(1)
L'annexe 13 du règlement du 18 août 1998 sur le permis de conduire
affecte chaque infraction routière d'un nombre de points variant entre
un et sept. Ces points font l'objet d'une inscription au fichier central de la
circulation sous le nom du conducteur. Lorsque celui-ci totalise huit points,
il reçoit une information écrite et un avertissement. Lorsqu'il
atteint quatorze points, il doit participer à un séminaire de
formation, et, à dix-huit points, son permis est annulé.
(2) Le terme morphine recouvre les opiacés et les dérivés
de la morphine, notamment l'héroïne.
(3) Voir la fiche sur l'Allemagne, page 5.
(4) Le permis de conduire est délivré pour une durée
limitée. Voir l'étude de législation comparée
LC 51.
(5) La plupart de ses dispositions s'appliquent à l'Écosse.
(6) Cet article érige également en infraction la garde d'un
véhicule automobile par une personne que la prise de stupéfiants
rend inapte à la conduite, sauf si les circonstances matérielles
établissent de façon certaine que le gardien du véhicule
n'aurait pas pris le volant avant la dissipation des effets de la drogue.
(7) La loi de 1988 relative aux contrevenants aux règles de la
circulation routière affecte à chaque infraction routière
un nombre de points de pénalité variant entre trois et onze. Ces
points de pénalité sont notés sur le permis. Lorsque le
conducteur totalise douze points de pénalité sur une
période de trois ans, son permis peut être annulé par voie
judiciaire.
(8) Lorsque les résultats des prélèvements sont positifs,
une copie du rapport doit être immédiatement transmise au
préfet.
(9) Le permis de conduire est délivré pour une durée
limitée. Voir l'étude de législation comparée
LC 51.
(10) Le permis de conduire est délivré pour une durée
limitée. Voir l'étude de législation comparée
LC 51.
La conduite sous l'emprise de produits stupéfiants
Etudes de législation comparée
Étude de législation comparée n° 96 -