1
Dans le cadre de cette
opération, les
ordres de dépenses impayés étaient
réintégrés dans les comptes, le déficit
correspondant étant matérialisé par une contraction du
fonds de roulement.
2
La recette fictive constatée par la Cour des comptes
à la fin de 1995 s'élevait à 255 MF. Au cours de
l'année 1996, 140 MF des crédits correspondants ont servi au
financement des industriels européens concernés et ont
consommé la trésorerie en devise sur ces comptes. Le solde de
crédits à annuler en fin d'exercice était ainsi
ramené à 115 MF dans le cadre de l'exécution normale
des programmes SPOT/HELIOS.
3
A compter de 1998, une révision du règlement
financier a ramené à 4 semaines la période au terme de
laquelle l'ESA peut recourir à l'emprunt, celui-ci étant par
ailleurs devenu automatique, c'est-à-dire non soumis à
l'appréciation du Directeur général de
l'ESA.
Projet de loi de finances pour 1999 : Recherche et technologie
Rapports législatifs
Rapport général n° 66 (1998-1999), tome III, annexe 17, déposé le