1
7 en provenance du ministère de
l'équipement et 63 en provenance du ministère de
l'économie, des finances et de l'industrie.
2
50 en administration centrale et 70 en services
déconcentrés.
3
Titulaires, contractuels et ouvriers.
4
Directions régionales de l'industrie, de la recherche et de
l'environnement.
5
Directions des services vétérinaires.
6
L'inspection des installations classées est actuellement
assurée par plusieurs services : les DRIRE, les DSV au sein des
directions départementales de l'agriculture et de la forêt (DDAF)
pour les établissements agricoles et certains établissements
agro-alimentaires, les DDAF et les directions départementales de
l'action sanitaire et sociale (DDASS) pour les décharges d'ordures
ménagères.
7
Alors que l'ensemble du budget augmente, rappelons-le de 8,6 % en
dépenses ordinaires et crédits de paiement et de 5,9 % en
autorisations de programme.
8
Dotation spécifique attribuée à l'INERIS pour
rémunérer les personnels de recherche travaillant en
écotoxicologie, risques industriels et pollution atmosphérique.
9
Cette répartition est fixée pour 2/3 en fonction de
la part de chaque bassin dans le montant total des redevances autorisées
pendant la durée du programme quinquennal d'intervention des agences et
pour 1/3 en fonction de la population recensée dans le bassin.
10
Ce tableau ne fait pas apparaître les actions non
dotées (il s'agit notamment des investissements pour la restauration des
rivières et des zones d'expansion des crues, pour la réduction
des pollutions diffuses ainsi que pour l'équipement pour l'acquisition
de données).
11
Créé par l'article 33 de la loi du 25 juin 1999
d'orientation pour l'aménagement et le développement durable du
territoire.
12
La première étape de la constitution de ce
réseau, c'est à dire l'établissement de la liste nationale
des sites d'importance communautaire, est en cours d'achèvement. Les
propositions françaises concernent 1.059 sites représentant
26.772 km
2
soit 4,9 % du territoire métropolitain et 4.700
km
2
de zones maritimes. La seconde étape qui consiste en
l'élaboration des documents d'objectifs pour chaque site est
engagée.
13
7 parcs nationaux et 3 projets de parcs supplémentaires
(Corse, Guyane et Iroise).
14
On en compte aujourd'hui 146 et 31 projets.
15
675 millions de francs au cours du plan précédent
(1989-1993).
16
Cette diminution drastique s'explique par la baisse des
ressources propres de l'ADEME qui est désormais financée presque
intégralement par subventions budgétaires (compte tenu de la
création de la TGAP en 1999).
17
Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs
(ANDRA).
18
Office national de la chasse et de la conservation de la faune
sauvage.
19
Car celles-ci se traduisent par des transferts de dépenses
vers les trois ministères gestionnaires.
20
Les annulations d'autorisations de programme en 1998 (34 millions
de francs) sont plus faibles que l'année précédente (150
millions de francs en 1997).
21
Au chapitre 67-20 par exemple, le taux de consommation n'est
que de 53 % et de 27 % à l'article 50 (ADEME, loi sur l'air), 45 %
à l'article 30 (gestion des eaux), etc.
22
Il s'agit du chapitre 57-20 " Protection de la nature
et de l'environnement - Etudes, acquisitions et travaux d'investissement ".
23
Il s'agit des chapitres 44-10 " Protection de la nature
et de l'environnement - subventions " et 67-20 " Protection de la
nature et de l'environnement - subventions d'investissement " ;
p. 280 du rapport précité.
24
Article 31 du projet de loi de finances pour 2000.
25
" La fiscalité au secours de l'eau ", par Yves
Tavernier, rapport d'information n° 1807 de la Commission des finances de
l'Assemblée nationale, XI
e
législature.
26
Non comprises les modifications apportées par le projet de
loi de financement de la sécurité sociale (article 4) sur les
assiettes et les taux de la taxe sur les pollutions atmosphériques et
celle sur les huiles. Ces modifications prévues pour 2000 portent le
produit attendu à 2,1 milliards de francs.
27
En 1998 est mis en oeuvre un nouveau barème, établi
en 1996 mais qui n'avait pas pu être voté par le conseil
d'administration faute de président. Ce barème de janvier 1998 a
été réexaminé dès l'été
suivant car l'augmentation des dossiers s'est faite sentir dès juin
1998, les décisions sont intervenues l'année suivante, en 1999.
28
Alors que l'ensemble du budget augmente, rappelons-le de 8,6 % en
dépenses ordinaires et crédits de paiement et de 5,9 % en
autorisations de programme.
29
Voir aussi l'avis n° 68 de notre collègue Jacques
Oudin, fait au nom de la commission des finances du Sénat sur le projet
de loi de financement de la sécurité sociale pour 2000.
L'extension de la TGAP à de nouvelles assiettes polluantes fait l'objet
de l'article 4 du projet de loi de financement de la sécurité
sociale et son affectation au fonds de financement des allégements de
cotisations sociales est prévu à l'article 2 du même projet
de loi.
Projet de loi de finances pour 2000 : Environnement
Rapports législatifs
Rapport général n° 89 (1999-2000), tome III, annexe 5, déposé le