1
Le projet de loi relatif aux droits des
citoyens dans leurs relations avec les administrations tend à permettre
au Médiateur de la République de nommer des
délégués en Polynésie française, à
Wallis-et-Futuna et en Nouvelle-Calédonie, ainsi que dans les
collectivités territoriales à statut particulier que sont
Saint-Pierre-et-Miquelon et Mayotte.
2
Rapport n° 1190 (Assemblée nationale, onzième
législature) de Mme Claudine Ledoux.
3
Rapport d'information n° 110 (Sénat, 1996-1997) fait
au nom de la commission des Lois par M. Jacques Larché,
établissant le compte rendu des auditions de la commission des Lois
à l'occasion de la première journée des droits de l'enfant
au Sénat.
4
Le Sénat a adopté en première lecture le
projet de loi relatif aux droits des citoyens dans leurs relations avec les
administrations lors de la séance publique du 10 mars 1999,
sur le rapport n° 248 (Sénat, 1998-1999) de
M. Jean-Paul Amoudry, au nom de la commission des Lois. Les
dispositions relatives au Médiateur de la République ont
été adoptées sans modification par l'Assemblée
nationale en première lecture lors de la séance publique du
27 mai 1999.
5
Cette convention est entrée en vigueur en France le
6 septembre 1990.
6
Voir, en annexe au présent rapport, le texte de la position
de la Commission nationale consultative des droits de l'Homme.
7
Article 40 de la Constitution : " Les propositions
et amendements formulés par les membres du Parlement ne sont pas
recevables lorsque leur adoption aurait pour conséquence soit une
diminution des ressources publiques, soit la création ou l'aggravation
d'une charge publique
".
8
Le préambule de la Constitution du
27 octobre 1946 dispose que " la Nation assure à
l'individu et à la famille les conditions nécessaires à
leur développement. Elle garantit à tous, notamment à
l'enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de
la santé, la sécurité matérielle, le repos et les
loisirs [...] La Nation garantit l'égal accès de l'enfant et de
l'adulte à l'instruction, à la formation professionnelle et
à la culture... ".
9
Cour de cassation, première chambre civile, 10 mars
1993, Lejeune.
Cour de cassation, chambre sociale, 13 juillet 1994, CPAM Seine et Marne contre
M. Ponnau.
10
Conseil d'État, 22 septembre 1997, Mlle Cinar.
Conseil d'État, 23 avril 1997, GISTI.
Conseil d'État, 29 juillet 1994, Préfet de la Seine Maritime.
11
Rapport n° 871 (Assemblée nationale,
onzième législature) fait au nom de la commission d'enquête
sur l'état des droits de l'enfant en France, intitulé :
" Droits de l'enfant, de nouveaux espaces à conquérir ".
12
Ce projet de loi a procédé à une extension
des pouvoirs du Médiateur de la République, dans la mesure
où ce n'est pas seulement à l'occasion d'une réclamation,
mais de façon générale et quand il l'estime
nécessaire, que le Médiateur de la République propose des
mesures susceptibles de remédier aux dysfonctionnements d'un organisme
chargé d'une mission de service public ou suggère des
modifications législatives ou réglementaires. Le texte de
l'article 23 de ce projet de loi figure en annexe du présent
rapport.
13
Rapport n° 269 (Sénat, 1988-1989) de
Mme Hélène Missoffe au nom de la commission des Affaires
sociales du Sénat.
14
Le projet de loi relatif aux droits des citoyens dans leurs
relations avec les administrations prévoit que le rapport public du
Médiateur de la République fera l'objet d'une communication
devant chacune des deux assemblées.
15
Celle-ci est susceptible d'être profondément
modifiée quand le projet de loi relatif aux droits des citoyens dans
leurs relations avec les administrations entrera en vigueur.
16
Le même projet de loi ajoute qu'il peut rendre publiques
ses propositions.
17
Remis au Président de la République et au
Parlement.
Proposition de loi relative au médiateur des enfants
Rapports législatifs
Rapport n° 43 (1999-2000), déposé le