1
Premières informations et
premières synthèses - 99.07 n° 281 - " Les attitudes
des Français à l'égard du chômage, de son
indemnisation et des politiques de l'emploi au début 1999 ".
2
Intervention de M. Lionel Jospin, Premier ministre, aux
journées parlementaires du groupe socialiste, Strasbourg, 27 septembre
1999.
3
Lors de son intervention aux journées parlementaires
du groupe socialiste, le 27 septembre à Strasbourg, M. Lionel
Jospin, Premier ministre, a déclaré :
" Le 1er janvier 2000, la durée légale du travail sera
dans notre pays de 35 heures pour les entreprises de plus de vingt
salariés.
L'engagement pris sera tenu
.
" Nous voulons une loi pour réussir les 35 heures, une loi pour
sauvegarder ou créer des emplois, pour dégager du temps libre,
pas une loi contre les entreprises. Car le combat contre le chômage est,
pour nous, l'objectif qui ordonne tout le reste.
" Le Gouvernement a proposé un texte qui
tient compte des
enseignements des accords déjà conclus
, qui donne toute sa
place à la négociation entre partenaires sociaux.. ".
4
" Changeons d'avenir ". Programme du parti
socialiste, printemps 1997.
5
" Les enseignements des accords sur la réduction du
temps de travail ", rapport du ministère de l'emploi et de la
solidarité, 3 tomes, septembre 1999.
6
Projet de loi n° 1786 (rectifié) relatif à la
réduction négociée du temps de travail, exposé des
motifs p. 3, document déposé à l'Assemblée
nationale le 28 juillet 1999.
7
Rapport d'information n° 1457 au nom de la commission des
Affaires culturelles de l'Assemblée nationale, " 35 heures :
une relance du dialogue social au service de l'emploi " ;
10 mars 1999, M. Gaëtan Gorce, rapporteur, p. 10.
8
Idem p. 5.
9
Idem, p. 10.
10
Idem p. 11.
11
Idem p. 5.
12
Idem p. 121.
13
Idem p. 47.
14
Idem p. 12.
15
Idem p. 20.
16
Idem p. 42.
17
Idem p. 43.
18
Idem p. 19.
19
Idem p. 44.
20
Idem p. 130.
21
Les enseignements des accords sur la réduction du temps de
travail, ministère de l'emploi et de la solidarité, septembre
1999, tome 1, p. 13.
22
Voir comptes rendus d'audition de M. Jean-Paul
Fitoussi, p. 148 et de M. Bernard Bruhnes, p. 231.
23
Voir à cet égard le tableau p. 141.
24
" Les enseignements des accords sur la réduction du
temps de travail ", rapport du ministère de l'emploi et de la
solidarité, septembre 1999, tome 1, p. 12.
25
Voir notamment le compte rendu de l'audition de M. Bernard
Brunhes par M. Louis Souvet, rapporteur, p. 231.
26
Voir notamment à cet égard le sentiment des
directeurs des ressources humaines p. 142 de ce rapport.
27
Voir également l'encadré p. 242, relatif aux
conclusions de la commission d'enquête sénatoriale sur les
conséquences de la mise en oeuvre des 35 heures.
28
Voir à cet égard le compte rendu de l'audition de
M. Jean-Paul Fitoussi, président de l'OFCE, par M. Louis Souvet,
rapporteur, p. 148 de ce rapport.
29
Note de la Fondation Saint Simon, " Les relations salariales
en France : Etat, entreprises, marchés financiers ", juin
1999, p. 3.
30
Voir p. 155 " une opération de dupes ".
31
Intervention de M. Lionel Jospin, Premier ministre, aux
journées parlementaires du groupe socialiste, Strasbourg, 27 septembre
1999.
32
Le Figaro Magazine, samedi 4 septembre 1999.
33
Audition de M. Denis Kessler, vice-président du MEDEF, par
la commission des Affaires sociales du Sénat, mercredi 6 octobre 1999,
compte rendu d'audition p. 53 de ce rapport.
34
Audition de M. Jean-François Veysset, président de
la commission sociale de la CGPME, par la commission des Affaires sociales du
Sénat, mercredi 6 octobre 1999, compte rendu d'audition p. 57 de ce
rapport.
35
" Pour les 35 heures à la carte ", 500 PME
à l'épreuve des 35 heures, contribution ou débat
parlementaire, rapport d'expérimentation. Centre des jeunes dirigeants
d'entreprise (CJD), juin 1999.
36
Audition de M. Jean Delmas, président de l'UPA, par la
commission des Affaires sociales du Sénat, mercredi 6 octobre 1999,
compte rendu d'audition p. 48 de ce rapport.
37
Audition de M. Arnold Brum, chef du service des affaires sociales
de la FNSEA, par la commission des Affaires sociales du Sénat, mercredi
29 septembre 1999, compte rendu d'audition p. 29 de ce rapport.
38
Le Figaro, jeudi 28 janvier 1999.
39
Le Figaro, jeudi 28 janvier 1999.
40
Lettre de M. Michel Jalmain, secrétaire national de la
CFDT à M. Jean Delaneau, président de la Commission des Affaires
sociales du Sénat, 2 août 1999.
41
Idem.
42
Audition de M. Michel Jalmain, secrétaire national de la
CFDT, par la commission des Affaires sociales du Sénat, mardi 5 octobre
1999, compte rendu d'audition p. 37 de ce rapport.
43
Bernard Thibault,
Pour une conception neuve de la
représentation syndicale
, in Horizons-débats, Le Monde,
vendredi 10 septembre 1999.
44
Audition de Mme Maryse Dumas, secrétaire
confédérale de la CGT, par la commission des Affaires sociales du
Sénat, mercredi 6 octobre 1999, compte rendu d'audition p. 44 de ce
rapport.
45
Entretien accordé par M. Marc Blondel, secrétaire
général de FO, au journal Le Figaro, le 16 avril 1999.
46
Audition de M. Michel Coquillon, secrétaire
général adjoint de la CFTC, par la commission des Affaires
sociales du Sénat, mercredi 29 septembre 1999, compte rendu d'audition
p. 26 de ce rapport.
47
Audition de M. Jean-Marc Icard, secrétaire
national chargé de l'emploi à la Confédération
française de l'encadrement-Confédération
générale des cadres (CFE-CGC), par la commission des Affaires
sociales du Sénat, mardi 12 octobre 1999, compte rendu d'audition
p. 60 de ce rapport.
48
Voir la troisième partie de ce rapport.
49
Voir la quatrième partie de ce rapport.
50
Voir la cinquième partie de ce rapport.
51
Voir la neuvième (B) partie de ce rapport.
52
Voir la huitième partie de ce rapport.
53
Voir la sixième partie de ce rapport.
54
Voir la septième partie de ce rapport.
55
" Les 35 heures se mettent en place sans beaucoup
d'embauche ", article de M. Alain Faujas, in " Le Monde "
du 21 septembre 1999.
56
La 23
ème
des 110 propositions de M.
François Mitterrand, candidat à l'élection
présidentielle de 1981, prévoyait notamment que " la
durée du travail sera progressivement réduite à
35 heures après négociation entre les partenaires
sociaux ".
57
M. Yves Barou est directeur adjoint du cabinet de
Mme Martine Aubry, ministre de l'emploi et de la solidarité.
58
M. Jacques Rigaudiat est conseiller social de
M. Lionel Jospin, Premier ministre.
59
" Les 35 heures et l'emploi " par
MM. Yves Barou et Jacques Rigaudiat, notes et études documentaires,
n° 4696, 27 décembre 1982, La documentation
française, p. 10, 11 et 12.
60
Changeons d'avenir, programme du parti socialiste, printemps
1997.
61
JO débats Sénat, séance du 19 juin
1997, p. 2048.
62
JO débats Sénat, séance du 3 mars
1998, p. 1075.
63
Les six accords signés par des établissements
publics et une collectivité locale (EDF, SNCF, TDF, Conseil
général de la Nièvre, Mines de potasse d'Alsace et La
Poste) comptent pour 15,6 % du total des emplois créés.
64
" Les enseignements des accords sur la réduction du
temps de travail ", rapport du ministère de l'emploi, septembre
1999, p. 13.
65
" Les enseignements des accords sur la réduction
du temps de travail ", rapport du ministère de l'emploi, septembre
1999, tome 2, annexe 1, graphique 3, p. 6.
66
" Les 35 heures se mettent en place sans beaucoup
d'embauche ", article de M. Alain Faujas, in " Le Monde " du 21
septembre 1999.
67
Enquêtes-flash réalisées en juin 1999
par les cabinets Hewitt Associates et Maesina International Search.
68
" Les 35 heures se mettent en place sans beaucoup
d'embauche ", article de M. Alain Faujas, in " Le Monde "
du 21 septembre 1999.
69
JO débats Assemblée nationale -
2
ème
séance du 5 octobre 1999, p. 6858.
70
Audition de M. Gilbert Baroffio, délégué
général de l'ANDCP par le rapporteur, le vendredi
29 septembre 1999.
71
Les directeurs des ressources humaines (DRH) et
l'aménagement du temps de travail - Rapport d'étude
réalisé par l'ODIS-ANDP, juin 1999.
72
Les directeurs des ressources humaines (DRH) et
l'aménagement du temps de travail - Rapport d'étude
réalisé par l'ODIS-ANDP, juin 1999.
73
Professeur des Universités à l'IEP de Paris,
président de l'OFCE.
74
Lettre de l'OFCE n° 188 du lundi 19 juillet 1999. A
la page 8, les effets possibles sur l'emploi sont estimés entre 0 et
640.000 emplois.
75
Voir notamment " Perspectives de l'emploi dans
l'OCDE ", juin 1999, p. 49 et suivantes.
76
Propositions de lignes directrices pour les politiques de
l'emploi des Etats membres en 2000, présentées par la Commission,
Com (1999) 441, p. 2.
77
Voir tableau relatif au " taux de chômage
standardisé ", p. 150.
78
La mise en oeuvre de la stratégie de l'OCDE pour l'emploi,
" Evaluation des performances et des politiques ". OCDE, juin 1999,
p. 57.
79
Voir encadré relatif aux " recommandations de l'OCDE
pour l'emploi ", p. 148.
80
Le Figaro Magazine, samedi 4 septembre 1999.
81
Le Figaro, 16 avril 1999.
82
Entretien accordé par M. Laurent Fabius, président
de l'Assemblée nationale au Journal Le Monde du mercredi 25 août
1999.
83
Entretien accordé par M. Alain Olive, secrétaire
général de l'UNSA au journal
Le Figaro
, le 27 août
1999.
84
La seconde loi sur les 35 heures va bouleverser le champ
syndical,
Mme Caroline Monnot, in
Le Monde
du samedi 3 juillet
1999.
85
Centre d'étude de la vie politique française.
86
La seconde loi sur les 35 heures va bouleverser le champ
syndical,
Mme Caroline Monnot, in
Le Monde
du samedi 3 juillet
1999.
87
Bernard Thibault,
Pour une conception neuve de la
représentation syndicale
, in Horizons-débats, Le Monde,
vendredi 10 septembre 1999.
88
Audition de M. Jean-Emmanuel Ray, professeur des
Universités à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris, par M.
Louis Souvet, rapporteur, le mercredi 22 septembre 1999, voir également
le compte rendu de cette audition p. 233.
89
Libération, lundi 28 juin 1999.
90
Les Echos, vendredi 27 et samedi 28 août 1999.
91
Voir à cet égard :
" Les
référendums se multiplient dans les entreprises "
par
Isabelle Mandraud dans Le Monde du vendredi 16 avril 1999.
92
Lettre de M. Michel Jalmain, secrétaire national de la
CFDT à M. Jean Delaneau, président de la Commission des Affaires
sociales du Sénat, 2 août 1999.
93
Libération, lundi 28 juin 1999.
94
Cass. Soc., 25 janvier 1995.
95
" Les enseignements des accords sur la réduction du
temps de travail ", Rapport du ministère de l'emploi sur
l'application de la loi du 13 juin 1999, septembre 1999, tome 1, p 31.
96
in " Brèves remarques sur le
" mandatement " syndical ", Travail et Protection sociale,
août-septembre 1999.
97
Les négociations sur les 35 heures révèlent
les dangers du mandatement, in Le Monde, 7 septembre 1999.
98
Voir également compte rendu de l'audition de M. Bernard
Brunhes par M. Louis Souvet, rapporteur, p. 231.
99
Voir le compte rendu de cette audition dans les travaux de la
commission à la p. 41 de ce rapport.
100
La loi Aubry crée un nouveau statut de salarié
protégé, page " Finance et droit ", in
La
Tribune
, vendredi 8 janvier 1999.
101
Lettre de M. Michel Jalmain, secrétaire national de la
CFDT à M. Jean Delaneau, président de la Commission des Affaires
sociales du Sénat, 2 août 1999.
102
Le principe de l'ordre public social est
énoncé à l'article L. 132-4 du code du travail :
" la convention et l'accord collectif de travail peuvent comporter des
dispositions plus favorables aux salariés que celles des lois et
règlements en vigueur.
Ils ne peuvent déroger aux dispositions
d'ordre public de ces lois et règlements
".
103
L'article L. 132-23 du code du travail
prévoit que :
" la convention ou les accords d'entreprise
ou d'établissement peuvent adapter les dispositions des conventions de
branches ou des accords professionnels ou interprofessionnels applicables dans
l'entreprise aux conditions particulières de celle-ci ou des
établissements considérés.
La convention ou les accords
peuvent comporter des dispositions nouvelles et des clauses plus favorables aux
salariés
".
104
L'article L . 132-13 du code du travail
prévoit que :
" une convention de branche ou un accord
professionnel ou interprofessionnel ne peut comporter des dispositions moins
favorables aux salariés que celles qui leur sont applicables en vertu
d'une convention ou d'un accord couvrant un champ territorial ou professionnel
plus large. S'il vient à être conclu une convention ou un accord
de niveau supérieur à la convention ou à l'accord
intervenu, les parties adaptent celles des clauses de leur convention ou accord
antérieur qui seraient moins favorables aux salariés "
.
105
Droit du travail, Droit vivant
par M. Jean-Emmanuel
Ray, 3
ème
édition p. 27.
106
Droit du travail, Droit vivant
par M. Jean-Emmanuel
Ray, 3
ème
édition p. 27.
107
Rapport d'évaluation de la loi quinquennale relative au
travail, à l'emploi et à la formation professionnelle, janvier
1997, La documentation française, p 147.
108
Discours de Mme Martine Aubry, ministre de l'Emploi, devant la
Commission nationale de la négociation collective, 23 juin 1998.
109
Une loi d'habilitation fixe les objectifs (la loi du 13 juin
1998), le Gouvernement adopte des ordonnances (les partenaires sociaux signent
des accords collectifs), les ordonnances sont ratifiées par le Parlement
(une deuxième loi balai fait le tri entre les dispositions des accords
conclus).
110
Droit du travail
, Gérard Lyon-Caen,
18
ème
édition, p. 646.
111
Idem, p. 647.
112
" Tout travailleur participe, par l'intermédiaire de
ses délégués, à la détermination collective
des conditions de travail ainsi qu'à la gestion des entreprises ".
113
Droit du travail
, Gérard Lyon-Caen,
18
ème
édition, p. 647.
114
Entretien accordé au journal Le Monde du mardi 22 juin
1999.
115
Entretien publié par le journal Les Echos du lundi 23
août 1999.
116
Voir le tableau ci-après : " Principales
réserves et exclusions prononcées lors de la procédure
d'extension des accords et avenants ".
117
L'accord Métallurgie : la riposte
:
semaine sociale Lamy - 28 septembre 1998 - n° 902, p. 2.
118
Rapport n° 1826 de la commission des Affaires
culturelles, familiales et sociales de l'Assemblée nationale sur le
projet de loi relatif à la réduction négociée du
temps de travail, M. Gaëtan Gorce, rapporteur, p. 14.
119
Voir notamment " Loi Aubry II : les tendances des
accords de branche " par Mme Françoise Favennec-Hery, in
Liaisons sociales magazine, avril 1999.
120
Voir à cet égard l'annexe n° 1
présentant un tableau comparatif des accords
" 35 heures " dans les branches professionnelles de plus de
100.000 salariés.
121
Articles L. 133-1 à L. 133-17 du Code du
travail.
122
Intervention de M. Eric Aubry
123
, Sous-directeur de
la négociation collective à la direction du travail lors d'un
colloque organisé par Liaisons sociales le 22 mars 1999.
124
Article 2 de la loi n°98-461 du 13 juin 1998.
125
Voir compte rendu de l'audition de la CCIP p. 131.
126
Voir encadré relatif au mandatement.
127
In Les accords d'anticipation au niveau des branches et leur
difficile articulation avec les entreprises ; Petites affiches - 2
septembre 1998 - n° 105, p. 51.
128
Tribunal de Grande Instance de Paris, 28 septembre 1999,
Fédération de la métallurgie CGT et autres c/Sagem.
129
Audition de M. Jean-Emmanuel Ray, professeur des
Universités à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris in rapport
n° 306 de la commission des Affaires sociales du Sénat sur le
projet de loi d'orientation et d'incitation relatif à la
réduction du temps de travail, p. 40.
130
In rapport n° 306 de la commission des Affaires
sociales du Sénat sur le projet de loi d'orientation et d'incitation
relatif à la réduction du temps de travail, p. 118 et
suivantes.
131
Réponse de Mme Martine Abury, ministre de
l'emploi, au questionnaire écrit de M. Louis Souvet, rapporteur, en
date du 20 février 1998.
132
Rapport n° 1826 au nom de la commission des
Affaires culturelles, familiales et sociales de l'Assemblée nationale
sur le projet de loi relatif à la réduction
négociée du temps de travail, M. Gaëtan Gorce,
rapporteur, p. 20.
133
Le temps de travail dans les trois fonctions publiques
,
rapport au ministre de la fonction publique, de la réforme de l'Etat et
de la décentralisation, M. Jacques Roché, rapporteur, la
documentation française, collection des rapports officiels,
février 1999, p. 99.
134
Voir à cet égard le VII - B de ce rapport.
135
Décret n° 94-725 du 24 août relatif à
la durée hebdomadaire du travail.
136
Ces instruments s'appuient sur des textes de portée
très diverse qui prévoient les modalités de
dérogations à la durée hebdomadaire de travail de 39
heures : les horaires variables sont définis par la circulaire FP
n°1510 du 10 mars 1983, le temps partiel par les articles 37 à
40 bis du titre II du statut général des fonctionnaires, la
cessation progressive d'activité par l'ordonnance n°82-297 du 31
mars 1982 et les circulaires n°1861 et 1862 du 21 juillet 1995.
137
L'article 5 de la loi du 13 juin 1998 dispose que :
" la durée du travail effectif est le temps pendant lequel le
salarié est à la disposition de l'employeur et doit se conformer
à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations
personnelles ".
138
Le rapport Roché élude l'un des aspects essentiels
du dispositif de réduction du temps de travail et ne se prononce pas sur
la nécessité de créer des emplois. Certaines formules sont
cependant explicites lorsqu'il est question de compensation de l'ARTT :
" Au-delà d'un accroissement de la productivité, une
compensation à la diminution globale du temps de travail peut être
trouvée dans une meilleure mobilité d'emploi des agents, ainsi
que dans une redéfinition de certaines missions et une évolution
de certains postes ". - deuxième partie du rapport, p. 108.
139
Cette note est citée dans le
Figaro
du 11
février 1999, dans un article de Nicolas Daniels " Salaires en
hausse et effectifs pléthoriques ".
140
Cette note est notamment citée dans le
Monde
du 3
février 1999, dans un article de Jean-Michel Bezat et Laurent Mauduit
" Fonctionnaires : la durée réelle de travail mesurée
par Bercy ".
141
Le temps de travail dans les trois fonctions publiques, mission
interministérielle sur le temps de travail, Jacques Roché,
deuxième partie du rapport, p.108.
142
Article du
Monde
du 3 février 1999
déjà cité.
143
Les citations des syndicats sont extraites d'un article des
Echos
du 11 février 1999, " les syndicats dénoncent
l'" oubli " des créations d'emplois ".
144
P. 4 du rapport de M. Emile Zuccarrelli, ministre de la fonction
publique, de la réforme de l'Etat et de la décentralisation.
145
P. 6 du même rapport.
146
Citation extraite du
Monde
du 14 avril 1999, dans un
article de Mme Isabelle Mandraud " L'Etat-patron tarde à mettre en
oeuvre la réforme des 35 heures ".
147
Audition de M. Emile Zuccarelli, ministre de la fonction
publique, de la réforme de l'Etat et de la décentralisation par
la commission des Affaires sociales, 12 octobre 1999, compte-rendu des
auditions, p. 67 de ce rapport.
148
Cf. article des
Echos
du 10 juin 1999, de Jean-Francis
Pécresse " Martine Aubry assure que les 35 heures créeront
des emplois à l'hôpital ".
149
Citation extraite du rapport n°437 (Sénat) " Le
débat d'orientation budgétaire pour 2000 : des intentions
aux faits " de M. Philippe Marini, au nom de la commission des finances,
p. 51.
150
Cf. note de l'Inspection générale des finances
déjà citée.
151
Rapport Roché précité p. 108.
152
Rapport n° 437 précité de la commission des
finances du Sénat p. 51.
153
Projet de loi de finances pour 1999, avis budgétaire
n° 70, tome IV, travail, emploi et formation professionnelle,
présenté par M. Louis Souvet et Mme Annick Bocandé au nom
de la commission des Affaires sociales, p. 65 et 69.
154
L'UNIOPSS a été auditionnée par le
rapporteur le mercredi 29 septembre 1999.
155
Syndicat national des associations de parents et amis de
personnes handicapées mentales gestionnaires d'établissements et
de services spécialisés.
156
Aux termes d'un décret en préparation, le
délai d'agrément pourra être porté de 4 à 6
mois en cas de circonstances exceptionnelles.
157
Audition de M. Georges Riffard, directeur
général de la Fédération des établissements
hospitaliers de l'Assistance privée (FEHAP) par la commission des
Affaires sociales du Sénat, mardi 5 octobre 1999, compte rendu
d'audition p. 33 de ce rapport.
158
Voir à cet égard, le V - B - 1 b de ce rapport
consacré à l'articulation accord de branche - accord d'entreprise.
159
N° 93/104/CE du 23 novembre 1993 relative
à l'aménagement du temps de travail, et n° 97/81/CE du
15 décembre 1997 relative au travail à temps partiel.
160
L'article 5 de la loi du 13 juin 1998 dispose que :
" la durée du travail effectif est le temps pendant lequel le
salarié est à la disposition de l'employeur et doit se conformer
à ses directives sans pouvoir vaquer librement à des occupations
personnelles ".
161
Rapport n° 306 de la commission des Affaires sociales du
Sénat sur le projet de loi d'orientation et d'incitation relatif
à la réduction du temps de travail, M. Louis Souvet, rapporteur,
p. 142.
162
Le projet de directive est présenté par notre
collègue sénateur, Simon Sutour, dans sa communication devant la
délégation à l'Union Européenne sur le projet de
décision E 1189 relatif à l'aménagement du temps de
travail dans les secteurs exclus du champ d'application de la directive
93/104/CE. Actualités de la délégation pour l'Union
Européenne, n° 21, réunion du mercredi 28 avril
1999. Notre collègue précise que le projet de directive propose
de suivre les principes suivants concernant les travailleurs mobiles du secteur
routier : - une durée maximale de travail de 48 heures en
moyenne par semaine sur une période de référence de
4 mois, la durée de travail sur une même semaine ne pouvant
excéder 60 heures ; - une pause quotidienne d'au moins 30
ou 45 minutes selon la durée de la journée de travail ;
- un repos quotidien d'au moins 11 heures, pouvant être
réduit sous certaines conditions à 10 heures ;
- un repos hebdomadaire de 35 heures ; - l'interdiction aux
travailleurs de nuit de travailler plus de 8 heures par jour pouvant
être portée à 10 heures sous certaines conditions.
Certaines dérogations sont autorisées, soit par voie de
convention collective, soit par voie législative ou réglementaire.
163
Audition par le rapporteur d'une délégation du
MEDEF le mardi 28 septembre 1999.
164
JO, AN, 2
ème
séance du 5 octobre 1999,
p. 6858.
165
Idem.
166
JO, débats AN, 2
ème
séance du 5
octobre 1999, p. 6858.
167
Idem.
168
Idem.
169
JO, débats AN, 2
ème
séance du 5 octobre 1999, p. 6868.
170
L'article 11.III deuxième alinéa du
projet de loi prévoit que : " pour ouvrir droit à
l'allégement (de charges), l'accord d'entreprise doit être
signé par une ou des organisations syndicales représentatives
dans l'entreprise ayant recueilli la majorité des suffrages
exprimés lors des dernières élections au comité
d'entreprise ou, à défaut, des délégués du
personnel ".
171
Voir notamment les arrêts du 28 janvier 1998 et
du 19 mai 1998 de la Chambre sociale. Dans ce dernier, on pouvait lire
que : " Attendu que la rémunération contractuelle du
salarié constitue un élément du contrat de travail qui ne
peut être modifié, même de manière minime, sans son
accord ; qu'il en va de même du mode de rémunération
prévu par le contrat, peu importe que l'employeur prétende que le
nouveau mode serait plus avantageux... ".
172
Dossier de presse du 24 juin 1999, p. 6.
173
Exposé des motifs de l'article 4 du projet de loi de
financement de la sécurité sociale pour 2000.
174
Comme le notaient M. Louis Souvet et Mme Annick
Bocandé, dans leur avis n° 70 présenté au nom de
la commission des Affaires sociales du Sénat sur le projet de loi de
finances pour 1999, tome IV " Travail, emploi et formation
professionnelle ", p. 33.
175
Proposition de loi n° 628 tendant à alléger
les charges sur les bas salaires présentée le 14 janvier
1998 à l'Assemblée nationale par MM. François Bayrou,
Jean-Louis Debré, Jacques Barrot, Franck Borotra, Robert Galley, Yves
Nicolin et les membres des groupes UDF et RPR.
176
Rapport n° 656 au nom de la commission des Affaires
culturelles, familiales et sociales de l'Assemblée nationale sur la
proposition de loi n° 628 tendant à alléger les charges sur
les bas salaires, M. Yves Nicolin, rapporteur.
177
Proposition de loi n° 372 rectifiée tendant à
alléger les charges sur les bas salaires, déposée le
7 avril 1998 sur le bureau du Sénat.
178
Rapport n° 500 au nom de la commission des Affaires
sociales du Sénat sur la proposition de loi de MM. Christian Poncelet,
Jean-Pierre Fourcade, Josselin de Rohan, Maurice Blin et Henri de Raincourt,
tendant à alléger les charges sur les bas salaires, M. Alain
Gournac, rapporteur.
179
Rapport n° 500 de la commission des Affaires
sociales sur la proposition de loi de MM. Christian Poncelet, Jean-Pierre
Fourcade, Josselin de Rohan, Maurice Blin et Henri de Raincourt tendant
à alléger les charges sur les bas salaires, M. Alain
Gournac, rapporteur, p. 13.
180
" Les enseignements des accords sur la réduction du
temps de travail ", rapport du ministère de l'Emploi et de la
solidarité, septembre 1999, tome 2, annexe n° 13, p. 5.
181
1.088.591 salariés sont concernés par un accord
éligible aidé. Le coût moyen par salarié
concerné étant de 11.400 francs, le coût total est
égal la première année à 12,4 milliards de francs
soit 145.889 francs lorsque l'on divise ce montant par le nombre d'emplois
créés dans les entreprises aidées (85.064 salariés).
182
Rapport déposé par le Gouvernement pour le
débat d'orientation budgétaire, p. 47.
183
Débats JO, Assemblée nationale,
1
ère
séance du 10 novembre 1998, p. 8668.
184
On est loin du " tarissement " évoqué
par Mme Nicole Péry le 29 juin 1998... (cf. p. 243).
185
Une telle appellation mérite assurément des
guillemets.
186
Le décret en Conseil d'Etat est-il alors
nécessaire en cas de " conventions " signées entre
l'Etat et les organismes sociaux ?
187
S'agit-il de 2002 ? de 2005 ?
188
" Les lois de financement de la sécurité
sociale : un acquis essentiel, un instrument perfectible ",
n°433 (1998-1999), p. 100.
189
En raison de la " défaillance " de l'UNEDIC,
cf. p. 265.
190
L'UNEDIC ne semblait pas, à l'époque,
concernée.
191
Projet de loi n° 512 (XIème législature)
d'orientation et d'incitation relatif à la réduction du temps de
travail, déposé le 10 décembre 1997.
192
Rapport n° 306 (1997-1998), p. 112-115.
193
" 40 milliards auront pour origine le
" recyclage " des fonds perçus en plus, ou
dépensés en moins, par les divers organismes sociaux
du fait
de la reprise de la croissance
". (c'est votre rapporteur qui
souligne). Bulletin des commissions n° 24, AN - p. 2.561.
194
Cf. rapport déposé pour le débat
d'orientation budgétaire de juin 1999.
195
Selon l'expression de Mme Nicole Notat.
196
Mme Odile Saugues, compte rendu analytique, AN,
3
ème
séance du jeudi 7 octobre 1999, p. 2.
197
Etude d'impact concernant le projet de loi relatif à la
réduction du temps de travail, (annexe) n° 1786, Assemblée
nationale, p. 2.
198
Rapport n° 306 de M. Louis Souvet au nom de la commission
des Affaires sociales du Sénat sur le projet de loi relatif à la
réduction du temps de travail (loi Aubry I), février 1998, p. 142.
199
Semaine sociale Lamy, supplément n° 945, 2
août 1994, p. 5.
200
Rapport n° 1826 de la commission des Affaires culturelles,
familiales et sociales de l'Assemblée nationale sur le projet de loi
relatif à la réduction négociée du temps de
travail, M. Gaëtan Gorce, rapporteur, p. 116.
201
Voir ci-après tableau sur les différents
régimes de modulation.
202
Notamment par la voix de la ministre de l'emploi et de la
solidarité le 18 mai 1999 devant la commission lors de son audition sur
le projet de loi portant création d'une couverture maladie universelle.
203
Rapport présenté par M. Louis Souvet (n° 306,
1997-1998).
204
Audition de M. Jean-Emmanuel Ray, professeur des
Universités à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris in rapport
n° 306 de la commission des Affaires sociales du Sénat sur le
projet de loi d'orientation et d'incitation relatif à la
réduction du temps de travail, p. 40.
205
In rapport n° 306 de la commission des Affaires
sociales du Sénat sur le projet de loi d'orientation et d'incitation
relatif à la réduction du temps de travail, p. 118 et
suivantes.
206
Voir également p. 188 et suivantes de ce rapport.
207
Pour les salariés des entreprises nouvellement
créées, l'article 11 bis du projet de loi prévoit la
possibilité du versement d'un complément différentiel de
salaire permettant de parvenir au niveau d'un SMIC mensuel calculé pour
39 heures permettant à l'entreprise de bénéficier de
l'aide structurelle et de l'allégement de cotisations sociales.
208
Il convient de préciser que la disposition de l'article
L. 212-4-5 à laquelle il est fait référence doit
être recherchée en tenant compte des modifications
apportées par le II de l'article 6 supra de ce projet de loi.
209
J.O. Débats AN, séance du 15 octobre 1999, p. 7539.
210
Op.cit. p. 7541.
211
Au sens de l'article 2, paragraphe 4, de l'accord sur la
politique sociale du traité instituant la Communauté
européenne.
Projet de loi Trente-cinq heures
Rapports législatifs
Rapport n° 30 (1999-2000), déposé le