C. LA NOTORIÉTÉ DE L'IFÉAC
Dans le
monde scientifique, les réponses aux propositions qui ont
été faites pour le comité de rédaction de la revue
de l'IFEAC, les demandes de séjours de savants connus et la sympathie
exprimée par des maîtres sont révélateurs de
la
notoriété mondiale de l'Institut.
Plus largement, les visites de personnalités à l'occasion de leur
venue à Tachkent ont confirmé l'utilité de l'IFEAC.
L'accueil de M. Bertrand Dufourcq, secrétaire général
du Quai d'Orsay, de M. Robert Badinter, de plusieurs ambassadeurs de
France (M. Plaisant, M. Lafrance), de sénateurs
(récemment, M. Durand-Chastel, M. Dulait),
l'intérêt de représentants de la société
civile, de chefs d'entreprise présents à Tachkent (M. Michel
Ricard, directeur de Thomson pour l'Asie centrale et le Caucase,
M. Hervé Yon de la Société Générale,
M. Christian Beleu de Bouygues) sont autant de témoignages de la
renommée et de l'efficacité de cet organisme.
La mission sénatoriale a d'ailleurs eu l'occasion d'être
accueilli à l'IFEAC par M. Pierre Chuvin, Directeur.
En Ouzbékistan, l'accréditation de l'Institut en tant
qu'organisme culturel est déjà ancienne. L'Institut est bien
accepté (ce dont témoigne un article paru fin 96 dans la
très officielle revue de bord des lignes aériennes
ouzbèkes), comme instrument d'une notoriété de leur nation
dont les Ouzbèks ressentent cruellement le besoin. Des
accréditations sont en cours au Turkménistan et au Kazakhstan.
Au titre des perspectives scientifiques, outre le fait de continuer les actions
en cours, les projets associés devraient se poursuivre avec la
coopération franco-allemande et la coopération franco-japonaise.
Il reste à élargir la dimension régionale de l'Institut.
Mais cette dimension régionale passe par des liaisons établies
sur des projets précis avec les chercheurs et les institutions locales.