II. L'OUVERTURE DE CREDITS REPORTES DES ANNEES PRECEDENTES.
Les annulations du mois de juillet ont été plus
que compensées par l'ouverture de 38,25 millions de francs de
crédits reportés des années précédentes.
L'analyse par titre des ouvertures de crédits reportés montre
que, s'agissant des moyens de fonctionnement de la DIV, les effets de
l'annulation ne sont pas compensés par les ouvertures de crédits
reportés. L'annulation de crédits en faveur des services publics
de quartier est compensée pour moitié.
Au titre IV des interventions de l'Etat en faveur de la politique de la ville,
l'ouverture des crédits reportés s'élève à
30 millions de francs, et bénéficie pour 18,68 millions de francs
à l'article 46-60-10 des dépenses contractuelles, qui avait
déjà été épargné par les annulations.
III. LES TRANSFERTS EN GESTION
Les transferts en provenance d'autres ministère et
à destination de l'enveloppe globalisée du fonds
interministériel d'intervention en faveur de la politique de la ville,
le FIV, se sont élevés à 226 millions de francs, dont 220
en dépenses ordinaires sur le chapitre 46-60 article 10 et 6 en
dépenses en capital sur le chapitre 67-20 artilce 20.
Le financement des opérations " ville-vie-vacances ",
figurant
à l'article 40 du chapitre 46-60, a bénéficié de
20,3 millions de francs supplémentaires en provenance d'autres
ministères.