MINVIELLE (M. GÉRARD) [Landes], questeur du Sénat (réélu le 3 octobre 1974).
Interventions :
Intervient au cours du débat sur la question orale de M. Charles Ferrant concernant le développement du téléphone [17 juin 1975] (p. 1643, 1644). - Prend part à la discussion du projet de loi de finances pour 1976, adopté par l'Assemblée nationale. - Suite de la discussion [10 décembre 1975]. - DEUXIÈME PARTIE. - POSTES ET TÉLÉCOMMUNICATIONS. - Regrette, exemples à l'appui, que la France soit sur le plan européen le pays où la taxe de raccordement est de loin la plus élevée (p. 4388) ; déplore que l'administration des P. et T. néglige les vieux, les infirmes, les handicapés ( ibid. ) ; cite ce qui se passe à ce sujet dans le département des Landes ( ibid. ) ; préfère que les installations existantes soient d'abord perfectionnées avant que la création de nouvelles lignes ne soit envisagée (p. 4389) ; rappelle les promesses faites par le Gouvernement à l'horizon 1982 ( ibid. ) ; dénonce le rendement insuffisant des fonds en dépôt aux chèques postaux (cf. chapitre des recettes de fonctionnement, produits financiers) ( ibid. ) ; estime que l'abaissement du taux de l'intérêt servi par la Caisse nationale d'épargne permettra de diminuer le déficit de cette institution mais au détriment des petits épargnants ( ibid. ) ; rappelle le contenu des mesures prises en faveur du personnel dans le domaine indemnitaire et catégoriel ( ibid. ) ; ces mesures sont le fruit de l'action syndicale d'octobre et de novembre 1974 ( ibid. ) ; estime anormal que -le budget annexe supporte la charge de l'acheminement et de la distribution de la presse à un taux préférentiel (p. 4392) ; demande à nouveau si ce ne serait pas plutôt au budget général de supporter cette charge ( ibid. ) ; analyse les causes du déficit des chèques postaux et de la Caisse nationale d'épargne ( ibid. ) ; demande à M. le secrétaire d'Etat d'intervenir auprès du ministre de l'économie et des finances pour que ce déficit soit comblé au moyen de mesures appropriées ( ibid. ) ; se déclare satisfait de l'effort entrepris pour le développement de la mécanisation des bureaux de tri ( ibid. ) ; constate avec regret que les demandes d'abonnement des habitants des zones rurales sont presque toujours différées dans l'attente de la réalisation d'un programme d'opérations groupées ( ibid. ).