1
Cf. la réponse de la Cour des
comptes
à la question n° 1 de votre commission, figurant en annexe au
présent rapport.
2
Rapport n° 116 (1998-1999).
3
120 chapitres relevant de 24 sections
budgétaires ont été concernés par ce mouvement
d'économies.
4
Dont 27.469 millions de francs de remboursements et
dégrèvements d'impôts et 2.255 millions de francs au
titre des frais de gestion de la charge de la dette.
5
Celui-ci recense en effet les crédits destinés
à l'ensemble des services de l'Etat ou à plusieurs d'entre eux et
qui ne peuvent être inscrits dans le budget d'un ministère
particulier, au risque d'apparaître
" hétéroclite ".
6
Il s'agit de l'enseignement scolaire, des services financiers, de
l'intérieur et de la décentralisation, de l'enseignement
supérieur, et de l'urbanisme et des services communs.
7
Il ne s'agit que de dépenses inscrites sur des budgets
civils, le budget de la défense ne comportant pas de titre IV.
8
Budget annexe des prestations sociales agricoles.
9
Fonds de stabilisation des changes.
10
Fonds monétaire international.
11
Hors FMI et hors FSC, le solde général
d'exécution est de - 247,5 milliards de francs en 1998 contre
- 267,7 milliards de francs en 1997.
12
Les organismes divers d'administration centrale (ODAC) ont
dégagé en 1998 une capacité de financement de
8,7 milliards de francs, soit 0,2 point du PIB.
13
Réponse à la question n° 2 annexée au
présent rapport.
14
On rappellera que les pensions militaires sont
exécutées par un transfert de crédits vers le budget des
charges communes (chapitre 32-97, article 10) effectué en
début de gestion. En 1998, le montant total des pensions militaires
versées (y compris aux ouvriers d'Etat employés par la
Défense) s'est élevé à 51,3 milliards de
francs (soit une progression de 2,4 % par rapport à l'année
1997).
15
108 milliards de francs pour les dépenses ordinaires et 25
milliards de francs pour les dépenses d'équipement.
16
" Le Fonds national pour le développement du sport
à la croisée des chemins ". Sénat. Commission des
finances. Michel Sergent et Paul Loridant, n° 27 (1999-2000).
17
D'autant que l'état F annexé à la loi
de finances pour 1998 portant tableau des dépenses auxquelles
s'appliquent des crédits évaluatifs mentionne le chapitre 3
du compte concerné par cette avance.
18
A la suite de la décision du Conseil constitutionnel
n° 97-395 DC portant sur la LFI pour 1998, ces crédits sont
directement inscrits au budget des services financiers de la LFI pour 1999.
19
Cf. Rapport général sur le projet de loi de
finances pour 2000 ; Assemblée nationale Tome1, volume 2, page
110 : " Une approche tout aussi pertinente conduit à
écarter cette présentation en termes de dette nette des recettes
d'ordre, pour lui préférer une approche en termes de dette brute,
plus classique, mais davantage respectueuse du formalisme budgétaire
[...]. Cette approche s'inscrit naturellement dans la perspective du tableau
d'équilibre et convient particulièrement à la
procédure d'examen et d'adoption du budget par le Parlement ".
20
Sous la réserve des budgets annexes
21
Décision du Conseil Constitutionnel n° 93-330 DC du
29 décembre 1993 sur l'article 105 relatif à la reprise de dette
de l'Acoss par l'Etat.
22
Cf. Rapport public de 1992. Exécution du budget de 1990,
page 23.
23
Cf. Rapports sur l'exécution des lois de finances pour
1994 (pages 61, 64 et 203), pour 1995 (pages 30 et 216), pour 1996 (page 241),
pour 1997 (pages 60 et 241).
24
La distinction entre intérêts et capital n'est
d'ailleurs pas affichée dans l'exposé des motifs de l'article 55
du PLF pour 1994. Seul le résultat du calcul, c'est-à-dire le
montant global de l'annuité, est affiché par année de
sorte que le montant global atteigne 110 mdF.
25
La reprise d'emprunts s'effectue par définition sans
contrepartie, d'où la constatation de pertes de trésorerie.
26
Hormis la contribution TVA et PNB, les autres ressources propres
de la Communauté sont les droits de douane (presque 9 milliards de
francs en 1998), les cotisations sucre (1,9 milliard) et la correction
pour le Royaume-Uni (3,2 milliards).
27
Mais ces pièces existent par ailleurs.
28
Momentanément, en 1999, il y eut 13 organismes payeurs, la
société interprofessionnelle des oléagineux, alors en
cours de liquidation , ayant pendant quelques mois subsisté en
même temps que l'Office national interprofessionnel des
oléagineux, protéagineux et cultures textiles (ONIOL), qui l'a
remplacée.
29
L'article 1641-II est ainsi rédigé :
" Pour frais d'assiette et de recouvrement, l'Etat perçoit
5,4 % du montant des taxes visées... Ce taux est réduit
à 4,4 % pour les impositions perçues au profit des
collectivités locales et de leurs groupements ". Sachant que,
précisément, la grande masse des recouvrements intéresse
ici les collectivités locales, c'est le taux de 4,4 % qui figure
généralement dans ce tableau.
30
L'article 1635 ter vise les taxes parafiscales perçues
dans un intérêt économique ou social au profit d'une
personne morale de droit public ou privé autre que l'Etat.
31
L'annexe II article 338 vise les frais sur tous les recouvrements
de taxes parafiscales opérés par les administrations de l'Etat.
32
FNDA : fonds national de développement agricole.
33
ONIC : office national interprofessionnel des
céréales ;
ITCF : Institut technique des céréales et des fourrages.
34
FOTS : fonds d'orientation de la transfusion sanguine.
35
Avant 1998, le prélèvement social de 1 %
était minoré de 4,8 % pour frais de
dégrèvement, de non valeur, d'assiette et de recouvrement.
36
Cf. Cour des comptes. Rapport sur l'exécution des lois de
finances pour 1998 - juillet 1999 - page 53.
37
A l'exception de 20 millions de francs ouverts par le
décret du 29 septembre 1994 pour financer la campagne de
communication liée au chèque service.
38
Tels qu'ils sont retracés dans les écritures du
contrôle financier.
Projet de loi de règlement relatif au réglement définitif du budget de 1998
Rapports législatifs
Rapport n° 374 (1999-2000), déposé le