Rapport n° 28 (2010-2011) de MM. Jean-Claude ETIENNE , sénateur et Christian KERT, député, fait au nom de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, déposé le 12 octobre 2010
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INTRODUCTION
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PREMIÈRE TABLE RONDE :
DÉROULEMENT DE L'ÉVÉNEMENT ET APPRÉCIATION DU
RISQUE
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DEUXIÈME TABLE RONDE : QUELLES VOIES
POUR AMÉLIORER LA GESTION DU RISQUE ?
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Mme Nicole Papineau, directrice adjointe de
l'Institut Pierre Simon Laplace. Notre démarche associe, autour du CNES,
de l'INSU (Institut national des sciences de l'univers) du CNRS et de
Météo-France, de nombreux partenaires, notamment universitaires.
La communauté scientifique s'est mobilisée dès le premier
jour, au niveau français et au niveau européen. La coordination
nationale qui existe depuis plus de vingt ans sous l'égide de l'INSU du
CNRS est un atout important. En particulier, des liens forts ont
été établis entre les organismes de recherche et les
organismes opérationnels, par exemple avec Météo-France.
Il faut enfin saluer le volontariat des personnels de recherche - chercheurs,
enseignants chercheurs, ingénieurs et techniciens.
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M. Claude Frantzen, membre du conseil
d'administration de l'Institut pour la maîtrise des risques. La
transformation d'un potentiel de catastrophe humaine en une véritable
catastrophe économique à laquelle nous avons assisté
relève d'une nécessité que l'on peut qualifier de
« cyndinique ». Les sciences cyndiniques, ou sciences du
danger, privilégient une approche globale, systémique,
transverse, faisant apparaître des dissonances et des déficits.
Mais elles constituent d'abord un outil pragmatique qui permet cinq regards
différents : sur les faits, sur les modèles, dont on a
beaucoup parlé ce matin, sur les valeurs, sur les règles et sur
les objectifs.
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Mme Nicole Papineau, directrice adjointe de
l'Institut Pierre Simon Laplace. Notre démarche associe, autour du CNES,
de l'INSU (Institut national des sciences de l'univers) du CNRS et de
Météo-France, de nombreux partenaires, notamment universitaires.
La communauté scientifique s'est mobilisée dès le premier
jour, au niveau français et au niveau européen. La coordination
nationale qui existe depuis plus de vingt ans sous l'égide de l'INSU du
CNRS est un atout important. En particulier, des liens forts ont
été établis entre les organismes de recherche et les
organismes opérationnels, par exemple avec Météo-France.
Il faut enfin saluer le volontariat des personnels de recherche - chercheurs,
enseignants chercheurs, ingénieurs et techniciens.