AUBERGER (M. FERNAND) [Sénateur de l'Allier],
Est nommé membre titulaire : de la commission des finances [3 octobre 1957] ; de la commission des pensions ( ibid. ). - Membre suppléant de la commission de l'éducation nationale ( ibid. ). - Membre de la sous-commission chargée d'émettre un avis sur les taxes parafiscales et de péréquation [7 novembre 1957]. - Membre suppléant de la commission de coordination permanente de la recherche scientifique et du progrès technique ( ibid. ).
Questions orales :
M. Fernand Auberger expose à M. le secrétaire d'Etat à l'agriculture la situation résultant des rapports entre bailleurs et preneurs à propos des fermages ; lui signale les difficultés résultant du fait que la fixation du prix du quintal de blé à retenir pour le calcul du fermage n'est connu que de longs mois après les échéances principales et lui demande, en conséquence : 1° si ce prix ne peut être rapidement fixé ; 2° dans l'affirmative, s'il peut être fixé en tenant compte du prix moyen réellement perçu par le producteur de blé pour un quintal livré [7 novembre 1957] (n° 957). - M. Fernand Auberger signale à M. le ministre de la défense nationale et des forces armées que de nombreux jeunes soldats appelés semblent affectés définitivement dans les unités métropolitaines, sans avoir à craindre de partir en Afrique du Nord, et lui demande quelles sont les raisons qui permettent à certains d'entre eux d'échapper à la règle générale du séjour en Afrique du Nord [26 novembre 1957] (n° 980). - Réponse [28 janvier 1958] (p. 189).
Interventions :
Est entendu lors de la réponse du ministre à sa question orale (n° 980) ( cf. supra ) [28 janvier 1958] (p. 189). - Prend part, en qualité de rapporteur spécial de la commission des finances (Education nationale), à la discussion du projet de loi de finances pour 1958 - Investissements [25 mars 1958]. - EDUCATION NATIONALE. - (p. 654, 655, 656) ; observations sur le système des commandes groupées pour l'ensemble d'un département (p. 660). - INTÉRIEUR. - Observations sur le crédit affecté à la protection civile (p. 685).