entreprises, qui sont plus étroitement associées au parcours de formation. Par exemple, l'Université des métiers du nucléaire, entendue par les rapporteurs, a indiqué que « la coloration sectorielle est une alternative efficace à la création de nouvelles formations. Il s'agit de développer et d'intégrer des modules d'acculturation au nucléaire dans certains cursus pour contribuer à attirer, plutôt que de créer de nouvelles formations. [Elle vise] à donner aux apprenants des notions sur le contexte de l'industrie nucléaire (connaissances des enjeux, des métiers, une visite terrain dans une entreprise de la filière). Elle s'adresse aux formations du CAP au Bac+5 à des étudiants et des demandeurs d'emplois ou salariés en reconversion. L'étape suivante est de travailler le contenu de ces formations plus en profondeur pour les adapter aux besoins des industriels de la filière. Ce projet est piloté au niveau national avec une coordination régionale. L'objectif est de démarrer des expérimentations dès la rentrée 2023. ».138(*)
Enfin, pour les élèves souhaitant gagner davantage d'expérience en entreprise et disposant d'un socle de compétences solide, le temps dédié à l'immersion en entreprise ou à l'alternance pourrait être augmenté. Au niveau CAP, la durée des « périodes de formation en milieu professionnel » (PFMP) est fixée de 12 à 14 semaines pour deux ans, et de 18 à 22 semaines pour trois ans au niveau Bac Pro. C'est peu, en particulier en comparaison avec l'apprentissage qui permet une immersion plus longue en entreprise. Selon les éléments transmis aux rapporteurs par la DGESCO, la réforme du lycée professionnel annoncée par le Président de la République en avril dernier prévoirait une augmentation jusqu'à 50 % du nombre de semaines de PFMP en terminale professionnelle139(*).
Recommandation n° 14 :
Adapter davantage les parcours au sein du lycée professionnel pour :
prévenir le décrochage avec des modules additionnels de renforcement du socle de compétences pour les élèves en difficulté ;
faciliter la poursuite de la formation initiale pour les élèves qui le souhaitent, avec des modules additionnels de préparation des transitions (notamment entre Bac Pro et BTS) ;
sensibiliser les élèves au recours à la « coloration » ou aux « formations complémentaires d'initiative locale » (FCIL) pour compléter les formations communes avec des angles sectoriels et des compétences spécifiques ;
développer l'apprentissage au sein des lycées professionnels et augmenter, pour les élèves qui le souhaitent, la durée des périodes de formation en milieu professionnel (PFMP).
c) Resserrer les liens entre acteurs économiques et lycée professionnel
Resserrer encore les liens entre tissu économique local et lycée professionnel doit être une priorité. Lors de ses auditions et déplacements, les rapporteurs ont pu constater qu'il existe encore une méconnaissance mutuelle encore établissements et chefs d'entreprise.
L'action proactive des lycées pour aller à la rencontre des entreprises, préparer et faciliter l'accueil de leurs élèves, et adapter le contenu de leurs enseignements est encore trop rare, en dépit des efforts des directeurs délégués aux formations professionnelles et technologiques (DDFPT) et de la mise en place des comités école-entreprise, dont le bilan est mitigé. Ces efforts manquent de visibilité et d'incarnation : trop souvent, les entreprises déplorent encore le manque d'information sur le « contact » ou le « point d'entrée » adéquat pour prendre l'attache des établissements.
La ministre Grandjean a annoncé, dans le cadre de la réforme de la voie professionnelle, la mise en place d'un « Bureau des entreprises » dans chaque établissement : il reste à démontrer que cette entité nouvelle sera plus à même de développer la relation aux entreprises que les acteurs existants, à fortiori si elle ne s'accompagne pas de moyens nouveaux ou d'incitations particulières.
À ce titre, les rapporteurs proposent d'intégrer de manière plus explicite, parmi les indicateurs de suivi des lycées professionnels, des éléments relatifs à la relation aux entreprises du tissu économique local et aux filières professionnelles. Le lycée professionnel doit préparer à l'exercice d'un métier et à l'insertion dans l'entreprise : il est normal que le bon fonctionnement de l'établissement passe par des efforts particuliers de contact avec les entreprises, par exemple en vue de préparer l'accueil des élèves au sein d'entreprises. Cela doit être mieux évalué et mis en valeur au niveau de chaque établissement, avec des objectifs clairs.
Il faut aussi encourager la mobilisation des entreprises en faveur de l'accueil des élèves dans le cadre des PFMP, de stages, d'apprentissage ou d'actions de découverte des métiers.
Recommandation 15 :
Intégrer, parmi les indicateurs de suivi du fonctionnement des lycées professionnels, des éléments relatifs à la relation aux entreprises du tissu économique local et aux filières professionnelles.
d) Renforcer l'accompagnement des jeunes diplômés lors de leur insertion professionnelle
Enfin, à l'issue de la formation initiale, il est indispensable de continuer à accompagner les jeunes dans la période critique d'insertion dans l'emploi qui suit l'obtention du diplôme. 47 % des diplômés de CAP n'avaient pas trouvé d'emploi au cours des deux années suivant la fin de leur formation, 31 % des diplômés de Bac Pro, et 18 % des diplômés de BTS. Le service public de l'emploi doit pouvoir agir en soutien de ces jeunes, pour éviter les décrochages et l'éloignement de l'emploi dans cette période charnière.
Les rapporteurs proposent donc de confier au service public de l'emploi, dans le cadre de la création prochaine de « France Travail », la tâche d'accompagner les diplômés issus de lycée professionnel dans les premières années de leur insertion dans le monde du travail. Un rendez-vous d'étape à trois mois, à six mois, à un an puis à deux ans devrait être organisé avec un conseiller de Pôle emploi, afin d'accompagner le diplômé vers un emploi, vers une reprise d'étude ou une formation complémentaire. Les rapporteurs défendront cette proposition dans le cadre du projet de loi « Plein emploi », qui sera examiné très prochainement par le Sénat.
L'INSERTION PROFESSIONNELLE DES ÉLÈVES DIPLÔMÉS DE LYCÉES PROFESSIONNELS EN 2020
Source : DEPP, « Repères et références statistiques Enseignements, Formation, Recherche 2020 »
Recommandation 16 :
Prévoir des rendez-vous d'étape réguliers entre chaque jeune diplômé issu de lycée professionnel et les conseillers du service public de l'emploi durant les deux ans suivant l'obtention du diplôme, afin de faciliter l'insertion professionnelle ou la réorientation.
Le 4 mai 2023, le Président de la République a annoncé qu'une réforme du lycée professionnel interviendrait progressivement à compter de la rentrée 2023 et jusqu'en 2024, avec pour objectifs de « lutter contre le décrochage scolaire, améliorer de l'insertion professionnelle reconnaître le travail et de l'engagement du corps enseignant ».
Les rapporteurs saluent cette volonté de réforme et le travail de concertation mené depuis plus d'un an140(*) par la Ministre déléguée chargée de l'Enseignement et de la Formation professionnels, Carole Grandjean. Beaucoup des propositions présentées en mai dernier rejoignent les recommandations formulées au sein du présent rapport, en matière d'accompagnement de l'insertion professionnelle, de développement de la relation école-entreprise et de flexibilisation des parcours.
La délégation aux Entreprises sera néanmoins vigilante sur l'association des acteurs économiques et des partenaires sociaux à cette réforme de l'un des leviers stratégiques pour l'emploi et les compétences de demain. Cette réforme, si elle entend réellement développer l'accompagnement des jeunes et rénover la formation, devra aussi s'accompagner de moyens budgétaires adéquats.
* 129 Dossier de clôture des groupes de travail sur la réforme des lycées professionnels, janvier 2023, ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse.
* 130 Réponses de la DGESCO à la délégation.
* 131 Sondage OpinionWay pour CCI France, La Tribune, LCI, juin 2023.
* 132 « Le diplôme reste déterminant dans l'insertion des lycéens professionnels », publication du ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse, Nathalie Marchal, données 2017.
* 133 https://www.education.gouv.fr/media/120421/download
* 134 Dossier de clôture des groupes de travail sur la réforme des lycées professionnels, janvier 2023, ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse.
* 135 « Après un pic dû à la crise sanitaire, la part des jeunes ni en emploi, ni en études, ni en formation repart à la baisse », INSEE Focus n°285, janvier 2023.
* 136 « Repères et références statistiques - Enseignements, formation, recherche 2020 », direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance, juillet 2020, ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse.
* 137 Vademecum « Coloration des diplômes professionnels » et « Formation complémentaire d'initiative locale » du Ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse, mai 2022.
* 138 Réponses de l'Université des métiers du nucléaire au questionnaire de la délégation.
* 139 Réponses de la DGESCO au questionnaire à la délégation.
* 140 Dossier de clôture des groupes de travail sur la réforme des lycées professionnels, janvier 2023, ministère de l'Éducation nationale et de la jeunesse.