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I. – La France conserverait une croissance robuste en sortie de crise grâce aux réformes mises en place | | I. – (Alinéa sans modification) | I. – Après avoir résisté aux crises, l’économie française retrouverait de l’élan | I. – (Alinéa sans modification) | I. – (Alinéa sans modification) | I. – (Alinéa sans modification) | I. – Après avoir résisté aux crises, l’économie française retrouverait de l’élan | I. – Après avoir résisté aux crises, l’économie française retrouverait de l’élan | |
A. – Les perspectives à court terme (2022‑2023). | | A. – (Alinéa sans modification) | A. – Les perspectives à court terme (2023‑2024) | | | | A. – Les perspectives à court terme (2023‑2024) | A. – Les perspectives à court terme (2023‑2024) | |
Après un rebond de l’économie particulièrement marqué en 2021, qui a fait de la France le grand pays de la zone euro où le niveau d’activité a le plus vite rattrapé son niveau d’avant la crise sanitaire, l’invasion russe de l’Ukraine et ses conséquences ont assombri les perspectives de reprise à partir de fin février 2022 en entraînant une forte hausse des prix des matières premières, un rebond des tensions d’approvisionnement et une augmentation de l’incertitude. | | (Alinéa sans modification) | L’année 2022 a vu la poursuite du rebond post‑covid se heurter aux conséquences de l’invasion russe de l’Ukraine. La croissance en moyenne annuelle est restée élevée (+2,5 %) malgré le rebond des tensions d’approvisionnement, le climat d’incertitude et la hausse des prix des matières premières qui ont engendré une dynamique heurtée de l’activité et une inflation élevée pesant sur la consommation des ménages. | | | | L’année 2022 a vu la poursuite du rebond post‑covid se heurter aux conséquences de l’invasion russe de l’Ukraine. La croissance en moyenne annuelle est restée élevée (+2,5 %) malgré le rebond des tensions d’approvisionnement, le climat d’incertitude et la hausse des prix des matières premières qui ont engendré une dynamique heurtée de l’activité et une inflation élevée pesant sur la consommation des ménages. | L’année 2022 a vu la poursuite du rebond post‑covid se heurter aux conséquences de l’invasion russe de l’Ukraine. La croissance en moyenne annuelle est restée élevée (+2,5 %) malgré le rebond des tensions d’approvisionnement, le climat d’incertitude et la hausse des prix des matières premières qui ont engendré une dynamique heurtée de l’activité et une inflation élevée pesant sur la consommation des ménages. | |
Face à ces chocs, l’économie française a montré sa capacité de résilience : après un recul au 1er trimestre 2022 (‑0,2 %) en lien avec une nouvelle vague épidémique, l’activité a fortement progressé au 2e trimestre (+0,5 %), soutenue par les échanges de services, y compris le retour des touristes internationaux, le rebond de la consommation et l’investissement des entreprises qui continue de progresser. De même, le marché du travail continue d’être très dynamique : près de 200 000 emplois ont été créés au 1er semestre 2022 et le taux de chômage s’établit à 7,4 % de la population active, soit 0,8 point sous son niveau de fin 2019. Pris globalement, les derniers indicateurs conjoncturels indiquent une activité toujours bien orientée, quoiqu’en ralentissement : en août, si le PMI indiquait une activité en ralentissement, le climat des affaires de l’Insee était stable et supérieur à sa moyenne de longue période, suggérant une croissance toujours dynamique. La croissance resterait ainsi solide au 3e trimestre, la consommation bénéficiant des mesures de soutien au pouvoir d’achat. L’activité devrait être davantage freinée au 4e trimestre, du fait des difficultés d’approvisionnement sur le gaz. En moyenne annuelle, l’activité progresserait de +2,7 % en 2022. L’inflation en glissement annuel se maintiendrait à un niveau proche de 6 % jusqu’à la fin de l’année, la baisse de l’inflation énergétique étant compensée par une diffusion de la hausse passée des matières premières aux prix des produits alimentaires et manufacturés et à une inflation dynamique dans les services du fait de la hausse des salaires. | | (Alinéa sans modification) | L’économie française n’a cependant jamais cessé de croître et les effets négatifs de ces chocs se dissipent progressivement. Les prix des matières premières se sont largement détendus, l’inflation a amorcé son reflux et l’activité a retrouvé de l’élan au deuxième trimestre 2023 (+0,5 %). Les parts de marchés à l’exportation, qui avaient été affectées par les conséquences de la crise sanitaire, rebondissent. Le marché de l’emploi reste également bien orienté, avec un taux de chômage à 7,2 % au deuxième trimestre 2023, un niveau historiquement bas. Pour la seconde moitié de l’année 2023, les derniers indicateurs conjoncturels, pris globalement, indiquent une activité toujours bien orientée. Le principal facteur freinant l’activité serait désormais la hausse des taux d’intérêts. Elle affecterait en particulier l’investissement des ménages, qui se replierait après deux années de forte croissance. L’investissement des entreprises ralentirait à partir du second semestre, mais resterait très dynamique en moyenne en 2023. En moyenne annuelle, la croissance du PIB serait de +1,0 %, une prévision inchangée par rapport au programme de stabilité. | | | | L’économie française n’a cependant jamais cessé de croître et les effets négatifs de ces chocs se dissipent progressivement. Les prix des matières premières se sont largement détendus, l’inflation a amorcé son reflux et l’activité a retrouvé de l’élan au deuxième trimestre 2023 (+0,5 %). Les parts de marchés à l’exportation, qui avaient été affectées par les conséquences de la crise sanitaire, rebondissent. Le marché de l’emploi reste également bien orienté, avec un taux de chômage à 7,2 % au deuxième trimestre 2023, un niveau historiquement bas. Pour la seconde moitié de l’année 2023, les derniers indicateurs conjoncturels, pris globalement, indiquent une activité toujours bien orientée. Le principal facteur freinant l’activité serait désormais la hausse des taux d’intérêts. Elle affecterait en particulier l’investissement des ménages, qui se replierait après deux années de forte croissance. L’investissement des entreprises ralentirait à partir du second semestre, mais resterait très dynamique en moyenne en 2023. En moyenne annuelle, la croissance du PIB serait de +1,0 %, une prévision inchangée par rapport au programme de stabilité. | L’économie française n’a cependant jamais cessé de croître et les effets négatifs de ces chocs se dissipent progressivement. Les prix des matières premières se sont largement détendus, l’inflation a amorcé son reflux et l’activité a retrouvé de l’élan au deuxième trimestre 2023 (+0,5 %). Les parts de marchés à l’exportation, qui avaient été affectées par les conséquences de la crise sanitaire, rebondissent. Le marché de l’emploi reste également bien orienté, avec un taux de chômage à 7,2 % au deuxième trimestre 2023, un niveau historiquement bas. Pour la seconde moitié de l’année 2023, les derniers indicateurs conjoncturels, pris globalement, indiquent une activité toujours bien orientée. Le principal facteur freinant l’activité serait désormais la hausse des taux d’intérêts. Elle affecterait en particulier l’investissement des ménages, qui se replierait après deux années de forte croissance. L’investissement des entreprises ralentirait à partir du second semestre, mais resterait très dynamique en moyenne en 2023. En moyenne annuelle, la croissance du PIB serait de +1,0 %, une prévision inchangée par rapport au programme de stabilité. | |
| | | L’inflation (au sens de l’indice des prix à la consommation [IPC]) baisserait légèrement en 2023, à +4,9 % en moyenne annuelle (après +5,2 % en 2022). Elle est toujours atténuée par les mesures prises par le Gouvernement pour protéger les Français face à la hausse des prix. Le bouclier tarifaire sur les tarifs réglementés permettrait ainsi de réduire le niveau général des prix d’environ 2 points en 2023. La composition de l’inflation évoluerait toutefois sensiblement : après une première phase d’inflation énergétique, suivie par la hausse des prix alimentaires et manufacturés, l’inflation des services prendrait progressivement le relais, dans le sillage des salaires mais sans risque d’emballement. | | | | L’inflation (au sens de l’indice des prix à la consommation [IPC]) baisserait légèrement en 2023, à +4,9 % en moyenne annuelle (après +5,2 % en 2022). Elle est toujours atténuée par les mesures prises par le Gouvernement pour protéger les Français face à la hausse des prix. Le bouclier tarifaire sur les tarifs réglementés permettrait ainsi de réduire le niveau général des prix d’environ 2 points en 2023. La composition de l’inflation évoluerait toutefois sensiblement : après une première phase d’inflation énergétique, suivie par la hausse des prix alimentaires et manufacturés, l’inflation des services prendrait progressivement le relais, dans le sillage des salaires mais sans risque d’emballement. | L’inflation (au sens de l’indice des prix à la consommation [IPC]) baisserait légèrement en 2023, à +4,9 % en moyenne annuelle (après +5,2 % en 2022). Elle est toujours atténuée par les mesures prises par le Gouvernement pour protéger les Français face à la hausse des prix. Le bouclier tarifaire sur les tarifs réglementés permettrait ainsi de réduire le niveau général des prix d’environ 2 points en 2023. La composition de l’inflation évoluerait toutefois sensiblement : après une première phase d’inflation énergétique, suivie par la hausse des prix alimentaires et manufacturés, l’inflation des services prendrait progressivement le relais, dans le sillage des salaires mais sans risque d’emballement. | |
En 2023, la croissance de l’activité serait ramenée à +1,0 %, pénalisée par la normalisation de la politique monétaire, l’impact des prix élevés du gaz et des efforts nécessaires pour réduire notre dépendance. Par rapport à 2019, l’activité dépasserait malgré tout son niveau d’avant‑crise de 2 points, soit le chiffre le plus élevé des grandes économies européennes. Elle serait principalement soutenue par la consommation, qui bénéficierait des mesures de soutien au pouvoir d’achat, de l’accélération des salaires et de la normalisation très progressive du taux d’épargne. L’investissement des entreprises serait légèrement moins allant que l’activité : il serait pénalisé par l’incertitude et la hausse des taux mais resterait soutenu par le taux de marge élevé des entreprises. L’investissement des ménages reculerait, affecté lui aussi par la hausse des taux et surtout par un effet de contrecoup après la très forte progression des transactions immobilières en 2021. Les échanges décélèreraient en lien avec le ralentissement de l’économie mondiale ; la contribution du commerce extérieur à la croissance serait nulle. L’inflation serait encore élevée en début d’année et refluerait progressivement au cours de l’année, en lien avec le reflux de l’inflation en produits alimentaires et manufacturés. La hausse des prix de l’énergie resterait limitée par le bouclier tarifaire. En moyenne annuelle, l’inflation s’établirait à 4,2 %. | | En 2023, la croissance de l’activité serait ramenée à +1,0 %, pénalisée par la normalisation de la politique monétaire, l’impact des prix élevés du gaz et des efforts nécessaires pour réduire notre dépendance. Par rapport à 2019, l’activité dépasserait malgré tout son niveau d’avant‑crise de 2 points, soit le chiffre le plus élevé des grandes économies européennes. Elle serait principalement soutenue par la consommation, qui bénéficierait des mesures de soutien au pouvoir d’achat, de l’accélération des salaires et de la normalisation très progressive du taux d’épargne. L’investissement des entreprises serait légèrement moins allant que l’activité : il serait pénalisé par l’incertitude et la hausse des taux mais resterait soutenu par le taux de marge élevé des entreprises. L’investissement des ménages reculerait, affecté lui aussi par la hausse des taux et surtout par un effet de contrecoup après la très forte progression des transactions immobilières en 2021. Les échanges décéléreraient en lien avec le ralentissement de l’économie mondiale ; la contribution du commerce extérieur à la croissance serait nulle. L’inflation serait encore élevée en début d’année et refluerait progressivement au cours de l’année, en lien avec le reflux de l’inflation en produits alimentaires et manufacturés. La hausse des prix de l’énergie resterait limitée par le bouclier tarifaire. En moyenne annuelle, l’inflation s’établirait à 4,2 %. | En 2024, la croissance serait de +1,4 %, un rythme proche de la tendance de long terme de l’économie française. Le principal soutien à l’activité serait le rebond progressif de la consommation des ménages, grâce à la décrue de l’inflation. Les exportations seraient également bien orientées, profitant d’un rebond du commerce mondial et d’une poursuite du rattrapage des pertes de performances, en particulier dans l’aéronautique. La contribution du commerce extérieur serait ainsi légèrement positive, les importations étant elles aussi plus dynamiques du fait du rebond de la consommation. En revanche, l’investissement pâtirait progressivement de la hausse des taux d’intérêts réels. Si celui des ménages continuerait de reculer, celui des entreprises ralentirait sans baisser, notamment grâce aux baisses des impôts de production et aux besoins toujours importants associés à la double transition écologique et numérique. | | | | En 2024, la croissance serait de +1,4 %, un rythme proche de la tendance de long terme de l’économie française. Le principal soutien à l’activité serait le rebond progressif de la consommation des ménages, grâce à la décrue de l’inflation. Les exportations seraient également bien orientées, profitant d’un rebond du commerce mondial et d’une poursuite du rattrapage des pertes de performances, en particulier dans l’aéronautique. La contribution du commerce extérieur serait ainsi légèrement positive, les importations étant elles aussi plus dynamiques du fait du rebond de la consommation. En revanche, l’investissement pâtirait progressivement de la hausse des taux d’intérêts réels. Si celui des ménages continuerait de reculer, celui des entreprises ralentirait sans baisser, notamment grâce aux baisses des impôts de production et aux besoins toujours importants associés à la double transition écologique et numérique. | En 2024, la croissance serait de +1,4 %, un rythme proche de la tendance de long terme de l’économie française. Le principal soutien à l’activité serait le rebond progressif de la consommation des ménages, grâce à la décrue de l’inflation. Les exportations seraient également bien orientées, profitant d’un rebond du commerce mondial et d’une poursuite du rattrapage des pertes de performances, en particulier dans l’aéronautique. La contribution du commerce extérieur serait ainsi légèrement positive, les importations étant elles aussi plus dynamiques du fait du rebond de la consommation. En revanche, l’investissement pâtirait progressivement de la hausse des taux d’intérêts réels. Si celui des ménages continuerait de reculer, celui des entreprises ralentirait sans baisser, notamment grâce aux baisses des impôts de production et aux besoins toujours importants associés à la double transition écologique et numérique. | |
| | | L’inflation (au sens de l’IPC) diminuerait sensiblement en 2024, à +2,6 %. La normalisation de l’inflation reposerait largement sur le ralentissement des prix alimentaires et manufacturés, déjà entamé à l’été 2023. La contribution énergétique resterait quant à elle limitée. Les services deviendraient ainsi les principaux contributeurs à l’inflation, en particulier ceux réagissant le plus aux dynamiques salariales (hôtellerie‑restauration, services aux ménages, etc.), sans toutefois remettre en cause la normalisation progressive de l’inflation. | | | | L’inflation (au sens de l’IPC) diminuerait sensiblement en 2024, à +2,6 %. La normalisation de l’inflation reposerait largement sur le ralentissement des prix alimentaires et manufacturés, déjà entamé à l’été 2023. La contribution énergétique resterait quant à elle limitée. Les services deviendraient ainsi les principaux contributeurs à l’inflation, en particulier ceux réagissant le plus aux dynamiques salariales (hôtellerie‑restauration, services aux ménages, etc.), sans toutefois remettre en cause la normalisation progressive de l’inflation. | L’inflation (au sens de l’IPC) diminuerait sensiblement en 2024, à +2,6 %. La normalisation de l’inflation reposerait largement sur le ralentissement des prix alimentaires et manufacturés, déjà entamé à l’été 2023. La contribution énergétique resterait quant à elle limitée. Les services deviendraient ainsi les principaux contributeurs à l’inflation, en particulier ceux réagissant le plus aux dynamiques salariales (hôtellerie‑restauration, services aux ménages, etc.), sans toutefois remettre en cause la normalisation progressive de l’inflation. | |
L’incertitude autour de cette prévision est élevée, avec l’aléa majeur que représente l’évolution du conflit en Ukraine et ses conséquences. Le scénario intègre l’effet négatif sur l’activité de prix de gros de l’énergie (pétrole, gaz, électricité) restant à des niveaux exceptionnellement élevés en 2022 comme en 2023, de l’impact de la sobriété nécessaire et d’une incertitude élevée ; il n’intègre pas de rupture majeure d’approvisionnement en énergie à l’hiver 2022‑2023, en France et à l’étranger. Il repose sur un scénario international d’atterrissage sans heurt pour la majorité des grands pays partenaires de la France, hormis le Royaume‑Uni. Cette prévision est partagée par les organisations internationales et confortée par la baisse des tensions d’approvisionnement et des prix des matières premières, hors gaz, sur les derniers mois ; mais un scénario de ralentissement plus marqué demeure possible, notamment pour les pays plus fortement dépendants du gaz russe. À l’inverse, la prévision repose sur certaines hypothèses laissant la place à des aléas positifs, comme la baisse très progressive du taux d’épargne des ménages, qui serait encore largement au‑dessus de son niveau d’avant‑crise en 2023 ou le rattrapage seulement très limité des pertes de performance à l’export qu’a connues la France en 2020 et 2021. | | (Alinéa sans modification) | Les aléas autour de ce scénario demeurent élevés mais sont équilibrés et l’incertitude s’est fortement réduite par rapport à la fin de l’année 2022 ou au début de l’année 2023. En particulier, l’incertitude entourant la prévision d’inflation s’est nettement réduite, les chiffres des derniers mois étant globalement en ligne avec la prévision du programme de stabilité. Par ailleurs, les risques sur l’approvisionnement énergétique pour l’hiver 2023‑2024 ont fortement diminué, grâce à la reconstitution rapide des stocks de gaz, des économies d’énergie qui semblent durables et du fort rebond de la production électrique. Enfin, les turbulences dans le secteur bancaire aux États‑Unis et en Suisse en mars et avril n’ont pas pesé sur le fonctionnement des marchés financiers et sur le financement de l’économie. | | | | Les aléas autour de ce scénario demeurent élevés mais sont équilibrés et l’incertitude s’est fortement réduite par rapport à la fin de l’année 2022 ou au début de l’année 2023. En particulier, l’incertitude entourant la prévision d’inflation s’est nettement réduite, les chiffres des derniers mois étant globalement en ligne avec la prévision du programme de stabilité. Par ailleurs, les risques sur l’approvisionnement énergétique pour l’hiver 2023‑2024 ont fortement diminué, grâce à la reconstitution rapide des stocks de gaz, des économies d’énergie qui semblent durables et du fort rebond de la production électrique. Enfin, les turbulences dans le secteur bancaire aux États‑Unis et en Suisse en mars et avril n’ont pas pesé sur le fonctionnement des marchés financiers et sur le financement de l’économie. | Les aléas autour de ce scénario demeurent élevés mais sont équilibrés et l’incertitude s’est fortement réduite par rapport à la fin de l’année 2022 ou au début de l’année 2023. En particulier, l’incertitude entourant la prévision d’inflation s’est nettement réduite, les chiffres des derniers mois étant globalement en ligne avec la prévision du programme de stabilité. Par ailleurs, les risques sur l’approvisionnement énergétique pour l’hiver 2023‑2024 ont fortement diminué, grâce à la reconstitution rapide des stocks de gaz, des économies d’énergie qui semblent durables et du fort rebond de la production électrique. Enfin, les turbulences dans le secteur bancaire aux États‑Unis et en Suisse en mars et avril n’ont pas pesé sur le fonctionnement des marchés financiers et sur le financement de l’économie. | |
| | | Le principal aléa concerne désormais le rythme et l’ampleur de la transmission du resserrement monétaire à l’activité. Le scénario du Gouvernement repose sur des taux qui atteindraient leur pic début 2024 avant de baisser progressivement. | | | | Le principal aléa concerne désormais le rythme et l’ampleur de la transmission du resserrement monétaire à l’activité. Le scénario du Gouvernement repose sur des taux qui atteindraient leur pic début 2024 avant de baisser progressivement. | Le principal aléa concerne désormais le rythme et l’ampleur de la transmission du resserrement monétaire à l’activité. Le scénario du Gouvernement repose sur des taux qui atteindraient leur pic début 2024 avant de baisser progressivement. | |
| | | L’évolution de l’activité en Chine est aussi un aléa pour la croissance et le commerce mondial. Le scénario intègre un ralentissement économique, qui pourrait être plus ou moins marqué en fonction de l’ampleur et de la contagion des difficultés du secteur immobilier et de la réponse des autorités chinoises. | | | | L’évolution de l’activité en Chine est aussi un aléa pour la croissance et le commerce mondial. Le scénario intègre un ralentissement économique, qui pourrait être plus ou moins marqué en fonction de l’ampleur et de la contagion des difficultés du secteur immobilier et de la réponse des autorités chinoises. | L’évolution de l’activité en Chine est aussi un aléa pour la croissance et le commerce mondial. Le scénario intègre un ralentissement économique, qui pourrait être plus ou moins marqué en fonction de l’ampleur et de la contagion des difficultés du secteur immobilier et de la réponse des autorités chinoises. | |
B. – Les perspectives à moyen terme (2024‑2027). | | B. – (Alinéa sans modification) | B. – Les perspectives à moyen terme (2025‑2027) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – Les perspectives à moyen terme (2025‑2027) | B. – Les perspectives à moyen terme (2025‑2027) | |
Principales hypothèses du scénario macroéconomique 2022-2027* | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 2,7 | 1,0 | 1,6 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 2,8 | 3,6 | 2,4 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | IPCHT | 5,4 | 4,3 | 3,0 | 2,1 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 8,6 | 5,0 | 3,9 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | PIB potentiel (en Md€ 2010) | 2 390 | 2 422 | 2 454 | 2 488 | 2 521 | 2 555 | Écart de production (en % du PIB) | -1,1 | -1,4 | -1,2 | -0,8 | -0,5 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire | (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non-agricoles | | Principales hypothèses du scénario macroéconomique 2022-2027* | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 2,7 | 1,0 | 1,6 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 2,8 | 3,6 | 2,4 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | IPCHT | 5,4 | 4,3 | 3,0 | 2,1 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 8,6 | 5,0 | 3,9 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | PIB potentiel (en Md€ 2010) | 2 390 | 2 422 | 2 454 | 2 488 | 2 521 | 2 555 | Écart de production (en % du PIB) | -1,1 | -1,4 | -1,2 | -0,8 | -0,5 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire | (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non-agricoles | | Principales hypothèses du scénario macroéconomique 2022-2027* | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 2,7 | 1,0 | 1,6 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 2,8 | 3,6 | 2,4 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | IPCHT | 5,4 | 4,3 | 3,0 | 2,1 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 8,6 | 5,0 | 3,9 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | PIB potentiel (en Md€ 2010) | 2 390 | 2 422 | 2 454 | 2 488 | 2 521 | 2 555 | Écart de production (en % du PIB) | -1,1 | -1,4 | -1,2 | -0,8 | -0,5 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire | (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non agricoles | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 1,0 | 1,4 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 5,7 | 2,5 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Indice des prix à la consommation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 6,5 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | Écart de production (en % du PIB) | -1,2 | -1,1 | -0,8 | -0,4 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire. (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non-agricoles. | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 1,0 | 1,4 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 5,7 | 2,5 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Indice des prix à la consommation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 6,5 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | Écart de production (en % du PIB) | -1,2 | -1,1 | -0,8 | -0,4 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire. (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non-agricoles. | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 1,0 | 1,4 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 5,7 | 2,5 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Indice des prix à la consommation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 6,5 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | Écart de production (en % du PIB) | -1,2 | -1,1 | -0,8 | -0,4 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire. (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non-agricoles. | | | | | | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 1,0 | 1,4 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 5,7 | 2,5 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Indice des prix à la consommation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 6,5 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | Écart de production (en % du PIB) | -1,2 | -1,1 | -0,8 | -0,4 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire. (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non-agricoles. | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 1,0 | 1,4 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 5,7 | 2,5 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Indice des prix à la consommation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 6,5 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | Écart de production (en % du PIB) | -1,2 | -1,1 | -0,8 | -0,4 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire. (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non-agricoles. | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | PIB (*) | 1,0 | 1,4 | 1,7 | 1,7 | 1,8 | Déflateur de PIB | 5,7 | 2,5 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Indice des prix à la consommation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | Masse salariale privée (**) | 6,5 | 3,6 | 3,4 | 3,4 | 3,4 | Croissance potentielle | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | 1,35 | Écart de production (en % du PIB) | -1,2 | -1,1 | -0,8 | -0,4 | 0,0 | Note : Données exprimées en taux d’évolution annuelle, sauf précision contraire. (*) Données corrigées des jours ouvrables. (**) Branches marchandes non-agricoles. | | |
Les données détaillées disponibles sur les années 2020 et 2021 permettent d’affiner le chiffrage de l’impact durable de la crise covid sur le potentiel de l’économie. Cet impact serait limité au vu de l’ampleur de la chute de l’activité en 2020 et transiterait essentiellement par un choc négatif temporaire sur la productivité globale des facteurs. L’emploi a en effet peu baissé durant la crise et est désormais nettement au‑dessus de son niveau d’avant crise, ce qui suggère l’absence d’effet de long terme de la crise sur le facteur travail. L’investissement n’a pas reculé davantage que l’activité en 2020, contrairement à ce qui est le cas d’ordinaire et a fortement rebondi en 2021 : l’impact durable de la crise sur le facteur capital serait donc très réduit et se limiterait à l’effet du moindre investissement en 2020. La PGF serait un peu plus touchée : la mise à l’arrêt de l’économie a pu en effet empêcher un certain nombre d’innovations, a compliqué la formation professionnelle des salariés et entraîné des réorganisations des processus de production (par exemple par la hausse durable des stocks pour faire face à des risques d’approvisionnement plus clairement identifiés ou la modification pérenne de certains processus pour tenir compte des risques sanitaires). Cette perte serait néanmoins limitée : contrairement aux crises précédentes, la crise de 2020 n’a en effet pas été révélatrice de déséquilibres macroéconomiques préexistants dont la correction pénaliserait durablement la croissance. En outre, le financement de l’économie n’a pas été affecté, grâce en particulier à la meilleure capitalisation du secteur bancaire en entrée de crise. Au total, la perte pérenne de crise serait de ‑¾ pt de PIB, un chiffre revu à la baisse par rapport aux précédentes estimations du Gouvernement : cet impact contenu reflète la nature exogène et temporaire de la crise et l’efficacité des mesures de soutien mises en place pour préserver le capital humain et productif. | | (Alinéa sans modification) | Le scénario potentiel est peu modifié par rapport à celui présenté en première lecture en septembre 2022. La perte pérenne de PIB potentiel en 2020‑2022 est revue légèrement à la hausse. Cela reflète une perte de productivité globale des facteurs un peu plus forte qu’estimé en septembre dernier et un rebond un peu plus tardif, en lien avec l’enchaînement de la crise de la covid et des conséquences de l’invasion de l’Ukraine (modification des comportements des ménages et des entreprises en raison de la hausse de l’incertitude et de la hausse des prix de l’énergie). Au total, la perte pérenne liée à la succession des crises sanitaire et énergétique, précédemment estimée à un peu moins d’un point, serait révisée à la hausse à un peu plus d’un point (révision de ‑0,5 point, de ‑1,25 point PIB au lieu de ‑0,75 point précédemment). | Le scénario potentiel est peu modifié par rapport à celui présenté en première lecture en septembre 2022. La perte pérenne de PIB potentiel en 2020‑2022 est revue légèrement à la hausse. Cela reflète une perte de productivité globale des facteurs un peu plus forte qu’estimé en septembre dernier et un rebond un peu plus tardif, en lien avec l’enchaînement de la crise de la covid et des conséquences de l’invasion de l’Ukraine (modification des comportements des ménages et des entreprises en raison de la hausse de l’incertitude et de la hausse des prix de l’énergie). Au total, la perte pérenne liée à la succession des crises sanitaire et énergétique, précédemment estimée à un peu moins d’un point, serait révisée à la hausse à un peu plus d’un point (révision de ‑0,5 point, à ‑1,25 point de PIB au lieu de ‑0,75 point précédemment). | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le scénario potentiel est peu modifié par rapport à celui présenté en première lecture en septembre 2022. La perte pérenne de PIB potentiel en 2020‑2022 est revue légèrement à la hausse. Cela reflète une perte de productivité globale des facteurs un peu plus forte qu’estimé en septembre dernier et un rebond un peu plus tardif, en lien avec l’enchaînement de la crise de la covid et des conséquences de l’invasion de l’Ukraine (modification des comportements des ménages et des entreprises en raison de la hausse de l’incertitude et de la hausse des prix de l’énergie). Au total, la perte pérenne liée à la succession des crises sanitaire et énergétique, précédemment estimée à un peu moins d’un point, serait révisée à la hausse à un peu plus d’un point (révision de ‑0,5 point, à ‑1,25 point de PIB au lieu de ‑0,75 point précédemment). | Le scénario potentiel est peu modifié par rapport à celui présenté en première lecture en septembre 2022. La perte pérenne de PIB potentiel en 2020‑2022 est revue légèrement à la hausse. Cela reflète une perte de productivité globale des facteurs un peu plus forte qu’estimé en septembre dernier et un rebond un peu plus tardif, en lien avec l’enchaînement de la crise de la covid et des conséquences de l’invasion de l’Ukraine (modification des comportements des ménages et des entreprises en raison de la hausse de l’incertitude et de la hausse des prix de l’énergie). Au total, la perte pérenne liée à la succession des crises sanitaire et énergétique, précédemment estimée à un peu moins d’un point, serait révisée à la hausse à un peu plus d’un point (révision de ‑0,5 point, à ‑1,25 point de PIB au lieu de ‑0,75 point précédemment). | |
À partir de 2022, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, un niveau identique à celui prévu dans la LPFP 2018‑2022, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme du RSA, de la réforme de contra‑cyclicité de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle Emploi en France Travail), de l’élargissement au lycée professionnel du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. | | (Alinéa sans modification) | À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle Emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôts sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises – CVAE). | À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle Emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôts sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises [CVAE]). | (Alinéa sans modification) | À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôt sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises [CVAE]). | À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôt sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises [CVAE]). | À partir de 2023, la croissance potentielle s’établirait à 1,35 %, la capacité productive de l’économie étant soutenue par les réformes du Gouvernement. Ces dernières contribueraient notamment à accroître l’offre de travail et à parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : il s’agit en particulier de la réforme des retraites, de la réforme de l’assurance chômage, de l’amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (transformation de Pôle emploi en France Travail), de la réforme du revenu de solidarité active, de la réforme du lycée professionnel, du succès de l’apprentissage et de la mise en place d’un service public de la petite enfance. La contribution du capital à la croissance serait également soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’impôt sur les sociétés, plan France relance) et futures (France 2030, suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises [CVAE]). | |
Cette évaluation de la croissance potentielle est proche de celle du FMI (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,4 % en 2022) mais inférieure sur la suite de période, cf. encadré infra. | | (Alinéa sans modification) | Cette évaluation de la croissance potentielle est en ligne avec celle du Fonds monétaire international et de l’Observatoire français de conjoncture économique (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,1 % en moyenne 2022‑2024). L’estimation de l’Organisation de coopération et de développement économique est elle aussi proche, à 1,1 % sur la période 2022‑2024 (l’OCDE ne publiant pas au‑delà). Au delà de différences méthodologiques, les prévisions externes n’intègrent pas la majorité des réformes prévues par le Gouvernement qui viendraient souvenir la croissance potentielle, notamment celle des retraites, ce qui peut expliquer une partie importante des écarts. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Cette évaluation de la croissance potentielle est en ligne avec celle du Fonds monétaire international et de l’Observatoire français de conjoncture économique (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,1 % en moyenne 2022‑2024). L’estimation de l’Organisation de coopération et de développement économique est elle aussi proche, à 1,1 % sur la période 2022‑2024 (l’OCDE ne publiant pas au‑delà). Au‑delà de différences méthodologiques, les prévisions externes n’intègrent pas la majorité des réformes prévues par le Gouvernement qui viendraient souvenir la croissance potentielle, notamment celle des retraites, ce qui peut expliquer une partie importante des écarts. | Cette évaluation de la croissance potentielle est en ligne avec celle du Fonds monétaire international et de l’Observatoire français de conjoncture économique (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,1 % en moyenne 2022‑2024). L’estimation de l’Organisation de coopération et de développement économique est elle aussi proche, à 1,1 % sur la période 2022‑2024 (l’OCDE ne publiant pas au‑delà). Au delà de différences méthodologiques, les prévisions externes n’intègrent pas la majorité des réformes prévues par le Gouvernement qui viendraient souvenir la croissance potentielle, notamment celle des retraites, ce qui peut expliquer une partie importante des écarts. | Cette évaluation de la croissance potentielle est en ligne avec celle du Fonds monétaire international et de l’Observatoire français de conjoncture économique (1,3 %). L’estimation de la Commission européenne est proche sur le court terme (1,1 % en moyenne 2022‑2024). L’estimation de l’Organisation de coopération et de développement économique est elle aussi proche, à 1,1 % sur la période 2022‑2024 (l’OCDE ne publiant pas au‑delà). Au delà de différences méthodologiques, les prévisions externes n’intègrent pas la majorité des réformes prévues par le Gouvernement qui viendraient souvenir la croissance potentielle, notamment celle des retraites, ce qui peut expliquer une partie importante des écarts. | |
| | | La croissance effective sur la période 2025‑2027 serait supérieure à son rythme potentiel de 1,35 % et l’écart de production, encore de 1,2 % en 2023, serait refermé en 2027. La croissance s’établirait ainsi à 1,7 % en moyenne sur la période 2024‑2027, avec un rythme un peu plus important en 2027 (1,8 %), reflétant la dissipation progressive des contraintes liées à la crise sanitaire et au conflit en Ukraine. Du point de vue de la demande, la croissance serait d’abord tirée par la normalisation progressive du taux d’épargne, qui tendrait vers son niveau d’avant crise en 2027. Elle profiterait aussi du rattrapage d’environ un tiers des pertes de performances à l’export observées entre 2020 et 2022 (contre un peu plus de la moitié dans les deux années ayant suivi la crise de 2009, alors que les pertes constatées étaient sensiblement moins importantes). Du point de vue de l’offre, l’activité bénéficierait des mesures de soutien prises par le Gouvernement (France 2030, baisse de la fiscalité sur la production, réformes du marché du travail), ainsi que de la dissipation des contraintes d’approvisionnement persistantes (notamment dans l’automobile et l’aéronautique). Le taux d’investissement des entreprises, qui continuerait d’être soutenu par la transition numérique et écologique et les mesures du Gouvernement (baisse de la fiscalité, notamment), serait quasi‑stable après une décennie de hausse rapide. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | La croissance effective sur la période 2025‑2027 serait supérieure à son rythme potentiel de 1,35 % et l’écart de production, encore de 1,2 % en 2023, serait refermé en 2027. La croissance s’établirait ainsi à 1,7 % en moyenne sur la période 2024‑2027, avec un rythme un peu plus important en 2027 (1,8 %), reflétant la dissipation progressive des contraintes liées à la crise sanitaire et au conflit en Ukraine. Du point de vue de la demande, la croissance serait d’abord tirée par la normalisation progressive du taux d’épargne, qui tendrait vers son niveau d’avant crise en 2027. Elle profiterait aussi du rattrapage d’environ un tiers des pertes de performances à l’export observées entre 2020 et 2022 (contre un peu plus de la moitié dans les deux années ayant suivi la crise de 2009, alors que les pertes constatées étaient sensiblement moins importantes). Du point de vue de l’offre, l’activité bénéficierait des mesures de soutien prises par le Gouvernement (France 2030, baisse de la fiscalité sur la production, réformes du marché du travail), ainsi que de la dissipation des contraintes d’approvisionnement persistantes (notamment dans l’automobile et l’aéronautique). Le taux d’investissement des entreprises, qui continuerait d’être soutenu par la transition numérique et écologique et les mesures du Gouvernement (baisse de la fiscalité, notamment), serait quasi‑stable après une décennie de hausse rapide. | La croissance effective sur la période 2025‑2027 serait supérieure à son rythme potentiel de 1,35 % et l’écart de production, encore de 1,2 % en 2023, serait refermé en 2027. La croissance s’établirait ainsi à 1,7 % en moyenne sur la période 2024‑2027, avec un rythme un peu plus important en 2027 (1,8 %), reflétant la dissipation progressive des contraintes liées à la crise sanitaire et au conflit en Ukraine. Du point de vue de la demande, la croissance serait d’abord tirée par la normalisation progressive du taux d’épargne, qui tendrait vers son niveau d’avant crise en 2027. Elle profiterait aussi du rattrapage d’environ un tiers des pertes de performances à l’export observées entre 2020 et 2022 (contre un peu plus de la moitié dans les deux années ayant suivi la crise de 2009, alors que les pertes constatées étaient sensiblement moins importantes). Du point de vue de l’offre, l’activité bénéficierait des mesures de soutien prises par le Gouvernement (France 2030, baisse de la fiscalité sur la production, réformes du marché du travail), ainsi que de la dissipation des contraintes d’approvisionnement persistantes (notamment dans l’automobile et l’aéronautique). Le taux d’investissement des entreprises, qui continuerait d’être soutenu par la transition numérique et écologique et les mesures du Gouvernement (baisse de la fiscalité, notamment), serait quasi‑stable après une décennie de hausse rapide. | |
La période retenue pour calculer l’écart de production a été revue afin de tenir compte des données récentes : elle couvre désormais les années 1993‑2019, pour inclure deux cycles économiques complets (du creux au pic) ainsi que les dernières années. Sur cette période, l’écart de production est par construction en moyenne égal à 0. L’écart de production ainsi calculé est de +0,9 pt en 2019, ‑1, 1 pt en 2022 et ‑1,4 pt en 2023. | | (Alinéa sans modification) | L’inflation refluerait progressivement vers son niveau de long terme, estimé à 1,75 %, ce qui refléterait la fin de la transmission aux prix à la consommation des hausses passées de prix de matières premières et le ralentissement des salaires (dans le sillage de celui, déjà entamé, de l’inflation). Elle reviendrait en 2026 à +1,75 % au sens de l’IPC, un niveau cohérent avec la cible de la BCE de 2 % pour la zone euro au sens de l’indice des prix à la consommation harmonisé. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | L’inflation refluerait progressivement vers son niveau de long terme, estimé à 1,75 %, ce qui refléterait la fin de la transmission aux prix à la consommation des hausses passées de prix de matières premières et le ralentissement des salaires (dans le sillage de celui, déjà entamé, de l’inflation). Elle reviendrait en 2026 à +1,75 % au sens de l’IPC, un niveau cohérent avec la cible de la Banque centrale européenne (BCE) de 2 % pour la zone euro, au sens de l’indice des prix à la consommation harmonisé. | L’inflation refluerait progressivement vers son niveau de long terme, estimé à 1,75 %, ce qui refléterait la fin de la transmission aux prix à la consommation des hausses passées de prix de matières premières et le ralentissement des salaires (dans le sillage de celui, déjà entamé, de l’inflation). Elle reviendrait en 2026 à +1,75 % au sens de l’IPC, un niveau cohérent avec la cible de la Banque centrale européenne (BCE) de 2 % pour la zone euro, au sens de l’indice des prix à la consommation harmonisé. | |
Encadré : comparaison de l’estimation de croissance potentielle du Gouvernement avec celle de la Commission européenne | | (Alinéa sans modification) | Comparaison de l’estimation de croissance potentielle du Gouvernement avec celle de la Commission européenne | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Comparaison de l’estimation de croissance potentielle du Gouvernement avec celle de la Commission européenne | Comparaison de l’estimation de croissance potentielle du Gouvernement avec celle de la Commission européenne | |
| LPFP 2022 - 2027 | Commission 2022 - 2026 | Croissance potentielle (%) | 1,35 | 1,1 | dont contribution du facteur travail (pt) | 0,3 / 0,4 | 0,4 | dont contribution du facteur capital (pt) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | dont contribution de la productivité globale des facteurs (pt) | 0,4 / 0,5 | 0,2 | | | LPFP 2022 - 2027 | Commission 2022 - 2026 | Croissance potentielle (%) | 1,35 | 1,1 | dont contribution du facteur travail (pt) | 0,3 / 0,4 | 0,4 | dont contribution du facteur capital (pt) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | dont contribution de la productivité globale des facteurs (pt) | 0,4 / 0,5 | 0,2 | | | LPFP 2022 - 2027 | Commission 2022 - 2026 | Croissance potentielle (%) | 1,35 | 1,1 | dont contribution du facteur travail (pt) | 0,3 / 0,4 | 0,4 | dont contribution du facteur capital (pt) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | dont contribution de la productivité globale des facteurs (pt) | 0,4 / 0,5 | 0,2 | | | LPFP 2023 - 2027 | Commission 2023 - 2027 | Croissance potentielle (en %) | 1,35 | 0,8 | - dont contribution du facteur travail (en point) | 0,3 / 0,4 | 0,3 | - dont contribution du facteur capital (en point) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | - dont contribution de la productivité globale des facteurs (en point) | 0,4 / 0,5 | 0,1 | | | LPFP 2023 - 2027 | Commission 2023 - 2027 | Croissance potentielle (en %) | 1,35 | 0,8 | - dont contribution du facteur travail (en points) | 0,3 / 0,4 | 0,3 | - dont contribution du facteur capital (en points) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | - dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points) | 0,4 / 0,5 | 0,1 | | | LPFP 2023 - 2027 | Commission 2023 - 2027 | Croissance potentielle (en %) | 1,35 | 0,8 | - dont contribution du facteur travail (en points) | 0,3 / 0,4 | 0,3 | - dont contribution du facteur capital (en points) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | - dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points) | 0,4 / 0,5 | 0,1 | | | LPFP 2023 - 2027 | Commission 2023 - 2027 | Croissance potentielle (en %) | 1,35 | 0,8 | - dont contribution du facteur travail (en points) | 0,3 / 0,4 | 0,3 | - dont contribution du facteur capital (en points) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | - dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points) | 0,4 / 0,5 | 0,1 | | | LPFP 2023 - 2027 | Commission 2023 - 2027 | Croissance potentielle (en %) | 1,35 | 0,8 | - dont contribution du facteur travail (en points) | 0,3 / 0,4 | 0,3 | - dont contribution du facteur capital (en points) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | - dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points) | 0,4 / 0,5 | 0,1 | | | LPFP 2023 - 2027 | Commission 2023 - 2027 | Croissance potentielle (en %) | 1,35 | 0,8 | - dont contribution du facteur travail (en points) | 0,3 / 0,4 | 0,3 | - dont contribution du facteur capital (en points) | 0,5 / 0,6 | 0,5 | - dont contribution de la productivité globale des facteurs (en points) | 0,4 / 0,5 | 0,1 | | |
Le scénario retenu pour 2022 et 2023 est proche de celui de la Commission européenne, qui prévoit une croissance potentielle de +1,4 % par an en moyenne sur cette période dans ses prévisions de printemps 2022. À partir de 2024, la prévision de croissance potentielle de la Commission est inférieure à celle du PLPFP, à +0,9 % par an en moyenne. En moyenne sur l’horizon de prévision, la Commission prévoit une croissance de +1,1 %. Les écarts entre ces deux prévisions tiennent principalement à la prévision de productivité globale des facteurs (PGF) potentielle, et à partir de 2024, à la prévision d’emploi potentiel. | | (Alinéa sans modification) | Le scénario retenu pour 2023 et 2024 est un peu supérieur à celui de la Commission européenne, qui prévoit une croissance potentielle de +1,1 % par an en moyenne sur cette période dans ses prévisions de printemps 2023. En moyenne sur l’horizon de prévision, la prévision de croissance potentielle de la Commission est plus nettement inférieure à celle du projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027, à +0,8 % par an en moyenne. Les écarts entre ces deux prévisions tiennent principalement à la prévision de productivité globale des facteurs (PGF) potentielle, qui est plus basse pour la Commission (cf. détail par composantes infra). La baisse marquée de la croissance potentielle entre 2023‑2024 et 2025‑2027 dans la méthodologie de la Commission contraste avec les projections des autres organismes et souligne l’incertitude qui entoure les estimations potentielles, faisant souvent l’objet de révisions ex post (1). | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le scénario retenu pour 2023 et 2024 est un peu supérieur à celui de la Commission européenne, qui prévoit une croissance potentielle de +1,1 % par an en moyenne sur cette période dans ses prévisions de printemps 2023. En moyenne sur l’horizon de prévision, la prévision de croissance potentielle de la Commission est plus nettement inférieure à celle du projet de loi de programmation des finances publiques (PLPFP) pour les années 2023 à 2027, à +0,8 % par an en moyenne. Les écarts entre ces deux prévisions tiennent principalement à la prévision de productivité globale des facteurs (PGF) potentielle, qui est plus basse pour la Commission (cf. détail par composantes infra). La baisse marquée de la croissance potentielle entre 2023‑2024 et 2025‑2027 dans la méthodologie de la Commission contraste avec les projections des autres organismes et souligne l’incertitude qui entoure les estimations potentielles, faisant souvent l’objet de révisions ex post (1). | Le scénario retenu pour 2023 et 2024 est un peu supérieur à celui de la Commission européenne, qui prévoit une croissance potentielle de +1,1 % par an en moyenne sur cette période dans ses prévisions de printemps 2023. En moyenne sur l’horizon de prévision, la prévision de croissance potentielle de la Commission est plus nettement inférieure à celle du projet de loi de programmation des finances publiques (PLPFP) pour les années 2023 à 2027, à +0,8 % par an en moyenne. Les écarts entre ces deux prévisions tiennent principalement à la prévision de productivité globale des facteurs (PGF) potentielle, qui est plus basse pour la Commission (cf. détail par composantes infra). La baisse marquée de la croissance potentielle entre 2023‑2024 et 2025‑2027 dans la méthodologie de la Commission contraste avec les projections des autres organismes et souligne l’incertitude qui entoure les estimations potentielles, faisant souvent l’objet de révisions ex post (1). | |
L’écart de production retenu en 2021 (‑2,4 %) est relativement proche de l’estimation de la Commission européenne (‑1,7 %), dans un contexte de forte incertitude et de révisions fréquentes des estimations sur le passé. | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
Concernant l’emploi potentiel, les différences sont limitées en moyenne sur l’horizon, malgré des choix légèrement différents. En particulier, les hypothèses de population active sont différentes. La Commission utilise en effet l’exercice européen de projection de population à moyen terme (« Europop »), tandis que les estimations du Gouvernement s’appuient sur les projections les plus récentes de l’Insee pour la France, publiées le 30 juin 2022, auxquelles est ajouté l’effet des différentes réformes prévues par le Gouvernement pour soutenir la population active à l’horizon 2027, notamment la réforme des retraites. | | (Alinéa sans modification) | Concernant la contribution du facteur travail, les différences apparaissent limitées en moyenne sur l’horizon mais ceci masque des hypothèses divergentes. De façon générale, la méthodologie de la Commission ne permettait pas encore de capter l’effet des réformes du Gouvernement sur le marché du travail au delà de 2024. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Concernant la contribution du facteur travail, les différences apparaissent limitées en moyenne sur l’horizon mais ceci masque des hypothèses divergentes. De façon générale, la méthodologie de la Commission ne permettait pas encore de capter l’effet des réformes du Gouvernement sur le marché du travail au‑delà de 2024. | Concernant la contribution du facteur travail, les différences apparaissent limitées en moyenne sur l’horizon mais ceci masque des hypothèses divergentes. De façon générale, la méthodologie de la Commission ne permettait pas encore de capter l’effet des réformes du Gouvernement sur le marché du travail au delà de 2024. | Concernant la contribution du facteur travail, les différences apparaissent limitées en moyenne sur l’horizon mais ceci masque des hypothèses divergentes. De façon générale, la méthodologie de la Commission ne permettait pas encore de capter l’effet des réformes du Gouvernement sur le marché du travail au delà de 2024. | |
De même, le chômage structurel (estimé comme un NAWRU, c’est‑à‑dire le taux de chômage au niveau duquel il n’y a pas d’accélération des coûts salariaux unitaires réels) diffère de celui de la Commission : le Gouvernement prend en compte une transmission plus rapide de la nette baisse observée du chômage effectif au chômage structurel, alors que la Commission n’attribue à la baisse du chômage observée ces dernières années qu’une faible part structurelle. Ainsi, alors que le taux de chômage effectif en France s’établit au 2e trimestre à 7,4 %, plus de 3 points sous le point haut atteint en 2015, le NAWRU estimé par la Commission ne baisse que de 0,5 pt sur la même période. Par ailleurs, la prévision de chômage structurel sous‑jacente au PLPFP intègre l’effet global des réformes prévues par le Gouvernement pour parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 : réforme de contra‑cyclicité de l’assurance chômage, amélioration de l’accompagnement des demandeurs d’emploi (réforme de Pôle Emploi en France Travail), élargissement au lycée professionnel du succès de l’apprentissage et mise en place d’un service public de la petite enfance. | | (Alinéa sans modification) | De même, le chômage structurel (estimé comme un NAWRU, c’est‑à‑dire le taux de chômage au niveau duquel il n’y a pas d’accélération des coûts salariaux unitaires réels) diffère de celui de la Commission : le Gouvernement prend en compte une transmission plus rapide de la nette baisse observée du chômage effectif au chômage structurel, alors que la Commission considère que la baisse du chômage observée ces dernières années est largement conjoncturelle. Ainsi, alors que le taux de chômage effectif en France s’établit au deuxième trimestre 2023 à 7,2 %, plus de 3 points sous le point haut atteint en 2015, le chômage structurel estimé par la Commission ne baisse que de moins d’un point sur la même période et se stabiliserait à partir de 2025. La prévision de chômage structurel sous‑jacente au PLPFP intègre une montée en charge progressive des réformes prévues par le Gouvernement pour parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 (cf. supra). | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | De même, le chômage structurel (estimé comme un NAWRU, c’est‑à‑dire le taux de chômage au niveau duquel il n’y a pas d’accélération des coûts salariaux unitaires réels) diffère de celui de la Commission : le Gouvernement prend en compte une transmission plus rapide de la nette baisse observée du chômage effectif au chômage structurel, alors que la Commission considère que la baisse du chômage observée ces dernières années est largement conjoncturelle. Ainsi, alors que le taux de chômage effectif en France s’établit au deuxième trimestre 2023 à 7,2 %, plus de 3 points sous le point haut atteint en 2015, le chômage structurel estimé par la Commission ne baisse que de moins d’un point sur la même période et se stabiliserait à partir de 2025. La prévision de chômage structurel sous‑jacente au PLPFP intègre une montée en charge progressive des réformes prévues par le Gouvernement pour parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 (cf. supra). | De même, le chômage structurel (estimé comme un NAWRU, c’est‑à‑dire le taux de chômage au niveau duquel il n’y a pas d’accélération des coûts salariaux unitaires réels) diffère de celui de la Commission : le Gouvernement prend en compte une transmission plus rapide de la nette baisse observée du chômage effectif au chômage structurel, alors que la Commission considère que la baisse du chômage observée ces dernières années est largement conjoncturelle. Ainsi, alors que le taux de chômage effectif en France s’établit au deuxième trimestre 2023 à 7,2 %, plus de 3 points sous le point haut atteint en 2015, le chômage structurel estimé par la Commission ne baisse que de moins d’un point sur la même période et se stabiliserait à partir de 2025. La prévision de chômage structurel sous‑jacente au PLPFP intègre une montée en charge progressive des réformes prévues par le Gouvernement pour parvenir au plein emploi à l’horizon 2027 (cf. supra). | |
Les prévisions relatives à l’accumulation du capital des scénarios du Gouvernement et de la Commission sont proches, avec une contribution de +0,5 pt en moyenne à partir de 2022. Le scénario de capital retenu par le Gouvernement repose sur un taux d’investissement par rapport au capital existant qui se maintiendrait à son niveau de 2021. Sur la période de prévision, la contribution du capital serait soutenue par les mesures du Gouvernement, passées (baisse de l’IS, plan de relance) et futures (France 2030, suppression de la CVAE). | | (Alinéa sans modification) | Les prévisions relatives au facteur capital des scénarios du Gouvernement et de la Commission sont proches, avec une contribution de +0,5 point en moyenne à partir de 2023. Le scénario de capital retenu par le Gouvernement repose sur une quasi‑stabilisation du taux d’investissement après deux années, 2021 et 2022, particulièrement dynamiques. Sur la période de prévision, la contribution du capital serait soutenue par les mesures du Gouvernement. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Les prévisions relatives au facteur capital des scénarios du Gouvernement et de la Commission sont proches, avec une contribution de +0,5 point en moyenne à partir de 2023. Le scénario de capital retenu par le Gouvernement repose sur une quasi‑stabilisation du taux d’investissement après deux années, 2021 et 2022, particulièrement dynamiques. Sur la période de prévision, la contribution du capital serait soutenue par les mesures du Gouvernement. | Les prévisions relatives au facteur capital des scénarios du Gouvernement et de la Commission sont proches, avec une contribution de +0,5 point en moyenne à partir de 2023. Le scénario de capital retenu par le Gouvernement repose sur une quasi‑stabilisation du taux d’investissement après deux années, 2021 et 2022, particulièrement dynamiques. Sur la période de prévision, la contribution du capital serait soutenue par les mesures du Gouvernement. | |
En revanche, la Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle plus lente que le Gouvernement (à +0,2 % par an en moyenne contre +0,4 %/+0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié à la crise sanitaire. Du fait de la nature exogène et temporaire de la crise, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise en 2020. En particulier, il est supposé que la crise n’a pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifie pas de révision de la croissance potentielle sur le passé ; cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie en 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle après 2020. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré‑crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,2 % par an sur la même période, et prolonge donc cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la précédente LPFP du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition. | | En revanche, la Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle plus lente que le Gouvernement (à +0,2 % par an en moyenne contre +0,4 %/+0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié à la crise sanitaire. Du fait de la nature exogène et temporaire de la crise, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise en 2020. En particulier, il est supposé que la crise n’a pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifie pas de révision de la croissance potentielle sur le passé ; cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie en 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle après 2020. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,2 % par an sur la même période, et prolonge donc cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la précédente LPFP du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition. | La Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle bien plus lente que le Gouvernement (à +0,1 % par an en moyenne contre +0,4 % à +0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié aux conséquences successives de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine. Du fait de la nature exogène et temporaire de ces crises, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise sur la période 2020‑2022. En particulier, il est supposé que ces chocs n’ont pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifient pas de révision de la croissance potentielle sur le passé. Cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie dès 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle en prévision. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré‑crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,15 % par an sur cette même période et prolonge cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la LPFP 2018‑2022 du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | La Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle bien plus lente que le Gouvernement (à +0,1 % par an en moyenne contre +0,4 % à +0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié aux conséquences successives de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine. Du fait de la nature exogène et temporaire de ces crises, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise sur la période 2020‑2022. En particulier, il est supposé que ces chocs n’ont pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifient pas de révision de la croissance potentielle sur le passé. Cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie dès 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle en prévision. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré‑crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,15 % par an sur cette même période et prolonge cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la loi de programmation des finances publiques (LPFP) 2018‑2022 du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition. | La Commission retient une progression de la productivité globale des facteurs (PGF) potentielle bien plus lente que le Gouvernement (à +0,1 % par an en moyenne contre +0,4 % à +0,5 %). Cela s’explique notamment par la façon dont est analysé et évalué le choc économique lié aux conséquences successives de la crise sanitaire et de la guerre en Ukraine. Du fait de la nature exogène et temporaire de ces crises, le Gouvernement a retenu un choc en niveau sur la PGF potentielle, qui se matérialise sur la période 2020‑2022. En particulier, il est supposé que ces chocs n’ont pas révélé de déséquilibre préexistant et ne justifient pas de révision de la croissance potentielle sur le passé. Cette absence de déséquilibre et le fort rebond de l’économie dès 2021 suggèrent également de ne pas retenir de baisse de la croissance potentielle en prévision. La Commission a traité la crise de manière différente : elle ne retient pas de choc en niveau, mais un effet lissé sur la productivité tendancielle et donc sur la croissance potentielle sur une période longue. Ainsi, dans ses dernières prévisions pré‑crise, la Commission estimait la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,4 % par an sur la période 2011‑2019. Elle estime aujourd’hui la croissance moyenne de la PGF potentielle à +0,15 % par an sur cette même période et prolonge cet effet de la crise en prévision sur l’horizon 2022‑2027. Sur la PGF, le Gouvernement retient une hypothèse légèrement inférieure à celle de la loi de programmation des finances publiques (LPFP) 2018‑2022 du fait de l’enrichissement de la croissance en emploi, qui se traduirait par l’entrée sur le marché du travail de personnes moins qualifiées, ce qui réduit mécaniquement la progression de la PGF par un effet de composition. | |
La croissance effective sur la période 2024‑2027 serait un peu supérieure à son rythme potentiel de 1,35 %, afin de refermer complètement l’écart de production en 2027. Du point de vue de la demande, la croissance serait tirée tout d’abord par la normalisation progressive du taux d’épargne, toujours largement supérieur à son niveau d’avant‑crise en 2023. Elle profiterait aussi du rattrapage d’une partie des pertes de performances à l’export observées entre 2020 et 2022, grâce à la normalisation partielle de la structure sectorielle du commerce et aux mesures de soutien à l’offre prises par le Gouvernement (France 2030, baisse de la fiscalité sur la production). Le taux d’investissement des entreprises, qui est soutenu par la transition numérique et écologique, resterait proche du niveau des dernières années sans toutefois prolonger la tendance haussière à l’œuvre depuis plus de 20 ans. Côté offre, l’activité serait soutenue par le rattrapage de la production des secteurs affectés par la crise covid, notamment les secteurs automobile et aéronautique, et la poursuite de la décrue déjà amorcée des tensions d’approvisionnement. | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
L’inflation refluerait progressivement au fur et à mesure de la fin de la transmission des hausses passées de prix de matières premières et de la dissipation progressive des tensions d’approvisionnement. Elle reviendrait en 2026 à son niveau de long terme estimé à +1,75 %, cohérent avec la cible de la BCE. | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
II. – Dès 2023, le Gouvernement donnera la priorité au renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer la transition écologique et numérique, favoriser de la compétitivité de nos entreprises et atteindre le plein emploi, tout en respectant nos engagements de finances publiques | II. – (Alinéa sans modification) | II. – (Alinéa sans modification) | II. – Dès 2023, le Gouvernement donnera la priorité au renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, favoriser la compétitivité de nos entreprises et atteindre le plein emploi, tout en respectant nos engagements de finances publiques | II. – (Alinéa sans modification) | II. – (Alinéa sans modification) | II. – (Alinéa sans modification) | II. – Dès 2023, le Gouvernement donnera la priorité au renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, favoriser la compétitivité de nos entreprises et atteindre le plein emploi, tout en respectant nos engagements de finances publiques | II. – Dès 2023, le Gouvernement donnera la priorité au renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, favoriser la compétitivité de nos entreprises et atteindre le plein emploi, tout en respectant nos engagements de finances publiques | |
A. – Conformément à nos engagements européens, la politique du Gouvernement vise un retour vers l’équilibre structurel et une réduction du ratio de dette publique | | A. – (Alinéa sans modification) | A. – (Alinéa sans modification) | A. – (Alinéa sans modification) | | | A. – Conformément à nos engagements européens, la politique du Gouvernement vise un retour vers l’équilibre structurel et une réduction du ratio de dette publique | A. – Conformément à nos engagements européens, la politique du Gouvernement vise un retour vers l’équilibre structurel et une réduction du ratio de dette publique | |
La trajectoire retenue dans la présente loi de programmation marque la volonté du Gouvernement d’un retour à des comptes publics normalisés, une fois la crise sanitaire passée. La présente loi prévoit ainsi un retour du déficit public sous le seuil des 3,0 % du PIB en 2027, grâce à un redressement du solde structurel de 1,2 point entre 2024 et 2027. Cet ajustement progressif permettra à la France de s’engager, dès 2026, sur le chemin d’une réduction du ratio de dette publique rapporté au PIB : ce dernier, après s’être établi à 112,8 % en 2021, atteindrait 111,7 % en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 110,9 % en 2027. | | (Alinéa sans modification) | La trajectoire retenue dans la présente loi de programmation marque la volonté du Gouvernement d’un retour à des comptes publics normalisés, une fois les crises sanitaire et énergétique passées. La présente loi prévoit ainsi un retour du déficit public sous le seuil des 3,0 % du PIB en 2027, grâce à un redressement du solde structurel de 1,5 point entre 2023 et 2027. Cet ajustement progressif permettra à la France de s’engager, dès 2025, sur le chemin d’une réduction du ratio de dette publique rapporté au PIB : ce dernier, après s’être établi à 112,9 % en 2021, atteindrait 109,6 % en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 108,1 % en 2027. | (Alinéa sans modification) | | | La trajectoire retenue dans la présente loi de programmation marque la volonté du Gouvernement d’un retour à des comptes publics normalisés, une fois les crises sanitaire et énergétique passées. La présente loi prévoit ainsi un retour du déficit public sous le seuil des 3,0 % du PIB en 2027, grâce à un redressement du solde structurel de 1,5 point entre 2023 et 2027. Cet ajustement progressif permettra à la France de s’engager, dès 2025, sur le chemin d’une réduction du ratio de dette publique rapporté au PIB : ce dernier, après s’être établi à 112,9 % en 2021, atteindrait 109,6 % en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 108,1 % en 2027. | La trajectoire retenue dans la présente loi de programmation marque la volonté du Gouvernement d’un retour à des comptes publics normalisés, une fois les crises sanitaire et énergétique passées. La présente loi prévoit ainsi un retour du déficit public sous le seuil des 3,0 % du PIB en 2027, grâce à un redressement du solde structurel de 1,5 point entre 2023 et 2027. Cet ajustement progressif permettra à la France de s’engager, dès 2025, sur le chemin d’une réduction du ratio de dette publique rapporté au PIB : ce dernier, après s’être établi à 112,9 % en 2021, atteindrait 109,6 % en 2025. Il baisserait ensuite, pour atteindre 108,1 % en 2027. | |
La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1 A de la loi organique n° 2001‑692 du 1 août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP. | | La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1 A de la loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP. | La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1er A de la loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP. | La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1er A de la loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP. | | | La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1er A de la loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP. | La présente loi de programmation se fonde donc sur une dynamique d’amélioration du solde structurel jusqu’en 2027, en vue de converger vers l’objectif à moyen terme d’équilibre structurel des finances publiques (OMT). Comme prévu dans le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance au sein de l’Union économique et monétaire (TSCG), l’OMT est fixé de manière spécifique par chaque État, avec une limite inférieure de ‑0,5 % de PIB potentiel pour la France. Conformément à l’article 1er A de la loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques), il revient à la loi de programmation des finances publiques de fixer l’OMT visé par le Gouvernement. L’article 2 de la présente loi de programmation fixe l’OMT à ‑0,4 % du PIB potentiel. L’OMT est inchangé par rapport à la précédente LPFP. | |
Cette trajectoire de consolidation progressive des finances publiques doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Ces différentes mesures pourront être mises en œuvre tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques via une maitrise de la dépense publique dans tous les sous‑secteurs. | | Cette trajectoire de consolidation progressive des finances publiques doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Ces différentes mesures pourront être mises en œuvre tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques via une maîtrise de la dépense publique dans tous les sous‑secteurs. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | | Cette trajectoire de consolidation progressive des finances publiques doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Ces différentes mesures pourront être mises en œuvre tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques via une maîtrise de la dépense publique dans tous les sous‑secteurs. | Cette trajectoire de consolidation progressive des finances publiques doit s’accompagner d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Ainsi, la poursuite du déploiement du plan « France 2030 » permettra de stimuler l’économie et de soutenir la croissance potentielle en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Ces différentes mesures pourront être mises en œuvre tout en garantissant la soutenabilité de nos finances publiques via une maîtrise de la dépense publique dans tous les sous‑secteurs. | |
À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi de finances rectificative du 16 août 2022 et de la loi du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023. | | (Alinéa sans modification) | À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi n° 2022‑1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et de la n° 2022‑1158 loi du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023. | À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi n° 2022‑1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et de la loi n° 2022‑1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023. | | | À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi n° 2022‑1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et de la loi n° 2022‑1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023. | À court terme, la trajectoire des finances publiques est cependant affectée par les conséquences de la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes ainsi que par la volonté du Gouvernement de prendre, face à ce contexte dégradé, des mesures pour protéger le pouvoir d’achat des Français et soutenir les entreprises. Ces mesures ont été mises en œuvre depuis l’automne 2021 et en particulier depuis le début de la nouvelle législature, avec le vote de la loi n° 2022‑1157 du 16 août 2022 de finances rectificative pour 2022 et de la loi n° 2022‑1158 du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat. Enfin, cette trajectoire se caractérise par la sortie des dispositifs de soutien d’urgence mis en place pour faire face à la crise sanitaire : encore très soutenues en 2021 pour tenir compte du contexte sanitaire et économique, ces mesures décroissent fortement en 2022 et 2023. | |
La conformité de cette trajectoire aux règles budgétaires européennes sera évaluée chaque année sur la base des données notifiées, dans le cadre d’une analyse d’ensemble de la Commission européenne, qui tient compte de la situation économique de chaque pays. En ce qui concerne les premières années de la trajectoire, la Commission européenne a estimé en mai 2022 que les conditions d’un maintien de la clause dérogatoire générale du pacte de stabilité et de croissance (activée en 2020 à la suite de la crise sanitaire) en 2023 et de sa désactivation en 2024 étaient remplies, en raison du niveau d’incertitudes et des risques importants afférents au contexte de la guerre en Ukraine. Le maintien de cette clause en 2023 permet de laisser aux politiques budgétaires nationales la marge nécessaire pour réagir rapidement en cas de besoin, tout en assurant une transition sans heurt entre le soutien généralisé apporté à l’économie pendant la pandémie et un recentrage sur des mesures temporaires et ciblées pour garantir la viabilité à moyen terme des finances publiques. Ainsi, en 2023, l’ajustement structurel serait de 0,2 point de PIB, dans un cadre macroéconomique dégradé. L’ajustement structurel serait ensuite de 0,3 point de PIB par an à compter de 2024. | | (Alinéa sans modification) | La conformité de cette trajectoire aux règles budgétaires européennes sera évaluée chaque année sur la base des données notifiées, dans le cadre d’une analyse d’ensemble de la Commission européenne, qui tient compte de la situation économique de chaque pays. En ce qui concerne les premières années de la trajectoire, la Commission européenne a estimé en mai 2022 que les conditions d’un maintien de la clause dérogatoire générale du pacte de stabilité et de croissance (activée en 2020 à la suite de la crise sanitaire) en 2023 et de sa désactivation en 2024 étaient remplies, en raison du niveau d’incertitudes et des risques importants afférents au contexte de la guerre en Ukraine. Le maintien de cette clause en 2023 permet de laisser aux politiques budgétaires nationales la marge nécessaire pour réagir rapidement en cas de besoin, tout en assurant une transition sans heurt entre le soutien généralisé apporté à l’économie pendant la pandémie et un recentrage sur des mesures temporaires et ciblées pour garantir la viabilité à moyen terme des finances publiques. Ainsi, en 2023, l’ajustement structurel serait de 0,1 point de PIB, dans un cadre macroéconomique dégradé. L’ajustement structurel serait ensuite de 0,5 point de PIB en 2024, de 0,4 point de PIB en 2025, de 0,3 point de PIB en 2026 et de 0,2 point de PIB en 2027. | (Alinéa sans modification) | | | La conformité de cette trajectoire aux règles budgétaires européennes sera évaluée chaque année sur la base des données notifiées, dans le cadre d’une analyse d’ensemble de la Commission européenne, qui tient compte de la situation économique de chaque pays. En ce qui concerne les premières années de la trajectoire, la Commission européenne a estimé en mai 2022 que les conditions d’un maintien de la clause dérogatoire générale du pacte de stabilité et de croissance (activée en 2020 à la suite de la crise sanitaire) en 2023 et de sa désactivation en 2024 étaient remplies, en raison du niveau d’incertitudes et des risques importants afférents au contexte de la guerre en Ukraine. Le maintien de cette clause en 2023 permet de laisser aux politiques budgétaires nationales la marge nécessaire pour réagir rapidement en cas de besoin, tout en assurant une transition sans heurt entre le soutien généralisé apporté à l’économie pendant la pandémie et un recentrage sur des mesures temporaires et ciblées pour garantir la viabilité à moyen terme des finances publiques. Ainsi, en 2023, l’ajustement structurel serait de 0,1 point de PIB, dans un cadre macroéconomique dégradé. L’ajustement structurel serait ensuite de 0,5 point de PIB en 2024, de 0,4 point de PIB en 2025, de 0,3 point de PIB en 2026 et de 0,2 point de PIB en 2027. | La conformité de cette trajectoire aux règles budgétaires européennes sera évaluée chaque année sur la base des données notifiées, dans le cadre d’une analyse d’ensemble de la Commission européenne, qui tient compte de la situation économique de chaque pays. En ce qui concerne les premières années de la trajectoire, la Commission européenne a estimé en mai 2022 que les conditions d’un maintien de la clause dérogatoire générale du pacte de stabilité et de croissance (activée en 2020 à la suite de la crise sanitaire) en 2023 et de sa désactivation en 2024 étaient remplies, en raison du niveau d’incertitudes et des risques importants afférents au contexte de la guerre en Ukraine. Le maintien de cette clause en 2023 permet de laisser aux politiques budgétaires nationales la marge nécessaire pour réagir rapidement en cas de besoin, tout en assurant une transition sans heurt entre le soutien généralisé apporté à l’économie pendant la pandémie et un recentrage sur des mesures temporaires et ciblées pour garantir la viabilité à moyen terme des finances publiques. Ainsi, en 2023, l’ajustement structurel serait de 0,1 point de PIB, dans un cadre macroéconomique dégradé. L’ajustement structurel serait ensuite de 0,5 point de PIB en 2024, de 0,4 point de PIB en 2025, de 0,3 point de PIB en 2026 et de 0,2 point de PIB en 2027. | |
Encadré : Comparaison avec les autres États membres de l’UE | | (Alinéa sans modification) | Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne | (Alinéa sans modification) | | | Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne | Comparaison avec les autres États membres de l’Union européenne | |
Selon les programmes de stabilité et de convergence 2022, le seuil de déficit public de 3 % du PIB serait respecté par neuf États membres en 2022 (Chypre, Croatie, Danemark, Finlande, Irlande, Luxembourg, Pays‑Bas, Portugal et Suède) et par l’ensemble des autres partenaires européens de la France à horizon 2025. Entre 2022 et 2025, le ratio de dette publique sur PIB diminuerait dans la plupart des États membres, notamment dans les pays les plus endettés (à hauteur de ‑34 points de PIB en Grèce, ‑15 points au Portugal et ‑6 points en Italie et en Espagne). Le solde structurel s’améliorerait dans la quasi‑totalité des États membres d’ici 2025, mais n’atteindrait pas encore l’objectif de moyen terme pour la plupart d’entre eux. | | (Alinéa sans modification) | Selon les programmes de stabilité et de convergence 2023, le seuil de déficit public de 3 % du PIB serait respecté par onze États membres en 2023 (Chypre, Croatie, Danemark, Grèce, Finlande, Irlande, Lituanie, Luxembourg, Pays‑Bas, Portugal et Suède). L’ensemble des partenaires européens de la France respecterait le seuil de déficit public à l’horizon 2026, à l’exception de la Bulgarie et l’Estonie. Entre 2022 et 2026, le ratio de dette publique sur PIB diminuerait dans la plupart des États membres, notamment dans les pays les plus endettés (à hauteur de ‑36 points de PIB en Grèce, ‑18 points au Portugal, ‑6 points en Espagne et ‑4 points en Italie). | (Alinéa sans modification) | | | Selon les programmes de stabilité et de convergence 2023, le seuil de déficit public de 3 % du PIB serait respecté par onze États membres en 2023 (Chypre, Croatie, Danemark, Grèce, Finlande, Irlande, Lituanie, Luxembourg, Pays‑Bas, Portugal et Suède). L’ensemble des partenaires européens de la France respecterait le seuil de déficit public à l’horizon 2026, à l’exception de la Bulgarie et l’Estonie. Entre 2022 et 2026, le ratio de dette publique sur PIB diminuerait dans la plupart des États membres, notamment dans les pays les plus endettés (à hauteur de ‑36 points de PIB en Grèce, ‑18 points au Portugal, ‑6 points en Espagne et ‑4 points en Italie). | Selon les programmes de stabilité et de convergence 2023, le seuil de déficit public de 3 % du PIB serait respecté par onze États membres en 2023 (Chypre, Croatie, Danemark, Grèce, Finlande, Irlande, Lituanie, Luxembourg, Pays‑Bas, Portugal et Suède). L’ensemble des partenaires européens de la France respecterait le seuil de déficit public à l’horizon 2026, à l’exception de la Bulgarie et l’Estonie. Entre 2022 et 2026, le ratio de dette publique sur PIB diminuerait dans la plupart des États membres, notamment dans les pays les plus endettés (à hauteur de ‑36 points de PIB en Grèce, ‑18 points au Portugal, ‑6 points en Espagne et ‑4 points en Italie). | |
B. – Le Gouvernement poursuivra la baisse des impôts amorcée lors du quinquennat précédent, pour favoriser le pouvoir d’achat des Français, la compétitivité de nos entreprises et l’emploi | | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – Le Gouvernement poursuivra la baisse des impôts amorcée lors du quinquennat précédent, pour favoriser le pouvoir d’achat des Français, la compétitivité des entreprises et l’emploi | B. – Le Gouvernement poursuivra la baisse des impôts amorcée lors du quinquennat précédent, pour favoriser le pouvoir d’achat des Français, la compétitivité des entreprises et l’emploi | |
Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017‑2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 Md€, la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. Côté ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule CSG‑cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). Côté entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du CICE (crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance. | | (Alinéa sans modification) | Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017‑2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 milliards d’euros la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. Côté ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule contribution sociale généralisée‑cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). Côté entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017‑2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 milliards d’euros la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. Côté ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule contribution sociale généralisée‑cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). Côté entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance. | Sur l’ensemble du dernier quinquennat (2017‑2022), le Gouvernement a réduit de manière pérenne les prélèvements obligatoires (plus de 50 milliards d’euros la moitié en faveur des ménages et la moitié en faveur des entreprises), afin de favoriser la croissance et l’emploi. Côté ménages, d’importantes réformes ont été menées afin d’alléger la fiscalité sur le capital productif (instauration du prélèvement forfaitaire unique, transformation de l’impôt de solidarité sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière) et le travail (bascule contribution sociale généralisée‑cotisations), accompagnées de mesures de simplification du système fiscal (instauration du prélèvement à la source) et en faveur du pouvoir d’achat (réforme du barème de l’impôt sur le revenu, suppression de la taxe d’habitation sur la résidence principale). Côté entreprises, les principales mesures fiscales adoptées ont permis de stimuler leur compétitivité, via une réduction des coûts des facteurs de production (capital, travail). Il s’agit notamment de la transformation du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE) en baisse pérenne de cotisations, de la baisse du taux d’impôt sur les sociétés ou encore de la réduction des impôts de production dans le cadre du plan de relance. | |
Sur le nouveau quinquennat (2022‑2027), le Gouvernement poursuivra la baisse des prélèvements obligatoires, en faveur des ménages et des entreprises. Ces baisses continueront de cibler les assiettes les plus distorsives, afin de favoriser l’activité et la compétitivité. Elles seront financées par un effort de maîtrise des dépenses, de lutte contre la fraude et de réduction des niches fiscales et sociales peu efficaces, ainsi que par le surplus d’activité et d’emploi générés. | | (Alinéa sans modification) | Depuis le début du nouveau quinquennat, le Gouvernement poursuit la baisse des prélèvements obligatoires, pour les ménages comme pour les entreprises : suppression de la redevance audiovisuelle, réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants, poursuite de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Déjà réduite en 2023, la CVAE est amenée à disparaître complètement d’ici la fin du quinquennat. Dès 2024, la cotisation minimale à la CVAE sera supprimée ; environ 300 000 entreprises sortiraient donc dès l’année prochaine de l’imposition à la CVAE. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre de « France Relance », le Gouvernement continue ainsi d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Depuis le début du nouveau quinquennat, le Gouvernement poursuit la baisse des prélèvements obligatoires, pour les ménages comme pour les entreprises : suppression de la redevance audiovisuelle, réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants, poursuite de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Déjà réduite en 2023, la CVAE est amenée à disparaître complètement d’ici la fin du quinquennat. Dès 2024, la cotisation minimale à la CVAE sera supprimée ; environ 300 000 entreprises sortiraient donc dès l’année prochaine de l’imposition à la CVAE. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre de « France Relance », le Gouvernement continue ainsi d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises. | Depuis le début du nouveau quinquennat, le Gouvernement poursuit la baisse des prélèvements obligatoires, pour les ménages comme pour les entreprises : suppression de la redevance audiovisuelle, réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants, poursuite de la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Déjà réduite en 2023, la CVAE est amenée à disparaître complètement d’ici la fin du quinquennat. Dès 2024, la cotisation minimale à la CVAE sera supprimée ; environ 300 000 entreprises sortiraient donc dès l’année prochaine de l’imposition à la CVAE. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre de « France Relance », le Gouvernement continue ainsi d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises. | |
Ces nouvelles baisses d’impôt ont commencé dès les premières semaines du quinquennat, avec le vote à l’été de la loi de finances rectificative du 16 août 2022 et de la loi du 16 août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat : la redevance audiovisuelle a été supprimée afin d’améliorer le pouvoir d’achat des ménages. Cette mesure bénéficie à 28 millions de foyers pour un coût de 3,2 Md€ pour l’État : elle permet de supprimer un impôt anti‑redistributif car forfaitaire (138€ par foyer équipé d’un téléviseur indépendamment de ses revenus) et dont l’assiette ne tient compte que d’un seul mode de consommation de l’audiovisuel (via un téléviseur) en excluant les autres (internet en particulier). De même la réduction des cotisations sociales des travailleurs indépendants permet une progression de leur revenu annuel de 550 euros pour ceux ayant un revenu équivalent au niveau du Smic. À l’horizon du quinquennat, d’autres réformes fiscales majeures seront mises en œuvre en faveur des ménages à hauteur de 3 Md€. | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
Afin de renforcer la compétitivité des entreprises, l’activité et l’attractivité de l’économie française, le Gouvernement continuera d’alléger et de simplifier la fiscalité des entreprises. Après la réduction pérenne des impôts de production dans le cadre du plan « France Relance », le Gouvernement propose une suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE). Cette mesure sera mise en œuvre dans le projet de loi de finances pour 2023 en deux ans. | | (Alinéa sans modification) | En outre, le Gouvernement continuera de soutenir ménages et entreprises en prolongeant la composante fiscale du bouclier tarifaire sur l’électricité (mise au plancher de la taxe sur la consommation d’électricité en 2024), dans le cadre d’une sortie progressive des boucliers sur l’énergie. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | En outre, le Gouvernement continuera de soutenir ménages et entreprises en prolongeant la composante fiscale du bouclier tarifaire sur l’électricité (mise au plancher de la taxe sur la consommation d’électricité en 2024), dans le cadre d’une sortie progressive des boucliers sur l’énergie. | En outre, le Gouvernement continuera de soutenir ménages et entreprises en prolongeant la composante fiscale du bouclier tarifaire sur l’électricité (mise au plancher de la taxe sur la consommation d’électricité en 2024), dans le cadre d’une sortie progressive des boucliers sur l’énergie. | |
Cette stratégie de baisse généralisée des impôts pour les ménages et les entreprises pourra s’accompagner de mesures d’efficacité comme la réduction justifiée de niches fiscales et sociales inefficientes. Ainsi, le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2023 indexe la fiscalité sur le tabac afin d’éviter que les prix relatifs du tabac ne soient dévalués dans le contexte d’inflation actuelle. | | (Alinéa sans modification) | Cette stratégie de baisse généralisée des impôts pour les ménages et les entreprises sera financée par un effort de maîtrise des dépenses publiques et de lutte contre la fraude. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Cette stratégie de baisse généralisée des impôts pour les ménages et les entreprises sera financée par un effort de maîtrise des dépenses publiques et de lutte contre la fraude. | Cette stratégie de baisse généralisée des impôts pour les ménages et les entreprises sera financée par un effort de maîtrise des dépenses publiques et de lutte contre la fraude. | |
Tableau : Principales mesures nouvelles en prélèvements obligatoires en 2023 | | (Alinéa sans modification) | Principales mesures nouvelles en prélèvements obligatoires en 2023 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Principales mesures nouvelles en prélèvements obligatoires en 2023 | Principales mesures nouvelles en prélèvements obligatoires en 2023 | |
| 2023 | Ménages | -6,0 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Transformation du CI SAP en dispositif contemporain | -1,6 | Bouclier tarifaire TICFE (part ménages) | -1,0 | Retour TVA du bouclier tarifaire sur la TICFE | -0,2 | Barème kilométrique | -0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,4 | Entreprises | -5,8 | Baisse du taux d’IS de 33% à 25% | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6% à 7% * | 0,1 | Baisse des impôts de production | 0,1 | Retour IS de la suppression des impôts de production | -0,6 | Bouclier tarifaire TICFE (part entreprises) | -1,1 | Retour IS du bouclier tarifaire sur la TICFE | 0,2 | Suppression de la CVAE | -4,1 | Total hors bascule CICE et recettes de SPE | -11,8 | Traitement en recettes des gains sur charges de SPE | 9,6 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations * | 5,6 | Total des principales mesures nouvelles | 3,3 | Autres mesures | 1,4 | Total y compris autres mesures | 4,8 | * effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public | | | | 2023 | Ménages | -6,0 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Transformation du CI SAP en dispositif contemporain | -1,6 | Bouclier tarifaire TICFE (part ménages) | -1,0 | Retour TVA du bouclier tarifaire sur la TICFE | -0,2 | Barème kilométrique | -0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,4 | Entreprises | -5,8 | Baisse du taux d’IS de 33% à 25% | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6% à 7% * | 0,1 | Baisse des impôts de production | 0,1 | Retour IS de la suppression des impôts de production | -0,6 | Bouclier tarifaire TICFE (part entreprises) | -1,1 | Retour IS du bouclier tarifaire sur la TICFE | 0,2 | Suppression de la CVAE | -4,1 | Total hors bascule CICE et recettes de SPE | -11,8 | Traitement en recettes des gains sur charges de SPE | 9,6 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations * | 5,6 | Total des principales mesures nouvelles | 3,3 | Autres mesures | 1,4 | Total y compris autres mesures | 4,8 | * effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public | | | | 2023 | Ménages | -6,0 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Transformation du CI SAP en dispositif contemporain | -1,6 | Bouclier tarifaire TICFE (part ménages) | -1,0 | Retour TVA du bouclier tarifaire sur la TICFE | -0,2 | Barème kilométrique | -0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,4 | Entreprises | -5,8 | Baisse du taux d’IS de 33% à 25% | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6% à 7% * | 0,1 | Baisse des impôts de production | 0,1 | Retour IS de la suppression des impôts de production | -0,6 | Bouclier tarifaire TICFE (part entreprises) | -1,1 | Retour IS du bouclier tarifaire sur la TICFE | 0,2 | Suppression de la CVAE | -4,1 | Total hors bascule CICE et recettes de SPE | -11,8 | Traitement en recettes des gains sur charges de SPE | 9,6 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations * | 5,6 | Total des principales mesures nouvelles | 3,3 | Autres mesures | 1,4 | Total y compris autres mesures | 4,8 | * effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public |
| | | 2023 | Ménages | -4,5 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité | -1,0 | Barème kilométrique | -0,3 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,2 | Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux | 0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Entreprises | -5,1 | Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33% à 25% | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6% à 7% | 0,1 | Baisse des impôts de production | -0,5 | Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises) | -0,7 | Suppression de moitié de la CVAE | -3,7 | Total des principales mesures nouvelles | -9,6 | Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie | -1,5 | Contribution sur les rentes infra marginales | 1,9 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations* | 5,6 | Autres mesures | -0,4 | Total y compris autres mesures | -4,0 | * Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public | | | | 2023 | Ménages | -4,5 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité | -1,0 | Barème kilométrique | -0,3 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,2 | Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux | 0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Entreprises | -5,1 | Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 % | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 % | 0,1 | Baisse des impôts de production | -0,5 | Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises) | -0,7 | Suppression de moitié de la CVAE | -3,7 | Total des principales mesures nouvelles | -9,6 | Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie | -1,5 | Contribution sur les rentes infra marginales | 1,9 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations * | 5,6 | Autres mesures | -0,4 | Total y compris autres mesures | -4,0 | * Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public | | | | 2023 | Ménages | -4,5 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité | -1,0 | Barème kilométrique | -0,3 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,2 | Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux | 0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Entreprises | -5,1 | Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 % | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 % | 0,1 | Baisse des impôts de production | -0,5 | Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises) | -0,7 | Suppression de moitié de la CVAE | -3,7 | Total des principales mesures nouvelles | -9,6 | Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie | -1,5 | Contribution sur les rentes infra marginales | 1,9 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations * | 5,6 | Autres mesures | -0,4 | Total y compris autres mesures | -4,0 | * Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public | | | | 2023 | Ménages | -4,5 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité | -1,0 | Barème kilométrique | -0,3 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,2 | Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux | 0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Entreprises | -5,1 | Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 % | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 % | 0,1 | Baisse des impôts de production | -0,5 | Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises) | -0,7 | Suppression de moitié de la CVAE | -3,7 | Total des principales mesures nouvelles | -9,6 | Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie | -1,5 | Contribution sur les rentes infra marginales | 1,9 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations * | 5,6 | Autres mesures | -0,4 | Total y compris autres mesures | -4,0 | * Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public | | | | 2023 | Ménages | -4,5 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité | -1,0 | Barème kilométrique | -0,3 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,2 | Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux | 0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Entreprises | -5,1 | Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 % | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 % | 0,1 | Baisse des impôts de production | -0,5 | Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises) | -0,7 | Suppression de moitié de la CVAE | -3,7 | Total des principales mesures nouvelles | -9,6 | Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie | -1,5 | Contribution sur les rentes inframarginales | 1,9 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations * | 5,6 | Autres mesures | -0,4 | Total y compris autres mesures | -4,0 | * Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public | | | | 2023 | Ménages | -4,5 | Suppression de la taxe d’habitation sur les résidences principales | -2,8 | Bouclier tarifaire sur la taxe intérieure sur la consommation finale d’électricité | -1,0 | Barème kilométrique | -0,3 | Harmonisation de la fiscalité sur les produits du tabac | 0,2 | Fiscalisation de la prime de partage de la valeur - effet sur l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux | 0,1 | Baisse de cotisations des travailleurs indépendants | -0,6 | Entreprises | -5,1 | Baisse du taux de l’impôt sur les sociétés de 33 % à 25 % | -0,4 | CICE - montée en charge et hausse de taux de 6 % à 7 % | 0,1 | Baisse des impôts de production | -0,5 | Bouclier tarifaire sur la TICFE (part entreprises) | -0,7 | Suppression de moitié de la CVAE | -3,7 | Total des principales mesures nouvelles | -9,6 | Traitement en recettes des gains sur charges de service public de l’énergie | -1,5 | Contribution sur les rentes inframarginales | 1,9 | Effet temporaire de la bascule CICE cotisations * | 5,6 | Autres mesures | -0,4 | Total y compris autres mesures | -4,0 | * Effet sur les prélèvements obligatoires et non sur le solde public | | | |
C. – Une maîtrise de la croissance de la dépense publique à horizon 2027 | | C. – (Alinéa sans modification) | C. – (Alinéa sans modification) | C. – (Alinéa sans modification) | C. – (Alinéa sans modification) | C. – (Alinéa sans modification) | C. – Une maîtrise de la croissance de la dépense publique à l’horizon 2027 | C. – Une maîtrise de la croissance de la dépense publique à l’horizon 2027 | |
Le retour à l’équilibre des comptes publics se fondera sur la maîtrise de la dépense. Ainsi, sur la période 2022‑2027, la croissance moyenne en volume hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance de la dépense publique (hors crédits d’impôt) est prévue à +0,6 %, ce qui constitue un effort significatif en comparaison des évolutions lors des précédents quinquennats : en effet, cette dernière a atteint +2,1 % en moyenne entre 2003 et 2007, +1,4 % entre 2008 et 2012, +1,0 % entre 2013 et 2017 puis +1,2 % entre 2018 et 2022 (hors mesures de soutien d’urgence et de relance et retraitée de l’effet de la création de France Compétences en 2019). Cette maîtrise de la dépense sera partagée par l’ensemble des administrations publiques. | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le retour à l’équilibre des comptes publics se fondera sur la maîtrise de la dépense. Ainsi, sur la période 2022‑2027, la croissance moyenne en volume hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance de la dépense publique (hors crédits d’impôt) est prévue à +0,6 %, ce qui constitue un effort significatif en comparaison des évolutions lors des précédents quinquennats : en effet, cette dernière a atteint +2,1 % en moyenne entre 2003 et 2007, +1,4 % entre 2008 et 2012, +1,0 % entre 2013 et 2017 puis +1,2 % entre 2018 et 2022 (hors mesures de soutien d’urgence et de relance et retraitée de l’effet de la création de France Compétences en 2019). Cette maîtrise de la dépense sera partagée par l’ensemble des administrations publiques. | Le retour à l’équilibre des comptes publics se fondera sur la maîtrise de la dépense. Ainsi, sur la période 2022‑2027, la croissance moyenne en volume hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance de la dépense publique (hors crédits d’impôt) est prévue à +0,6 %, ce qui constitue un effort significatif en comparaison des évolutions lors des précédents quinquennats : en effet, cette dernière a atteint +2,1 % en moyenne entre 2003 et 2007, +1,4 % entre 2008 et 2012, +1,0 % entre 2013 et 2017 puis +1,2 % entre 2018 et 2022 (hors mesures de soutien d’urgence et de relance et retraitée de l’effet de la création de France Compétences en 2019). Cette maîtrise de la dépense sera partagée par l’ensemble des administrations publiques. | |
S’agissant de la dépense des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution (hors CI et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑2,6 % en volume en 2023 puis à ‑0,4 % en moyenne sur la période 2024‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,5 point de PIB à l’horizon 2027. Cette maîtrise de la dépense publique reposera notamment sur des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement en termes de politique publique. La maitrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront, permettant de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. | | (Alinéa sans modification) | S’agissant de la dépense primaire (c’est‑à‑dire hors charges d’intérêt) des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution en volume (hors crédits d’impôts et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑0,9 % en moyenne sur la période 2022‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,7 point de PIB entre 2022 et 2027. Cette maîtrise de la dépense publique reposera notamment sur des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement en termes de politique publique. La maîtrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront, permettant de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | S’agissant de la dépense primaire (c’est‑à‑dire hors charges d’intérêt) des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution en volume (hors crédits d’impôts et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑0,9 % en moyenne sur la période 2022‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,7 point de PIB entre 2022 et 2027. La maîtrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront, permettant de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. Amdt n° 34 | S’agissant de la dépense primaire (c’est‑à‑dire hors charges d’intérêt) des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution en volume (hors crédits d’impôts et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑0,9 % en moyenne sur la période 2022‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,7 point de PIB entre 2022 et 2027. Cette maîtrise de la dépense publique reposera notamment sur des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement en termes de politique publique. La maîtrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront pour permettre de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. | S’agissant de la dépense primaire (c’est‑à‑dire hors charges d’intérêt) des administrations centrales en comptabilité nationale, le taux d’évolution en volume (hors crédits d’impôts et hors transferts, à champ constant) s’élèvera à ‑0,9 % en moyenne sur la période 2022‑2027. La charge de la dette augmentera de l’ordre de 0,7 point de PIB entre 2022 et 2027. Cette maîtrise de la dépense publique reposera notamment sur des mesures de transformation structurelle et une évaluation renforcée de la qualité des dépenses, qui permettront de dégager des marges de manœuvre pour mettre en œuvre les engagements du Président de la République et les priorités fixées par le Gouvernement en termes de politique publique. La maîtrise des finances publiques s’accompagne d’un renforcement de la qualité des dépenses, notamment des investissements indispensables pour assurer les transitions écologique et numérique, atteindre le plein emploi et s’assurer de la compétitivité de nos entreprises. Dans ce contexte, les dépenses des plans « France Relance » et « France 2030 » se poursuivront pour permettre de soutenir l’activité et le potentiel de croissance, en accélérant la transition écologique, en favorisant l’investissement, l’innovation, la cohésion sociale et territoriale et en assurant la souveraineté numérique et industrielle. | |
La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités locales de leur maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement selon des modalités en cours de concertation. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de ‑0,5 % en volume par an sur le quinquennat. | | (Alinéa sans modification) | La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités territoriales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de – 0,5 % en volume par an sur le quinquennat. | La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités territoriales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de ‑0,5 % en volume par an sur le quinquennat. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités territoriales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de ‑0,5 % en volume par an sur le quinquennat. | La tenue de l’objectif en dépenses implique également la poursuite par les collectivités territoriales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. En comptabilité nationale, l’objectif est une baisse de leurs dépenses de fonctionnement de ‑0,5 % en volume par an sur le quinquennat. | |
Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maitrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le Ségur de la santé, ainsi que le développement de la politique de prévention. Ainsi, la progression de l’ONDAM s’établira à +2,7 % sur 2024‑2025 puis 2,6 % sur 2026‑2027 (cf. infra). | | (Alinéa sans modification) | Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maîtrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, à la réforme de l’assurance chômage, à la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le Ségur de la santé, ainsi qu’au développement de la politique de prévention. Ainsi, après une hausse de 4,8 % en 2023 (hors covid), la progression de l’Ondam serait de 3,2 % en 2024, 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027. | Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maîtrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, à la réforme de l’assurance chômage, à la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le « Ségur de la santé », ainsi qu’au développement de la politique de prévention. Ainsi, après une hausse de 4,8 % en 2023 (hors covid), la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maîtrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, à la réforme de l’assurance chômage, à la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le « Ségur de la santé », ainsi qu’au développement de la politique de prévention. Ainsi, après une hausse de 4,8 % en 2023 (hors covid), la progression de l’objectif nationale de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) serait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027. | Enfin, les administrations de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié de la dépense publique, participeront également à la maîtrise de l’évolution des dépenses. Cette participation sera rendue possible grâce à la réforme des retraites, à la réforme de l’assurance chômage, à la poursuite de la transformation du système de santé, engagée avec le « Ségur de la santé », ainsi qu’au développement de la politique de prévention. Ainsi, après une hausse de 4,8 % en 2023 (hors covid), la progression de l’objectif nationale de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) serait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027. | |
Tableau : Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts | | | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 2,8 | 2,3 | 2,3 | 2,0 | 2,4 | Taux de croissance en volume | -1,5 | -0,6 | 0,3 | 0,2 | 0,6 | Inflation hors tabac | 4,3 | 3,0 | 2,1 | 1,75 | 1,75 | | Tableau : Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts | | | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 2,8 | 2,3 | 2,3 | 2,0 | 2,4 | Taux de croissance en volume | -1,5 | -0,6 | 0,3 | 0,2 | 0,6 | Inflation hors tabac | 4,3 | 3,0 | 2,1 | 1,75 | 1,75 | | Tableau : Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôt |
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| | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 2,8 | 2,3 | 2,3 | 2,0 | 2,4 | Taux de croissance en volume | -1,5 | -0,6 | 0,3 | 0,2 | 0,6 | Inflation hors tabac | 4,3 | 3,0 | 2,1 | 1,75 | 1,75 | | Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 3,4 | 3,0 | 2,8 | 2,2 | 2,3 | Taux de croissance en volume | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Inflation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | | Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 3,4 | 3,0 | 2,8 | 2,2 | 2,3 | Taux de croissance en volume | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Inflation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | | Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 3,4 | 3,0 | 2,8 | 2,2 | 2,3 | Taux de croissance en volume | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Inflation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | | Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 3,4 | 3,0 | 2,8 | 2,2 | 2,3 | Taux de croissance en volume | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Inflation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | | Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 3,4 | 3,0 | 2,8 | 2,2 | 2,3 | Taux de croissance en volume | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Inflation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | | Croissance de la dépense publique, hors crédits d’impôts | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux de croissance en valeur | 3,4 | 3,0 | 2,8 | 2,2 | 2,3 | Taux de croissance en volume | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Inflation hors tabac | 4,8 | 2,5 | 2,0 | 1,75 | 1,75 | | |
Tableau : Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | | APU | -1,5 | -0,6 | 0,3 | 0,2 | 0,6 | | | APUC | -2,6 | -2,5 | -1,1 | 0,4 | 1,6 | | | APUL | -0,6 | 0,1 | 0,4 | -1,3 | -1,1 | | | ASSO | -1,0 | 0,5 | 1,2 | 0,7 | 0,6 | | | | Tableau : Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | | APU | -1,5 | -0,6 | 0,3 | 0,2 | 0,6 | | | APUC | -2,6 | -2,5 | -1,1 | 0,4 | 1,6 | | | APUL | -0,6 | 0,1 | 0,4 | -1,3 | -1,1 | | | ASSO | -1,0 | 0,5 | 1,2 | 0,7 | 0,6 | | | | Tableau : Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôt, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
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| APU | -1,5 | -0,6 | 0,3 | 0,2 | 0,6 |
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| APUC | -2,6 | -2,5 | -1,1 | 0,4 | 1,6 |
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| APUL | -0,6 | 0,1 | 0,4 | -1,3 | -1,1 |
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| ASSO | -1,0 | 0,5 | 1,2 | 0,7 | 0,6 |
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| | Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Administrations publiques | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Administrations publiques centrales | -3,6 | -1,4 | 1,9 | 1,5 | 1,2 | Administrations publiques locales | 1,0 | 0,9 | 0,2 | -1,9 | -1,0 | Administrations de sécurité sociale | -0,5 | 1,7 | 0,3 | 0,7 | 0,6 | | Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Administrations publiques | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Administrations publiques centrales | -3,6 | -1,4 | 1,9 | 1,5 | 1,2 | Administrations publiques locales | 1,0 | 0,9 | 0,2 | -1,9 | -1,0 | Administrations de sécurité sociale | -0,5 | 1,7 | 0,3 | 0,7 | 0,6 | | Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Administrations publiques | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Administrations publiques centrales | -3,6 | -1,4 | 1,9 | 1,5 | 1,2 | Administrations publiques locales | 1,0 | 0,9 | 0,2 | -1,9 | -1,0 | Administrations de sécurité sociale | -0,5 | 1,7 | 0,3 | 0,7 | 0,6 | | Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Administrations publiques | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Administrations publiques centrales | -3,6 | -1,4 | 1,9 | 1,5 | 1,2 | Administrations publiques locales | 1,0 | 0,9 | 0,2 | -1,9 | -1,0 | Administrations de sécurité sociale | -0,5 | 1,7 | 0,3 | 0,7 | 0,6 | | Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Administrations publiques | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Administrations publiques centrales | -3,6 | -1,4 | 1,9 | 1,5 | 1,2 | Administrations publiques locales | 1,0 | 0,9 | 0,2 | -1,9 | -1,0 | Administrations de sécurité sociale | -0,5 | 1,7 | 0,3 | 0,7 | 0,6 | | Croissance de la dépense publique par sous-secteur, hors crédits d’impôts, à champ constant, hors transfert, en volume | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Administrations publiques | -1,3 | 0,5 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | Administrations publiques centrales | -3,6 | -1,4 | 1,9 | 1,5 | 1,2 | Administrations publiques locales | 1,0 | 0,9 | 0,2 | -1,9 | -1,0 | Administrations de sécurité sociale | -0,5 | 1,7 | 0,3 | 0,7 | 0,6 | | |
D. – À l’horizon du quinquennat, l’effort structurel permettra la diminution du ratio de dette publique | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – À l’horizon du quinquennat, l’effort structurel permettra la diminution du ratio de dette publique | D. – À l’horizon du quinquennat, l’effort structurel permettra la diminution du ratio de dette publique | |
Tableau : Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | | Solde public | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | | | Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,0 | -3,7 | -3,4 | -3,1 | -2,8 | | | Ajustement structurel | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | | | | Tableau : Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | | Solde public | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | | | Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,0 | -3,7 | -3,4 | -3,1 | -2,8 | | | Ajustement structurel | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | | | | Tableau : Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
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| Solde public | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 |
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| Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,0 | -3,7 | -3,4 | -3,1 | -2,8 |
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| Ajustement structurel | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 |
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| | Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Ajustement structurel | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | | Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Ajustement structurel | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | | Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Ajustement structurel | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | | Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Ajustement structurel | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | | Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Ajustement structurel | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | | Solde public (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde structurel (en points de PIB potentiel) | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Ajustement structurel | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | | |
Tableau : Dépenses et recettes (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Ratio de dépenses publiques (*) | 57,6 | 56,6 | 55,6 | 55,0 | 54,3 | 53,8 | | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,2 | 44,7 | 44,2 | 44,3 | 44,3 | 44,3 | | Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,4 | 7,2 | 7,1 | 7,0 | 6,8 | 6,8 | | Clé de crédits d’impôts | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | (*) Hors crédits d’impôts | | | | | | | | | Tableau : Dépenses et recettes (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Ratio de dépenses publiques (*) | 57,6 | 56,6 | 55,6 | 55,0 | 54,3 | 53,8 | | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,2 | 44,7 | 44,2 | 44,3 | 44,3 | 44,3 | | Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,4 | 7,2 | 7,1 | 7,0 | 6,8 | 6,8 | | Clé de crédits d’impôts | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | (*) Hors crédits d’impôts | | | | | | | | | Tableau : Dépenses et recettes (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
| Ratio de dépenses publiques (*) | 57,6 | 56,6 | 55,6 | 55,0 | 54,3 | 53,8 |
| Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,2 | 44,7 | 44,2 | 44,3 | 44,3 | 44,3 |
| Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,4 | 7,2 | 7,1 | 7,0 | 6,8 | 6,8 |
| Clé de crédits d’impôt | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| (*) Hors crédits d’impôt | | | | | | |
| | Dépenses et recettes (exprimé suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Ratio de dépenses publiques (*) | 57,7 | 55,9 | 55,3 | 55,0 | 54,4 | 53,8 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,4 | 44,0 | 44,1 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire | 45,6 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,6 | 7,1 | 7,0 | 7,0 | 6,9 | 6,9 | Clé de crédits d’impôts | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | (*) Hors crédits d’impôts | | | | | | | | Dépenses et recettes (exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Ratio de dépenses publiques (*) | 57,7 | 55,9 | 55,3 | 55,0 | 54,4 | 53,8 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,4 | 44,0 | 44,1 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire | 45,6 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,6 | 7,1 | 7,0 | 7,0 | 6,9 | 6,9 | Clé de crédits d’impôts | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | (*) Hors crédits d’impôts | | | | | | | | Dépenses et recettes (exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Ratio de dépenses publiques (*) | 57,7 | 55,9 | 55,3 | 55,0 | 54,4 | 53,8 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,4 | 44,0 | 44,1 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire | 45,6 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,6 | 7,1 | 7,0 | 7,0 | 6,9 | 6,9 | Clé de crédits d’impôts | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | (*) Hors crédits d’impôts | | | | | | | | Dépenses et recettes (exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Ratio de dépenses publiques (*) | 57,7 | 55,9 | 55,3 | 55,0 | 54,4 | 53,8 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,4 | 44,0 | 44,1 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire | 45,6 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,6 | 7,1 | 7,0 | 7,0 | 6,9 | 6,9 | Clé de crédits d’impôts | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | (*) Hors crédits d’impôts | | | | | | | | Dépenses et recettes (exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Ratio de dépenses publiques (*) | 57,7 | 55,9 | 55,3 | 55,0 | 54,4 | 53,8 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,4 | 44,0 | 44,1 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire | 45,6 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,6 | 7,1 | 7,0 | 7,0 | 6,9 | 6,9 | Clé de crédits d’impôts | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | (*) Hors crédits d’impôts | | | | | | | | Dépenses et recettes (exprimées suivant les conventions de la comptabilité nationale) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Ratio de dépenses publiques (*) | 57,7 | 55,9 | 55,3 | 55,0 | 54,4 | 53,8 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE) | 45,4 | 44,0 | 44,1 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de prélèvements obligatoires (y compris UE), corrigé des effets du bouclier tarifaire | 45,6 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | 44,4 | Ratio de recettes hors prélèvements obligatoires | 7,6 | 7,1 | 7,0 | 7,0 | 6,9 | 6,9 | Clé de crédits d’impôts | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | (*) Hors crédits d’impôts | | | | | | | | |
1. L’effort structurel portera sur la dépense publique | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. L’effort structurel portera sur la dépense publique | 1. L’effort structurel portera sur la dépense publique | |
L’écart de production, encore creusé en 2021 et 2022 (respectivement ‑2,4 % et ‑1,1 % du PIB potentiel) dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. Ainsi, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,3 point de PIB). | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | L’écart de production, encore creusé à court terme dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. Ainsi, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,2 point de PIB). | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | L’écart de production, encore creusé à court terme dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. Ainsi, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,2 point de PIB). | L’écart de production, encore creusé à court terme dans un contexte macroéconomique dégradé au niveau mondial, se résorberait progressivement à l’horizon 2027 : à partir de 2024, la croissance effective du PIB serait supérieure à la croissance potentielle. Ainsi, la variation conjoncturelle du solde public contribuerait au redressement des finances publiques entre 2021 et 2027 (+1,2 point de PIB). | |
Cependant, la stratégie de retour à l’équilibre des finances publiques s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne : après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, la France doit retrouver des comptes publics normalisés. Ainsi, le solde structurel, qui s’établit à ‑5,1 % de PIB potentiel en 2021, se redressera à ‑2,8 % en 2027 : cela permettra de garantir la soutenabilité de la dette publique et de rapprocher le solde structurel de l’objectif européen de moyen terme (OMT), fixé à ‑0,4 % du PIB par la présente loi. L’ajustement structurel sera de +0,3 point de PIB potentiel par an à compter de 2024. Au total, il sera de +2,3 points de PIB potentiel entre 2021 et 2027. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Cependant, la stratégie de retour à l’équilibre des finances publiques s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne : après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, la France doit retrouver des comptes publics normalisés. Ainsi, le solde structurel, qui s’établit à ‑5,2 % de PIB potentiel en 2021, se redressera à ‑2,7 % en 2027 : cela permettra de garantir la soutenabilité de la dette publique et de rapprocher le solde structurel de l’objectif européen de moyen terme (OMT), fixé à ‑0,4 % du PIB par la présente loi. L’ajustement structurel sera de +0,5 point de PIB potentiel en 2024, de +0,4 point de PIB potentiel en 2025, de +0,3 point de PIB potentiel en 2026 et de +0,2 point de PIB potentiel en 2027. Au total, il sera de +2,5 points de PIB potentiel entre 2021 et 2027. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Cependant, la stratégie de retour à l’équilibre des finances publiques s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne : après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, la France doit retrouver des comptes publics normalisés. Ainsi, le solde structurel, qui s’établit à ‑5,2 % de PIB potentiel en 2021, se redressera à ‑2,7 % en 2027 : cela permettra de garantir la soutenabilité de la dette publique et de rapprocher le solde structurel de l’objectif européen de moyen terme (OMT), fixé à ‑0,4 % du PIB par la présente loi. L’ajustement structurel sera de +0,5 point de PIB potentiel en 2024, de +0,4 point de PIB potentiel en 2025, de +0,3 point de PIB potentiel en 2026 et de +0,2 point de PIB potentiel en 2027. Au total, il sera de +2,5 points de PIB potentiel entre 2021 et 2027. | Cependant, la stratégie de retour à l’équilibre des finances publiques s’appuiera avant tout sur une amélioration structurelle et donc pérenne : après la crise sanitaire, la guerre en Ukraine et les tensions inflationnistes, la France doit retrouver des comptes publics normalisés. Ainsi, le solde structurel, qui s’établit à ‑5,2 % de PIB potentiel en 2021, se redressera à ‑2,7 % en 2027 : cela permettra de garantir la soutenabilité de la dette publique et de rapprocher le solde structurel de l’objectif européen de moyen terme (OMT), fixé à ‑0,4 % du PIB par la présente loi. L’ajustement structurel sera de +0,5 point de PIB potentiel en 2024, de +0,4 point de PIB potentiel en 2025, de +0,3 point de PIB potentiel en 2026 et de +0,2 point de PIB potentiel en 2027. Au total, il sera de +2,5 points de PIB potentiel entre 2021 et 2027. | |
Cet ajustement sera entièrement porté par un effort structurel en dépense : ce dernier sera de 3,4 points de PIB potentiel entre 2022 et 2027, grâce à une progression des dépenses publiques hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance en volume limitée à +0,6 % entre 2022 et 2027, nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (1,35 %). Cette maitrise de la dépense permettra au Gouvernement d’améliorer la position structurelle des finances publiques françaises et de poursuivre, tout en poursuivant sa politique de réduction des prélèvements obligatoires, afin de renforcer la compétitivité des entreprises et soutenir le pouvoir d’achat des Français. Les mesures de réduction des prélèvements obligatoires contribueront à l’ajustement structurel pour ‑0,6 point de PIB potentiel sur la période. Au total, l’effort structurel, c’est‑à‑dire l’effet des mesures discrétionnaires, permettra d’améliorer le solde structurel de 2,9 points de PIB potentiel sur la période considérée. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Cet ajustement sera entièrement porté par un effort structurel en dépense : ce dernier sera de 3,3 points de PIB potentiel entre 2022 et 2027, grâce à une progression des dépenses publiques hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance en volume limitée à +0,6 % entre 2022 et 2027, nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (1,35 %). Cette maîtrise de la dépense permettra au Gouvernement d’améliorer la position structurelle des finances publiques françaises tout en consolidant la baisse de la fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. Elle sera répartie entre tous les sous‑secteurs des administrations publiques, l’État supportant de surcroît les effets de la hausse des taux sur la charge de la dette dans la mesure où il en concentre la majeure partie de la dette des administrations publiques. Au total, l’effort structurel, c’est‑à‑dire l’effet des mesures discrétionnaires, permettra d’améliorer le solde structurel de 3,3 points de PIB potentiel sur la période considérée, les mesures nouvelles en prélèvements obligatoires ne contribuant quasiment pas à la variation de solde structurel sur l’ensemble de la trajectoire. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Cet ajustement sera entièrement porté par un effort structurel en dépense : ce dernier sera de 3,3 points de PIB potentiel entre 2022 et 2027, grâce à une progression des dépenses publiques, hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance en volume, limitée à +0,6 % entre 2022 et 2027, nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (1,35 %). Cette maîtrise de la dépense permettra au Gouvernement d’améliorer la position structurelle des finances publiques françaises tout en consolidant la baisse de la fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. Elle sera répartie entre tous les sous‑secteurs des administrations publiques, l’État supportant de surcroît les effets de la hausse des taux sur la charge de la dette dans la mesure où il en concentre la majeure partie de la dette des administrations publiques. Au total, l’effort structurel, c’est‑à‑dire l’effet des mesures discrétionnaires, permettra d’améliorer le solde structurel de 3,3 points de PIB potentiel sur la période considérée, les mesures nouvelles en prélèvements obligatoires ne contribuant quasiment pas à la variation de solde structurel sur l’ensemble de la trajectoire. | Cet ajustement sera entièrement porté par un effort structurel en dépense : ce dernier sera de 3,3 points de PIB potentiel entre 2022 et 2027, grâce à une progression des dépenses publiques, hors effet de l’extinction des mesures d’urgence et de relance en volume, limitée à +0,6 % entre 2022 et 2027, nettement inférieure à la croissance potentielle de l’activité (1,35 %). Cette maîtrise de la dépense permettra au Gouvernement d’améliorer la position structurelle des finances publiques françaises tout en consolidant la baisse de la fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. Elle sera répartie entre tous les sous‑secteurs des administrations publiques, l’État supportant de surcroît les effets de la hausse des taux sur la charge de la dette dans la mesure où il en concentre la majeure partie de la dette des administrations publiques. Au total, l’effort structurel, c’est‑à‑dire l’effet des mesures discrétionnaires, permettra d’améliorer le solde structurel de 3,3 points de PIB potentiel sur la période considérée, les mesures nouvelles en prélèvements obligatoires ne contribuant quasiment pas à la variation de solde structurel sur l’ensemble de la trajectoire. | |
Enfin, les mesures exceptionnelles et temporaires prévisibles dans le cadre du présent rapport affecteront transitoirement la trajectoire de réduction du solde public. En particulier, les transformations des crédits d’impôt « Service à la personne » et « Garde d’enfants hors du domicile » en dispositifs contemporains entraîneront un double coût temporaire pour les finances publiques, considéré comme une mesure exceptionnelle et temporaire et dont l’impact sur le solde structurel est par conséquent neutralisé. L’effet attendu de ces mesures identifiées en amont de la programmation est toutefois limité, contrairement à la précédente loi de programmation qui avait été marquée en particulier par la transformation du CICE en allègements de cotisations en 2019 (prévue en amont de la programmation) et par le coût des mesures de soutien d’urgence en 2020 en réponse à la crise sanitaire. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Enfin, les mesures exceptionnelles et temporaires prévisibles dans le cadre du présent rapport affecteront transitoirement la trajectoire de réduction du solde public. L’effet attendu de ces mesures identifiées en amont de la programmation est toutefois limité, contrairement à la précédente loi de programmation qui avait été marquée en particulier par la transformation du CICE en allègements de cotisations en 2019 (prévue en amont de la programmation) et par le coût des mesures de soutien d’urgence en 2020 en réponse à la crise sanitaire. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Enfin, les mesures exceptionnelles et temporaires prévisibles dans le cadre du présent rapport affecteront transitoirement la trajectoire de réduction du solde public. L’effet attendu de ces mesures identifiées en amont de la programmation est toutefois limité, contrairement à la précédente loi de programmation qui avait été marquée en particulier par la transformation du CICE en allègements de cotisations en 2019 (prévue en amont de la programmation) et par le coût des mesures de soutien d’urgence en 2020 en réponse à la crise sanitaire. | Enfin, les mesures exceptionnelles et temporaires prévisibles dans le cadre du présent rapport affecteront transitoirement la trajectoire de réduction du solde public. L’effet attendu de ces mesures identifiées en amont de la programmation est toutefois limité, contrairement à la précédente loi de programmation qui avait été marquée en particulier par la transformation du CICE en allègements de cotisations en 2019 (prévue en amont de la programmation) et par le coût des mesures de soutien d’urgence en 2020 en réponse à la crise sanitaire. | |
Tableau : Mesures exceptionnelles et temporaires 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Mesures exceptionnelles et temporaires 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Mesures exceptionnelles et temporaires 2022‑2027 | Mesures exceptionnelles et temporaires 2022‑2027 | |
(Md€) | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | | Mesures en recettes | -0,3 | -0,3 | -0,3 | 0,0 | 0,0 | | | Dont : | | | | | | | | Contentieux OPCVM | -0,8 | -0,8 | -0,8 | 0,0 | 0,0 | | | Crise sanitaire - primes PGE | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,0 | 0,0 | | | Mesures en dépense | 4,8 | 3,9 | 2,2 | 1,0 | 0,2 | | | Dont : | | | | | | | | Intérêts des contentieux | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | | | Contemporanéisation CISAP | 2,0 | 1,5 | 0,3 | 0,1 | 0,0 | | | Contemporanéisation CI-GEHD | 0,0 | 0,3 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | | | Sinistralité PGE 2021 | 2,1 | 1,6 | 1,0 | 0,5 | 0,1 | | | Sinistralité BEI 2021 | 0,5 | 0,3 | 0,2 | 0,2 | 0,1 | | | | (Md€) | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | | Mesures en recettes | -0,3 | -0,3 | -0,3 | 0,0 | 0,0 | | | Dont : | | | | | | | | Contentieux OPCVM | -0,8 | -0,8 | -0,8 | 0,0 | 0,0 | | | Crise sanitaire - primes PGE | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,0 | 0,0 | | | Mesures en dépense | 4,8 | 3,9 | 2,2 | 1,0 | 0,2 | | | Dont : | | | | | | | | Intérêts des contentieux | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | | | Contemporanéisation CISAP | 2,0 | 1,5 | 0,3 | 0,1 | 0,0 | | | Contemporanéisation CI-GEHD | 0,0 | 0,3 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | | | Sinistralité PGE 2021 | 2,1 | 1,6 | 1,0 | 0,5 | 0,1 | | | Sinistralité BEI 2021 | 0,5 | 0,3 | 0,2 | 0,2 | 0,1 | | | | (Md€) | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Mesures en recettes | -0,3 | -0,3 | -0,3 | 0,0 | 0,0 | Dont : | | | | | | Contentieux OPCVM | -0,8 | -0,8 | -0,8 | 0,0 | 0,0 | Crise sanitaire - primes PGE | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,0 | 0,0 | Mesures en dépense | 4,8 | 3,9 | 2,2 | 1,0 | 0,2 | Dont : | | | | | | Intérêts des contentieux | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | Contemporanéisation CISAP | 2,0 | 1,5 | 0,3 | 0,1 | 0,0 | Contemporanéisation CI-GEHD | 0,0 | 0,3 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | Sinistralité PGE 2021 | 2,1 | 1,6 | 1,0 | 0,5 | 0,1 | Sinistralité BEI 2021 | 0,5 | 0,3 | 0,2 | 0,2 | 0,1 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Mesures en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,3 | -0,4 | 0,0 | Dont : | | | | | | - Contentieux OPCVM | -0,9 | -0,8 | -0,8 | -0,6 | 0,0 | - Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État) | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | Mesures en dépense | 2,5 | 1,9 | 1,3 | 0,8 | 0,3 | Dont : | | | | | | - Intérêts des contentieux | 0,1 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | - Sinistralité PGE | 2,1 | 1,6 | 1,1 | 0,6 | 0,3 | - Sinistralité BEI | 0,3 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Mesures en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,3 | -0,4 | 0,0 | Dont : | | | | | | - Contentieux OPCVM | -0,9 | -0,8 | -0,8 | -0,6 | 0,0 | - Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État) | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | Mesures en dépense | 2,5 | 1,9 | 1,3 | 0,8 | 0,3 | Dont : | | | | | | - Intérêts des contentieux | 0,1 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | - Sinistralité PGE | 2,1 | 1,6 | 1,1 | 0,6 | 0,3 | - Sinistralité BEI | 0,3 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Mesures en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,3 | -0,4 | 0,0 | Dont : | | | | | | - Contentieux OPCVM | -0,9 | -0,8 | -0,8 | -0,6 | 0,0 | - Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État) | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | Mesures en dépense | 2,5 | 1,9 | 1,3 | 0,8 | 0,3 | Dont : | | | | | | - Intérêts des contentieux | 0,1 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | - Sinistralité PGE | 2,1 | 1,6 | 1,1 | 0,6 | 0,3 | - Sinistralité BEI | 0,3 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Mesures en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,3 | -0,4 | 0,0 | Dont : | | | | | | - Contentieux OPCVM | -0,9 | -0,8 | -0,8 | -0,6 | 0,0 | - Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État) | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | Mesures en dépense | 2,5 | 1,9 | 1,3 | 0,8 | 0,3 | Dont : | | | | | | - Intérêts des contentieux | 0,1 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | - Sinistralité PGE | 2,1 | 1,6 | 1,1 | 0,6 | 0,3 | - Sinistralité BEI | 0,3 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Mesures en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,3 | -0,4 | 0,0 | Dont : | | | | | | - Contentieux OPCVM | -0,9 | -0,8 | -0,8 | -0,6 | 0,0 | - Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État) | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | Mesures en dépense | 2,5 | 1,9 | 1,3 | 0,8 | 0,3 | Dont : | | | | | | - Intérêts des contentieux | 0,1 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | - Sinistralité PGE | 2,1 | 1,6 | 1,1 | 0,6 | 0,3 | - Sinistralité BEI | 0,3 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Mesures en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,3 | -0,4 | 0,0 | Dont : | | | | | | - Contentieux OPCVM | -0,9 | -0,8 | -0,8 | -0,6 | 0,0 | - Crise sanitaire - primes (prêts garantis par l’État) | 0,5 | 0,5 | 0,5 | 0,2 | 0,0 | Mesures en dépense | 2,5 | 1,9 | 1,3 | 0,8 | 0,3 | Dont : | | | | | | - Intérêts des contentieux | 0,1 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,0 | - Sinistralité PGE | 2,1 | 1,6 | 1,1 | 0,6 | 0,3 | - Sinistralité BEI | 0,3 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | |
Tableau : Variation du solde structurel 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Variation du solde structurel 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Variation du solde structurel 2022‑2027 | Variation du solde structurel 2022‑2027 | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 0,9 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | | Effort structurel | -0,2 | 1,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | 0,3 | | Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,3 | 0,0 | -0,5 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | | Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,1 | 1,3 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | 0,3 | | Composante non discrétionnaire | 1,0 | -1,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 0,9 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | | Effort structurel | -0,2 | 1,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | 0,3 | | Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,3 | 0,0 | -0,5 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | | Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,1 | 1,3 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | 0,3 | | Composante non discrétionnaire | 1,0 | -1,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 0,9 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | Effort structurel | -0,2 | 1,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | 0,3 | Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,3 | 0,0 | -0,5 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,1 | 1,3 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | 0,3 | Composante non discrétionnaire | 1,0 | -1,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | - Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | - Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | Composante non discrétionnaire | 1,4 | -1,7 | 0,0 | 0,0 | -0,1 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | - Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | - Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | Composante non discrétionnaire | 1,4 | -1,7 | 0,0 | 0,0 | -0,1 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | - Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | - Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | Composante non discrétionnaire | 1,4 | -1,7 | 0,0 | 0,0 | -0,1 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | - Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | - Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | Composante non discrétionnaire | 1,4 | -1,7 | 0,0 | 0,0 | -0,1 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | - Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | - Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | Composante non discrétionnaire | 1,4 | -1,7 | 0,0 | 0,0 | -0,1 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du solde structurel (ajustement structurel) | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | - Contribution des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | - Effort en dépense (y compris crédits d’impôt) | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | Composante non discrétionnaire | 1,4 | -1,7 | 0,0 | 0,0 | -0,1 | -0,1 | | |
Tableau : Élasticité des prélèvements obligatoires 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Élasticité des prélèvements obligatoires 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Élasticité des prélèvements obligatoires 2022‑2027 | Élasticité des prélèvements obligatoires 2022‑2027 | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Elasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,5 | 0,6 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Elasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,5 | 0,6 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,5 | 0,6 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,6 | 0,6 | 1,1 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,6 | 0,6 | 1,1 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,6 | 0,6 | 1,1 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,6 | 0,6 | 1,1 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,6 | 0,6 | 1,1 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Élasticité des prélèvements obligatoires (hors UE) | 1,6 | 0,6 | 1,1 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | | |
Tableau : Décomposition structurelle par sous‑secteur 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Décomposition structurelle par sous‑secteur 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Décomposition structurelle par sous‑secteur 2022‑2027 | Décomposition structurelle par sous‑secteur 2022‑2027 | |
|
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
| Solde effectif | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | APU | Solde conjoncturel | -0,6 | -0,8 | -0,7 | -0,5 | -0,3 | 0,0 |
| Solde structurel | -4,2 | -4,0 | -3,7 | -3,4 | -3,1 | -2,8 |
| Solde des one-offs | -0,1 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 |
| Solde effectif | -5,4 | -5,6 | -5,2 | -4,7 | -4,5 | -4,3 | APUC | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 |
| Solde structurel | -5,0 | -5,0 | -4,7 | -4,3 | -4,3 | -4,3 |
| Solde des one-offs | -0,1 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 |
| Solde effectif | 0,0 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,2 | 0,5 | APUL | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| Solde structurel | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,5 |
| Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| Solde effectif | 0,5 | 0,8 | 0,8 | 0,7 | 0,8 | 1,0 | ASSO | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 |
| Solde structurel | 0,7 | 1,1 | 1,1 | 0,9 | 0,9 | 1,0 |
| Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | |
|
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
| Solde effectif | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | APU | Solde conjoncturel | -0,6 | -0,8 | -0,7 | -0,5 | -0,3 | 0,0 |
| Solde structurel | -4,2 | -4,0 | -3,7 | -3,4 | -3,1 | -2,8 |
| Solde des one-offs | -0,1 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 |
| Solde effectif | -5,4 | -5,6 | -5,2 | -4,7 | -4,5 | -4,3 | APUC | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 |
| Solde structurel | -5,0 | -5,0 | -4,7 | -4,3 | -4,3 | -4,3 |
| Solde des one-offs | -0,1 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 |
| Solde effectif | 0,0 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,2 | 0,5 | APUL | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| Solde structurel | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,5 |
| Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| Solde effectif | 0,5 | 0,8 | 0,8 | 0,7 | 0,8 | 1,0 | ASSO | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 |
| Solde structurel | 0,7 | 1,1 | 1,1 | 0,9 | 0,9 | 1,0 |
| Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | |
|
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Solde effectif | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | Solde conjoncturel | -0,6 | -0,8 | -0,7 | -0,5 | -0,3 | 0,0 | Solde structurel | -4,2 | -4,0 | -3,7 | -3,4 | -3,1 | -2,8 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUC | Solde effectif | -5,4 | -5,6 | -5,2 | -4,7 | -4,5 | -4,3 | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | -5,0 | -5,0 | -4,7 | -4,3 | -4,3 | -4,3 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUL | Solde effectif | 0,0 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,2 | 0,5 | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Solde structurel | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,5 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Solde effectif | 0,5 | 0,8 | 0,8 | 0,7 | 0,8 | 1,0 | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | 0,7 | 1,1 | 1,1 | 0,9 | 0,9 | 1,0 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Solde effectif | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde conjoncturel | -0,5 | -0,7 | -0,6 | -0,4 | -0,2 | 0,0 | Solde structurel | -4,2 | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUC | Solde effectif | -5,4 | -5,4 | -4,7 | -4,3 | -4,2 | -4,1 | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | -4,9 | -4,9 | -4,3 | -4,0 | -4,0 | -4,1 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUL | Solde effectif | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Solde structurel | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | 0,2 | 0,4 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Solde effectif | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | 0,6 | 1,0 | 0,8 | 0,9 | 0,9 | 1,0 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Solde effectif | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde conjoncturel | -0,5 | -0,7 | -0,6 | -0,4 | -0,2 | 0,0 | Solde structurel | -4,2 | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUC | Solde effectif | -5,2 | -5,4 | -4,7 | -4,3 | -4,2 | -4,1 | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | -4,9 | -4,9 | -4,3 | -4,0 | -4,0 | -4,1 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUL | Solde effectif | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Solde structurel | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | 0,2 | 0,4 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Solde effectif | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | 0,6 | 1,0 | 0,8 | 0,9 | 0,9 | 1,0 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Amdt n° 116 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Solde effectif | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde conjoncturel | -0,5 | -0,7 | -0,6 | -0,4 | -0,2 | 0,0 | Solde structurel | -4,2 | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUC | Solde effectif | -5,2 | -5,4 | -4,7 | -4,3 | -4,2 | -4,1 | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | -4,9 | -4,9 | -4,3 | -4,0 | -4,0 | -4,1 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUL | Solde effectif | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Solde structurel | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | 0,2 | 0,4 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Solde effectif | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | 0,6 | 1,0 | 0,8 | 0,9 | 0,9 | 1,0 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Solde effectif | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde conjoncturel | -0,5 | -0,7 | -0,6 | -0,4 | -0,2 | 0,0 | Solde structurel | -4,2 | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUC | Solde effectif | -5,2 | -5,4 | -4,7 | -4,3 | -4,2 | -4,1 | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | -4,9 | -4,9 | -4,3 | -4,0 | -4,0 | -4,1 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUL | Solde effectif | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Solde structurel | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | 0,2 | 0,4 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Solde effectif | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | 0,6 | 1,0 | 0,8 | 0,9 | 0,9 | 1,0 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Solde effectif | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde conjoncturel | -0,5 | -0,7 | -0,6 | -0,4 | -0,2 | 0,0 | Solde structurel | -4,2 | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUC | Solde effectif | -5,2 | -5,4 | -4,7 | -4,3 | -4,2 | -4,1 | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | -4,9 | -4,9 | -4,3 | -4,0 | -4,0 | -4,1 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUL | Solde effectif | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Solde structurel | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | 0,2 | 0,4 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Solde effectif | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | 0,6 | 1,0 | 0,8 | 0,9 | 0,9 | 1,0 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Solde effectif | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Solde conjoncturel | -0,5 | -0,7 | -0,6 | -0,4 | -0,2 | 0,0 | Solde structurel | -4,2 | -4,1 | -3,7 | -3,3 | -2,9 | -2,7 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUC | Solde effectif | -5,2 | -5,4 | -4,7 | -4,3 | -4,2 | -4,1 | Solde conjoncturel | -0,3 | -0,4 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | -4,9 | -4,9 | -4,3 | -4,0 | -4,0 | -4,1 | Solde des one-offs | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | APUL | Solde effectif | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | Solde conjoncturel | -0,1 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Solde structurel | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | 0,2 | 0,4 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Solde effectif | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | Solde conjoncturel | -0,2 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | Solde structurel | 0,6 | 1,0 | 0,8 | 0,9 | 0,9 | 1,0 | Solde des one-offs | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | | |
Tableau : Effort structurel par sous‑secteur 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Effort structurel par sous‑secteur 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Effort structurel par sous‑secteur 2022‑2027 | Effort structurel par sous‑secteur 2022‑2027 | |
|
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
| Variation du solde structurel | 0,9 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | APU | Dont effort structurel | -0,2 | 1,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | 0,3 |
| Effort en recettes | -0,3 | 0,0 | -0,5 | -0,1 | 0,0 | 0,0 |
| Effort en dépense | 0,1 | 1,3 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | 0,3 |
| Variation du solde structurel | 0,1 | -0,1 | 0,3 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | APUC | Dont effort structurel | -0,4 | 0,7 | 0,0 | 0,4 | 0,1 | -0,1 |
| Effort en recettes | -0,2 | 0,0 | -0,7 | -0,1 | 0,0 | 0,0 |
| Effort en dépense | -0,1 | 0,8 | 0,7 | 0,5 | 0,1 | -0,1 |
| Variation du solde structurel | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,2 | APUL | Dont effort structurel | -0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,3 |
| Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 |
| Variation du solde structurel | 0,9 | 0,4 | 0,0 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Dont effort structurel | 0,3 | 0,4 | 0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,1 |
| Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| Effort en dépense | 0,3 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,1 | |
|
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
| Variation du solde structurel | 0,9 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | APU | Dont effort structurel | -0,2 | 1,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | 0,3 |
| Effort en recettes | -0,3 | 0,0 | -0,5 | -0,1 | 0,0 | 0,0 |
| Effort en dépense | 0,1 | 1,3 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | 0,3 |
| Variation du solde structurel | 0,1 | -0,1 | 0,3 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | APUC | Dont effort structurel | -0,4 | 0,7 | 0,0 | 0,4 | 0,1 | -0,1 |
| Effort en recettes | -0,2 | 0,0 | -0,7 | -0,1 | 0,0 | 0,0 |
| Effort en dépense | -0,1 | 0,8 | 0,7 | 0,5 | 0,1 | -0,1 |
| Variation du solde structurel | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,2 | APUL | Dont effort structurel | -0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,3 |
| Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 |
| Variation du solde structurel | 0,9 | 0,4 | 0,0 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | ASSO | Dont effort structurel | 0,3 | 0,4 | 0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,1 |
| Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
| Effort en dépense | 0,3 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,1 | |
|
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Variation du solde structurel | 0,9 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,3 | Dont effort structurel | -0,2 | 1,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | 0,3 | Effort en recettes | -0,3 | 0,0 | -0,5 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | 0,1 | 1,3 | 0,8 | 0,5 | 0,5 | 0,3 | APUC | Variation du solde structurel | 0,1 | -0,1 | 0,3 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | Dont effort structurel | -0,4 | 0,7 | 0,0 | 0,4 | 0,1 | -0,1 | Effort en recettes | -0,2 | 0,0 | -0,7 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | -0,1 | 0,8 | 0,7 | 0,5 | 0,1 | -0,1 | APUL | Variation du solde structurel | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,3 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | ASSO | Variation du solde structurel | 0,9 | 0,4 | 0,0 | -0,1 | 0,0 | 0,0 | Dont effort structurel | 0,3 | 0,4 | 0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,1 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,2 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | 0,3 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,1 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Variation du solde structurel | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | Effort en dépense | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | APUC | Variation du solde structurel | 0,2 | -0,1 | 0,6 | 0,3 | 0,0 | -0,1 | Dont effort structurel | -0,5 | 0,9 | 0,4 | 0,1 | -0,1 | -0,1 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,1 | 0,2 | 0,0 | -0,1 | Effort en dépense | -0,2 | 1,2 | 0,5 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | APUL | Variation du solde structurel | 0,0 | -0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | ASSO | Variation du solde structurel | 0,8 | 0,4 | -0,2 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | Dont effort structurel | 0,3 | 0,7 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | 0,3 | 0,7 | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Variation du solde structurel | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | Effort en dépense | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | APUC | Variation du solde structurel | 0,2 | -0,1 | 0,6 | 0,3 | 0,0 | -0,1 | Dont effort structurel | -0,5 | 0,9 | 0,4 | 0,1 | -0,1 | -0,1 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,1 | 0,2 | 0,0 | -0,1 | Effort en dépense | -0,2 | 1,2 | 0,5 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | APUL | Variation du solde structurel | 0,0 | -0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | ASSO | Variation du solde structurel | 0,8 | 0,4 | -0,2 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | Dont effort structurel | 0,3 | 0,7 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | 0,3 | 0,7 | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Variation du solde structurel | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | Effort en dépense | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | APUC | Variation du solde structurel | 0,2 | -0,1 | 0,6 | 0,3 | 0,0 | -0,1 | Dont effort structurel | -0,5 | 0,9 | 0,4 | 0,1 | -0,1 | -0,1 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,1 | 0,2 | 0,0 | -0,1 | Effort en dépense | -0,2 | 1,2 | 0,5 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | APUL | Variation du solde structurel | 0,0 | -0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | ASSO | Variation du solde structurel | 0,8 | 0,4 | -0,2 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | Dont effort structurel | 0,3 | 0,7 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | 0,3 | 0,7 | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Variation du solde structurel | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | Effort en dépense | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | APUC | Variation du solde structurel | 0,2 | -0,1 | 0,6 | 0,3 | 0,0 | -0,1 | Dont effort structurel | -0,5 | 0,9 | 0,4 | 0,1 | -0,1 | -0,1 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,1 | 0,2 | 0,0 | -0,1 | Effort en dépense | -0,2 | 1,2 | 0,5 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | APUL | Variation du solde structurel | 0,0 | -0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | ASSO | Variation du solde structurel | 0,8 | 0,4 | -0,2 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | Dont effort structurel | 0,3 | 0,7 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | 0,3 | 0,7 | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Variation du solde structurel | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | Effort en dépense | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | APUC | Variation du solde structurel | 0,2 | -0,1 | 0,6 | 0,3 | 0,0 | -0,1 | Dont effort structurel | -0,5 | 0,9 | 0,4 | 0,1 | -0,1 | -0,1 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,1 | 0,2 | 0,0 | -0,1 | Effort en dépense | -0,2 | 1,2 | 0,5 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | APUL | Variation du solde structurel | 0,0 | -0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | ASSO | Variation du solde structurel | 0,8 | 0,4 | -0,2 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | Dont effort structurel | 0,3 | 0,7 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | 0,3 | 0,7 | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | APU | Variation du solde structurel | 1,0 | 0,1 | 0,5 | 0,4 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,4 | 1,7 | 0,5 | 0,4 | 0,4 | 0,3 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,0 | Effort en dépense | 0,0 | 2,1 | 0,5 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | APUC | Variation du solde structurel | 0,2 | -0,1 | 0,6 | 0,3 | 0,0 | -0,1 | Dont effort structurel | -0,5 | 0,9 | 0,4 | 0,1 | -0,1 | -0,1 | Effort en recettes | -0,4 | -0,3 | -0,1 | 0,2 | 0,0 | -0,1 | Effort en dépense | -0,2 | 1,2 | 0,5 | -0,2 | -0,1 | 0,0 | APUL | Variation du solde structurel | 0,0 | -0,3 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Dont effort structurel | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | -0,1 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,2 | ASSO | Variation du solde structurel | 0,8 | 0,4 | -0,2 | 0,1 | 0,0 | 0,1 | Dont effort structurel | 0,3 | 0,7 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | Effort en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | Effort en dépense | 0,3 | 0,7 | -0,1 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | | |
2. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2026 | 2. (Alinéa sans modification) | 2. (Alinéa sans modification) | 2. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2025 | 2. (Alinéa sans modification) | 2. (Alinéa sans modification) | 2. (Alinéa sans modification) | 2. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2025 | 2. Le ratio de dette des administrations publiques amorcera sa décrue en 2025 | |
L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macro‑économique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2026, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour poursuivre la mise en œuvre de la baisse des prélèvements obligatoires. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macro‑économique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour consolider la baisse de fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macroéconomique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour consolider la baisse de fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. | L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macroéconomique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour consolider la baisse de fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. | L’effort de maîtrise des dépenses publiques, objectif nécessaire une fois la crise sanitaire passée et le contexte macroéconomique stabilisé, permettra la réduction du ratio de dette publique à partir de 2025, tout en laissant au Gouvernement des marges de manœuvre pour consolider la baisse de fiscalité engagée sous le mandat précédent et depuis le début du mandat actuel. | |
En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,8 % du PIB selon les chiffres publiés par l’Insee le 31 août 2022. Il connaitrait une première baisse en 2022 et 2023 (à 111,5 % puis 111,2 % respectivement), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et sous l’effet des flux de créances venant réduire le ratio. | (Alinéa sans modification) | En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,8 % du PIB selon les chiffres publiés par l’Insee le 31 août 2022. Il connaîtrait une première baisse en 2022 et 2023 (à 111,5 % puis 111,2 % respectivement), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et sous l’effet des flux de créances venant réduire le ratio. | En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,9 % selon les chiffres publiés par l’Insee le 31 août 2023. Il connaîtrait une première baisse en 2022 et 2023 (respectivement à 111,8 % puis 109,7 %), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et 2023. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,9 % selon les chiffres publiés par l’INSEE le 31 août 2023. Il connaîtrait une première baisse en 2022 et 2023 (respectivement à 111,8 % puis à 109,7 %), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et 2023. | En 2021, le ratio d’endettement s’inscrirait à 112,9 % selon les chiffres publiés par l’INSEE le 31 août 2023. Il connaîtrait une première baisse en 2022 et 2023 (respectivement à 111,8 % puis à 109,7 %), en raison notamment de la vigueur de la croissance nominale en 2022 et 2023. | |
Il recommencerait à croitre légèrement en 2024 et 2025, année où il atteindrait 111,7 % du PIB, puis amorcerait sa décrue pour s’établir à 110,9 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu le scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2024 entre ‑4,4 % et ‑3,6 % du PIB : ainsi, en 2024 et 2025, le ratio de dette continuerait d’augmenter car le solde public se situerait encore en‑dessous de ce niveau, toutes choses égales par ailleurs s’agissant des flux de créances. En 2026 et 2027 en revanche, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la hausse de la dette à moyen terme, en raison de l’étalement des primes à l’émission passées. | (Alinéa sans modification) | Il recommencerait à croître légèrement en 2024 et 2025, année où il atteindrait 111,7 % du PIB, puis amorcerait sa décrue pour s’établir à 110,9 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu le scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2024 entre ‑4,4 % et ‑3,6 % du PIB : ainsi, en 2024 et 2025, le ratio de dette continuerait d’augmenter car le solde public se situerait encore en dessous de ce niveau, toutes choses égales par ailleurs s’agissant des flux de créances. En 2026 et 2027 en revanche, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la hausse de la dette à moyen terme, en raison de l’étalement des primes à l’émission passées. | Il serait stable en 2024, puis poursuivrait sa décrue dès 2025 pour s’établir à 108,1 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu du scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2025 entre – 3,8 % et ‑3,6 % du PIB. Ainsi, à partir de 2025, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette chaque année et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la baisse de la dette à moyen terme, en raison notamment du décalage comptable sur les recettes issues du financement européen du plan relance. | Il serait stable en 2024, puis poursuivrait sa décrue dès 2025 pour s’établir à 108,1 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu du scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2025 entre ‑3,8 % et ‑3,6 % du PIB. Ainsi, à partir de 2025, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette chaque année et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la baisse de la dette à moyen terme, en raison notamment du décalage comptable sur les recettes issues du financement européen du plan relance. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Il serait stable en 2024, puis poursuivrait sa décrue dès 2025 pour s’établir à 108,1 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu du scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2025 entre ‑3,8 % et ‑3,6 % du PIB. Ainsi, à partir de 2025, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette chaque année et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la baisse de la dette à moyen terme, en raison notamment du décalage comptable sur les recettes issues du financement européen du plan relance. | Il serait stable en 2024, puis poursuivrait sa décrue dès 2025 pour s’établir à 108,1 % en 2027. Cette trajectoire s’explique principalement par l’écart du solde public à son niveau stabilisant le ratio de dette. En effet, compte tenu du scénario de croissance de moyen terme, le solde stabilisant le ratio de dette se situerait à compter de 2025 entre ‑3,8 % et ‑3,6 % du PIB. Ainsi, à partir de 2025, le solde public dépasserait le niveau stabilisant le ratio de dette chaque année et ce dernier commencerait donc à refluer. Les flux de créances contribueraient marginalement à la baisse de la dette à moyen terme, en raison notamment du décalage comptable sur les recettes issues du financement européen du plan relance. | |
Tableau : Dette par sous‑secteur 2021‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Dette par sous‑secteur 2021‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Dette par sous‑secteur 2021‑2027 | Dette par sous‑secteur 2021‑2027 | |
| 2021 | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique (en points de PIB) | 112,8 | 111,5 | 111,2 | 111,3 | 111,7 | 111,6 | 110,9 | Contribution des APUC | 92,0 | 92,2 | 93,2 | 94,6 | 96,3 | 97,8 | 99,0 | Contribution des APUL | 9,8 | 9,4 | 9,1 | 8,9 | 8,6 | 8,1 | 7,4 | Contribution des ASSO | 11,0 | 9,9 | 8,9 | 7,7 | 6,7 | 5,7 | 4,5 | | | 2021 | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique (en points de PIB) | 112,8 | 111,5 | 111,2 | 111,3 | 111,7 | 111,6 | 110,9 | Contribution des APUC | 92,0 | 92,2 | 93,2 | 94,6 | 96,3 | 97,8 | 99,0 | Contribution des APUL | 9,8 | 9,4 | 9,1 | 8,9 | 8,6 | 8,1 | 7,4 | Contribution des ASSO | 11,0 | 9,9 | 8,9 | 7,7 | 6,7 | 5,7 | 4,5 | | | 2021 | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique (en points de PIB) | 112,8 | 111,5 | 111,2 | 111,3 | 111,7 | 111,6 | 110,9 | Contribution des APUC | 92,0 | 92,2 | 93,2 | 94,6 | 96,3 | 97,8 | 99,0 | Contribution des APUL | 9,8 | 9,4 | 9,1 | 8,9 | 8,6 | 8,1 | 7,4 | Contribution des ASSO | 11,0 | 9,9 | 8,9 | 7,7 | 6,7 | 5,7 | 4,5 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | - contribution des APUC | 92,2 | 91,6 | 92,4 | 93,5 | 94,5 | 95,4 | - contribution des APUL | 9,3 | 9,0 | 8,9 | 8,8 | 8,3 | 7,6 | - contribution des ASSO | 10,2 | 9,1 | 8,4 | 7,4 | 6,3 | 5,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | - contribution des APUC | 92,2 | 91,6 | 92,4 | 93,5 | 94,5 | 95,4 | - contribution des APUL | 9,3 | 9,0 | 8,9 | 8,8 | 8,3 | 7,6 | - contribution des ASSO | 10,2 | 9,1 | 8,4 | 7,4 | 6,3 | 5,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | - contribution des APUC | 92,2 | 91,6 | 92,4 | 93,5 | 94,5 | 95,4 | - contribution des APUL | 9,3 | 9,0 | 8,9 | 8,8 | 8,3 | 7,6 | - contribution des ASSO | 10,2 | 9,1 | 8,4 | 7,4 | 6,3 | 5,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | - contribution des APUC | 92,2 | 91,6 | 92,4 | 93,5 | 94,5 | 95,4 | - contribution des APUL | 9,3 | 9,0 | 8,9 | 8,8 | 8,3 | 7,6 | - contribution des ASSO | 10,2 | 9,1 | 8,4 | 7,4 | 6,3 | 5,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | - contribution des APUC | 92,2 | 91,6 | 92,4 | 93,5 | 94,5 | 95,4 | - contribution des APUL | 9,3 | 9,0 | 8,9 | 8,8 | 8,3 | 7,6 | - contribution des ASSO | 10,2 | 9,1 | 8,4 | 7,4 | 6,3 | 5,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dette publique | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | - contribution des APUC | 92,2 | 91,6 | 92,4 | 93,5 | 94,5 | 95,4 | - contribution des APUL | 9,3 | 9,0 | 8,9 | 8,8 | 8,3 | 7,6 | - contribution des ASSO | 10,2 | 9,1 | 8,4 | 7,4 | 6,3 | 5,1 | | |
Tableau : écart au solde stabilisant, flux de créances et variation du ratio d’endettement | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Écart au solde stabilisant, flux de créances et variation du ratio d’endettement | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Écart au solde stabilisant, flux de créances et variation du ratio d’endettement | Écart au solde stabilisant, flux de créances et variation du ratio d’endettement | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,4 | -0,3 | 0,1 | 0,4 | -0,1 | -0,7 | | Ecart au solde stabilisant (1) = (a -b) | -1,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | -0,1 | -0,8 | | Solde stabilisant la dette (a) | -6,0 | -4,9 | -4,4 | -3,8 | -3,6 | -3,7 | | Pm. Croissance nominale | 5,6 | 4,6 | 4,1 | 3,5 | 3,3 | 3,4 | | Solde public au sens de Maastricht (b) | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | | Flux de créances (2) | -0,3 | -0,4 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,4 | -0,3 | 0,1 | 0,4 | -0,1 | -0,7 | | Ecart au solde stabilisant (1) = (a -b) | -1,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | -0,1 | -0,8 | | Solde stabilisant la dette (a) | -6,0 | -4,9 | -4,4 | -3,8 | -3,6 | -3,7 | | Pm. Croissance nominale | 5,6 | 4,6 | 4,1 | 3,5 | 3,3 | 3,4 | | Solde public au sens de Maastricht (b) | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | | Flux de créances (2) | -0,3 | -0,4 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
| Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,4 | -0,3 | 0,1 | 0,4 | -0,1 | -0,7 |
| Écart au solde stabilisant (1) = (a -b) | -1,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | -0,1 | -0,8 |
| Solde stabilisant la dette (a) | -6,0 | -4,9 | -4,4 | -3,8 | -3,6 | -3,7 |
| Pm. Croissance nominale | 5,6 | 4,6 | 4,1 | 3,5 | 3,3 | 3,4 |
| Solde public au sens de Maastricht (b) | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 |
| Flux de créances (2) | -0,3 | -0,4 | 0,0 | 0,2 | 0,1 | 0,1 |
| | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,1 | -2,1 | 0,1 | -0,1 | -0,6 | -1,0 | Écart au solde stabilisant (1) = (a - b) | -1,1 | -2,2 | 0,2 | 0,0 | -0,4 | -0,9 | - Solde stabilisant la dette (a) | -5,9 | -7,1 | -4,2 | -3,8 | -3,5 | -3,6 | - Pm. croissance nominale | 5,5 | 6,8 | 4,0 | 3,6 | 3,3 | 3,4 | Solde public au sens de Maastricht (b) | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Flux de créances (2) | 0,0 | 0,1 | -0,1 | 0,0 | -0,2 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,1 | -2,1 | 0,1 | -0,1 | -0,6 | -1,0 | Écart au solde stabilisant (1 = a - b) | -1,1 | -2,2 | 0,2 | 0,0 | -0,4 | -0,9 | - Solde stabilisant la dette (a) | -5,9 | -7,1 | -4,2 | -3,8 | -3,5 | -3,6 | - Pm. croissance nominale | 5,5 | 6,8 | 4,0 | 3,6 | 3,3 | 3,4 | Solde public au sens de Maastricht (b) | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Flux de créances (2) | 0,0 | 0,1 | -0,1 | 0,0 | -0,2 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,1 | -2,1 | 0,1 | -0,1 | -0,6 | -1,0 | Écart au solde stabilisant (1 = a - b) | -1,1 | -2,2 | 0,2 | 0,0 | -0,4 | -0,9 | - Solde stabilisant la dette (a) | -5,9 | -7,1 | -4,2 | -3,8 | -3,5 | -3,6 | - Pm. croissance nominale | 5,5 | 6,8 | 4,0 | 3,6 | 3,3 | 3,4 | Solde public au sens de Maastricht (b) | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Flux de créances (2) | 0,0 | 0,1 | -0,1 | 0,0 | -0,2 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,1 | -2,1 | 0,1 | -0,1 | -0,6 | -1,0 | Écart au solde stabilisant (1 = a - b) | -1,1 | -2,2 | 0,2 | 0,0 | -0,4 | -0,9 | - Solde stabilisant la dette (a) | -5,9 | -7,1 | -4,2 | -3,8 | -3,5 | -3,6 | - Pm. croissance nominale | 5,5 | 6,8 | 4,0 | 3,6 | 3,3 | 3,4 | Solde public au sens de Maastricht (b) | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Flux de créances (2) | 0,0 | 0,1 | -0,1 | 0,0 | -0,2 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,1 | -2,1 | 0,1 | -0,1 | -0,6 | -1,0 | Écart au solde stabilisant (1 = a - b) | -1,1 | -2,2 | 0,2 | 0,0 | -0,4 | -0,9 | - Solde stabilisant la dette (a) | -5,9 | -7,1 | -4,2 | -3,8 | -3,5 | -3,6 | - Pm. croissance nominale | 5,5 | 6,8 | 4,0 | 3,6 | 3,3 | 3,4 | Solde public au sens de Maastricht (b) | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Flux de créances (2) | 0,0 | 0,1 | -0,1 | 0,0 | -0,2 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Variation du ratio d’endettement (1 + 2) | -1,1 | -2,1 | 0,1 | -0,1 | -0,6 | -1,0 | Écart au solde stabilisant (1 = a - b) | -1,1 | -2,2 | 0,2 | 0,0 | -0,4 | -0,9 | - Solde stabilisant la dette (a) | -5,9 | -7,1 | -4,2 | -3,8 | -3,5 | -3,6 | - Pm. croissance nominale | 5,5 | 6,8 | 4,0 | 3,6 | 3,3 | 3,4 | Solde public au sens de Maastricht (b) | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Flux de créances (2) | 0,0 | 0,1 | -0,1 | 0,0 | -0,2 | -0,1 | | |
Tableau : Charge d’intérêts et solde primaire 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Charge d’intérêts et solde primaire 2022‑2027 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Charge d’intérêts et solde primaire 2022‑2027 | Charge d’intérêts et solde primaire 2022‑2027 | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | Charge d’intérêt | 1,8 | 1,6 | 1,8 | 1,9 | 2,0 | 2,1 | Solde primaire | -3,2 | -3,4 | -2,7 | -2,1 | -1,5 | -0,8 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | Charge d’intérêt | 1,8 | 1,6 | 1,8 | 1,9 | 2,0 | 2,1 | Solde primaire | -3,2 | -3,4 | -2,7 | -2,1 | -1,5 | -0,8 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | Charge d’intérêt | 1,8 | 1,6 | 1,8 | 1,9 | 2,0 | 2,1 | Solde primaire | -3,2 | -3,4 | -2,7 | -2,1 | -1,5 | -0,8 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Charge d’intérêt | 1,9 | 1,7 | 1,9 | 2,2 | 2,4 | 2,6 | Solde primaire | -2,9 | -3,3 | -2,4 | -1,6 | -0,8 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Charge d’intérêt | 1,9 | 1,7 | 1,9 | 2,2 | 2,4 | 2,6 | Solde primaire | -2,9 | -3,3 | -2,4 | -1,6 | -0,8 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Charge d’intérêt | 1,9 | 1,7 | 1,9 | 2,2 | 2,4 | 2,6 | Solde primaire | -2,9 | -3,3 | -2,4 | -1,6 | -0,8 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Charge d’intérêt | 1,9 | 1,7 | 1,9 | 2,2 | 2,4 | 2,6 | Solde primaire | -2,9 | -3,3 | -2,4 | -1,6 | -0,8 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Charge d’intérêt | 1,9 | 1,7 | 1,9 | 2,2 | 2,4 | 2,6 | Solde primaire | -2,9 | -3,3 | -2,4 | -1,6 | -0,8 | -0,1 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Charge d’intérêt | 1,9 | 1,7 | 1,9 | 2,2 | 2,4 | 2,6 | Solde primaire | -2,9 | -3,3 | -2,4 | -1,6 | -0,8 | -0,1 | | |
| | | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | | |
| | | | 2021 | 2022 | Dette garantie par l’État (en % du PIB) | 12,8 | 11,4 | | | (En % du PIB) | | 2021 | 2022 | Dette garantie par l’État | 12,8 | 11,4 | | | (En % du PIB) | | 2021 | 2022 | Dette garantie par l’État | 12,8 | 11,4 | | | (En % du PIB) | | 2021 | 2022 | Dette garantie par l’État | 12,8 | 11,4 | | | (En % du PIB) | | 2021 | 2022 | Dette garantie par l’État | 12,8 | 11,4 | | | (En % du PIB) | | 2021 | 2022 | Dette garantie par l’État | 12,8 | 11,4 | | |
Encadré : Scénario de taux et choc de taux | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Scénario de taux et choc de taux | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Scénario de taux et choc de taux | Scénario de taux et choc de taux | |
La forte hausse des inflations (France et zone euro) déjà constatée depuis début 2022, ainsi que le début de la normalisation de la politique monétaire de la Banque centrale européenne, ont entraîné une accélération de la remontée des taux. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le choc d’inflation observé en 2022 a provoqué une normalisation accélérée de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), entraînant une rapide remontée des taux. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le choc d’inflation observé en 2022 a provoqué une normalisation accélérée de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), entraînant une rapide remontée des taux. | Le choc d’inflation observé en 2022 a provoqué une normalisation accélérée de la politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE), entraînant une rapide remontée des taux. | |
Le profil de taux sous‑jacent à la prévision de charge de la dette repose d’une part sur l’hypothèse d’une poursuite de la hausse des taux directeurs de la BCE engagée en juillet puis en septembre 2022, en cohérence avec la mission de la BCE de maintien de la stabilité des prix, et d’autre part sur les autres hypothèses macroéconomiques retenues dans la LPFP. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le profil de taux sous‑jacent à la prévision de charge de la dette repose, d’une part, sur l’hypothèse, correspondant aux anticipations de marché actuelles, d’une légère détente des taux directeurs de la BCE courant 2024, puis d’une stabilisation à un niveau cohérent avec les autres hypothèses macroéconomiques retenues dans la LPFP. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le profil de taux sous‑jacent à la prévision de charge de la dette repose, d’une part, sur l’hypothèse, correspondant aux anticipations de marché actuelles, d’une légère détente des taux directeurs de la BCE courant 2024, puis d’une stabilisation à un niveau cohérent avec les autres hypothèses macroéconomiques retenues dans la présente loi de programmation. | Le profil de taux sous‑jacent à la prévision de charge de la dette repose, d’une part, sur l’hypothèse, correspondant aux anticipations de marché actuelles, d’une légère détente des taux directeurs de la BCE courant 2024, puis d’une stabilisation à un niveau cohérent avec les autres hypothèses macroéconomiques retenues dans la présente loi de programmation. | |
Le scénario retenu pour la fin 2022 et pour 2023 retient l’hypothèse d’une remontée des taux longs : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 2,50 % fin 2022 et à 2,60 % fin 2023. Les taux à 10 ans convergeraient à moyen terme vers 3 %. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois serait à 1,20 % fin 2022 et 2,10 % fin 2023. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le scénario retenu pour la fin 2023 et pour 2024 retient l’hypothèse d’une stabilité globale des taux longs dans ce contexte, qui augmenteraient cependant légèrement sous l’effet de la politique de resserrement quantitatif (baisse des achats voire ventes de titres) de la BCE : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 3,40 % fin 2023 et à 3,50 % fin 2024 puis à 3,60% à partir de fin 2025. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois qui atteindrait 3,90 % fin 2023 baisserait à 3,50 % fin 2024, puis se maintiendrait à ce niveau. | Le scénario retenu pour la fin 2023 et pour 2024 retient l’hypothèse d’une stabilité globale des taux longs dans ce contexte, qui augmenteraient cependant légèrement sous l’effet de la politique de resserrement quantitatif (baisse des achats voire ventes de titres) de la BCE : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 3,40 % fin 2023 et à 3,50 % fin 2024 puis à 3,60 % à partir de fin 2025. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois qui atteindrait 3,90 % fin 2023 baisserait à 3,50 % fin 2024, puis se maintiendrait à ce niveau. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le scénario retenu pour la fin 2023 et pour 2024 retient dans ce contexte l’hypothèse d’une stabilité globale des taux longs, qui augmenteraient cependant légèrement sous l’effet de la politique de resserrement quantitatif (baisse des achats voire ventes de titres) de la BCE : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 3,40 % fin 2023 et à 3,50 % fin 2024 puis à 3,60 % à partir de fin 2025. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois qui atteindrait 3,90 % fin 2023 baisserait à 3,50 % fin 2024, puis se maintiendrait à ce niveau. | Le scénario retenu pour la fin 2023 et pour 2024 retient dans ce contexte l’hypothèse d’une stabilité globale des taux longs, qui augmenteraient cependant légèrement sous l’effet de la politique de resserrement quantitatif (baisse des achats voire ventes de titres) de la BCE : le taux à 10 ans s’élèverait alors à 3,40 % fin 2023 et à 3,50 % fin 2024 puis à 3,60 % à partir de fin 2025. S’agissant des taux courts, le taux à 3 mois qui atteindrait 3,90 % fin 2023 baisserait à 3,50 % fin 2024, puis se maintiendrait à ce niveau. | |
Tableau : Hypothèses de taux en fin d’année | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Hypothèses de taux en fin d’année | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Hypothèses de taux en fin d’année | Hypothèses de taux en fin d’année | |
Niveaux en fin d’année (hypothèses) | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 1,20 % | 2,10 % | 2,30 % | 2,40 % | 2,50 % | 2,60 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 2,50 % | 2,60 % | 2,70 % | 2,80 % | 2,90 % | 3,00 % | | Niveaux en fin d’année (hypothèses) | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 1,20 % | 2,10 % | 2,30 % | 2,40 % | 2,50 % | 2,60 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 2,50 % | 2,60 % | 2,70 % | 2,80 % | 2,90 % | 3,00 % | | Niveaux en fin d’année (hypothèses) | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 1,20 % | 2,10 % | 2,30 % | 2,40 % | 2,50 % | 2,60 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 2,50 % | 2,60 % | 2,70 % | 2,80 % | 2,90 % | 3,00 % | |
| 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 3,90 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 3,40 % | 3,50 % | 3,60 % | 3,60 % | 3,60 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 3,90 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 3,40 % | 3,50 % | 3,60 % | 3,60 % | 3,60 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 3,90 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 3,40 % | 3,50 % | 3,60 % | 3,60 % | 3,60 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 3,90 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 3,40 % | 3,50 % | 3,60 % | 3,60 % | 3,60 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 3,90 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 3,40 % | 3,50 % | 3,60 % | 3,60 % | 3,60 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Taux courts (BTF 3 mois) | 3,90 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | 3,50 % | Taux longs (OAT à 10 ans) | 3,40 % | 3,50 % | 3,60 % | 3,60 % | 3,60 % | | |
Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la LPFP. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire d’1 point par rapport au scénario de référence entrainerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,5 Md€ supplémentaires la première année, 6 Md€ supplémentaires la deuxième année, 10 Md€ supplémentaires la troisième année et près de 17 Md€ supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse de 1 point que le scénario central, cela entrainerait une baisse de la charge de la dette symétrique. | (Alinéa sans modification) | Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la LPFP. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire de 1 point par rapport au scénario de référence entraînerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,5 Md€ supplémentaires la première année, 6 Md€ supplémentaires la deuxième année, 10 Md€ supplémentaires la troisième année et près de 17 Md€ supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse de 1 point que le scénario central, cela entraînerait une baisse de la charge de la dette symétrique. | Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la présente loi. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire d’un point sur l’ensemble de la courbe par rapport au scénario de référence entraînerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,6 milliards d’euros supplémentaires la première année, 6,6 milliards d’euros supplémentaires la deuxième année, 10,3 milliards d’euros supplémentaires la troisième année et près de 13,9 milliards d’euros supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse d’un point que le scénario central, cela entraînerait une baisse de la charge de la dette symétrique. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la présente loi. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire d’un point sur l’ensemble de la courbe par rapport au scénario de référence entraînerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,6 milliards d’euros supplémentaires la première année, 6,6 milliards d’euros supplémentaires la deuxième année, 10,3 milliards d’euros supplémentaires la troisième année et près de 13,9 milliards d’euros supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse d’un point que le scénario central, cela entraînerait une baisse de la charge de la dette symétrique. | Une remontée durable des taux d’intérêt au‑dessus de ces hypothèses constituerait un facteur d’augmentation progressive de la charge de la dette par rapport à la prévision de la présente loi. Un choc pérenne de taux d’intérêt supplémentaire d’un point sur l’ensemble de la courbe par rapport au scénario de référence entraînerait une hausse de la charge de la dette en comptabilité maastrichtienne de 2,6 milliards d’euros supplémentaires la première année, 6,6 milliards d’euros supplémentaires la deuxième année, 10,3 milliards d’euros supplémentaires la troisième année et près de 13,9 milliards d’euros supplémentaires à l’horizon 2027. À l’inverse, si la trajectoire de remontée des taux était plus basse d’un point que le scénario central, cela entraînerait une baisse de la charge de la dette symétrique. | |
Tableau : Évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État (en Md€, en comptabilité nationale) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État | Évaluation minimaliste, moyenne et maximaliste de l’évolution des taux d’intérêt et de son impact sur les comptes de l’État | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (-2 points sur toute la trajectoire) | - | 32,7 | 32,3 | 30,5 | 29,1 | 30,2 | Scénario central | 42,2 | 37,5 | 44,1 | 48,7 | 53,6 | 60,6 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 42,4 | 56,2 | 67,8 | 79,9 | 93,9 | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (-2 points sur toute la trajectoire) | - | 32,7 | 32,3 | 30,5 | 29,1 | 30,2 | Scénario central | 42,2 | 37,5 | 44,1 | 48,7 | 53,6 | 60,6 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 42,4 | 56,2 | 67,8 | 79,9 | 93,9 | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (-2 points sur toute la trajectoire) | - | 32,7 | 32,3 | 30,5 | 29,1 | 30,2 | Scénario central | 42,2 | 37,5 | 44,1 | 48,7 | 53,6 | 60,6 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 42,4 | 56,2 | 67,8 | 79,9 | 93,9 | |
| 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (-2 points sur toute la trajectoire) | - | 43,0 | 43,9 | 44,5 | 46,7 | Scénario central | 38,6 | 48,1 | 57,1 | 65,2 | 74,4 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 53,2 | 70,2 | 85,8 | 102,1 | | (En milliards d’euros, en comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire) | - | 43,0 | 43,9 | 44,5 | 46,7 | Scénario central | 38,6 | 48,1 | 57,1 | 65,2 | 74,4 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 53,2 | 70,2 | 85,8 | 102,1 | | (En milliards d’euros, en comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire) | - | 43,0 | 43,9 | 44,5 | 46,7 | Scénario central | 38,6 | 48,1 | 57,1 | 65,2 | 74,4 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 53,2 | 70,2 | 85,8 | 102,1 | | (En milliards d’euros, en comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire) | - | 43,0 | 43,9 | 44,5 | 46,7 | Scénario central | 38,6 | 48,1 | 57,1 | 65,2 | 74,4 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 53,2 | 70,2 | 85,8 | 102,1 | | (En milliards d’euros, en comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire) | - | 43,0 | 43,9 | 44,5 | 46,7 | Scénario central | 38,6 | 48,1 | 57,1 | 65,2 | 74,4 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 53,2 | 70,2 | 85,8 | 102,1 | | (En milliards d’euros, en comptabilité nationale) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Scénario minimaliste (- 2 points sur toute la trajectoire) | - | 43,0 | 43,9 | 44,5 | 46,7 | Scénario central | 38,6 | 48,1 | 57,1 | 65,2 | 74,4 | Scénario maximaliste (+2 points sur toute la trajectoire) | - | 53,2 | 70,2 | 85,8 | 102,1 | | |
NB : si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » ont été dimensionnés pour correspondre aux scénarios extrêmes de taux observés depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence, aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à un retour brutal à l’environnement de taux très bas des dernières années, et à un scénario « maximaliste » où les taux longs retrouveraient le niveau d’environ 5 % qu’ils avaient au tout début du siècle. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | NB : Ce tableau est établi en application du 4° de l’article 1er E (4°) de la loi organique relative aux lois de finances. Si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » reprennent l’amplitude retenue l’an passé et qui avait été dimensionnée pour correspondre à celle observée depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à une inversion brutale de la politique monétaire par exemple pour faire face à une forte récession et à un scénario « maximaliste » où les taux longs atteindraient leurs niveaux extrêmes depuis la création de l’euro par exemple si s’installait un niveau élevé d’inflation dans la durée. | NB : Ce tableau est établi en application du 4° de l’article 1er E de la loi organique relative aux lois de finances. Si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » reprennent l’amplitude retenue l’an passé et qui avait été dimensionnée pour correspondre à celle observée depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à une inversion brutale de la politique monétaire par exemple pour faire face à une forte récession et à un scénario « maximaliste » où les taux longs atteindraient leurs niveaux extrêmes depuis la création de l’euro par exemple si s’installait un niveau élevé d’inflation dans la durée. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | NB : Ce tableau est établi en application du 4° de l’article 1er E de la loi organique relative aux lois de finances. Si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » reprennent l’amplitude retenue l’an passé et qui avait été dimensionnée pour correspondre à celle observée depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à une inversion brutale de la politique monétaire par exemple pour faire face à une forte récession et à un scénario « maximaliste » où les taux longs atteindraient leurs niveaux extrêmes depuis la création de l’euro par exemple si s’installait un niveau élevé d’inflation dans la durée. | Nota. – Ce tableau est établi en application du 4° de l’article 1er E de la loi organique relative aux lois de finances. Si rien ne peut garantir que la trajectoire future des taux s’inscrive entre ces bornes, les scénarios dits « minimaliste » et « maximaliste » reprennent l’amplitude retenue l’an passé et qui avait été dimensionnée pour correspondre à celle observée depuis le passage à l’euro. L’application dès l’an prochain d’un choc de 200 points de base à la baisse ou à la hausse par rapport au scénario de référence aboutit respectivement à un scénario « minimaliste » qui correspondrait à une inversion brutale de la politique monétaire par exemple pour faire face à une forte récession et à un scénario « maximaliste » où les taux longs atteindraient leurs niveaux extrêmes depuis la création de l’euro par exemple si s’installait un niveau élevé d’inflation dans la durée. | |
E. Une gouvernance rénovée des finances publiques renforcera le pilotage de la dépense | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | E. – Une gouvernance rénovée des finances publiques renforcera le pilotage de la dépense | E. – (Alinéa sans modification) | | E. – (Alinéa sans modification) | E. – Une gouvernance rénovée des finances publiques renforcera le pilotage de la dépense | E. – Une gouvernance rénovée des finances publiques renforcera le pilotage de la dépense | |
1. Le nouveau cadre organique renforce la stratégie pluriannuelle des finances publiques. | | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | | 1. (Alinéa sans modification) | 1. Le nouveau cadre organique renforce la stratégie pluriannuelle des finances publiques. | 1. Le nouveau cadre organique renforce la stratégie pluriannuelle des finances publiques. | |
À la suite des travaux de la mission d’information relative à la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), l’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté fin 2021 une loi modernisant le cadre organique des lois de finances. Ainsi la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques porte‑t‑elle plusieurs évolutions majeures. | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | À la suite des travaux de la mission d’information relative à la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), l’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté fin 2021 une loi modernisant le cadre organique des lois de finances. Ainsi la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques porte‑t‑elle plusieurs évolutions majeures. | À la suite des travaux de la mission d’information relative à la mise en œuvre de la loi organique relative aux lois de finances (LOLF), l’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté fin 2021 une loi modernisant le cadre organique des lois de finances. Ainsi la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques porte‑t‑elle plusieurs évolutions majeures. | |
Elle contribue d’abord au renforcement du pilotage pluriannuel des finances publiques, notamment par l’intégration dans la loi de finances, au niveau de l’article liminaire, d’un nouveau suivi de l’évolution de la dépense publique en volume et en milliards d’euros (pour l’année sur laquelle porte la loi de finances, l’année en cours et l’année écoulée), qui pourra être lue en écart à la trajectoire de référence définie par la présente loi de programmation des finances publiques. Cette trajectoire d’évolution est désormais déclinée par sous‑secteur des administrations publiques pour en faire un réel outil de pilotage. Pour le budget de l’État, les projets annuels de performances doivent présenter chaque année des plafonds de dépenses pour trois ans au niveau du programme. | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Elle contribue d’abord au renforcement du pilotage pluriannuel des finances publiques, notamment par l’intégration dans la loi de finances, au niveau de l’article liminaire, d’un nouveau suivi de l’évolution de la dépense publique en volume et en milliards d’euros (pour l’année sur laquelle porte la loi de finances, l’année en cours et l’année écoulée), qui pourra être lue en écart à la trajectoire de référence définie par la présente loi de programmation des finances publiques. Cette trajectoire d’évolution est désormais déclinée par sous‑secteur des administrations publiques pour en faire un réel outil de pilotage. Pour le budget de l’État, les projets annuels de performances doivent présenter chaque année des plafonds de dépenses pour trois ans au niveau du programme. | Elle contribue d’abord au renforcement du pilotage pluriannuel des finances publiques, notamment par l’intégration dans la loi de finances, au niveau de l’article liminaire, d’un nouveau suivi de l’évolution de la dépense publique en volume et en milliards d’euros (pour l’année sur laquelle porte la loi de finances, l’année en cours et l’année écoulée), qui pourra être lue en écart à la trajectoire de référence définie par la présente loi de programmation des finances publiques. Cette trajectoire d’évolution est désormais déclinée par sous‑secteur des administrations publiques pour en faire un réel outil de pilotage. Pour le budget de l’État, les projets annuels de performances doivent présenter chaque année des plafonds de dépenses pour trois ans au niveau du programme. | |
Les lois de programmation des finances publiques sont aussi renforcées par le nouveau cadre organique. Celles‑ci doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillé en annexe de ces lois. | | Les lois de programmation des finances publiques sont aussi renforcées par le nouveau cadre organique. Celles‑ci doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois. | Les lois de programmation des finances publiques sont également renforcées par le nouveau cadre organique. Celles‑ci doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois. | Les lois de programmation des finances publiques sont également renforcées par le nouveau cadre organique. Elles doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois. | | (Alinéa sans modification) | Les lois de programmation des finances publiques sont également renforcées par le nouveau cadre organique. Elles doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois. | Les lois de programmation des finances publiques sont également renforcées par le nouveau cadre organique. Elles doivent désormais présenter une trajectoire en niveau et en évolution des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement. Les principales dépenses de cette trajectoire – compte tenu de leur contribution à la croissance potentielle du produit intérieur brut, à la transformation structurelle du pays et à son développement social et environnemental à long terme – doivent par ailleurs faire l’objet d’une présentation détaillée en annexe de ces lois. | |
Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au‑delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP. | | (Alinéa sans modification) | Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP. | (Alinéa sans modification) | | Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au‑delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP. | Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP. | Le nouveau cadre organique renforce par ailleurs le rôle du Haut Conseil des finances publiques (HCFP) dont le mandat est étendu. Le HCFP sera dorénavant compétent, au delà de l’examen de la cohérence des textes financiers annuels au regard des objectifs de dépense prévus en LPFP, pour contrôler la cohérence des lois de programmation sectorielles ayant un impact sur les finances publiques avec les LPFP. | |
Dans le cadre de l’élaboration du budget, la loi organique vise à améliorer la qualité de l’information transmise au Parlement et son rôle dans l’examen de la dépense : les annexes au PLF sont notamment enrichies en matière de dépenses fiscales. Par ailleurs, l’articulation du calendrier budgétaire avec le calendrier européen est améliorée : l’examen du programme de stabilité par le Parlement pourra être associé à la lecture des résultats de l’exercice précédent. Les débats parlementaires seront enrichis, notamment d’une capacité d’amendement et de vote sur le dispositif de performance. Ils pourront en outre s’appuyer sur une présentation budgétaire clarifiée distinguant l’investissement et le fonctionnement, permettant une appréhension de la dépense publique sous un prisme renouvelé. Cette présentation, conjuguée à l’aménagement d’un temps de débat spécifique consacré à la dette publique, vise à initier une réflexion sur les choix de long terme, en matière de dépenses comme en matière d’endettement. | | (Alinéa sans modification) | Dans le cadre de l’élaboration du budget, la loi organique vise à améliorer la qualité de l’information transmise au Parlement et son rôle dans l’examen de la dépense : les annexes au projet de loi de finances sont notamment enrichies en matière de dépenses fiscales. Par ailleurs, l’articulation du calendrier budgétaire avec le calendrier européen est améliorée : l’examen du programme de stabilité par le Parlement pourra être associé à la lecture des résultats de l’exercice précédent. Les débats parlementaires seront enrichis, notamment d’une capacité d’amendement et de vote sur le dispositif de performance. Ils pourront en outre s’appuyer sur une présentation budgétaire clarifiée distinguant l’investissement et le fonctionnement, permettant une appréhension de la dépense publique sous un prisme renouvelé. Cette présentation, conjuguée à l’aménagement d’un temps de débat spécifique consacré à la dette publique, vise à initier une réflexion sur les choix de long terme, en matière de dépenses comme en matière d’endettement. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Dans le cadre de l’élaboration du budget, la loi organique vise à améliorer la qualité de l’information transmise au Parlement et son rôle dans l’examen de la dépense : les annexes au projet de loi de finances sont notamment enrichies en matière de dépenses fiscales. Par ailleurs, l’articulation du calendrier budgétaire avec le calendrier européen est améliorée : l’examen du programme de stabilité par le Parlement pourra être associé à la lecture des résultats de l’exercice précédent. Les débats parlementaires seront enrichis, notamment d’une capacité d’amendement et de vote sur le dispositif de performance. Ils pourront en outre s’appuyer sur une présentation budgétaire clarifiée distinguant l’investissement et le fonctionnement, permettant une appréhension de la dépense publique sous un prisme renouvelé. Cette présentation, conjuguée à l’aménagement d’un temps de débat spécifique consacré à la dette publique, vise à initier une réflexion sur les choix de long terme, en matière de dépenses comme en matière d’endettement. | Dans le cadre de l’élaboration du budget, la loi organique vise à améliorer la qualité de l’information transmise au Parlement et son rôle dans l’examen de la dépense : les annexes au projet de loi de finances sont notamment enrichies en matière de dépenses fiscales. Par ailleurs, l’articulation du calendrier budgétaire avec le calendrier européen est améliorée : l’examen du programme de stabilité par le Parlement pourra être associé à la lecture des résultats de l’exercice précédent. Les débats parlementaires seront enrichis, notamment d’une capacité d’amendement et de vote sur le dispositif de performance. Ils pourront en outre s’appuyer sur une présentation budgétaire clarifiée distinguant l’investissement et le fonctionnement, permettant une appréhension de la dépense publique sous un prisme renouvelé. Cette présentation, conjuguée à l’aménagement d’un temps de débat spécifique consacré à la dette publique, vise à initier une réflexion sur les choix de long terme, en matière de dépenses comme en matière d’endettement. | |
La nouvelle loi organique permet également de réduire la fragmentation de la dépense et d’améliorer la lisibilité du budget de l’État. L’encadrement des recettes affectées à des personnes morales autres que l’État est renforcé : l’affectation de recettes relève dorénavant du domaine exclusif des lois de finances et obéit à des critères plus précis. De plus, la transparence du budget est renforcée par la présentation en annexe du PLF, pour chaque mission, de l’ensemble des moyens de financement de la politique publique concernée : crédits budgétaires, taxes affectées et dépenses fiscales. | | (Alinéa sans modification) | La nouvelle loi organique permet également de réduire la fragmentation de la dépense et d’améliorer la lisibilité du budget de l’État. L’encadrement des recettes affectées à des personnes morales autres que l’État est renforcé : l’affectation de recettes relève dorénavant du domaine exclusif des lois de finances et obéit à des critères plus précis. De plus, la transparence du budget est renforcée par la présentation en annexe du projet de loi de finances, pour chaque mission, de l’ensemble des moyens de financement de la politique publique concernée : crédits budgétaires, taxes affectées et dépenses fiscales. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | La nouvelle loi organique permet également de réduire la fragmentation de la dépense et d’améliorer la lisibilité du budget de l’État. L’encadrement des recettes affectées à des personnes morales autres que l’État est renforcé : l’affectation de recettes relève dorénavant du domaine exclusif des lois de finances et obéit à des critères plus précis. De plus, la transparence du budget est renforcée par la présentation en annexe du projet de loi de finances, pour chaque mission, de l’ensemble des moyens de financement de la politique publique concernée : crédits budgétaires, taxes affectées et dépenses fiscales. | La nouvelle loi organique permet également de réduire la fragmentation de la dépense et d’améliorer la lisibilité du budget de l’État. L’encadrement des recettes affectées à des personnes morales autres que l’État est renforcé : l’affectation de recettes relève dorénavant du domaine exclusif des lois de finances et obéit à des critères plus précis. De plus, la transparence du budget est renforcée par la présentation en annexe du projet de loi de finances, pour chaque mission, de l’ensemble des moyens de financement de la politique publique concernée : crédits budgétaires, taxes affectées et dépenses fiscales. | |
2. L’évaluation de la qualité de la dépense publique permettra d’évaluer l’efficacité des politiques publiques et de documenter des économies. | | | 2. (Alinéa sans modification) | 2. (Alinéa sans modification) | | | 2. L’évaluation de la qualité de la dépense publique permettra d’évaluer l’efficacité des politiques publiques et de documenter des économies. | 2. L’évaluation de la qualité de la dépense publique permettra d’évaluer l’efficacité des politiques publiques et de documenter des économies. | |
Le projet de loi de programmation des finances publiques 2023‑2027 prévoit un nouveau dispositif d’évaluation de la qualité de la dépense publique, conformément aux engagements européens pris par la France dans le cadre du Plan national de relance et de résilience (PNRR). | | | Le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 prévoit un nouveau dispositif d’évaluation de la qualité de la dépense publique, conformément aux engagements européens pris par la France dans le cadre du plan national de relance et de résilience (PNRR). | (Alinéa sans modification) | | | Le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 prévoit un nouveau dispositif d’évaluation de la qualité de la dépense publique, conformément aux engagements européens pris par la France dans le cadre du plan national de relance et de résilience (PNRR). | Le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 prévoit un nouveau dispositif d’évaluation de la qualité de la dépense publique, conformément aux engagements européens pris par la France dans le cadre du plan national de relance et de résilience (PNRR). | |
Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique, verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire dédiée à l’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ». | | | Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire dédiée à l’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ». | Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique et verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire dédiée à l’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ». | | | Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique et verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire d’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ». | Il permettra au Gouvernement d’identifier les dépenses les moins efficaces et de prendre à la suite des mesures d’économies, sur la base d’un programme de travail annuel qui fait l’objet d’une présentation au Parlement. Le dispositif s’inspire des meilleures pratiques étrangères ayant démontré leur efficacité dans la maîtrise de la dépense publique et verra ses conclusions partagées avec le Parlement, afin d’alimenter la phase parlementaire d’examen des résultats de la gestion et de la performance de la dépense, le « printemps de l’évaluation ». | |
L’association du Parlement constitue un des axes les plus importants de ce dispositif qui sera pleinement articulé avec la procédure budgétaire, afin que les évaluations soient suivies de mesures concrètes le plus rapidement possible. L’évaluation deviendra ainsi une pratique régulière avec un calendrier précis et des objets d’évaluation ciblés en fonction des enjeux en termes d’amélioration de la qualité de la dépense et de redressement des comptes publics. | | | L’association du Parlement constitue un des axes les plus importants de ce dispositif, qui sera pleinement articulé avec la procédure budgétaire, afin que les évaluations soient suivies de mesures concrètes le plus rapidement possible. L’évaluation deviendra ainsi une pratique régulière avec un calendrier précis et des objets d’évaluation ciblés en fonction des enjeux en termes d’amélioration de la qualité de la dépense et de redressement des comptes publics. | (Alinéa sans modification) | | | L’association du Parlement constitue un des axes les plus importants de ce dispositif, qui sera pleinement articulé avec la procédure budgétaire, afin que les évaluations soient suivies de mesures concrètes le plus rapidement possible. L’évaluation deviendra ainsi une pratique régulière avec un calendrier précis et des objets d’évaluation ciblés en fonction des enjeux en termes d’amélioration de la qualité de la dépense et de redressement des comptes publics. | L’association du Parlement constitue un des axes les plus importants de ce dispositif, qui sera pleinement articulé avec la procédure budgétaire, afin que les évaluations soient suivies de mesures concrètes le plus rapidement possible. L’évaluation deviendra ainsi une pratique régulière avec un calendrier précis et des objets d’évaluation ciblés en fonction des enjeux en termes d’amélioration de la qualité de la dépense et de redressement des comptes publics. | |
| | | Un premier exercice de revues de dépenses pour la période 2023‑2027 s’est déroulé au premier semestre 2023. Il s’est appuyé sur les travaux de douze missions. Un rapport sur l’évaluation de la qualité de l’action publique a été remis par le Gouvernement au Parlement en juillet 2023. | (Alinéa sans modification) | | | Un premier exercice de revues de dépenses pour la période 2023‑2027 s’est déroulé au premier semestre 2023. Il s’est appuyé sur les travaux de douze missions. Un rapport sur l’évaluation de la qualité de l’action publique a été remis par le Gouvernement au Parlement en juillet 2023. | Un premier exercice de revues de dépenses pour la période 2023‑2027 s’est déroulé au premier semestre 2023. Il s’est appuyé sur les travaux de douze missions. Un rapport sur l’évaluation de la qualité de l’action publique a été remis par le Gouvernement au Parlement en juillet 2023. | |
3. La LPFP met en place des outils de maîtrise des dépenses de l’État | | 3. (Alinéa sans modification) | 3. (Alinéa sans modification) | 3. (Alinéa sans modification) | | 3. (Alinéa sans modification) | 3. La loi de programmation des finances publiques met en place des outils de maîtrise des dépenses de l’État | 3. La loi de programmation des finances publiques met en place des outils de maîtrise des dépenses de l’État | |
d) La LPFP définit une nouvelle norme de pilotage des dépenses de l’État. | | | a) La LPFP définit une nouvelle norme de pilotage des dépenses de l’État | | | | a) La loi de programmation des finances publiques définit une nouvelle norme de pilotage des dépenses de l’État | a) La loi de programmation des finances publiques définit une nouvelle norme de pilotage des dépenses de l’État | |
La présente LPFP définit un système rénové d’agrégat unique des dépenses de l’État en remplacement de l’ancienne norme à deux niveaux (norme de dépenses pilotables – NDP – et l’objectif de dépenses totales de l’État – ODETE). | | | La présente LPFP définit un système rénové d’agrégat unique des dépenses de l’État en remplacement de l’ancienne norme à deux niveaux (norme de dépenses pilotables [NDP] et l’objectif de dépenses totales de l’État [ODETE]). | | | | La présente loi de programmation définit un système rénové d’agrégat unique des dépenses de l’État en remplacement de l’ancienne norme à deux niveaux (norme de dépenses pilotables [NDP] et objectif de dépenses totales de l’État [ODETE]). | La présente loi de programmation définit un système rénové d’agrégat unique des dépenses de l’État en remplacement de l’ancienne norme à deux niveaux (norme de dépenses pilotables [NDP] et objectif de dépenses totales de l’État [ODETE]). | |
Ces outils permettent d’assurer directement le suivi d’un périmètre plus exhaustif de la dépense du budget de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des ODAC. L’élargissement de cet agrégat vise à faire entrer la quasi‑totalité des dépenses de l’État dans le champ des dépenses pour lesquelles le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise et de pilotage. | | | Ces outils permettent d’assurer directement le suivi d’un périmètre plus exhaustif de la dépense du budget de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des organismes divers d’administration centrale. L’élargissement de cet agrégat vise à faire entrer la quasi‑totalité des dépenses de l’État dans le champ des dépenses pour lesquelles le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise et de pilotage. | | | | Ces outils permettent d’assurer directement le suivi d’un périmètre plus exhaustif de la dépense du budget de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des organismes divers d’administration centrale. L’élargissement de cet agrégat vise à faire entrer la quasi‑totalité des dépenses de l’État dans le champ des dépenses pour lesquelles le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise et de pilotage. | Ces outils permettent d’assurer directement le suivi d’un périmètre plus exhaustif de la dépense du budget de l’État et indirectement celui de la dépense des opérateurs et établissements constituant le champ des organismes divers d’administration centrale. L’élargissement de cet agrégat vise à faire entrer la quasi‑totalité des dépenses de l’État dans le champ des dépenses pour lesquelles le Gouvernement se fixe un objectif de maîtrise et de pilotage. | |
Le nouveau périmètre des dépenses de l’État inclut : | | | (Alinéa sans modification) | | | | Le nouveau périmètre des dépenses de l’État inclut : | Le nouveau périmètre des dépenses de l’État inclut : | |
– l’ensemble des dépenses du budget général, c’est‑à‑dire la totalité des missions budgétaires, y compris les missions qui n’ont pas vocation à être pérennes telles que « Investir pour la France de 2030 » ou encore la mission « Plan de Relance », ainsi que des dotations qui visent à porter des investissements en capital, comme l’abondement du budget général au compte d’affectation spéciale (CAS) des participations financières de l’État (PFE) ; | | | (Alinéa sans modification) | | | | – l’ensemble des dépenses du budget général, c’est‑à‑dire la totalité des missions budgétaires, y compris les missions qui n’ont pas vocation à être pérennes telles que « Investir pour la France de 2030 » ou encore la mission « Plan de Relance », ainsi que des dotations qui visent à porter des investissements en capital, comme l’abondement du budget général au compte d’affectation spéciale (CAS) des participations financières de l’État (PFE) ; | – l’ensemble des dépenses du budget général, c’est‑à‑dire la totalité des missions budgétaires, y compris les missions qui n’ont pas vocation à être pérennes telles que « Investir pour la France de 2030 » ou encore la mission « Plan de Relance », ainsi que des dotations qui visent à porter des investissements en capital, comme l’abondement du budget général au compte d’affectation spéciale (CAS) des participations financières de l’État (PFE) ; | |
– les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne. Il s’agit de prendre en compte la dynamique de ces contributions de l’État dans le pilotage d’ensemble de la dépense ; | | | (Alinéa sans modification) | | | | – les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne. Il s’agit de prendre en compte la dynamique de ces contributions de l’État dans le pilotage d’ensemble de la dépense ; | – les prélèvements sur recettes au profit des collectivités territoriales et de l’Union européenne. Il s’agit de prendre en compte la dynamique de ces contributions de l’État dans le pilotage d’ensemble de la dépense ; | |
– les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ; | | | (Alinéa sans modification) | | | | – les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ; | – les budgets annexes, l’essentiel des comptes d’affectation spéciale et le compte de concours financiers « Avances à l’audiovisuel public » ; | |
– les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales, leurs établissements et la sécurité sociale. | | | (Alinéa sans modification) | | | | – les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales, leurs établissements et la sécurité sociale. | – les taxes affectées plafonnées à des tiers autres que les collectivités territoriales, leurs établissements et la sécurité sociale. | |
Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut pas en revanche les dépenses dédiées au traitement de la dette (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » mais aussi programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État » et programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »). Cet agrégat n’est en effet pas pilotable à court terme et dépend dans une large mesure de la conjoncture. Son évolution est structurante pour l’évolution de la dépense totale de l’État, mais sa dynamique doit être appréciée de façon distincte. Les crédits de contribution aux pensions civiles et militaires positionnés sur le budget général alimentant en recettes le Compte d’affectation spéciale « Pensions » sont également exclus. | | | (Alinéa sans modification) | | | | Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut pas en revanche les dépenses affectées au traitement de la dette (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » mais aussi programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État » et programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »). Cet agrégat n’est en effet pas pilotable à court terme et dépend dans une large mesure de la conjoncture. Son évolution est structurante pour l’évolution de la dépense totale de l’État, mais sa dynamique doit être appréciée de façon distincte. Les crédits de contribution aux pensions civiles et militaires positionnés sur le budget général alimentant en recettes le compte d’affectation spéciale « Pensions » sont également exclus. | Le nouveau périmètre des dépenses de l’État n’inclut pas en revanche les dépenses affectées au traitement de la dette (programme 117 « Charge de la dette et trésorerie de l’État » mais aussi programme 355 « Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État » et programme 369 « Amortissement de la dette de l’État liée à la covid‑19 »). Cet agrégat n’est en effet pas pilotable à court terme et dépend dans une large mesure de la conjoncture. Son évolution est structurante pour l’évolution de la dépense totale de l’État, mais sa dynamique doit être appréciée de façon distincte. Les crédits de contribution aux pensions civiles et militaires positionnés sur le budget général alimentant en recettes le compte d’affectation spéciale « Pensions » sont également exclus. | |
Concernant les comptes d’affectation spéciale (CAS), les dépenses réalisées à partir du CAS « Participations financières de l’État » ne sont pas intégrées au périmètre des dépenses de l’État, ni celles du programme 755 « Désendettement de l’État » du CAS « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers » ni du programme 743 « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du CAS « Pensions ». | | | Concernant les comptes d’affectation spéciale, les dépenses réalisées à partir du CAS « Participations financières de l’État » ne sont pas intégrées au périmètre des dépenses de l’État, ni celles du programme 755 « Désendettement de l’État » du CAS « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers », ni celles du programme 743 « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du CAS « Pensions », ni celles du programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » de la mission « Gestion du patrimoine immobilier de l’État ». | | | | Concernant les comptes d’affectation spéciale, ne sont pas intégrées au périmètre des dépenses de l’État les dépenses réalisées à partir du CAS « Participations financières de l’État », ni celles du programme 755 « Désendettement de l’État » du CAS « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers », ni celles du programme 743 « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du CAS « Pensions », ni celles du programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » de la mission « Gestion du patrimoine immobilier de l’État ». | Concernant les comptes d’affectation spéciale, ne sont pas intégrées au périmètre des dépenses de l’État les dépenses réalisées à partir du CAS « Participations financières de l’État », ni celles du programme 755 « Désendettement de l’État » du CAS « Contrôle de la circulation et du stationnement routiers », ni celles du programme 743 « Pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre et autres pensions » du CAS « Pensions », ni celles du programme « Contribution des cessions immobilières au désendettement de l’État » de la mission « Gestion du patrimoine immobilier de l’État ». | |
Les autres comptes spéciaux, de commerce, d’opérations monétaires et de concours financiers ne font pas partie du périmètre des dépenses de l’État, compte tenu de la nature spécifique des opérations qu’ils retracent. | | | (Alinéa sans modification) | | | | Les autres comptes spéciaux, de commerce, d’opérations monétaires et de concours financiers ne font pas partie du périmètre des dépenses de l’État, compte tenu de la nature spécifique des opérations qu’ils retracent. | Les autres comptes spéciaux, de commerce, d’opérations monétaires et de concours financiers ne font pas partie du périmètre des dépenses de l’État, compte tenu de la nature spécifique des opérations qu’ils retracent. | |
Ce périmètre de dépenses élargi vise à faciliter la compréhension et le suivi de l’évolution des dépenses de l’État par le Parlement et les organismes de contrôle et prévenir le traitement dans un champ distinct de dépenses de l’État qualifiées d’exceptionnelles. | | | (Alinéa sans modification) | | | | Ce périmètre de dépenses élargi vise à faciliter la compréhension et le suivi de l’évolution des dépenses de l’État par le Parlement et les organismes de contrôle et prévenir le traitement dans un champ distinct de dépenses de l’État qualifiées d’exceptionnelles. | Ce périmètre de dépenses élargi vise à faciliter la compréhension et le suivi de l’évolution des dépenses de l’État par le Parlement et les organismes de contrôle et prévenir le traitement dans un champ distinct de dépenses de l’État qualifiées d’exceptionnelles. | |
Sur la base de la loi de finances pour 2023, ce nouveau périmètre correspond à un montant de crédits de 480 Md€. | | | Sur la base de la loi de finances pour 2023, ce nouveau périmètre correspond à un montant de crédits de 496 milliards d’euros. | | | | Sur la base de la loi n° 2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023, ce nouveau périmètre correspond à un montant de crédits de 496 milliards d’euros. | Sur la base de la loi n° 2022‑1726 du 30 décembre 2022 de finances pour 2023, ce nouveau périmètre correspond à un montant de crédits de 496 milliards d’euros. | |
e) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales, sociale et des aides aux entreprises. | | e) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales, sociales et des aides aux entreprises. | b) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales, sociale et des aides aux entreprises. | | | b) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales, sociales et des aides aux entreprises. | b) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales et sociales et des aides aux entreprises. | b) Une évaluation dans la durée des dépenses fiscales et sociales et des aides aux entreprises. | |
La loi de programmation des finances publiques pour 2023 à 2027 prévoit des mécanismes pour mieux encadrer les dépenses fiscales et sociales ainsi que les aides aux entreprises afin d’évaluer dans la durée la qualité de ces dépenses. Ce suivi permettra de renforcer les dispositifs les plus efficaces et de revoir les mécanismes les moins efficients au regard des politiques publiques portées. | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | | (Alinéa sans modification) | La présente loi de programmation prévoit des mécanismes pour mieux encadrer les dépenses fiscales et sociales ainsi que les aides aux entreprises afin d’évaluer dans la durée la qualité de ces dépenses. Ce suivi permettra de renforcer les dispositifs les plus efficaces et de revoir les mécanismes les moins efficients au regard des politiques publiques portées. | La présente loi de programmation prévoit des mécanismes pour mieux encadrer les dépenses fiscales et sociales ainsi que les aides aux entreprises afin d’évaluer dans la durée la qualité de ces dépenses. Ce suivi permettra de renforcer les dispositifs les plus efficaces et de revoir les mécanismes les moins efficients au regard des politiques publiques portées. | |
Les dépenses fiscales, les dépenses sociales et les aides aux entreprises font ainsi l’objet d’une limitation dans le temps. Les dépenses fiscales incitatives, les dépenses sociales et les aides aux entreprises ne peuvent être instaurées que pour une durée limitée allant jusqu’à 5 ans pour les aides aux entreprises. Cette limitation permet, à l’expiration de ce délai, qu’une évaluation de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation. | | (Alinéa sans modification) | Les dépenses fiscales, les dépenses sociales et les aides aux entreprises font ainsi l’objet d’une limitation dans le temps. Les dépenses fiscales incitatives, les dépenses sociales et les aides aux entreprises ne peuvent être instaurées que pour une durée limitée allant jusqu’à cinq ans pour les aides aux entreprises. Cette limitation permet, à l’expiration de ce délai, qu’une évaluation de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation. | | | (Alinéa sans modification) | Les dépenses fiscales, les dépenses sociales et les aides aux entreprises font ainsi l’objet d’une limitation dans le temps. Les dépenses fiscales incitatives, les dépenses sociales et les aides aux entreprises ne peuvent être instaurées que pour une durée limitée allant jusqu’à cinq ans pour les aides aux entreprises. Cette limitation permet, à l’expiration de ce délai, qu’une évaluation de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation. | Les dépenses fiscales, les dépenses sociales et les aides aux entreprises font ainsi l’objet d’une limitation dans le temps. Les dépenses fiscales incitatives, les dépenses sociales et les aides aux entreprises ne peuvent être instaurées que pour une durée limitée allant jusqu’à cinq ans pour les aides aux entreprises. Cette limitation permet, à l’expiration de ce délai, qu’une évaluation de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation. | |
Par ailleurs, les dépenses sociales font l’objet d’un encadrement de leur part dans les recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement afin d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes. | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | | (Alinéa sans modification) | Par ailleurs, les dépenses sociales font l’objet d’un encadrement de leur part dans les recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement afin d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes. | Par ailleurs, les dépenses sociales font l’objet d’un encadrement de leur part dans les recettes des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement afin d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes. | |
f) Une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs. | | | c) Une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs | c) (Alinéa sans modification) | | c) (Alinéa sans modification) | c) Une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs | c) Une gestion plus précise des emplois de l’État et de ses opérateurs | |
Jusqu’à l’exercice 2018, les plafonds d’emplois inscrits en loi de finances initiale (LFI) étaient construits chaque année en ajoutant au plafond de la LFI de l’année précédente l’effet des créations ou suppressions nettes d’emplois prévues ainsi que des éventuelles mesures d’ajustement (mesures de périmètre, de transfert et corrections techniques…), sans prendre en compte la consommation effective d’ETPT constatée dans la dernière loi de règlement. Cette modalité de calcul conduisait ainsi à reconduire d’année en année des plafonds d’emplois surestimés. | | (Alinéa sans modification) | Jusqu’à l’exercice 2018, les plafonds d’emplois inscrits en loi de finances initiale (LFI) étaient construits chaque année en ajoutant au plafond de la LFI de l’année précédente l’effet des créations ou suppressions nettes d’emplois prévues ainsi que des éventuelles mesures d’ajustement (mesures de périmètre, de transfert et corrections techniques…), sans prendre en compte la consommation effective d’équivalents temps plein travaillé constatée dans la dernière loi de règlement. Cette modalité de calcul conduisait ainsi à reconduire d’année en année des plafonds d’emplois surestimés. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Jusqu’à l’exercice 2018, les plafonds d’emplois inscrits en loi de finances initiale (LFI) étaient construits chaque année en ajoutant au plafond de la LFI de l’année précédente l’effet des créations ou suppressions nettes d’emplois prévues ainsi que des éventuelles mesures d’ajustement (mesures de périmètre, de transfert et corrections techniques…), sans prendre en compte la consommation effective d’équivalents temps plein travaillé constatée dans la dernière loi de règlement. Cette modalité de calcul conduisait ainsi à reconduire d’année en année des plafonds d’emplois surestimés. | Jusqu’à l’exercice 2018, les plafonds d’emplois inscrits en loi de finances initiale (LFI) étaient construits chaque année en ajoutant au plafond de la LFI de l’année précédente l’effet des créations ou suppressions nettes d’emplois prévues ainsi que des éventuelles mesures d’ajustement (mesures de périmètre, de transfert et corrections techniques…), sans prendre en compte la consommation effective d’équivalents temps plein travaillé constatée dans la dernière loi de règlement. Cette modalité de calcul conduisait ainsi à reconduire d’année en année des plafonds d’emplois surestimés. | |
Afin de donner plus de sens à l’autorisation d’emplois votée par le Parlement et à son caractère limitatif, l’article 11 de la LPFP 2018‑2022 a introduit, à compter du PLF 2019, un nouveau mode de calcul du plafond d’emplois qui permet de contenir la hausse du plafond à +1 % de la consommation d’emplois « constatée dans la dernière loi de règlement, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus ». Ainsi, par application de ce dispositif, le plafond d’emplois a baissé de 10 805 ETPT au PLF 2019, 7 178 ETPT au PLF 2020 et 427 ETPT au PLF 2021 diminuant mécaniquement et significativement la vacance sous plafond qui se limite à fin 2021 à 21 099 ETPT (contre 33 491 ETPT en 2017) ce qui représente 1,08 % du plafond d’emploi voté en LFI 2021. | | (Alinéa sans modification) | Afin de donner plus de sens à l’autorisation d’emplois votée par le Parlement et à son caractère limitatif, l’article 11 de la LPFP 2018‑2022 a introduit, à compter du PLF 2019, un nouveau mode de calcul du plafond d’emplois qui permet de contenir la hausse du plafond à +1 % de la consommation d’emplois « constatée dans la dernière loi de règlement, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus ». Ainsi, par application de ce dispositif, le plafond d’emplois a baissé de 10 805 ETPT au PLF 2019, 7 178 ETPT au PLF 2020 et 427 ETPT au PLF 2021, diminuant mécaniquement et significativement la vacance sous plafond qui se limite à fin 2021 à 21 099 ETPT (contre 33 491 ETPT en 2017) ce qui représente 1,08 % du plafond d’emploi voté en LFI 2021. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Afin de donner plus de sens à l’autorisation d’emplois votée par le Parlement et à son caractère limitatif, l’article 11 de la LPFP 2018‑2022 a introduit, à compter du projet de loi de finances (PLF) pour 2019, un nouveau mode de calcul du plafond d’emplois qui permet de contenir la hausse du plafond à +1 % de la consommation d’emplois « constatée dans la dernière loi de règlement, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus ». Ainsi, par application de ce dispositif, le plafond d’emplois a baissé de 10 805 ETPT au PLF pour 2019, de 7 178 ETPT au PLF pour 2020 et de 427 ETPT au PLF pour 2021, diminuant mécaniquement et significativement la vacance sous plafond qui se limite à fin 2021 à 21 099 ETPT (contre 33 491 ETPT en 2017) ce qui représente 1,08 % du plafond d’emploi voté en LFI 2021. | Afin de donner plus de sens à l’autorisation d’emplois votée par le Parlement et à son caractère limitatif, l’article 11 de la LPFP 2018‑2022 a introduit, à compter du projet de loi de finances (PLF) pour 2019, un nouveau mode de calcul du plafond d’emplois qui permet de contenir la hausse du plafond à +1 % de la consommation d’emplois « constatée dans la dernière loi de règlement, corrigée de l’incidence des schémas d’emplois, des mesures de transfert et des mesures de périmètre intervenus ou prévus ». Ainsi, par application de ce dispositif, le plafond d’emplois a baissé de 10 805 ETPT au PLF pour 2019, de 7 178 ETPT au PLF pour 2020 et de 427 ETPT au PLF pour 2021, diminuant mécaniquement et significativement la vacance sous plafond qui se limite à fin 2021 à 21 099 ETPT (contre 33 491 ETPT en 2017) ce qui représente 1,08 % du plafond d’emploi voté en LFI 2021. | |
Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente LPFP étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI (22 298 ETPT en moyenne sur la période 2018‑2021), soit bien au‑delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire. | | (Alinéa sans modification) | Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente LPFP étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3% en 2027, soit bien au delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire. | Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente LPFP étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3 % en 2027, soit bien au delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire. | | Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente LPFP étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3 % en 2027, soit bien au‑delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire. | Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente loi de programmation étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3 % en 2027, soit bien au delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire. | Compte tenu de l’efficacité du dispositif, la présente loi de programmation étend ce mécanisme d’abattement automatique aux opérateurs au sein desquels est constatée une vacance sous plafond structurelle de plus de 5 % des plafonds votés en LFI en 2024, 4 % en 2025 et 2026, et 3 % en 2027, soit bien au delà d’une vacance frictionnelle. Ainsi, comme pour l’État, la diminution progressive de cette vacance permettra une meilleure maîtrise de l’évolution des effectifs des opérateurs et un renforcement de la portée du vote parlementaire. | |
7. Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de maîtrise de la dépense publique tout en étant soutenues dans leurs investissements. | | | 4. Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de maîtrise de la dépense publique tout en étant soutenues dans leurs investissements | 4. (Alinéa sans modification) | | | 4. Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de maîtrise de la dépense publique tout en étant soutenues dans leurs investissements | 4. Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de maîtrise de la dépense publique tout en étant soutenues dans leurs investissements | |
Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. | | | Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. La création d’un Haut Conseil des finances publiques locales permettra le suivi de la mise en œuvre annuelle des objectifs des lois de programmation des finances publiques (LPFP) et du programme de stabilité, ainsi que de l’examen des initiatives visant au respect de ces objectifs en particulier la proposition de revues de dépenses dans le champ des administrations publiques locales. | Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. La création d’un Haut Conseil des finances publiques locales permettra le suivi de la mise en œuvre annuelle des objectifs des lois de programmation des finances publiques (LPFP) et du programme de stabilité ainsi que de l’examen des initiatives visant au respect de ces objectifs en particulier la proposition de revues de dépenses dans le champ des administrations publiques locales. | | | Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. La création d’un Haut Conseil des finances publiques locales permettra le suivi de la mise en œuvre annuelle des objectifs des lois de programmation des finances publiques et du programme de stabilité ainsi que de l’examen des initiatives visant au respect de ces objectifs en particulier la proposition de revues de dépenses dans le champ des administrations publiques locales. | Les collectivités territoriales contribueront à l’effort de réduction du déficit public et de maîtrise de la dépense publique. Les modalités concrètes selon lesquelles les collectivités sont associées à cet effort sont en cours d’élaboration en concertation avec elles afin d’en partager pleinement les enjeux. La création d’un Haut Conseil des finances publiques locales permettra le suivi de la mise en œuvre annuelle des objectifs des lois de programmation des finances publiques et du programme de stabilité ainsi que de l’examen des initiatives visant au respect de ces objectifs en particulier la proposition de revues de dépenses dans le champ des administrations publiques locales. | |
La contribution à la maîtrise de la dépense publique qui est demandée aux collectivités ne repose pas sur une baisse programmée des concours de l’État sur la période – lesquels au contraire progresseront entre 2023 et 2027 afin de renforcer notamment leurs moyens pour qu’elles investissent et participent à la transition écologique – mais sur la maîtrise de la progression de leurs dépenses de fonctionnement. | | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | | La contribution à la maîtrise de la dépense publique qui est demandée aux collectivités ne repose pas sur une baisse programmée des concours de l’État sur la période – lesquels au contraire progresseront entre 2023 et 2027 afin de renforcer notamment leurs moyens pour qu’elles investissent et participent à la transition écologique – mais sur la maîtrise de la progression de leurs dépenses de fonctionnement. | La contribution à la maîtrise de la dépense publique qui est demandée aux collectivités ne repose pas sur une baisse programmée des concours de l’État sur la période – lesquels au contraire progresseront entre 2023 et 2027 afin de renforcer notamment leurs moyens pour qu’elles investissent et participent à la transition écologique – mais sur la maîtrise de la progression de leurs dépenses de fonctionnement. | |
Le projet de loi de programmation comporte ainsi des objectifs relatifs aux dépenses réelles de fonctionnement, à l’instar des dispositions prévues dans la dernière LPFP. Ces objectifs d’évolution aideront les élus et les gestionnaires de collectivités à se positionner en apportant des éléments d’objectivation et de comparaison sur l’évolution de leurs dépenses de fonctionnement. | | | La présente loi de programmation comporte ainsi une trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités ainsi que des objectifs relatifs à leurs dépenses réelles de fonctionnement. Ces derniers aideront les élus et les gestionnaires de collectivités à se positionner en apportant des éléments d’objectivation et de comparaison sur l’évolution de leurs dépenses de fonctionnement. La modération de celles‑ci renforcera de surcroît la capacité d’autofinancement des collectivités, et par là même leurs investissements dans des priorités comme la transition écologique des territoires. | (Alinéa sans modification) | | | La présente loi de programmation comporte ainsi une trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités ainsi que des objectifs relatifs à leurs dépenses réelles de fonctionnement. Ces derniers aideront les élus et les gestionnaires de collectivités à se positionner en apportant des éléments d’objectivation et de comparaison sur l’évolution de leurs dépenses de fonctionnement. La modération de celles‑ci renforcera de surcroît la capacité d’autofinancement des collectivités, et par là même leurs investissements dans des priorités comme la transition écologique des territoires. | La présente loi de programmation comporte ainsi une trajectoire des concours financiers de l’État aux collectivités ainsi que des objectifs relatifs à leurs dépenses réelles de fonctionnement. Ces derniers aideront les élus et les gestionnaires de collectivités à se positionner en apportant des éléments d’objectivation et de comparaison sur l’évolution de leurs dépenses de fonctionnement. La modération de celles‑ci renforcera de surcroît la capacité d’autofinancement des collectivités, et par là même leurs investissements dans des priorités comme la transition écologique des territoires. | |
Ces objectifs s’inscrivent également dans les engagements budgétaires européens de la France et enrichissent le dialogue et la concertation entre l’État et les collectivités locales. | | | Ces objectifs s’inscrivent également dans les engagements budgétaires européens de la France et enrichissent le dialogue et la concertation entre l’État et les collectivités territoriales. | (Alinéa sans modification) | | | Ces objectifs s’inscrivent également dans les engagements budgétaires européens de la France et enrichissent le dialogue et la concertation entre l’État et les collectivités territoriales. | Ces objectifs s’inscrivent également dans les engagements budgétaires européens de la France et enrichissent le dialogue et la concertation entre l’État et les collectivités territoriales. | |
La modération des dépenses de fonctionnement permettra aux collectivités de renforcer leur capacité d’autofinancement et ainsi d’investir pour conduire la transition écologique dans les territoires. | | | | | | | | | |
8. Les administrations de sécurité sociale font aussi l’objet d’un encadrement plus précis qui permet de financer l’évolution nécessaire du système social français. | | 8. (Alinéa sans modification) | 5. Les administrations de sécurité sociale font aussi l’objet d’un encadrement plus précis qui permet de financer l’évolution nécessaire du système social français | | | | 5. Les administrations de sécurité sociale font aussi l’objet d’un encadrement plus précis qui permet de financer l’évolution nécessaire du système social français | 5. Les administrations de sécurité sociale font aussi l’objet d’un encadrement plus précis qui permet de financer l’évolution nécessaire du système social français | |
Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, abattements et réduction de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes. | | Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, abattements et réductions de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes. | Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, des abattements et des réductions de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes. | | | | Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, des abattements et des réductions de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes. | Le projet de loi de programmation reconduit le ratio de 14 % entre le montant annuel des exonérations, des abattements et des réductions de taux et les recettes du champ des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse. Ce mécanisme permet d’inciter à la maîtrise des exonérations et à la régulation des niches sociales les moins efficientes. | |
Les dépenses sociales font aussi l’objet dorénavant d’un plafonnement dans la durée (trois ans), à l’instar du mécanisme mis en place pour les niches fiscales et les aides aux entreprises ; ce délai permettra qu’une évaluation régulière de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation. | | (Alinéa sans modification) | Les niches sociales font aussi l’objet dorénavant d’un plafonnement dans la durée (trois ans), à l’instar du mécanisme mis en place pour les niches fiscales et les aides aux entreprises ; ce délai permettra qu’une évaluation régulière de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation. | | | | Les niches sociales font aussi l’objet dorénavant d’un plafonnement dans la durée (trois ans), à l’instar du mécanisme mis en place pour les niches fiscales et les aides aux entreprises ; ce délai permettra qu’une évaluation régulière de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation. | Les niches sociales font aussi l’objet dorénavant d’un plafonnement dans la durée (trois ans), à l’instar du mécanisme mis en place pour les niches fiscales et les aides aux entreprises ; ce délai permettra qu’une évaluation régulière de ces dépenses soit menée avant une éventuelle prorogation. | |
Conformément au cadre organique défini par la loi organique relative aux lois de finances du 1er août 2001, le projet de LPFP 2023‑2027 détermine l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement. Selon les modifications apportées à loi organique relative aux lois de finances par la loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques, la LPFP définit en plus de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble de ses régimes, le taux d’évolution de ses sous‑objectifs. La LPFP permet de cette manière de mieux suivre l’évolution des dépenses des sous‑objectifs de l’ONDAM et donc d’orienter plus précisément les politiques publiques vers les sous‑secteurs qui le nécessitent le plus. Par ailleurs, le dispositif de mise en réserve de l’ONDAM à 0,3 % est reconduit. | | (Alinéa sans modification) | Conformément au cadre organique défini par la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances, le projet de LPFP 2023‑2027 détermine l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement. Selon les modifications apportées à loi organique relative aux lois de finances par la loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques, la LPFP définit, en plus de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble de ses régimes, le taux d’évolution de ses sous‑objectifs. La LPFP permet de cette manière de mieux suivre l’évolution des dépenses des sous‑objectifs de l’ONDAM et donc d’orienter plus précisément les politiques publiques vers les sous‑secteurs qui le nécessitent le plus. Par ailleurs, le dispositif de mise en réserve de l’ONDAM à 0,3 % est reconduit. | | | | Conformément au cadre organique défini par la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances, la présente loi de programmation détermine l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement. Selon les modifications apportées à loi organique relative aux lois de finances par la loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques, la LPFP définit, en plus de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble de ses régimes, le taux d’évolution de ses sous‑objectifs. La LPFP permet de cette manière de mieux suivre l’évolution des dépenses des sous‑objectifs de l’ONDAM et donc d’orienter plus précisément les politiques publiques vers les sous‑secteurs qui le nécessitent le plus. Par ailleurs, le dispositif de mise en réserve de l’ONDAM à 0,3 % est reconduit. | Conformément au cadre organique défini par la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances, la présente loi de programmation détermine l’objectif de dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale et des organismes concourant à leur financement. Selon les modifications apportées à loi organique relative aux lois de finances par la loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques, la LPFP définit, en plus de l’objectif national de dépenses d’assurance maladie (ONDAM) de l’ensemble de ses régimes, le taux d’évolution de ses sous‑objectifs. La LPFP permet de cette manière de mieux suivre l’évolution des dépenses des sous‑objectifs de l’ONDAM et donc d’orienter plus précisément les politiques publiques vers les sous‑secteurs qui le nécessitent le plus. Par ailleurs, le dispositif de mise en réserve de l’ONDAM à 0,3 % est reconduit. | |
Selon les dispositions de la LPFP 2018‑2022, les dépenses de gestion administrative exécutées dans le cadre des conventions d’objectifs et gestion (COG) signées à compter du 1er janvier 2018 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale devaient diminuer globalement d’au moins 1,5 % en moyenne annuelle sur la période 2018‑2022, à champ constant. Cette disposition, ayant montré leur efficacité dans la maîtrise des dépenses de gestion administrative, est reconduite dans le projet de loi de programmation avec un objectif de stabilité conformément à l’article 18. Ce mécanisme de stabilité s’applique aussi aux dépenses de gestion administrative exécutées par l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique. | | (Alinéa sans modification) | Selon les dispositions de la LPFP 2018‑2022, les dépenses de gestion administrative exécutées dans le cadre des conventions d’objectifs et gestion (COG) signées à compter du 1er janvier 2018 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale devaient diminuer globalement d’au moins 1,5 % en moyenne annuelle sur la période 2018‑2022, à champ constant. Cette disposition, ayant montré son efficacité dans la maîtrise des dépenses de gestion administrative, est reconduite dans le projet de loi de programmation avec un objectif, au plus, de non‑augmentation conformément à l’article 18. Ce mécanisme de stabilité s’applique aussi aux dépenses de gestion administrative exécutées par l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique. | | | | Selon les dispositions de la LPFP 2018‑2022, les dépenses de gestion administrative exécutées dans le cadre des conventions d’objectifs et gestion (COG) signées à compter du 1er janvier 2018 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale devaient diminuer globalement d’au moins 1,5 % en moyenne annuelle sur la période 2018‑2022, à champ constant. Cette disposition, ayant montré son efficacité dans la maîtrise des dépenses de gestion administrative, est reconduite dans le projet de loi de programmation avec un objectif, au plus, de non‑augmentation conformément à l’article 19. Ce mécanisme de stabilité s’applique aussi aux dépenses de gestion administrative exécutées par l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique. | Selon les dispositions de la LPFP 2018‑2022, les dépenses de gestion administrative exécutées dans le cadre des conventions d’objectifs et gestion (COG) signées à compter du 1er janvier 2018 entre l’État et les régimes obligatoires de sécurité sociale devaient diminuer globalement d’au moins 1,5 % en moyenne annuelle sur la période 2018‑2022, à champ constant. Cette disposition, ayant montré son efficacité dans la maîtrise des dépenses de gestion administrative, est reconduite dans le projet de loi de programmation avec un objectif, au plus, de non‑augmentation conformément à l’article 19. Ce mécanisme de stabilité s’applique aussi aux dépenses de gestion administrative exécutées par l’établissement de retraite additionnelle de la fonction publique. | |
F. Une trajectoire pluriannuelle pour bâtir la France de demain | | (Alinéa sans modification) | F. – Une trajectoire pluriannuelle pour bâtir la France de demain | F. – (Alinéa sans modification) | | F. – (Alinéa sans modification) | F. – Une trajectoire pluriannuelle pour bâtir la France de demain | F. – Une trajectoire pluriannuelle pour bâtir la France de demain | |
1. Les dépenses d’investissement des administrations publiques. | | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | | 1. (Alinéa sans modification) | 1. Les dépenses d’investissement des administrations publiques. | 1. Les dépenses d’investissement des administrations publiques. | |
La loi organique relative à la modernisation de la gestion des finances publiques du 28 décembre 2021 a inséré dans la loi organique relative aux lois de finances du 1er août 2001 (LOLF) une disposition prévoyant que la LPFP « détermine, pour l’ensemble de la période de programmation, une prévision d’évolution […] du montant des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement » (article 1er A de la LOLF). | | (Alinéa sans modification) | La loi organique du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a inséré dans la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF) une disposition prévoyant que la LPFP « détermine, pour l’ensemble de la période de programmation, une prévision d’évolution […] du montant des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement » (article 1er A de la LOLF). | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | La loi organique du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a inséré dans la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF) une disposition prévoyant que la LPFP « détermine, pour l’ensemble de la période de programmation, une prévision d’évolution […] du montant des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement » (article 1er A de la LOLF). | La loi organique du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques a inséré dans la loi organique du 1er août 2001 relative aux lois de finances (LOLF) une disposition prévoyant que la LPFP « détermine, pour l’ensemble de la période de programmation, une prévision d’évolution […] du montant des dépenses des administrations publiques considérées comme des dépenses d’investissement » (article 1er A de la LOLF). | |
La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du 4ème Programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 Md€ en PLF 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires. | | (Alinéa sans modification) | La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du quatrième programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 milliards en LFI 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires. | La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du quatrième programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 milliards en loi de finances pour 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires. | | (Alinéa sans modification) | La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du quatrième programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 milliards en loi de finances pour 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires. | La prévision retenue est construite sur l’agrégat et selon la méthodologie suivante : d’une part, les crédits budgétaires programmés sur la mission « Investir pour la France de 2030 », qui portent à la fois les mesures spécifiques de « France 2030 » et celles du quatrième programme d’investissements d’avenir (PIA4), soit 6,1 milliards en loi de finances pour 2023 ; d’autre part, les crédits correspondant à titre prévisionnel à des « dépenses d’investissement » au sens de l’article 5 de la loi organique relative aux lois de finances, soit les crédits dits de « titre 5 » dans la nomenclature des charges budgétaires. | |
En effet, le plan « France 2030 » a vocation à contribuer à la croissance potentielle du produit intérieur brut et à accélérer la transformation structurelle du pays. Il fixe ainsi dix objectifs afin de répondre aux grands défis de notre temps, de faire émerger les futurs champions technologiques de demain et d’accompagner les transitions de nos secteurs d’excellence : énergie, automobile, aéronautique ou encore espace. La transition écologique est au cœur du plan « France 2030 » dont les crédits seront en grande partie consacrés à sa mise en œuvre. | | (Alinéa sans modification) | En effet, le plan « France 2030 » a vocation à contribuer à la croissance potentielle du produit intérieur brut et à accélérer la transformation structurelle du pays. Il fixe ainsi dix objectifs afin de répondre aux grands défis de notre temps, de faire émerger les futurs champions technologiques de demain et d’accompagner les transitions de nos secteurs d’excellence : énergie, automobile, aéronautique ou encore espace. La transition écologique est au cœur du plan « France 2030 », dont les crédits seront en grande partie consacrés à sa mise en œuvre. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | En effet, le plan « France 2030 » a vocation à contribuer à la croissance potentielle du produit intérieur brut et à accélérer la transformation structurelle du pays. Il fixe ainsi dix objectifs afin de répondre aux grands défis de notre temps, de faire émerger les futurs champions technologiques de demain et d’accompagner les transitions de nos secteurs d’excellence : énergie, automobile, aéronautique ou encore espace. La transition écologique est au cœur du plan « France 2030 », dont les crédits seront en grande partie consacrés à sa mise en œuvre. | En effet, le plan « France 2030 » a vocation à contribuer à la croissance potentielle du produit intérieur brut et à accélérer la transformation structurelle du pays. Il fixe ainsi dix objectifs afin de répondre aux grands défis de notre temps, de faire émerger les futurs champions technologiques de demain et d’accompagner les transitions de nos secteurs d’excellence : énergie, automobile, aéronautique ou encore espace. La transition écologique est au cœur du plan « France 2030 », dont les crédits seront en grande partie consacrés à sa mise en œuvre. | |
Les dépenses portées par la mission « Investir pour la France de 2030 » représentent un montant de 54 Md€ dont quasiment 22 milliards d’euros seront engagés sur la période 2023‑2024. | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créées par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes. | | France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créés par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes. | France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur des marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et d’amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créés par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur des marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et d’amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créés par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes. | France 2030 intègre les ambitions du PIA4, qui combine deux logiques d’intervention : des investissements stratégiques et prioritaires ; des financements pérennes pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation. Le PIA permet d’accélérer le développement de technologies d’avenir portant sur des marchés stratégiques et le développement de secteurs tels que les technologies vertes et numériques, la recherche médicale et les industries de la santé, les villes de demain, l’adaptation au changement climatique ou encore l’enseignement numérique. Les financements pérennes du PIA4 pour l’enseignement supérieur, la recherche et l’innovation ont pour ambition de pérenniser et d’amplifier l’efficacité des écosystèmes d’enseignement supérieur et de recherche créés par les précédents PIA mais aussi d’accompagner les entreprises innovantes. | |
Au‑delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, plus de 8 milliards d’euros seront investis pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides ; l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables ; la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins. | | (Alinéa sans modification) | Au delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, près de 30 milliards d’euros seront investis sur la période 2024‑2027 pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides, l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables, la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins. | (Alinéa sans modification) | | Au‑delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, près de 30 milliards d’euros seront investis sur la période 2024‑2027 pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides, l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables, la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins. | Au delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, près de 30 milliards d’euros seront investis sur la période 2024‑2027 pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides, l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables, la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins. | Au delà des investissements initiés dans le cadre du PIA4, près de 30 milliards d’euros seront investis sur la période 2024‑2027 pour atteindre les trois premiers objectifs du plan France 2030 : l’émergence de réacteurs nucléaires de petite taille, l’hydrogène vert et la décarbonation de l’industrie française. Le plan « France 2030 » fixe également comme objectifs le développement des transports du futur, tels que la production du premier avion bas‑carbone et l’accélération de la production de véhicules électriques et hybrides, l’investissement dans de nouveaux modes de production alimentaires plus sains, durables et traçables, la production de biomédicaments et la création de dispositifs médicaux d’avenir. Le plan France 2030 financera enfin les ambitions de la France en matière spatiale ainsi que dans la poursuite de l’exploration des fonds marins. | |
En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle 19 Md€ en PLF 2023, et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information. | | (Alinéa sans modification) | En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle plus de 19 milliards d’euros en LFI 2023, et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information. | En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle plus de 19 milliards d’euros en loi de finances pour 2023 et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information. | | (Alinéa sans modification) | En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle plus de 19 milliards d’euros en loi de finances pour 2023 et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information. | En dehors de l’effort exceptionnel d’investissement engagé dans la transformation du pays, l’ensemble des ministères portent des dépenses qu’il est proposé de retenir dans l’agrégat de dépenses retracées au titre des dépenses considérées comme des dépenses d’investissement. La prévision présentée dans le projet de loi de programmation est ainsi fondée sur la trajectoire prévisionnelle de dépenses d’investissement comptabilisées en titre 5, qui représente quant à elle plus de 19 milliards d’euros en loi de finances pour 2023 et qui fera l’objet d’un suivi renforcé aux termes de la nouvelle loi organique, avec une identification spécifique de ces crédits au sein même des lois de finances. Ces dépenses sont essentiellement portées par la dynamique d’investissement du ministère des armées, contribuant au soutien de l’industrie et de l’innovation, par les dépenses immobilières, avec une priorité à la rénovation des bâtiments dans le cadre de la transition écologique et énergétique, et par l’investissement dans les systèmes d’information. | |
2. Le « budget vert », un outil de maîtrise de l’impact carbone du budget. | | 2. (Alinéa sans modification) | 2. Le « budget vert », un outil de maîtrise de l’impact environnemental du budget | 2. (Alinéa sans modification) | | | 2. Le « budget vert », un outil de maîtrise de l’impact environnemental du budget | 2. Le « budget vert », un outil de maîtrise de l’impact environnemental du budget | |
En 2017, lors du One planet summit, organisé en collaboration avec l’OCDE, la France a fait le choix de mettre en place une « budgétisation verte », afin d’évaluer l’adéquation du budget de l’État avec ses engagements environnementaux, dont l’Accord de Paris. La France est ainsi devenue, en 2020, le premier État à concrétiser cet exercice de cotation environnementale innovant, témoignant d’une volonté politique forte. Correspondant à la première partie du rapport sur l’impact environnemental du budget de l’État, le budget vert est publié chaque année en annexe du projet de loi de finances. | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | | En 2017, lors du One Planet Summit, organisé en collaboration avec l’OCDE, la France a fait le choix de mettre en place une « budgétisation verte », afin d’évaluer l’adéquation du budget de l’État avec ses engagements environnementaux, dont l’accord de Paris. La France est ainsi devenue, en 2020, le premier État à concrétiser cet exercice de cotation environnementale innovant, témoignant d’une volonté politique forte. Correspondant à la première partie du rapport sur l’impact environnemental du budget de l’État, le budget vert est publié chaque année en annexe du projet de loi de finances. | En 2017, lors du One Planet Summit, organisé en collaboration avec l’OCDE, la France a fait le choix de mettre en place une « budgétisation verte », afin d’évaluer l’adéquation du budget de l’État avec ses engagements environnementaux, dont l’accord de Paris. La France est ainsi devenue, en 2020, le premier État à concrétiser cet exercice de cotation environnementale innovant, témoignant d’une volonté politique forte. Correspondant à la première partie du rapport sur l’impact environnemental du budget de l’État, le budget vert est publié chaque année en annexe du projet de loi de finances. | |
Depuis sa première édition annexée au PLF 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité – eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le Budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales. | | (Alinéa sans modification) | Depuis sa première édition annexée au PLF pour 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité, eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales. | Depuis sa première édition annexée au projet de loi de finances (PLF) pour 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité, eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales. | | | Depuis sa première édition annexée au PLF pour 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité, eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales. | Depuis sa première édition annexée au PLF pour 2021, le budget vert présente la cotation favorable, défavorable, mixte ou neutre de l’ensemble des dépenses de l’État. La méthode de classification établie par la France permet de rendre compte de l’impact multidimensionnel des dépenses sur l’environnement, établi en fonction de six objectifs – la lutte et l’adaptation au changement climatique, la gestion des ressources en eau, la gestion des déchets, la lutte contre les pollutions et la prévention de la biodiversité, eux‑mêmes inspirés de la taxonomie des activités au niveau européen. Le périmètre d’analyse des dépenses de l’État est par ailleurs ambitieux, puisque le budget vert analyse l’ensemble des dépenses de l’État et toutes les dépenses fiscales. | |
Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. Pour le PLF 2022 les dépenses favorables à l’environnement ont été estimées à 32,5 Md€, les dépenses défavorables à l’environnement à 10,8 Md€ et les dépenses mixtes à 4,5 Md€. La troisième édition du budget vert, qui sera annexée au PLF 2023, est actuellement en préparation, et contient notamment la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. | | (Alinéa sans modification) | Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. La troisième édition du budget vert, annexée au PLF 2023, a notamment intégré la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. Pour le PLF pour 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, les dépenses favorables à l’environnement ont ainsi été estimées à 33,9 milliards d’euros les dépenses défavorables à l’environnement à 10,7 milliards d’euros et les dépenses mixtes à 2,3 Md€. Pour le PLF pour 2024, l’ensemble des explications relatives aux cotations des dépenses favorables, mixtes et défavorables sera publié en annexe du budget vert. | Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. La troisième édition du budget vert, annexée au PLF pour 2023, a notamment intégré la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. Pour le PLF pour 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, les dépenses favorables à l’environnement ont ainsi été estimées à 33,9 milliards d’euros les dépenses défavorables à l’environnement à 10,7 milliards d’euros et les dépenses mixtes à 2,3 milliards d’euros. Pour le PLF pour 2024, l’ensemble des explications relatives aux cotations des dépenses favorables, mixtes et défavorables sera publié en annexe du budget vert. | | | Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. La troisième édition du budget vert, annexée au PLF pour 2023, a notamment intégré la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. Pour le PLF pour 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, les dépenses favorables à l’environnement ont ainsi été estimées à 33,9 milliards d’euros, les dépenses défavorables à l’environnement à 10,7 milliards d’euros et les dépenses mixtes à 2,3 milliards d’euros. Pour le PLF pour 2024, l’ensemble des explications relatives aux cotations des dépenses favorables, mixtes et défavorables sera publié en annexe du budget vert. | Chaque édition du budget vert enrichit le périmètre des cotations et les informations disponibles dans le rapport. La troisième édition du budget vert, annexée au PLF pour 2023, a notamment intégré la cotation du prélèvement sur recettes en faveur de l’Union européenne ainsi que la cotation du plan France 2030 pour l’année 2023. Pour le PLF pour 2023, hors relance et hors dispositifs de soutien pour faire face à la hausse des prix de l’énergie, les dépenses favorables à l’environnement ont ainsi été estimées à 33,9 milliards d’euros, les dépenses défavorables à l’environnement à 10,7 milliards d’euros et les dépenses mixtes à 2,3 milliards d’euros. Pour le PLF pour 2024, l’ensemble des explications relatives aux cotations des dépenses favorables, mixtes et défavorables sera publié en annexe du budget vert. | |
Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Déjà utilisé en 2021 et 2022 pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la LPFP, instaurant un objectif de baisse de 10% du ratio entre les dépenses brunes d’une part et les dépenses vertes et mixtes d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiales de 2022. | | Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Déjà utilisé en 2021 et 2022 pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la LPFP, instaurant un objectif de baisse de 10% du ratio entre les dépenses brunes d’une part et les dépenses vertes et mixtes d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiale de 2022. | Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Désormais utilisé pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la présente loi, instaurant un objectif de baisse de 20 % du ratio entre les dépenses brunes d’une part et les dépenses vertes et mixtes d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiale de 2022. | (Alinéa sans modification) | | | Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Désormais utilisé pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la présente loi, instaurant un objectif de baisse de 20 % du ratio entre les dépenses brunes, d’une part, et les dépenses vertes et mixtes, d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiale pour 2022. | Le budget vert permet de répondre à la demande d’une plus grande transparence de l’information en matière environnementale, émanant à la fois du Parlement, de la société civile et des citoyens. Désormais utilisé pour éclairer les négociations gouvernementales pour préparer le budget de l’État et les négociations entre ministères lors des conférences de budgétisation, il sert de fondement à une règle de gouvernance budgétaire instaurée par la présente loi, instaurant un objectif de baisse de 20 % du ratio entre les dépenses brunes, d’une part, et les dépenses vertes et mixtes, d’autre part, à l’horizon 2027 par rapport au niveau de la loi de finances initiale pour 2022. | |
III. – L’effort sera équitablement réparti entre les sous‑secteurs des administrations publiques | III. – (Alinéa sans modification) | III. – (Alinéa sans modification) | III. – (Alinéa sans modification) | III. – (Alinéa sans modification) | III. – (Alinéa sans modification) | III. – (Alinéa sans modification) | III. – L’effort sera équitablement réparti entre les sous‑secteurs des administrations publiques | III. – L’effort sera équitablement réparti entre les sous‑secteurs des administrations publiques | |
A. – La trajectoire de l’État | | A. – (Alinéa sans modification) | A. La trajectoire de l’État | A. – La trajectoire de l’État | A. – (Alinéa sans modification) | A. – (Alinéa sans modification) | A. – La trajectoire de l’État | A. – La trajectoire de l’État | |
Tableau : Dépenses, recettes et solde de l’État au sens de Maastricht (en points de PIB) | | (Alinéa sans modification) | Dépenses, recettes et solde de l’État au sens de Maastricht | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Dépenses, recettes et solde de l’État au sens de Maastricht | Dépenses, recettes et solde de l’État au sens de Maastricht | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Dépenses totales État | 22,8 | 21,8 | 20,8 | 20,1 | 19,8 | 19,8 | | Recettes totales État | 17,3 | 16,3 | 15,8 | 15,6 | 15,5 | 15,6 | | Solde État au sens de Maastricht | -5,5 | -5,4 | -5,0 | -4,5 | -4,3 | -4,2 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Dépenses totales État | 22,8 | 21,8 | 20,8 | 20,1 | 19,8 | 19,8 | | Recettes totales État | 17,3 | 16,3 | 15,8 | 15,6 | 15,5 | 15,6 | | Solde État au sens de Maastricht | -5,5 | -5,4 | -5,0 | -4,5 | -4,3 | -4,2 | | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
| Dépenses totales État | 22,8 | 21,8 | 20,8 | 20,1 | 19,8 | 19,8 |
| Recettes totales État | 17,3 | 16,3 | 15,8 | 15,6 | 15,5 | 15,6 |
| Solde État au sens de Maastricht | -5,5 | -5,4 | -5,0 | -4,5 | -4,3 | -4,2 |
| | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales de l’État | 23,1 | 21,3 | 20,6 | 20,6 | 20,5 | 20,4 | Recettes totales de l’État | 17,4 | 16,0 | 16,1 | 16,3 | 16,4 | 16,3 | Solde de l’État au sens de Maastricht | -5,7 | -5,3 | -4,6 | -4,2 | -4,1 | -4,0 | | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales de l’État | 23,1 | 21,3 | 20,6 | 20,6 | 20,5 | 20,4 | Recettes totales de l’État | 17,4 | 16,0 | 16,1 | 16,3 | 16,4 | 16,3 | Solde de l’État au sens de Maastricht | -5,7 | -5,3 | -4,6 | -4,2 | -4,1 | -4,0 | | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales de l’État | 23,1 | 21,3 | 20,6 | 20,6 | 20,5 | 20,4 | Recettes totales de l’État | 17,4 | 16,0 | 16,1 | 16,3 | 16,4 | 16,3 | Solde de l’État au sens de Maastricht | -5,7 | -5,3 | -4,6 | -4,2 | -4,1 | -4,0 | | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales de l’État | 23,1 | 21,3 | 20,6 | 20,6 | 20,5 | 20,4 | Recettes totales de l’État | 17,4 | 16,0 | 16,1 | 16,3 | 16,4 | 16,3 | Solde de l’État au sens de Maastricht | -5,7 | -5,3 | -4,6 | -4,2 | -4,1 | -4,0 | | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales de l’État | 23,1 | 21,3 | 20,6 | 20,6 | 20,5 | 20,4 | Recettes totales de l’État | 17,4 | 16,0 | 16,1 | 16,3 | 16,4 | 16,3 | Solde de l’État au sens de Maastricht | -5,7 | -5,3 | -4,6 | -4,2 | -4,1 | -4,0 | | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales de l’État | 23,1 | 21,3 | 20,6 | 20,6 | 20,5 | 20,4 | Recettes totales de l’État | 17,4 | 16,0 | 16,1 | 16,3 | 16,4 | 16,3 | Solde de l’État au sens de Maastricht | -5,7 | -5,3 | -4,6 | -4,2 | -4,1 | -4,0 | | |
1. La trajectoire des dépenses et des recettes de l’État | | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. La trajectoire des dépenses et des recettes de l’État | 1. La trajectoire des dépenses et des recettes de l’État | |
Le périmètre des dépenses de l’État défini à l’annexe 4 évolue sur la période de programmation selon le tableau suivant. | | (Alinéa sans modification) | Le périmètre des dépenses de l’État (PDE), défini à l’article 9 de la présente loi, évolue sur la période de programmation selon le tableau suivant. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le périmètre des dépenses de l’État (PDE), défini à l’article 10 de la présente loi, évolue sur la période de programmation selon le tableau suivant. | Le périmètre des dépenses de l’État (PDE), défini à l’article 10 de la présente loi, évolue sur la période de programmation selon le tableau suivant. | |
En Md€ | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État | 480 | 485 | 496 | 501 | 509 | | En Md€ | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État | 480 | 485 | 496 | 501 | 509 | | En Md€ | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État | 480 | 485 | 496 | 501 | 509 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État (PDE) | 496 | 491 | 505 | 512 | 519 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État (PDE) | 496 | 491 | 505 | 512 | 519 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État (PDE) | 496 | 491 | 505 | 512 | 519 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État (PDE) | 496 | 491 | 505 | 512 | 519 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État (PDE) | 496 | 491 | 505 | 512 | 519 | | (En milliards d’euros) | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Périmètre des dépenses de l’État (PDE) | 496 | 491 | 505 | 512 | 519 | | |
2. Un budget permettant de financer les priorités du Gouvernement | | 2. (Alinéa sans modification) | 2. (Alinéa sans modification) | 2. (Alinéa sans modification) | | 2. (Alinéa sans modification) | 2. Un budget permettant de financer les priorités du Gouvernement | 2. Un budget permettant de financer les priorités du Gouvernement | |
| | | Les budgets ministériels prévus pour 2024 s’inscrivent dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, dans un contexte de sortie des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation. Les dépenses de l’État (hors CAS « Pensions ») baissent entre la LFI pour 2023 et le PLF pour 2024 afin d’engager une trajectoire résolue de désendettement et de réduction des déficits publics. Cette baisse marque un effort d’autant plus important que l’inflation devrait demeurer en 2024 à 2,6 %. | Les budgets ministériels prévus pour 2024 s’inscrivent dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, dans un contexte de sortie des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation. Les dépenses de l’État (hors CAS « Pensions ») baissent entre la loi de finances pour 2023 et le PLF pour 2024 afin d’engager une trajectoire résolue de désendettement et de réduction des déficits publics. Cette baisse marque un effort d’autant plus important que l’inflation devrait demeurer en 2024 à 2,6 %. | | (Alinéa sans modification) | Les budgets ministériels prévus pour 2024 s’inscrivent dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, dans un contexte de sortie des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation. Les dépenses de l’État (hors CAS « Pensions ») baissent entre la loi de finances pour 2023 et le PLF pour 2024, afin d’engager une trajectoire résolue de désendettement et de réduction des déficits publics. Cette baisse marque un effort d’autant plus important que l’inflation devrait demeurer en 2024 à 2,6 %. | Les budgets ministériels prévus pour 2024 s’inscrivent dans la trajectoire de rétablissement des comptes publics, dans un contexte de sortie des crises sanitaire, énergétique et de l’inflation. Les dépenses de l’État (hors CAS « Pensions ») baissent entre la loi de finances pour 2023 et le PLF pour 2024, afin d’engager une trajectoire résolue de désendettement et de réduction des déficits publics. Cette baisse marque un effort d’autant plus important que l’inflation devrait demeurer en 2024 à 2,6 %. | |
Les budgets ministériels prévus pour 2023 traduisent les engagements pris durant la campagne présidentielle. Ils permettent de préparer l’avenir, avec un accroissement des dépenses consacrées à l’éducation et à la transition écologique mais aussi à l’investissement productif, au travers du plan « France 2030 » dont la mise en œuvre se poursuit. Ce budget est également celui de l’accompagnement de la France vers le plein‑emploi. Il consacre enfin le réarmement des moyens régaliens, engagés dès 2017. | | (Alinéa sans modification) | Ces projets de plafonds traduisent par ailleurs la priorité donnée à la planification écologique, avec un accroissement inédit de ses moyens. Ils permettent également de préparer l’avenir par l’accroissement des moyens alloués à l’enseignement ainsi qu’à l’investissement productif, notamment grâce au plan « France 2030 », dont le déploiement se poursuit. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Ces projets de plafonds traduisent par ailleurs la priorité donnée à la planification écologique, avec un accroissement inédit de ses moyens. Ils permettent également de préparer l’avenir par l’accroissement des moyens alloués à l’enseignement ainsi qu’à l’investissement productif, notamment grâce au plan « France 2030 », dont le déploiement se poursuit. | Ces projets de plafonds traduisent par ailleurs la priorité donnée à la planification écologique, avec un accroissement inédit de ses moyens. Ils permettent également de préparer l’avenir par l’accroissement des moyens alloués à l’enseignement ainsi qu’à l’investissement productif, notamment grâce au plan « France 2030 », dont le déploiement se poursuit. | |
| | | Ils poursuivent le réarmement des fonctions régaliennes engagé dès 2017, dans le respect des lois de programmation. Le budget 2024 sera enfin celui du plein emploi grâce au lancement de France Travail et au renforcement des services publics pour tous les Français. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Ils poursuivent le réarmement des fonctions régaliennes engagé dès 2017, dans le respect des lois de programmation. Le budget 2024 sera enfin celui du plein emploi grâce au lancement de France Travail et au renforcement des services publics pour tous les Français. | Ils poursuivent le réarmement des fonctions régaliennes engagé dès 2017, dans le respect des lois de programmation. Le budget 2024 sera enfin celui du plein emploi grâce au lancement de France Travail et au renforcement des services publics pour tous les Français. | |
Soutenir l’éducation et la recherche | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
Le Gouvernement a fait de l’éducation l’une des priorités du nouveau quinquennat. Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant conduit à un rehaussement des crédits du ministère chargé de l’Education nationale, permettant de poursuivre et d’amplifier la revalorisation des rémunérations des personnels enseignants dès la rentrée 2023 et d’engager le Pacte pour les enseignants. S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse de de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche (LPR), et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante, notamment la revalorisation des bourses sur critères sociaux à hauteur de 4 % à la rentrée 2022. | | Le Gouvernement a fait de l’éducation l’une des priorités du nouveau quinquennat. Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant conduit à un rehaussement des crédits du ministère chargé de l’éducation nationale, permettant de poursuivre et d’amplifier la revalorisation des rémunérations des personnels enseignants dès la rentrée 2023 et d’engager le Pacte pour les enseignants. S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche (LPR), et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante, notamment la revalorisation des bourses sur critères sociaux à hauteur de 4 % à la rentrée 2022. | | | | | | | |
Renforcer les moyens au service de la transition écologique et de sa mise en œuvre territoriale | | (Alinéa sans modification) | Financer la planification écologique et accroître l’investissement productif | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Financer la planification écologique et accroître l’investissement productif | Financer la planification écologique et accroître l’investissement productif | |
La France s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de transition énergétique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Fit for 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030. | | (Alinéa sans modification) | La France s’est fixée des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Ajustement à l’objectif 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030. | (Alinéa sans modification) | | La France s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Ajustement à l’objectif 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030. | La France s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Ajustement à l’objectif 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030. | La France s’est fixé des objectifs ambitieux en matière de transition écologique, tant au niveau national qu’au niveau européen avec l’adoption du paquet « Ajustement à l’objectif 55 », visant une réduction de 55 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030. | |
Pour l’atteinte de ces objectifs, le budget alloué à l’écologie progressera au titre notamment du dispositif MaPrimeRénov’et du bonus écologique afin de renforcer l’accompagnement des ménages dans leurs démarches de rénovation énergétique des logements et de remplacement des véhicules thermiques. | | (Alinéa sans modification) | Pour l’atteinte de ces objectifs, conformément aux annonces de la Première ministre, les moyens alloués à la planification écologique progresseront de 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement en 2024, correspondant à une hausse de 7 milliards d’euros des décaissements en 2024 par rapport à 2023, au titre par exemple du soutien à la rénovation des logements, dont les engagements seront augmentés de 1,6 milliards d’euros sur le budget de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), du « fonds vert » de soutien aux collectivités territoriales, qui sera reconduit et renforcé à hauteur de 2,5 milliards d’euros en capacité d’engagement, du « fonds chaleur », dont les engagements augmenteront de près de 60 %, ou encore de la rénovation énergétique de l’immobilier de l’État. | Pour l’atteinte de ces objectifs, conformément aux annonces de la Première ministre, les moyens alloués à la planification écologique progresseront de 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement en 2024, correspondant à une hausse de 7 milliards d’euros des décaissements en 2024 par rapport à 2023, au titre par exemple du soutien à la rénovation des logements, dont les engagements seront augmentés de 1,6 milliard d’euros sur le budget de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), du « fonds vert » de soutien aux collectivités territoriales, qui sera reconduit et renforcé à hauteur de 2,5 milliards d’euros en capacité d’engagement, du « fonds chaleur », dont les engagements augmenteront de près de 60 %, ou encore de la rénovation énergétique de l’immobilier de l’État. | | (Alinéa sans modification) | Pour l’atteinte de ces objectifs, conformément aux annonces de la Première ministre, les moyens alloués à la planification écologique progresseront de 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement en 2024, correspondant à une hausse de 7 milliards d’euros des décaissements en 2024 par rapport à 2023, au titre par exemple du soutien à la rénovation des logements, dont les engagements seront augmentés de 1,6 milliard d’euros sur le budget de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), du « fonds vert » de soutien aux collectivités territoriales, qui sera reconduit et renforcé à hauteur de 2,5 milliards d’euros en capacité d’engagement, du « fonds chaleur », dont les engagements augmenteront de près de 60 %, ou encore de la rénovation énergétique de l’immobilier de l’État. | Pour l’atteinte de ces objectifs, conformément aux annonces de la Première ministre, les moyens alloués à la planification écologique progresseront de 10 milliards d’euros d’autorisations d’engagement en 2024, correspondant à une hausse de 7 milliards d’euros des décaissements en 2024 par rapport à 2023, au titre par exemple du soutien à la rénovation des logements, dont les engagements seront augmentés de 1,6 milliard d’euros sur le budget de l’Agence nationale de l’habitat (ANAH), du « fonds vert » de soutien aux collectivités territoriales, qui sera reconduit et renforcé à hauteur de 2,5 milliards d’euros en capacité d’engagement, du « fonds chaleur », dont les engagements augmenteront de près de 60 %, ou encore de la rénovation énergétique de l’immobilier de l’État. | |
| | | Les engagements dédiés aux mobilités, notamment à l’évolution des infrastructures de transport et au verdissement du parc automobile, augmenteront pour leur part de 1,6 milliards d’euros. | Les engagements dédiés aux mobilités, notamment à l’évolution des infrastructures de transport et au verdissement du parc automobile, augmenteront pour leur part de 1,6 milliard d’euros. | | (Alinéa sans modification) | Les engagements consacrés aux mobilités, notamment à l’évolution des infrastructures de transport et au verdissement du parc automobile, augmenteront pour leur part de 1,6 milliard d’euros. | Les engagements consacrés aux mobilités, notamment à l’évolution des infrastructures de transport et au verdissement du parc automobile, augmenteront pour leur part de 1,6 milliard d’euros. | |
| | | S’agissant de l’agriculture et de la forêt, ce sont 1,3 milliard d’euros d’engagements et 0,8 milliard d’euros de crédits additionnels qui sont ajoutés dans le cadre de la planification écologique. Cela permettra notamment de financer un fonds national de souveraineté alimentaire, un renforcement des moyens dédiés aux plans « haies » et « protéines », un soutien important au renouvellement forestier et à la dynamisation de la filière bois ainsi qu’un renforcement des moyens dédiés à la protection des forêts contre les incendies. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | S’agissant de l’agriculture et de la forêt, ce sont 1,3 milliard d’euros d’engagements et 0,8 milliard d’euros de crédits additionnels qui sont ajoutés dans le cadre de la planification écologique. Cela permettra notamment de financer un fonds national de souveraineté alimentaire, un renforcement des moyens consacrés aux plans « haies » et « protéines », un soutien important au renouvellement forestier et à la dynamisation de la filière bois ainsi qu’un renforcement des moyens consacrés à la protection des forêts contre les incendies. | S’agissant de l’agriculture et de la forêt, ce sont 1,3 milliard d’euros d’engagements et 0,8 milliard d’euros de crédits additionnels qui sont ajoutés dans le cadre de la planification écologique. Cela permettra notamment de financer un fonds national de souveraineté alimentaire, un renforcement des moyens consacrés aux plans « haies » et « protéines », un soutien important au renouvellement forestier et à la dynamisation de la filière bois ainsi qu’un renforcement des moyens consacrés à la protection des forêts contre les incendies. | |
Accroître l’investissement productif | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
Le Gouvernement renforce son soutien à l’investissement public et à l’innovation. Le plan « France 2030 », lancé en 2022, sera doté de 6 Md€ en 2023 afin de faire face aux défis liés aux transitions écologique et numérique, et de renforcer notre souveraineté pour une économie plus résiliente. | | (Alinéa sans modification) | Le Gouvernement renforce également son soutien à l’investissement public et à l’innovation. Le plan France 2030, lancé en 2021, sera doté de 7,7 milliards d’euros en 2024 afin de faire face aux défis liés aux transitions écologique et numérique et de renforcer notre souveraineté pour une économie plus résiliente. Le budget 2024 permettra également de financer les mesures du projet de loi relatif à l’industrie verte, qui a pour ambition de faire de la France son chef de file en Europe. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Le Gouvernement renforce également son soutien à l’investissement public et à l’innovation. Le plan France 2030, lancé en 2021, sera doté de 7,7 milliards d’euros en 2024 afin de faire face aux défis liés aux transitions écologique et numérique et de renforcer notre souveraineté pour une économie plus résiliente. Le budget 2024 permettra également de financer les mesures du projet de loi relatif à l’industrie verte, qui a pour ambition de faire de la France son chef de file en Europe. | Le Gouvernement renforce également son soutien à l’investissement public et à l’innovation. Le plan France 2030, lancé en 2021, sera doté de 7,7 milliards d’euros en 2024 afin de faire face aux défis liés aux transitions écologique et numérique et de renforcer notre souveraineté pour une économie plus résiliente. Le budget 2024 permettra également de financer les mesures du projet de loi relatif à l’industrie verte, qui a pour ambition de faire de la France son chef de file en Europe. | |
| | | Préparer l’avenir, c’est aussi investir dans l’éducation et la recherche. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Préparer l’avenir, c’est aussi investir dans l’éducation et la recherche. | Préparer l’avenir, c’est aussi investir dans l’éducation et la recherche. | |
| | | La mission « Enseignement scolaire » connaîtra une hausse historique sur deux ans, et la plus forte progression en 2024 avec une hausse de 3,9 milliards d’euros (après une hausse de 3,7 milliards d’euros en 2023). Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant des filières générale et professionnelle conduira à poursuivre et à amplifier la revalorisation des rémunérations des professeurs grâce à la mise en œuvre du « Pacte pour les enseignants » à compter de la rentrée 2023. Seront par ailleurs financés la revalorisation des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) initiée par le Parlement en 2023, les gratifications des stagiaires de l’enseignement professionnel, le lancement des mesures de la Conférence nationale du handicap et une première amélioration de la rémunération des personnels administratifs et techniques. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | La mission « Enseignement scolaire » connaîtra une hausse historique sur deux ans, et la plus forte progression en 2024 avec une hausse de 3,9 milliards d’euros (après une hausse de 3,7 milliards d’euros en 2023). Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant des filières générale et professionnelle conduira à poursuivre et à amplifier la revalorisation des rémunérations des professeurs grâce à la mise en œuvre du « pacte pour les enseignants » à compter de la rentrée 2023. Seront par ailleurs financés la revalorisation des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) initiée par le Parlement en 2023, les gratifications des stagiaires de l’enseignement professionnel, le lancement des mesures de la conférence nationale du handicap et une première amélioration de la rémunération des personnels administratifs et techniques. | La mission « Enseignement scolaire » connaîtra une hausse historique sur deux ans, et la plus forte progression en 2024 avec une hausse de 3,9 milliards d’euros (après une hausse de 3,7 milliards d’euros en 2023). Dans les premier et second degrés, l’ambition de renforcer l’attractivité du métier d’enseignant des filières générale et professionnelle conduira à poursuivre et à amplifier la revalorisation des rémunérations des professeurs grâce à la mise en œuvre du « pacte pour les enseignants » à compter de la rentrée 2023. Seront par ailleurs financés la revalorisation des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) initiée par le Parlement en 2023, les gratifications des stagiaires de l’enseignement professionnel, le lancement des mesures de la conférence nationale du handicap et une première amélioration de la rémunération des personnels administratifs et techniques. | |
| | | S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse d’un milliard d’euros de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante : la revalorisation des bourses sur critères sociaux (de 37 à 127e euros par mois), le ticket‑repas universitaire à 1 euro ainsi que le gel des loyers et la réhabilitation des logements du CROUS. | S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse d’un milliard d’euros de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante : la revalorisation des bourses sur critères sociaux (de 37 à 127 euros par mois), le ticket‑repas universitaire à 1 euro ainsi que le gel des loyers et la réhabilitation des logements du CROUS. | | (Alinéa sans modification) | S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse d’un milliard d’euros de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante : la revalorisation des bourses sur critères sociaux (de 37 à 127 euros par mois), le ticket‑repas universitaire à 1 euro ainsi que le gel des loyers et la réhabilitation des logements du centre régional des œuvres universitaires (CROUS). | S’agissant de l’enseignement supérieur et de la recherche, une hausse d’un milliard d’euros de crédits est prévue, notamment au titre de la mise en œuvre de la loi de programmation de la recherche et au titre du financement des mesures en faveur de la vie étudiante : la revalorisation des bourses sur critères sociaux (de 37 à 127 euros par mois), le ticket‑repas universitaire à 1 euro ainsi que le gel des loyers et la réhabilitation des logements du centre régional des œuvres universitaires (CROUS). | |
| | | Ces crédits consolident également les moyens permettant le financement de 150 000 missions de service civique, la montée en puissance du service national universel (SNU) en 2024 afin d’impliquer 80 000 jeunes dans la vie de la Nation, de promouvoir la notion d’engagement et de favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Ces crédits consolident également les moyens permettant le financement de 150 000 missions de service civique et la montée en puissance du service national universel (SNU) en 2024 afin d’impliquer 80 000 jeunes dans la vie de la Nation, de promouvoir la notion d’engagement et de favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes. | Ces crédits consolident également les moyens permettant le financement de 150 000 missions de service civique et la montée en puissance du service national universel (SNU) en 2024 afin d’impliquer 80 000 jeunes dans la vie de la Nation, de promouvoir la notion d’engagement et de favoriser un sentiment d’unité nationale autour de valeurs communes. | |
Accompagner la France vers le plein‑emploi | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
Le budget pour 2023 matérialise également l’engagement fort du Gouvernement en faveur de l’objectif d’atteinte du plein‑emploi, avec un renforcement du budget du ministère du travail, du plein emploi et de l’insertion. Cette hausse inédite résulte principalement d’un maintien, après un soutien exceptionnel en 2020 et 2021 à l’activité partielle, de l’effort soutenu en faveur de l’apprentissage, afin d’accompagner la dynamique de la population d’apprentis, et en faveur de la formation, visant à mieux accompagner les demandeurs d’emploi et la formation des salariés. | | (Alinéa sans modification) | | | | | | | |
Protéger les Français et poursuivre le réarmement du régalien | | (Alinéa sans modification) | Protéger les Français et poursuivre le renforcement de nos moyens de défense | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Protéger les Français et poursuivre le renforcement de nos moyens de défense | Protéger les Français et poursuivre le renforcement de nos moyens de défense | |
Dans le respect des engagements de la loi de programmation militaire (LPM), les moyens de la mission « Défense » connaîtront une hausse en 2023, qui permettra de financer la poursuite du maintien en condition opérationnelle (MCO) des équipements, de nouveaux programmes d’armements ainsi que l’investissement en faveur de la défense (spatial, renseignement, cyber sécurité) et un renforcement des effectifs du ministère. | | (Alinéa sans modification) | Dans le respect des engagements de la loi de programmation militaire (LPM) récemment votée par le Parlement, les moyens de la mission « Défense » connaîtront une hausse de 3,3 milliards d’euros en 2024, ce qui permettra de financer le maintien en condition opérationnelle des équipements, de nouveaux programmes d’armement ainsi que l’investissement en faveur de la défense spatiale, du renseignement et de la cybersécurité. Cette hausse des moyens permettra également un renforcement des effectifs du ministère des armées. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Dans le respect des engagements de la loi de programmation militaire (LPM) récemment votée par le Parlement, les moyens de la mission « Défense » connaîtront une hausse de 3,3 milliards d’euros en 2024, ce qui permettra de financer le maintien en condition opérationnelle des équipements, de nouveaux programmes d’armement ainsi que l’investissement en faveur de la défense spatiale, du renseignement et de la cybersécurité. Cette hausse des moyens permettra également un renforcement des effectifs du ministère des armées. | Dans le respect des engagements de la loi de programmation militaire (LPM) récemment votée par le Parlement, les moyens de la mission « Défense » connaîtront une hausse de 3,3 milliards d’euros en 2024, ce qui permettra de financer le maintien en condition opérationnelle des équipements, de nouveaux programmes d’armement ainsi que l’investissement en faveur de la défense spatiale, du renseignement et de la cybersécurité. Cette hausse des moyens permettra également un renforcement des effectifs du ministère des armées. | |
Les forces de sécurité bénéficient également d’un soutien renforcé. Un effort sans précédent sera consacré en 2023, à la fois sur les équipements, le numérique et le renforcement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique, conformément à la trajectoire posée par le projet de loi d’orientation et de programmation du ministère de l’intérieur (LOPMI). | | (Alinéa sans modification) | Les forces de sécurité bénéficient d’un soutien renforcé. Un effort sera fait en 2024 sur les équipements, le numérique et le renforcement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique, conformément à la trajectoire prévue par la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’Intérieur (LOPMI), à hauteur d’un milliard d’euros supplémentaires en 2024. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Les forces de sécurité bénéficient d’un soutien renforcé. Un effort sera fait en 2024 sur les équipements, le numérique et le renforcement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique, conformément à la trajectoire prévue par la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’intérieur (LOPMI), à hauteur d’un milliard d’euros supplémentaires en 2024. | Les forces de sécurité bénéficient d’un soutien renforcé. Un effort sera fait en 2024 sur les équipements, le numérique et le renforcement de la présence des policiers et gendarmes sur la voie publique, conformément à la trajectoire prévue par la loi d’orientation et de programmation du ministère de l’intérieur (LOPMI), à hauteur d’un milliard d’euros supplémentaires en 2024. | |
Enfin, le ministère de la justice bénéficiera d’une hausse exceptionnelle de 8 % de ses moyens, pour la troisième année consécutive, consacrant une revalorisation historique du service public de la justice au terme des États généraux de la justice. Ces moyens additionnels permettront notamment de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, d’accroître la mise à niveau numérique des juridictions et des procédures, et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 15 000 places de prisons. | | (Alinéa sans modification) | À la suite des états généraux de la justice, et dans le respect de son projet de loi de programmation, le ministère de la justice bénéficiera d’une nouvelle augmentation de 0,5 milliards d’euros, soit 5 %, après trois années de hausse consécutive de 8 % de ses moyens. Ces nouveaux moyens permettront de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, de revaloriser leurs rémunérations (surveillants pénitentiaires, magistrats, greffiers) et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 18 000 places de prisons et la transformation numérique du ministère. | À la suite des états généraux de la justice, dans le respect du projet de loi de programmation du ministère de la justice, celui‑ci bénéficiera d’une nouvelle augmentation de 0,5 milliard d’euros, soit 5 %, après trois années de hausse consécutive de 8 % de ses moyens. Ces nouveaux moyens permettront de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, de revaloriser leurs rémunérations (surveillants pénitentiaires, magistrats, greffiers) et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 18 000 places de prisons et la transformation numérique du ministère. | | (Alinéa sans modification) | À la suite des états généraux de la justice, dans le respect du projet de loi de programmation du ministère de la justice, celui‑ci bénéficiera d’une nouvelle augmentation de 0,5 milliard d’euros, soit 5 %, après trois années de hausse consécutive de 8 % de ses moyens. Ces nouveaux moyens permettront de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, de revaloriser leurs rémunérations (surveillants pénitentiaires, magistrats, greffiers) et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 18 000 places de prisons et la transformation numérique du ministère. | À la suite des états généraux de la justice, dans le respect du projet de loi de programmation du ministère de la justice, celui‑ci bénéficiera d’une nouvelle augmentation de 0,5 milliard d’euros, soit 5 %, après trois années de hausse consécutive de 8 % de ses moyens. Ces nouveaux moyens permettront de renforcer les effectifs de magistrats et de personnels de justice, de revaloriser leurs rémunérations (surveillants pénitentiaires, magistrats, greffiers) et de poursuivre la mise en œuvre du plan pénitentiaire prévoyant la création de 18 000 places de prisons et la transformation numérique du ministère. | |
| | | Poursuivre l’objectif de plein emploi | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Poursuivre l’objectif de plein emploi | Poursuivre l’objectif de plein emploi | |
| | | L’atteinte du plein emploi est un horizon important de ce mandat. La feuille de route du ministère du travail, qui allie incitation à la reprise d’emploi, investissement en matière d’accompagnement et de formation ainsi que logique de droits et devoirs, s’inscrit dans cette ambition. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | L’atteinte du plein emploi est un horizon important de ce mandat. La feuille de route du ministère du travail, qui allie incitation à la reprise d’emploi, investissement en matière d’accompagnement et de formation ainsi que logique de droits et devoirs, s’inscrit dans cette ambition. | L’atteinte du plein emploi est un horizon important de ce mandat. La feuille de route du ministère du travail, qui allie incitation à la reprise d’emploi, investissement en matière d’accompagnement et de formation ainsi que logique de droits et devoirs, s’inscrit dans cette ambition. | |
| | | Pour y parvenir, le budget du ministère du travail continuera de financer la montée en charge de l’apprentissage, dans le but d’atteindre un million d’entrées par an d’ici 2027. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Pour y parvenir, le budget du ministère du travail continuera de financer la montée en charge de l’apprentissage, dans le but d’atteindre un million d’entrées par an d’ici 2027. | Pour y parvenir, le budget du ministère du travail continuera de financer la montée en charge de l’apprentissage, dans le but d’atteindre un million d’entrées par an d’ici 2027. | |
| | | Ce budget prévoit également des moyens pour mener à bien le déploiement progressif de la réforme France Travail, qui doit permettre aux personnes les plus fragiles, hors de l’emploi depuis longtemps, de trouver ou retrouver un emploi. C’est aussi une nouvelle réponse apportée aux difficultés de recrutement des entreprises. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Ce budget prévoit également des moyens pour mener à bien le déploiement progressif de la réforme France Travail, qui doit permettre aux personnes les plus fragiles, hors de l’emploi depuis longtemps, de trouver ou retrouver un emploi. C’est aussi une nouvelle réponse apportée aux difficultés de recrutement des entreprises. | Ce budget prévoit également des moyens pour mener à bien le déploiement progressif de la réforme France Travail, qui doit permettre aux personnes les plus fragiles, hors de l’emploi depuis longtemps, de trouver ou retrouver un emploi. C’est aussi une nouvelle réponse apportée aux difficultés de recrutement des entreprises. | |
| | | Enfin, le budget pour 2024 prévoit la poursuite des investissements en matière de formation des salariés de manière à anticiper et à faciliter mutations économiques et reconversions professionnelles. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Enfin, le budget pour 2024 prévoit la poursuite des investissements en matière de formation des salariés de manière à anticiper et à faciliter mutations économiques et reconversions professionnelles. | Enfin, le budget pour 2024 prévoit la poursuite des investissements en matière de formation des salariés de manière à anticiper et à faciliter mutations économiques et reconversions professionnelles. | |
| | | Adapter les services publics pour mieux accompagner tous les Français | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Adapter les services publics pour mieux accompagner tous les Français | Adapter les services publics pour mieux accompagner tous les Français | |
| | | Le budget 2024 permettra un meilleur accompagnement de tous les usagers par le service public avec le financement de la mise en œuvre des mesures de la conférence nationale du handicap, du pacte des solidarités, du plan France ruralités, mais également de la pérennisation du pass’sport, de l’enrichissement de l’offre des maisons France services ou encore des mesures du comité interministériel des outre‑mer. | Le budget 2024 permettra un meilleur accompagnement de tous les usagers par le service public avec le financement de la mise en œuvre des mesures de la conférence nationale du handicap, du pacte des solidarités, du plan France ruralités, mais également de la pérennisation du « pass’sport », de l’enrichissement de l’offre des maisons France services ou encore des mesures du comité interministériel des outre‑mer. | | (Alinéa sans modification) | Le budget 2024 permettra un meilleur accompagnement de tous les usagers par le service public avec le financement de la mise en œuvre des mesures de la conférence nationale du handicap, du pacte des solidarités, du plan France ruralités, mais également de la pérennisation du « pass’sport », de l’enrichissement de l’offre des maisons France services ou encore des mesures du comité interministériel des outre‑mer. | Le budget 2024 permettra un meilleur accompagnement de tous les usagers par le service public avec le financement de la mise en œuvre des mesures de la conférence nationale du handicap, du pacte des solidarités, du plan France ruralités, mais également de la pérennisation du « pass’sport », de l’enrichissement de l’offre des maisons France services ou encore des mesures du comité interministériel des outre‑mer. | |
| | | La progression des moyens du ministère de la Culture permettra notamment de soutenir la rénovation du patrimoine de proximité, l’activité des écoles de l’enseignement supérieur artistique ou encore les initiatives de soutien à la lecture. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | La progression des moyens du ministère de la culture permettra notamment de soutenir la rénovation du patrimoine de proximité, l’activité des écoles de l’enseignement supérieur artistique ou encore les initiatives de soutien à la lecture. | La progression des moyens du ministère de la culture permettra notamment de soutenir la rénovation du patrimoine de proximité, l’activité des écoles de l’enseignement supérieur artistique ou encore les initiatives de soutien à la lecture. | |
| | | Le ministère des sports et des jeux Olympiques et paralympiques bénéficiera de 100 milliards d’euros de crédits en 2024 pour le soutien aux équipements sportifs de proximité, dans le prolongement du plan d’équipements sportifs 2022‑2023. Il disposera aussi de moyens exceptionnels pour porter des politiques exemplaires en cette année olympique et paralympique (insertion par le sport, sport santé, activité sportive des publics prioritaires) et préparer nos athlètes dans les meilleures conditions. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Le ministère des sports et des jeux olympiques et paralympiques bénéficiera de 100 milliards d’euros de crédits en 2024 pour le soutien aux équipements sportifs de proximité, dans le prolongement du plan d’équipements sportifs 2022‑2023. Il disposera aussi de moyens exceptionnels pour porter des politiques exemplaires en cette année olympique et paralympique (insertion par le sport, sport santé, activité sportive des publics prioritaires) et préparer nos athlètes dans les meilleures conditions. | Le ministère des sports et des jeux olympiques et paralympiques bénéficiera de 100 milliards d’euros de crédits en 2024 pour le soutien aux équipements sportifs de proximité, dans le prolongement du plan d’équipements sportifs 2022‑2023. Il disposera aussi de moyens exceptionnels pour porter des politiques exemplaires en cette année olympique et paralympique (insertion par le sport, sport santé, activité sportive des publics prioritaires) et préparer nos athlètes dans les meilleures conditions. | |
| | | Des mesures importantes de revalorisation des salaires de la fonction publique sont financées pour 2,6 milliards d’euros afin de protéger le pouvoir d’achat des agents et de renforcer l’attractivité de ses métiers. Elles se traduisent par une augmentation de la valeur du point d’indice de 1,5 % depuis le 1er juillet 2023, l’attribution de 5 points d’indice à tous les agents, l’ajout de points ciblés pour les plus bas salaires dès le 1er janvier 2024 ou encore le versement d’une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat en 2023. Des mesures complémentaires seront par ailleurs mises en œuvre pour faciliter le quotidien des agents, comme le remboursement accru par l’État du forfait de transport collectif à hauteur de 75 % (contre 50 % précédemment). | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Des mesures importantes de revalorisation des salaires de la fonction publique sont financées pour 2,6 milliards d’euros afin de protéger le pouvoir d’achat des agents et de renforcer l’attractivité de ses métiers. Elles se traduisent par une augmentation de la valeur du point d’indice de 1,5 % depuis le 1er juillet 2023, l’attribution de 5 points d’indice à tous les agents, l’ajout de points ciblés pour les plus bas salaires dès le 1er janvier 2024 ou encore le versement d’une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat en 2023. Des mesures complémentaires seront par ailleurs mises en œuvre pour faciliter le quotidien des agents, comme le remboursement accru par l’État du forfait de transport collectif à hauteur de 75 % (contre 50 % précédemment). | Des mesures importantes de revalorisation des salaires de la fonction publique sont financées pour 2,6 milliards d’euros afin de protéger le pouvoir d’achat des agents et de renforcer l’attractivité de ses métiers. Elles se traduisent par une augmentation de la valeur du point d’indice de 1,5 % depuis le 1er juillet 2023, l’attribution de 5 points d’indice à tous les agents, l’ajout de points ciblés pour les plus bas salaires dès le 1er janvier 2024 ou encore le versement d’une prime exceptionnelle de pouvoir d’achat en 2023. Des mesures complémentaires seront par ailleurs mises en œuvre pour faciliter le quotidien des agents, comme le remboursement accru par l’État du forfait de transport collectif à hauteur de 75 % (contre 50 % précédemment). | |
| | | L’augmentation de 0,3 milliard d’euros des crédits de la mission « Gestion des finances publiques » permet à la direction générale des finances publiques (DGFIP) et à la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) de renforcer leurs missions de recouvrement, d’accompagnement et de contrôle au service des ménages et des entreprises et de mettre en œuvre le plan de lutte contre les fraudes aux finances publiques annoncé par le Gouvernement. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | L’augmentation de 0,3 milliard d’euros des crédits de la mission « Gestion des finances publiques » permet à la direction générale des finances publiques (DGFIP) et à la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) de renforcer leurs missions de recouvrement, d’accompagnement et de contrôle au service des ménages et des entreprises et de mettre en œuvre le plan de lutte contre les fraudes aux finances publiques annoncé par le Gouvernement. | L’augmentation de 0,3 milliard d’euros des crédits de la mission « Gestion des finances publiques » permet à la direction générale des finances publiques (DGFIP) et à la direction générale des douanes et droits indirects (DGDDI) de renforcer leurs missions de recouvrement, d’accompagnement et de contrôle au service des ménages et des entreprises et de mettre en œuvre le plan de lutte contre les fraudes aux finances publiques annoncé par le Gouvernement. | |
| | | Maîtriser les finances publiques dans la lignée du programme de stabilité et des Assises des finances publiques | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Maîtriser les finances publiques dans la lignée du programme de stabilité et des Assises des finances publiques | Maîtriser les finances publiques dans la lignée du programme de stabilité et des Assises des finances publiques | |
| | | La France s’est fixé un objectif de redressement progressif de ses finances publiques avec une réduction du déficit public à 2,7 % en 2027 et la réduction année après année de notre endettement en part de PIB. Dès l’année 2024, le déficit public sera réduit, passant de 4,9 % à 4,4 % du PIB. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | La France s’est fixé un objectif de redressement progressif de ses finances publiques avec une réduction du déficit public à 2,7 % en 2027 et la réduction année après année de notre endettement en part de PIB. Dès l’année 2024, le déficit public sera réduit, passant de 4,9 % à 4,4 % du PIB. | La France s’est fixé un objectif de redressement progressif de ses finances publiques avec une réduction du déficit public à 2,7 % en 2027 et la réduction année après année de notre endettement en part de PIB. Dès l’année 2024, le déficit public sera réduit, passant de 4,9 % à 4,4 % du PIB. | |
| | | Ces objectifs seront atteints grâce au strict respect des différentes lois de programmation, à la fin des dispositifs exceptionnels de relance et à la sortie des mesures de soutien face à la crise énergétique. Le budget 2024 respecte pleinement ces principes, et consacre ainsi la sortie progressive des boucliers tarifaires sur l’énergie, la fin des aides exceptionnelles aux entreprises et l’extinction progressive du plan de relance. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Ces objectifs seront atteints grâce au strict respect des différentes lois de programmation, à la fin des dispositifs exceptionnels de relance et à la sortie des mesures de soutien face à la crise énergétique. Le budget 2024 respecte pleinement ces principes, et consacre ainsi la sortie progressive des boucliers tarifaires sur l’énergie, la fin des aides exceptionnelles aux entreprises et l’extinction progressive du plan de relance. | Ces objectifs seront atteints grâce au strict respect des différentes lois de programmation, à la fin des dispositifs exceptionnels de relance et à la sortie des mesures de soutien face à la crise énergétique. Le budget 2024 respecte pleinement ces principes, et consacre ainsi la sortie progressive des boucliers tarifaires sur l’énergie, la fin des aides exceptionnelles aux entreprises et l’extinction progressive du plan de relance. | |
| | | Ces objectifs seront également atteints par la mise en œuvre de mesures d’économies identifiées dans le cadre des revues de dépenses. Cet exercice, dont le Gouvernement rend compte en parallèle du présent rapport, vise une plus grande efficience de la dépense publique et permettra de générer des économies sur des dispositifs ciblés. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Ces objectifs seront également atteints par la mise en œuvre de mesures d’économies identifiées dans le cadre des revues de dépenses. Cet exercice, dont le Gouvernement rend compte en parallèle du présent rapport, vise une plus grande efficience de la dépense publique et permettra de générer des économies sur des dispositifs ciblés. | Ces objectifs seront également atteints par la mise en œuvre de mesures d’économies identifiées dans le cadre des revues de dépenses. Cet exercice, dont le Gouvernement rend compte en parallèle du présent rapport, vise une plus grande efficience de la dépense publique et permettra de générer des économies sur des dispositifs ciblés. | |
3. Trajectoire triennale 2023‑2025 | | 3. (Alinéa sans modification) | 3. Trajectoire triennale 2024‑2026 | 3. (Alinéa sans modification) | 3. (Alinéa sans modification) | 3. (Alinéa sans modification) | 3. Trajectoire triennale 2024‑2026 | 3. Trajectoire triennale 2024‑2026 | |
La programmation d’ensemble des finances publiques couvre cinq années (2023‑2027). Au cours de cette période, l’État fait l’objet d’une programmation plus précise qui détaille, dans le cadre du budget triennal 2023‑2025, les crédits alloués à chaque mission. Les plafonds de l’année 2023 coïncident avec ceux qui seront présentés dans le cadre du PLF. | | (Alinéa sans modification) | La programmation d’ensemble des finances publiques couvre cinq années (2023‑2027). Au cours de cette période, l’État fait l’objet d’une programmation plus précise qui détaille, dans le cadre du budget triennal 2024‑2026, les crédits alloués à chaque mission. Les plafonds de l’année 2024 coïncident avec ceux qui seront présentés dans le cadre du PLF. Par ailleurs, à partir de 2025, un effort d’économie additionnel de 6 milliards d’euros est intégré dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au projet de loi de programmation des finances publiques. Il a vocation à être documenté notamment par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans le projet de loi de programmation des finances publiques. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | La programmation d’ensemble des finances publiques couvre cinq années (2023‑2027). Au cours de cette période, l’État fait l’objet d’une programmation plus précise qui détaille, dans le cadre du budget triennal 2024‑2026, les crédits alloués à chaque mission. Les plafonds de l’année 2024 coïncident avec ceux qui seront présentés dans le cadre du PLF. Par ailleurs, à partir de 2025, un effort d’économie additionnel de 6 milliards d’euros est intégré dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au projet de loi de programmation des finances publiques. Il a vocation à être documenté notamment par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation. | La programmation d’ensemble des finances publiques couvre cinq années (2023‑2027). Au cours de cette période, l’État fait l’objet d’une programmation plus précise qui détaille, dans le cadre du budget triennal 2024‑2026, les crédits alloués à chaque mission. Les plafonds de l’année 2024 coïncident avec ceux qui seront présentés dans le cadre du PLF. Par ailleurs, à partir de 2025, un effort d’économie additionnel de 6 milliards d’euros est intégré dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au projet de loi de programmation des finances publiques. Il a vocation à être documenté notamment par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation. | |
Tableau : Évolution des plafonds de crédits de paiements par mission 2023‑2025 | | (Alinéa sans modification) | Évolution des plafonds de crédits de paiements par mission 2024‑2026 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Évolution des plafonds de crédits de paiements par mission 2024‑2026 | Évolution des plafonds de crédits de paiements par mission 2024‑2026 | |
Crédits de paiement | LFI 2022 | LFI 2022 Format 2023 | 2023 | 2024 | 2025 | Action extérieure de l’État | 2,9 | 2,9 | 3,1 | 3,1 | 3,1 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,6 | 3,6 | 3,7 | 4,1 | 4,5 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 2,8 | 3,1 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | Aide publique au développement | 5,1 | 5,1 | 5,9 | 6,3 | 7,0 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 2,1 | 2,1 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | Cohésion des territoires | 17,2 | 17,2 | 17,8 | 18,3 | 18,5 | Conseil et contrôle de l’État | 0,6 | 0,6 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 0,5 | 0,5 | 1,9 | 0,9 | 1,4 | Culture | 3,3 | 3,3 | 3,5 | 3,6 | 3,7 | Défense | 40,9 | 40,9 | 43,9 | 47,0 | 50,0 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 0,9 | 0,9 | 0,9 | Écologie, développement et mobilité durables | 20,4 | 20,6 | 26,5 | 24,6 | 24,6 | dont programme 355 Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État | 0,8 | 0,8 | 0,9 | 0,8 | 0,7 | dont programme 345 Service public de l’énergie | 8,4 | 8,4 | 12,0 | 10,0 | 10,0 | Mission Écologie, développement et mobilité durables hors P345 et P355 | 11,1 | 11,3 | 13,6 | 13,7 | 13,9 | Économie | 3,8 | 4,1 | 3,7 | 4,0 | 4,2 | Engagements financiers de l’État | 44,3 | 44,3 | 60,2 | 55,4 | 58,8 | dont programme 117 Charge de la dette et trésorerie de l’État et 369 Amortissement de la dette de l’État liée à la COVID-19 | 40,5 | 40,5 | 57,4 | 53,4 | 57,4 | dont autres programmes | 3,8 | 3,8 | 2,8 | 2,0 | 1,4 | Enseignement scolaire | 56,5 | 56,5 | 60,2 | 62,0 | 62,8 | Gestion des finances publiques | 7,4 | 7,4 | 8,0 | 8,0 | 8,1 | Immigration, asile et intégration | 1,9 | 1,9 | 2,0 | 2,1 | 2,1 | Investir pour la France de 2030 | 7,0 | 7,0 | 6,1 | 7,1 | 8,5 | Justice | 8,9 | 8,9 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,4 | 2,1 | 2,4 | 2,5 | 2,5 | Plan de relance | 13,0 | 13,0 | 4,4 | 2,5 | 0,6 | Plan d’urgence face à la crise sanitaire | 0,2 | 0,2 | - | - | - | Pouvoirs publics | 1,0 | 1,0 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | Recherche et enseignement supérieur | 29,0 | 29,1 | 30,6 | 31,3 | 31,9 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,0 | 6,1 | 6,2 | 6,3 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,3 | 4,3 | 4,4 | 4,3 | 4,2 | Santé | 1,3 | 1,3 | 3,4 | 2,6 | 2,1 | dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) » | - | - | 1,9 | 1,0 | 0,5 | dont autres programmes | 1,3 | 1,3 | 1,4 | 1,5 | 1,6 | Sécurités | 14,7 | 14,7 | 15,8 | 16,3 | 16,8 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 27,6 | 27,7 | 29,8 | 30,3 | 31,1 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,7 | 1,7 | 1,8 | 1,6 | 1,5 | Transformation et fonction publiques | 0,8 | 0,8 | 1,1 | 0,8 | 0,6 | Travail et emploi | 14,5 | 14,5 | 20,7 | 16,9 | 16,2 | | Crédits de paiement | LFI 2022 | LFI 2022 Format 2023 | 2023 | 2024 | 2025 | Action extérieure de l’État | 2,9 | 2,9 | 3,1 | 3,1 | 3,1 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,6 | 3,6 | 3,7 | 4,1 | 4,5 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 2,8 | 3,1 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | Aide publique au développement | 5,1 | 5,1 | 5,9 | 6,3 | 7,0 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 2,1 | 2,1 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | Cohésion des territoires | 17,2 | 17,2 | 17,8 | 18,3 | 18,5 | Conseil et contrôle de l’État | 0,6 | 0,6 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 0,5 | 0,5 | 1,9 | 0,9 | 1,4 | Culture | 3,3 | 3,3 | 3,5 | 3,6 | 3,7 | Défense | 40,9 | 40,9 | 43,9 | 47,0 | 50,0 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 0,9 | 0,9 | 0,9 | Écologie, développement et mobilité durables | 20,4 | 20,6 | 26,5 | 24,6 | 24,6 | dont programme 355 Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État | 0,8 | 0,8 | 0,9 | 0,8 | 0,7 | dont programme 345 Service public de l’énergie | 8,4 | 8,4 | 12,0 | 10,0 | 10,0 | Mission Écologie, développement et mobilité durables hors P345 et P355 | 11,1 | 11,3 | 13,6 | 13,7 | 13,9 | Économie | 3,8 | 4,1 | 3,7 | 4,0 | 4,2 | Engagements financiers de l’État | 44,3 | 44,3 | 60,2 | 55,4 | 58,8 | dont programme 117 Charge de la dette et trésorerie de l’État et 369 Amortissement de la dette de l’État liée à la COVID-19 | 40,5 | 40,5 | 57,4 | 53,4 | 57,4 | dont autres programmes | 3,8 | 3,8 | 2,8 | 2,0 | 1,4 | Enseignement scolaire | 56,5 | 56,5 | 60,2 | 62,0 | 62,8 | Gestion des finances publiques | 7,4 | 7,4 | 8,0 | 8,0 | 8,1 | Immigration, asile et intégration | 1,9 | 1,9 | 2,0 | 2,1 | 2,1 | Investir pour la France de 2030 | 7,0 | 7,0 | 6,1 | 7,1 | 8,5 | Justice | 8,9 | 8,9 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,4 | 2,1 | 2,4 | 2,5 | 2,5 | Plan de relance | 13,0 | 13,0 | 4,4 | 2,5 | 0,6 | Plan d’urgence face à la crise sanitaire | 0,2 | 0,2 | - | - | - | Pouvoirs publics | 1,0 | 1,0 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | Recherche et enseignement supérieur | 29,0 | 29,1 | 30,6 | 31,3 | 31,9 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,0 | 6,1 | 6,2 | 6,3 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,3 | 4,3 | 4,4 | 4,3 | 4,2 | Santé | 1,3 | 1,3 | 3,4 | 2,6 | 2,1 | dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) » | - | - | 1,9 | 1,0 | 0,5 | dont autres programmes | 1,3 | 1,3 | 1,4 | 1,5 | 1,6 | Sécurités | 14,7 | 14,7 | 15,8 | 16,3 | 16,8 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 27,6 | 27,7 | 29,8 | 30,3 | 31,1 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,7 | 1,7 | 1,8 | 1,6 | 1,5 | Transformation et fonction publiques | 0,8 | 0,8 | 1,1 | 0,8 | 0,6 | Travail et emploi | 14,5 | 14,5 | 20,7 | 16,9 | 16,2 | | Crédits de paiement | LFI 2022 | LFI 2022 Format 2023 | 2023 | 2024 | 2025 | Action extérieure de l’État | 2,9 | 2,9 | 3,1 | 3,1 | 3,1 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,6 | 3,6 | 3,7 | 4,1 | 4,5 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 2,8 | 3,1 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | Aide publique au développement | 5,1 | 5,1 | 5,9 | 6,3 | 7,0 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 2,1 | 2,1 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | Cohésion des territoires | 17,2 | 17,2 | 17,8 | 18,3 | 18,5 | Conseil et contrôle de l’État | 0,6 | 0,6 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 0,5 | 0,5 | 1,9 | 0,9 | 1,4 | Culture | 3,3 | 3,3 | 3,5 | 3,6 | 3,7 | Défense | 40,9 | 40,9 | 43,9 | 47,0 | 50,0 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 0,9 | 0,9 | 0,9 | Écologie, développement et mobilité durables | 20,4 | 20,6 | 26,5 | 24,6 | 24,6 | dont programme 355 Charge de la dette de SNCF Réseau reprise par l’État | 0,8 | 0,8 | 0,9 | 0,8 | 0,7 | dont programme 345 Service public de l’énergie | 8,4 | 8,4 | 12,0 | 10,0 | 10,0 | Mission Écologie, développement et mobilité durables hors P345 et P355 | 11,1 | 11,3 | 13,6 | 13,7 | 13,9 | Économie | 3,8 | 4,1 | 3,7 | 4,0 | 4,2 | Engagements financiers de l’État | 44,3 | 44,3 | 60,2 | 55,4 | 58,8 | dont programme 117 Charge de la dette et trésorerie de l’État et 369 Amortissement de la dette de l’État liée à la COVID-19 | 40,5 | 40,5 | 57,4 | 53,4 | 57,4 | dont autres programmes | 3,8 | 3,8 | 2,8 | 2,0 | 1,4 | Enseignement scolaire | 56,5 | 56,5 | 60,2 | 62,0 | 62,8 | Gestion des finances publiques | 7,4 | 7,4 | 8,0 | 8,0 | 8,1 | Immigration, asile et intégration | 1,9 | 1,9 | 2,0 | 2,1 | 2,1 | Investir pour la France de 2030 | 7,0 | 7,0 | 6,1 | 7,1 | 8,5 | Justice | 8,9 | 8,9 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,4 | 2,1 | 2,4 | 2,5 | 2,5 | Plan de relance | 13,0 | 13,0 | 4,4 | 2,5 | 0,6 | Plan d’urgence face à la crise sanitaire | 0,2 | 0,2 | - | - | - | Pouvoirs publics | 1,0 | 1,0 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | Recherche et enseignement supérieur | 29,0 | 29,1 | 30,6 | 31,3 | 31,9 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,0 | 6,1 | 6,2 | 6,3 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,3 | 4,3 | 4,4 | 4,3 | 4,2 | Santé | 1,3 | 1,3 | 3,4 | 2,6 | 2,1 | dont programme 379 « Compensations à la Sécurité sociale (FRR et dons de vaccins) » | - | - | 1,9 | 1,0 | 0,5 | dont autres programmes | 1,3 | 1,3 | 1,4 | 1,5 | 1,6 | Sécurités | 14,7 | 14,7 | 15,8 | 16,3 | 16,8 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 27,6 | 27,7 | 29,8 | 30,3 | 31,1 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,7 | 1,7 | 1,8 | 1,6 | 1,5 | Transformation et fonction publiques | 0,8 | 0,8 | 1,1 | 0,8 | 0,6 | Travail et emploi | 14,5 | 14,5 | 20,7 | 16,9 | 16,2 | | (En milliards d’euros) | Crédits de paiement | LFI 2023 (format 2023) | LFI 2023 (format 2024) | 2024 | 2025 | 2026 | Action extérieure de l’État | 3,1 | 3,1 | 3,3 | 3,4 | 3,4 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,7 | 3,5 | 3,9 | 4,3 | 4,6 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 3,6 | 3,6 | 4,5 | 4,5 | 4,6 | Aide publique au développement | 5,9 | 5,9 | 5,9 | 6,4 | 6,9 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 1,9 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | 1,7 | Cohésion des territoires | 17,9 | 17,9 | 19,4 | 19,7 | 20,2 | Conseil et contrôle de l’État | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 1,2 | 1,2 | 0,5 | 0,2 | 0,2 | Culture | 3,5 | 3,5 | 3,7 | 3,8 | 3,8 | Défense | 43,9 | 43,9 | 47,2 | 50,5 | 53,7 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | Écologie, développement et mobilité durables | 36,6 | 35,7 | 20,7 | 25,6 | 26,3 | - dont programme 345 « Service public de l’énergie » et indemnité exceptionnelle carburant | 21,7 | 21,7 | 5,5 | 9,8 | 9,9 | - hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant | 14,9 | 14,0 | 15,2 | 15,8 | 16,4 | Économie | 7,7 | 7,7 | 4,1 | 3,9 | 3,9 | Engagements financiers de l’État* | 60,3 | 61,2 | 60,8 | 66,0 | 71,0 | Enseignement scolaire | 60,3 | 60,3 | 64,2 | 65,1 | 65,4 | Gestion des finances publiques | 8,0 | 8,0 | 8,3 | 8,4 | 8,3 | Immigration, asile et intégration | 2,0 | 2,0 | 2,2 | 2,2 | 2,3 | Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 6,1 | 7,7 | 8,5 | 7,7 | Justice | 9,6 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,5 | 2,5 | 2,6 | 2,6 | 2,6 | Plan de relance | 4,4 | 4,4 | 1,4 | 0,7 | 0,6 | Pouvoirs publics | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,2 | Recherche et enseignement supérieur | 30,6 | 30,6 | 31,6 | 32,1 | 32,7 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,2 | 6,2 | 6,4 | 6,4 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,5 | 4,5 | 4,3 | 4,2 | 4,2 | - dont dispositifs exceptionnels | 0,4 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | - hors dispositifs exceptionnels | 4,1 | 4,1 | 4,2 | 4,2 | 4,2 | Santé | 3,4 | 3,4 | 2,3 | 1,9 | 2,0 | - dont programme 379 « Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience » | 1,9 | 1,9 | 0,9 | 0,4 | 0,5 | - dont autres programmes | 1,4 | 1,4 | 1,4 | 1,5 | 1,5 | Sécurités | 15,8 | 16,1 | 16,5 | 17,0 | 17,5 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 29,4 | 29,4 | 30,7 | 31,8 | 32,9 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,8 | 1,8 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Transformation et fonction publiques | 1,2 | 1,1 | 1,1 | 0,8 | 0,8 | Travail et emploi | 20,7 | 20,7 | 22,4 | 22,4 | 21,6 | *Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ». | | (En milliards d’euros) | Crédits de paiement | Loi de finances pour 2023 (format 2023) | Loi de finances pour 2023 (format 2024) | 2024 | 2025 | 2026 | Action extérieure de l’État | 3,1 | 3,1 | 3,3 | 3,4 | 3,4 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,7 | 3,5 | 3,9 | 4,3 | 4,6 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 3,6 | 3,6 | 4,5 | 4,5 | 4,6 | Aide publique au développement | 5,9 | 5,9 | 5,9 | 6,4 | 6,9 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 1,9 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | 1,7 | Cohésion des territoires | 17,9 | 17,9 | 19,4 | 19,7 | 20,2 | Conseil et contrôle de l’État | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 1,2 | 1,2 | 0,5 | 0,2 | 0,2 | Culture | 3,5 | 3,5 | 3,7 | 3,8 | 3,8 | Défense | 43,9 | 43,9 | 47,2 | 50,5 | 53,7 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | Écologie, développement et mobilité durables | 36,6 | 35,7 | 20,7 | 25,6 | 26,3 | - dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant | 21,7 | 21,7 | 5,5 | 9,8 | 9,9 | - hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant | 14,9 | 14,0 | 15,2 | 15,8 | 16,4 | Économie | 7,7 | 7,7 | 4,1 | 3,9 | 3,9 | Engagements financiers de l’État* | 60,3 | 61,2 | 60,8 | 66,0 | 71,0 | Enseignement scolaire | 60,3 | 60,3 | 64,2 | 65,1 | 65,4 | Gestion des finances publiques | 8,0 | 8,0 | 8,3 | 8,4 | 8,3 | Immigration, asile et intégration | 2,0 | 2,0 | 2,2 | 2,2 | 2,3 | Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 6,1 | 7,7 | 8,5 | 7,7 | Justice | 9,6 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,5 | 2,5 | 2,6 | 2,6 | 2,6 | Plan de relance | 4,4 | 4,4 | 1,4 | 0,7 | 0,6 | Pouvoirs publics | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,2 | Recherche et enseignement supérieur | 30,6 | 30,6 | 31,6 | 32,1 | 32,7 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,2 | 6,2 | 6,4 | 6,4 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,5 | 4,5 | 4,3 | 4,2 | 4,2 | - dont dispositifs exceptionnels | 0,4 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | - hors dispositifs exceptionnels | 4,1 | 4,1 | 4,2 | 4,2 | 4,2 | Santé | 3,4 | 3,4 | 2,3 | 1,9 | 2,0 | - dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience” | 1,9 | 1,9 | 0,9 | 0,4 | 0,5 | - dont autres programmes | 1,4 | 1,4 | 1,4 | 1,5 | 1,5 | Sécurités | 15,8 | 16,1 | 16,5 | 17,0 | 17,5 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 29,4 | 29,4 | 30,7 | 31,8 | 32,9 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,8 | 1,8 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Transformation et fonction publiques | 1,2 | 1,1 | 1,1 | 0,8 | 0,8 | Travail et emploi | 20,7 | 20,7 | 22,4 | 22,4 | 21,6 | *Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ». | | (En milliards d’euros) | Crédits de paiement | Loi de finances pour 2023 (format 2023) | Loi de finances pour 2023 (format 2024) | 2024 | 2025 | 2026 | Action extérieure de l’État | 3,1 | 3,1 | 3,3 | 3,4 | 3,4 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,7 | 3,5 | 3,9 | 4,3 | 4,6 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 3,6 | 3,6 | 4,5 | 4,5 | 4,6 | Aide publique au développement | 5,9 | 5,9 | 5,9 | 6,4 | 6,9 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 1,9 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | 1,7 | Cohésion des territoires | 17,9 | 17,9 | 19,4 | 19,7 | 20,2 | Conseil et contrôle de l’État | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 1,2 | 1,2 | 0,5 | 0,2 | 0,2 | Culture | 3,5 | 3,5 | 3,7 | 3,8 | 3,8 | Défense | 43,9 | 43,9 | 47,2 | 50,5 | 53,7 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | Écologie, développement et mobilité durables | 36,6 | 35,7 | 20,7 | 25,6 | 26,3 | - dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant | 21,7 | 21,7 | 5,5 | 9,8 | 9,9 | - hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant | 14,9 | 14,0 | 15,2 | 15,8 | 16,4 | Économie | 7,7 | 7,7 | 4,1 | 3,9 | 3,9 | Engagements financiers de l’État* | 60,3 | 61,2 | 60,8 | 66,0 | 71,0 | Enseignement scolaire | 60,3 | 60,3 | 64,2 | 65,1 | 65,4 | Gestion des finances publiques | 8,0 | 8,0 | 8,3 | 8,4 | 8,3 | Immigration, asile et intégration | 2,0 | 2,0 | 2,2 | 2,2 | 2,3 | Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 6,1 | 7,7 | 8,5 | 7,7 | Justice | 9,6 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,5 | 2,5 | 2,6 | 2,6 | 2,6 | Plan de relance | 4,4 | 4,4 | 1,4 | 0,7 | 0,6 | Pouvoirs publics | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,2 | Recherche et enseignement supérieur | 30,6 | 30,6 | 31,6 | 32,1 | 32,7 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,2 | 6,2 | 6,4 | 6,4 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,5 | 4,5 | 4,3 | 4,2 | 4,2 | - dont dispositifs exceptionnels | 0,4 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | - hors dispositifs exceptionnels | 4,1 | 4,1 | 4,2 | 4,2 | 4,2 | Santé | 3,4 | 3,4 | 2,3 | 1,9 | 2,0 | - dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience” | 1,9 | 1,9 | 0,9 | 0,4 | 0,5 | - dont autres programmes | 1,4 | 1,4 | 1,4 | 1,5 | 1,5 | Sécurités | 15,8 | 16,1 | 16,5 | 17,0 | 17,5 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 29,4 | 29,4 | 30,7 | 31,8 | 32,9 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,8 | 1,8 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Transformation et fonction publiques | 1,2 | 1,1 | 1,1 | 0,8 | 0,8 | Travail et emploi | 20,7 | 20,7 | 22,4 | 22,4 | 21,6 | *Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ». | | (En milliards d’euros) | Crédits de paiement | Loi de finances pour 2023 (format 2023) | Loi de finances pour 2023 (format 2024) | 2024 | 2025 | 2026 | Action extérieure de l’État | 3,1 | 3,1 | 3,3 | 3,4 | 3,4 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,7 | 3,5 | 3,9 | 4,3 | 4,6 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 3,6 | 3,6 | 4,5 | 4,5 | 4,6 | Aide publique au développement | 5,9 | 5,9 | 5,9 | 6,4 | 6,9 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 1,9 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | 1,7 | Cohésion des territoires | 17,9 | 17,9 | 19,4 | 19,7 | 20,2 | Conseil et contrôle de l’État | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 1,2 | 1,2 | 0,5 | 0,2 | 0,2 | Culture | 3,5 | 3,5 | 3,7 | 3,8 | 3,8 | Défense | 43,9 | 43,9 | 47,2 | 50,5 | 53,7 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | Écologie, développement et mobilité durables | 36,6 | 35,7 | 20,7 | 25,6 | 26,3 | - dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant | 21,7 | 21,7 | 5,5 | 9,8 | 9,9 | - hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant | 14,9 | 14,0 | 15,2 | 15,8 | 16,4 | Économie | 7,7 | 7,7 | 4,1 | 3,9 | 3,9 | Engagements financiers de l’État* | 60,3 | 61,2 | 60,8 | 66,0 | 71,0 | Enseignement scolaire | 60,3 | 60,3 | 64,2 | 65,1 | 65,4 | Gestion des finances publiques | 8,0 | 8,0 | 8,3 | 8,4 | 8,3 | Immigration, asile et intégration | 2,0 | 2,0 | 2,2 | 2,2 | 2,3 | Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 6,1 | 7,7 | 8,5 | 7,7 | Justice | 9,6 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,5 | 2,5 | 2,6 | 2,6 | 2,6 | Plan de relance | 4,4 | 4,4 | 1,4 | 0,7 | 0,6 | Pouvoirs publics | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,2 | Recherche et enseignement supérieur | 30,6 | 30,6 | 31,6 | 32,1 | 32,7 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,2 | 6,2 | 6,4 | 6,4 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,5 | 4,5 | 4,3 | 4,2 | 4,2 | - dont dispositifs exceptionnels | 0,4 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | - hors dispositifs exceptionnels | 4,1 | 4,1 | 4,2 | 4,2 | 4,2 | Santé | 3,4 | 3,4 | 2,3 | 1,9 | 2,0 | - dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience” | 1,9 | 1,9 | 0,9 | 0,4 | 0,5 | - dont autres programmes | 1,4 | 1,4 | 1,4 | 1,5 | 1,5 | Sécurités | 15,8 | 16,1 | 16,5 | 17,0 | 17,5 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 29,4 | 29,4 | 30,7 | 31,8 | 32,9 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,8 | 1,8 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Transformation et fonction publiques | 1,2 | 1,1 | 1,1 | 0,8 | 0,8 | Travail et emploi | 20,7 | 20,7 | 22,4 | 22,4 | 21,6 | *Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ». | | (En milliards d’euros) | Crédits de paiement | Loi de finances pour 2023 (format 2023) | Loi de finances pour 2023 (format 2024) | 2024 | 2025 | 2026 | Action extérieure de l’État | 3,1 | 3,1 | 3,3 | 3,4 | 3,4 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,7 | 3,5 | 3,9 | 4,3 | 4,6 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 3,6 | 3,6 | 4,5 | 4,5 | 4,6 | Aide publique au développement | 5,9 | 5,9 | 5,9 | 6,4 | 6,9 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 1,9 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | 1,7 | Cohésion des territoires | 17,9 | 17,9 | 19,4 | 19,7 | 20,2 | Conseil et contrôle de l’État | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 1,2 | 1,2 | 0,5 | 0,2 | 0,2 | Culture | 3,5 | 3,5 | 3,7 | 3,8 | 3,8 | Défense | 43,9 | 43,9 | 47,2 | 50,5 | 53,7 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | Écologie, développement et mobilité durables | 36,6 | 35,7 | 20,7 | 25,6 | 26,3 | - dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant | 21,7 | 21,7 | 5,5 | 9,8 | 9,9 | - hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant | 14,9 | 14,0 | 15,2 | 15,8 | 16,4 | Économie | 7,7 | 7,7 | 4,1 | 3,9 | 3,9 | Engagements financiers de l’État* | 60,3 | 61,2 | 60,8 | 66,0 | 71,0 | Enseignement scolaire | 60,3 | 60,3 | 64,2 | 65,1 | 65,4 | Gestion des finances publiques | 8,0 | 8,0 | 8,3 | 8,4 | 8,3 | Immigration, asile et intégration | 2,0 | 2,0 | 2,2 | 2,2 | 2,3 | Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 6,1 | 7,7 | 8,5 | 7,7 | Justice | 9,6 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,5 | 2,5 | 2,6 | 2,6 | 2,6 | Plan de relance | 4,4 | 4,4 | 1,4 | 0,7 | 0,6 | Pouvoirs publics | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,2 | Recherche et enseignement supérieur | 30,6 | 30,6 | 31,6 | 32,1 | 32,7 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,2 | 6,2 | 6,4 | 6,4 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,5 | 4,5 | 4,3 | 4,2 | 4,2 | - dont dispositifs exceptionnels | 0,4 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | - hors dispositifs exceptionnels | 4,1 | 4,1 | 4,2 | 4,2 | 4,2 | Santé | 3,4 | 3,4 | 2,3 | 1,9 | 2,0 | - dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience” | 1,9 | 1,9 | 0,9 | 0,4 | 0,5 | - dont autres programmes | 1,4 | 1,4 | 1,4 | 1,5 | 1,5 | Sécurités | 15,8 | 16,1 | 16,5 | 17,0 | 17,5 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 29,4 | 29,4 | 30,7 | 31,8 | 32,9 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,8 | 1,8 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Transformation et fonction publiques | 1,2 | 1,1 | 1,1 | 0,8 | 0,8 | Travail et emploi | 20,7 | 20,7 | 22,4 | 22,4 | 21,6 | *Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ». | | (En milliards d’euros) | Crédits de paiement | Loi de finances pour 2023 (format 2023) | Loi de finances pour 2023 (format 2024) | 2024 | 2025 | 2026 | Action extérieure de l’État | 3,1 | 3,1 | 3,3 | 3,4 | 3,4 | Administration générale et territoriale de l’État | 3,7 | 3,5 | 3,9 | 4,3 | 4,6 | Agriculture, alimentation, forêt et affaires rurales | 3,6 | 3,6 | 4,5 | 4,5 | 4,6 | Aide publique au développement | 5,9 | 5,9 | 5,9 | 6,4 | 6,9 | Anciens combattants, mémoire et liens avec la Nation | 1,9 | 1,9 | 1,9 | 1,8 | 1,7 | Cohésion des territoires | 17,9 | 17,9 | 19,4 | 19,7 | 20,2 | Conseil et contrôle de l’État | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Crédits non répartis | 1,2 | 1,2 | 0,5 | 0,2 | 0,2 | Culture | 3,5 | 3,5 | 3,7 | 3,8 | 3,8 | Défense | 43,9 | 43,9 | 47,2 | 50,5 | 53,7 | Direction de l’action du Gouvernement | 0,9 | 0,9 | 1,0 | 1,0 | 1,0 | Écologie, développement et mobilité durables | 36,6 | 35,7 | 20,7 | 25,6 | 26,3 | - dont programme 345 “Service public de l’énergie” et indemnité exceptionnelle carburant | 21,7 | 21,7 | 5,5 | 9,8 | 9,9 | - hors programme 345 et indemnité exceptionnelle carburant | 14,9 | 14,0 | 15,2 | 15,8 | 16,4 | Économie | 7,7 | 7,7 | 4,1 | 3,9 | 3,9 | Engagements financiers de l’État* | 60,3 | 61,2 | 60,8 | 66,0 | 71,0 | Enseignement scolaire | 60,3 | 60,3 | 64,2 | 65,1 | 65,4 | Gestion des finances publiques | 8,0 | 8,0 | 8,3 | 8,4 | 8,3 | Immigration, asile et intégration | 2,0 | 2,0 | 2,2 | 2,2 | 2,3 | Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 6,1 | 7,7 | 8,5 | 7,7 | Justice | 9,6 | 9,6 | 10,1 | 10,7 | 10,7 | Médias, livre et industries culturelles | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | 0,7 | Outre-mer | 2,5 | 2,5 | 2,6 | 2,6 | 2,6 | Plan de relance | 4,4 | 4,4 | 1,4 | 0,7 | 0,6 | Pouvoirs publics | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,1 | 1,2 | Recherche et enseignement supérieur | 30,6 | 30,6 | 31,6 | 32,1 | 32,7 | Régimes sociaux et de retraite | 6,1 | 6,2 | 6,2 | 6,4 | 6,4 | Relations avec les collectivités territoriales | 4,5 | 4,5 | 4,3 | 4,2 | 4,2 | - dont dispositifs exceptionnels | 0,4 | 0,4 | 0,1 | 0,0 | 0,0 | - hors dispositifs exceptionnels | 4,1 | 4,1 | 4,2 | 4,2 | 4,2 | Santé | 3,4 | 3,4 | 2,3 | 1,9 | 2,0 | - dont programme 379 “Compensation à la Sécurité sociale du coût des dons de vaccins à des pays tiers et reversement des recettes de la Facilité pour la relance et la résilience” | 1,9 | 1,9 | 0,9 | 0,4 | 0,5 | - dont autres programmes | 1,4 | 1,4 | 1,4 | 1,5 | 1,5 | Sécurités | 15,8 | 16,1 | 16,5 | 17,0 | 17,5 | Solidarité, insertion et égalité des chances | 29,4 | 29,4 | 30,7 | 31,8 | 32,9 | Sport, jeunesse et vie associative | 1,8 | 1,8 | 1,8 | 1,6 | 1,6 | Transformation et fonction publiques | 1,2 | 1,1 | 1,1 | 0,8 | 0,8 | Travail et emploi | 20,7 | 20,7 | 22,4 | 22,4 | 21,6 | *Le programme 355 est rattaché à compter du PLF 2024 à la mission « Engagements financiers de l’État ». | | |
B. – La trajectoire des organismes divers d’administration centrale | | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – (Alinéa sans modification) | B. – La trajectoire des organismes divers d’administration centrale | B. – La trajectoire des organismes divers d’administration centrale | |
Tableau : Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht (en points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales Odac | 4,2 | 3,9 | 3,8 | 3,7 | 3,6 | 3,5 | Recettes totales Odac | 4,3 | 3,7 | 3,6 | 3,5 | 3,4 | 3,4 | Solde Odac au sens de Maastricht | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | Tableau : Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht (en points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales Odac | 4,2 | 3,9 | 3,8 | 3,7 | 3,6 | 3,5 | Recettes totales Odac | 4,3 | 3,7 | 3,6 | 3,5 | 3,4 | 3,4 | Solde Odac au sens de Maastricht | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | Tableau : Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht (en points de PIB) |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales Odac | 4,2 | 3,9 | 3,8 | 3,7 | 3,6 | 3,5 | Recettes totales Odac | 4,3 | 3,7 | 3,6 | 3,5 | 3,4 | 3,4 | Solde Odac au sens de Maastricht | 0,1 | -0,2 | -0,2 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht | | (En point de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales | 4,2 | 4,1 | 4,1 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | Recettes totales | 4,7 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde au sens de Maastricht | 0,5 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht | | (En point de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales | 4,2 | 4,1 | 4,1 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | Recettes totales | 4,7 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde au sens de Maastricht | 0,5 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht | | (En point de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales | 4,2 | 4,1 | 4,1 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | Recettes totales | 4,7 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde au sens de Maastricht | 0,5 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht | | (En point de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales | 4,2 | 4,1 | 4,1 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | Recettes totales | 4,7 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde au sens de Maastricht | 0,5 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht | | (En point de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales | 4,2 | 4,1 | 4,1 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | Recettes totales | 4,7 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde au sens de Maastricht | 0,5 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | Dépenses, recettes et solde des ODAC au sens de Maastricht | | (En point de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales | 4,2 | 4,1 | 4,1 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | Recettes totales | 4,7 | 4,0 | 4,0 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde au sens de Maastricht | 0,5 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | -0,1 | | |
La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au‑delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. | | (Alinéa sans modification) | La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. Cette règle est reconduite à l’article 22 de la présente loi et sa bonne application est nécessaire afin de contrôler les montants des dépenses totales des ODAC sur la période couverte par la loi de programmation. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au‑delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. Cette règle est reconduite à l’article 22 de la présente loi et sa bonne application est nécessaire afin de contrôler les montants des dépenses totales des ODAC sur la période couverte par la loi de programmation. | La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. Cette règle est reconduite à l’article 23 de la présente loi et sa bonne application est nécessaire afin de contrôler les montants des dépenses totales des ODAC sur la période couverte par la loi de programmation. | La règle posée à l’article 12 de la loi de programmation des finances publiques 2011‑2014 interdisant aux ODAC de s’endetter auprès d’un établissement de crédit pour une période allant au delà d’une année a permis une plus grande maîtrise du solde des ODAC. Cette règle est reconduite à l’article 23 de la présente loi et sa bonne application est nécessaire afin de contrôler les montants des dépenses totales des ODAC sur la période couverte par la loi de programmation. | |
| | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | | | |
Capitalisant sur les ambitions du Programme d’investissements d’avenir (PIA), qu’il intègre et dont il prolonge la démarche, France 2030 est un plan d’investissements publics de 54 Md€ destiné à accompagner la France dans sa transition écologique et numérique et lui permettre de relever les défis économiques, industriels et sociaux contemporains. | | (Alinéa sans modification) | Capitalisant sur les ambitions du programme d’investissements d’avenir (PIA), qu’il intègre et dont il prolonge la démarche, France 2030 est un plan d’investissements publics de 54 milliards destiné à accompagner la France dans sa transition écologique et numérique et lui permettre de relever les défis économiques, industriels et sociaux contemporains. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Capitalisant sur les ambitions du programme d’investissements d’avenir (PIA), qu’il intègre et dont il prolonge la démarche, France 2030 est un plan d’investissements publics de 54 milliards destiné à accompagner la France dans sa transition écologique et numérique et lui permettre de relever les défis économiques, industriels et sociaux contemporains. | Capitalisant sur les ambitions du programme d’investissements d’avenir (PIA), qu’il intègre et dont il prolonge la démarche, France 2030 est un plan d’investissements publics de 54 milliards destiné à accompagner la France dans sa transition écologique et numérique et lui permettre de relever les défis économiques, industriels et sociaux contemporains. | |
Deux partis pris importants structurent ce plan : d’une part, 50% des crédits seront consacrés aux acteurs émergents, permettant ainsi d’accompagner la French Tech et l’écosystème français de start‑ups et de PME innovantes. D’autre part, le plan soutiendra exclusivement des projets sans impact négatif sur l’environnement et mettra l’accent sur la décarbonation de nos modes de production et l’amélioration de la qualité de vie. | | (Alinéa sans modification) | Deux partis pris importants structurent ce plan : d’une part, 50 % des crédits seront consacrés aux acteurs émergents, permettant ainsi d’accompagner la French Tech et l’écosystème français de start‑ups et de petites et moyennes entreprises (PME) innovantes ; d’autre part, le plan soutiendra exclusivement des projets sans impact négatif sur l’environnement et mettra l’accent sur la décarbonation de nos modes de production et l’amélioration de la qualité de vie. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Deux partis pris importants structurent ce plan : d’une part, 50 % des crédits seront consacrés aux acteurs émergents, permettant ainsi d’accompagner la French Tech et l’écosystème français de start‑ups et de petites et moyennes entreprises (PME) innovantes ; d’autre part, le plan soutiendra exclusivement des projets sans impact négatif sur l’environnement et mettra l’accent sur la décarbonation de nos modes de production et l’amélioration de la qualité de vie. | Deux partis pris importants structurent ce plan : d’une part, 50 % des crédits seront consacrés aux acteurs émergents, permettant ainsi d’accompagner la French Tech et l’écosystème français de start‑ups et de petites et moyennes entreprises (PME) innovantes ; d’autre part, le plan soutiendra exclusivement des projets sans impact négatif sur l’environnement et mettra l’accent sur la décarbonation de nos modes de production et l’amélioration de la qualité de vie. | |
Le présent projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 confirme l’ambition du Gouvernement d’une mise en œuvre rapide de France 2030. La trajectoire suivante de crédits de paiement est prévue pour la mission budgétaire « Investir pour la France de 2030 », qui porte les crédits du PIA 4 et de France 2030, pour les années 2023 à 2025 : | | (Alinéa sans modification) | Le projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2023 à 2027 confirme l’ambition du Gouvernement d’une mise en œuvre rapide de France 2030. La trajectoire suivante de crédits de paiement est prévue pour la mission budgétaire « Investir pour la France de 2030 », qui porte les crédits du PIA 4 et de France 2030, pour les années 2023 à 2025 : | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | La présente loi de programmation confirme l’ambition du Gouvernement d’une mise en œuvre rapide de France 2030. La trajectoire suivante de crédits de paiement est prévue pour la mission budgétaire « Investir pour la France de 2030 », qui porte les crédits du PIA 4 et de France 2030, pour les années 2023 à 2025 : | La présente loi de programmation confirme l’ambition du Gouvernement d’une mise en œuvre rapide de France 2030. La trajectoire suivante de crédits de paiement est prévue pour la mission budgétaire « Investir pour la France de 2030 », qui porte les crédits du PIA 4 et de France 2030, pour les années 2023 à 2025 : | |
En Md€ | 2023 | 2024 | 2025 | Mission Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 7,1 | 8,5 | | En Md€ | 2023 | 2024 | 2025 | Mission Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 7,1 | 8,5 | | En Md€ | 2023 | 2024 | 2025 | Mission Investir pour la France de 2030 | 6,1 | 7,1 | 8,5 | | (En milliards d’euros) | | 2024 | 2025 | 2026 | Mission « Investir pour la France de 2030 » | 7,7 | 8,5 | 7,7 | | (En milliards d’euros) | | 2024 | 2025 | 2026 | Mission “Investir pour la France de 2030” | 7,7 | 8,5 | 7,7 | | (En milliards d’euros) | | 2024 | 2025 | 2026 | Mission “Investir pour la France de 2030” | 7,7 | 8,5 | 7,7 | | (En milliards d’euros) | | 2024 | 2025 | 2026 | Mission “Investir pour la France de 2030” | 7,7 | 8,5 | 7,7 | | (En milliards d’euros) | | 2024 | 2025 | 2026 | Mission “Investir pour la France de 2030” | 7,7 | 8,5 | 7,7 | | (En milliards d’euros) | | 2024 | 2025 | 2026 | Mission “Investir pour la France de 2030” | 7,7 | 8,5 | 7,7 | | |
C. – La trajectoire des administrations de sécurité sociale | | C. – (Alinéa sans modification) | C. – (Alinéa sans modification) | C. – (Alinéa sans modification) | C. – (Alinéa sans modification) | C. – (Alinéa sans modification) | C. – La trajectoire des administrations de sécurité sociale | C. – La trajectoire des administrations de sécurité sociale | |
Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche vieillesse, avec la mise en place d’une réforme des retraites, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’Ondam serait de 2,7 % en 2024 et 2025, après 3,7 % en 2023 (hors Covid), puis de 2,6 % en 2026 et 2027. L’assurance‑chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par une concertation des partenaires sociaux afin d’introduire une modulation des règles d’assurance‑chômage selon la conjoncture. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la CADES permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. | | (Alinéa sans modification) | Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche Vieillesse, avec la mise en place de la réforme des retraites en LFRSS 2023 permettant des économies à l’horizon 2027 d’environ 0,1 point de PIB en versement de pensions sur l’ensemble des régimes de retraite obligatoire, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, après 4,8 % en 2023 (hors covid), puis de 3,0 % en 2025, 2,9 % en 2026 et 2027. | Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche Vieillesse, avec la mise en place de la réforme des retraites en loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 permettant des économies à l’horizon 2027 d’environ 0,1 point de PIB en versement de pensions sur l’ensemble des régimes de retraite obligatoire, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, après 4,8 % en 2023 (hors covid), puis de 3,0 % en 2025, 2,9 % en 2026 et 2027. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche Vieillesse, avec la mise en place de la réforme des retraites en loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 permettant des économies à l’horizon 2027 d’environ 0,1 point de PIB en versement de pensions sur l’ensemble des régimes de retraite obligatoire, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, après 4,8 % en 2023 (hors covid), puis de 3,0 % en 2025 et de 2,9 % en 2026 et 2027. | Après une forte dégradation en 2020 et 2021 du fait de la crise économique et sanitaire, le solde des ASSO se redresserait, sous l’effet du rebond de l’activité économique et en raison de la diminution des dépenses de santé liées à la crise sanitaire en 2022 et 2023. À moyen terme, cette amélioration serait permise par la dynamique modérée des dépenses de la branche Vieillesse, avec la mise en place de la réforme des retraites en loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 permettant des économies à l’horizon 2027 d’environ 0,1 point de PIB en versement de pensions sur l’ensemble des régimes de retraite obligatoire, et par la maîtrise des dépenses d’assurance maladie : la progression de l’ONDAM serait de 3,2 % en 2024, après 4,8 % en 2023 (hors covid), puis de 3,0 % en 2025 et de 2,9 % en 2026 et 2027. | |
| | | L’assurance‑chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme contracyclicité, entrée en vigueur au 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’Unedic et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au présent projet de loi de programmation des finances publiques et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation des finances publiques. | L’assurance‑chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme « contracyclicité », entrée en vigueur au 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’Unédic et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au présent projet de loi de programmation des finances publiques et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation des finances publiques. | (Alinéa sans modification) | L’assurance chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme « contracyclicité », entrée en vigueur au 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’Unédic et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente au présent projet de loi de programmation des finances publiques et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation des finances publiques. | L’assurance chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme « contracyclicité », entrée en vigueur le 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’UNEDIC et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente à la présente loi de programmation et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation. | L’assurance chômage participerait également à l’amélioration du solde : en effet, la résorption des tensions de recrutement s’inscrit dans l’objectif de retour au plein emploi du Gouvernement, qui mobilisera plusieurs leviers sur le marché du travail, à commencer par la réforme « contracyclicité », entrée en vigueur le 1er février 2023. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par les recettes, du fait d’une masse salariale dynamique. Enfin, les excédents de la Caisse d’amortissement de la dette sociale (CADES) permettraient de continuer d’amortir la dette sociale. Par ailleurs, en sus des trajectoires des régimes obligatoires de base de sécurité sociale, de l’UNEDIC et des régimes complémentaires de retraite présentées ci‑après, une économie additionnelle de 6 milliards d’euros en niveau à partir de 2025 est intégrée dans la trajectoire de dépenses de l’État sous‑jacente à la présente loi de programmation et prise en compte dans le tableau ci‑dessous. Elle a vocation à être notamment documentée par le dispositif annuel de revue de dépenses prévu dans la loi de finances initiale pour 2023 et dans la présente loi de programmation. | |
Tableau : Dépenses/recettes et solde des ASSO en points de PIB en comptabilité nationale | | (Alinéa sans modification) | Dépenses/recettes et solde des ASSO en points de PIB en comptabilité nationale (2) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Dépenses/recettes et solde des ASSO en points de PIB en comptabilité nationale (2) | Dépenses/recettes et solde des ASSO en points de PIB en comptabilité nationale (2) | |
(En points de PIB) | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,5 | 26,1 | 26,0 | 25,9 | 25,8 | 25,5 | Recettes | 27,0 | 26,9 | 26,8 | 26,7 | 26,6 | 26,5 | Solde | 0,5 | 0,8 | 0,8 | 0,7 | 0,8 | 1,0 | | (En points de PIB) | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,5 | 26,1 | 26,0 | 25,9 | 25,8 | 25,5 | Recettes | 27,0 | 26,9 | 26,8 | 26,7 | 26,6 | 26,5 | Solde | 0,5 | 0,8 | 0,8 | 0,7 | 0,8 | 1,0 | | (En points de PIB) | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,5 | 26,1 | 26,0 | 25,9 | 25,8 | 25,5 | Recettes | 27,0 | 26,9 | 26,8 | 26,7 | 26,6 | 26,5 | Solde | 0,5 | 0,8 | 0,8 | 0,7 | 0,8 | 1,0 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,7 | 25,8 | 26,0 | 25,7 | 25,4 | 25,2 | Recettes | 27,1 | 26,6 | 26,6 | 26,4 | 26,3 | 26,2 | Solde | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,7 | 25,9 | 26,0 | 25,7 | 25,4 | 25,2 | Recettes | 27,1 | 26,6 | 26,6 | 26,4 | 26,3 | 26,2 | Solde | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | Amdt n° 116 | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,7 | 25,9 | 26,0 | 25,7 | 25,4 | 25,2 | Recettes | 27,1 | 26,6 | 26,6 | 26,4 | 26,3 | 26,2 | Solde | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,7 | 25,9 | 26,0 | 25,7 | 25,4 | 25,2 | Recettes | 27,1 | 26,6 | 26,6 | 26,4 | 26,3 | 26,2 | Solde | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,7 | 25,9 | 26,0 | 25,7 | 25,4 | 25,2 | Recettes | 27,1 | 26,6 | 26,6 | 26,4 | 26,3 | 26,2 | Solde | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 26,7 | 25,9 | 26,0 | 25,7 | 25,4 | 25,2 | Recettes | 27,1 | 26,6 | 26,6 | 26,4 | 26,3 | 26,2 | Solde | 0,4 | 0,7 | 0,6 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | | |
Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la loi de programmation des finances publiques relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du fond de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change. | | Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la loi de programmation des finances publiques relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du fonds de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change. | Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la présente loi de programmation des finances publiques relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du Fond de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change. | Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la présente loi de programmation des finances publiques relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la présente loi de programmation relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change. | Les comptes présentés dans la loi de financement de la sécurité sociale et dans la présente loi de programmation relèvent de périmètres et de conventions comptables distinctes à double titre. D’une part, le champ des administrations de sécurité sociale couvert par la loi de programmation des finances publiques est plus étendu que celui des régimes obligatoires de base de la sécurité sociale et du Fonds de solidarité vieillesse couverts par la loi de financement de la sécurité sociale car il inclut notamment le régime d’indemnisation du chômage, les régimes complémentaires de retraite des salariés et les organismes dépendant des assurances sociales (principalement les hôpitaux et Pôle Emploi). D’autre part, les conventions comptables utilisées par la comptabilité nationale diffèrent du plan comptable unique des organismes de sécurité sociale. Elles excluent en particulier les dotations nettes des reprises sur provisions, les dotations aux amortissements et les plus‑values sur cessions d’immobilisations financières ou opérations de change. | |
1. Maîtriser dans un cadre pluriannuel les dépenses d’assurance‑maladie tout en garantissant la qualité des soins et la prise en compte de la dépendance | | 1. (Alinéa sans modification) | 1. (Alinéa sans modification) | 1. Maîtriser dans un cadre pluriannuel les dépenses d’assurance maladie tout en garantissant la qualité des soins et la prise en compte de la dépendance | | | 1. Maîtriser dans un cadre pluriannuel les dépenses d’assurance maladie tout en garantissant la qualité des soins et la prise en compte de la dépendance | 1. Maîtriser dans un cadre pluriannuel les dépenses d’assurance maladie tout en garantissant la qualité des soins et la prise en compte de la dépendance | |
Les dépenses d’assurance maladie sous Ondam ont été marquées par trois années de crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid‑19. Malgré cela, la transformation de notre système de santé a été initiée notamment par le Ségur de la Santé. Les mesures mises en œuvre vont transformer les métiers et revaloriser les carrières des soignants, en impulsant également une nouvelle politique d’investissement. | | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Les dépenses d’assurance maladie sous ONDAM ont été marquées par trois années de crise sanitaire liée à l’épidémie de covid‑19. Malgré cela, la transformation de notre système de santé a été initiée, notamment par le « Ségur de la santé ». Les mesures mises en œuvre vont transformer les métiers et revaloriser les carrières des soignants, en impulsant également une nouvelle politique d’investissement. | | | Les dépenses d’assurance maladie sous ONDAM ont été marquées par trois années de crise sanitaire liée à l’épidémie de covid‑19. Malgré cela, la transformation de notre système de santé a été initiée, notamment par le « Ségur de la santé ». Les mesures mises en œuvre vont transformer les métiers et revaloriser les carrières des soignants, en impulsant également une nouvelle politique d’investissement. | Les dépenses d’assurance maladie sous ONDAM ont été marquées par trois années de crise sanitaire liée à l’épidémie de covid‑19. Malgré cela, la transformation de notre système de santé a été initiée, notamment par le « Ségur de la santé ». Les mesures mises en œuvre vont transformer les métiers et revaloriser les carrières des soignants, en impulsant également une nouvelle politique d’investissement. | |
Les dépenses sous Ondam seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 3,7 %, une fois neutralisée les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à 1 Md€ en 2023. Elles intègrent notamment l’effet année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière. À partir de 2024, la progression des dépenses sous Ondam deviendrait plus modérée : ces dernières évolueraient de 2,7 % en 2024 et 2025, puis de 2,6 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé, ainsi que le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population. | | Les dépenses sous Ondam seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 3,7 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à 1 Md€ en 2023. Elles intègrent notamment l’effet année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière. À partir de 2024, la progression des dépenses sous Ondam deviendrait plus modérée : ces dernières évolueraient de 2,7 % en 2024 et 2025, puis de 2,6 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé, ainsi que le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population. | Les dépenses sous ONDAM seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 4,8 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à environ un milliard en 2023. Elles intègrent notamment l’effet en année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière ainsi que les nouvelles mesures de revalorisation salariales annoncées en juin 2023. À partir de 2024, la progression des dépenses sous ONDAM deviendrait plus modérée et intégrerait des mesures d’économies : l’ONDAM évoluerait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025, puis de 2,9 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé ainsi que par le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population. | Les dépenses sous ONDAM seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 4,8 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à environ un milliard en 2023. Elles intègrent notamment l’effet en année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière ainsi que les nouvelles mesures de revalorisation salariales annoncées en juin 2023. À partir de 2024, la progression des dépenses sous ONDAM deviendrait plus modérée et intégrerait des mesures d’économies : l’ONDAM évoluerait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025 puis de 2,9 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé ainsi que par le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population. | | | Les dépenses sous ONDAM seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 4,8 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à environ un milliard en 2023. Elles intègrent notamment l’effet en année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière ainsi que les nouvelles mesures de revalorisation salariales annoncées en juin 2023. À partir de 2024, la progression des dépenses sous ONDAM deviendrait plus modérée et intégrerait des mesures d’économies : l’ONDAM évoluerait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025 puis de 2,9 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé ainsi que par le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population. | Les dépenses sous ONDAM seraient encore dynamiques en 2023 et s’élèveraient à 4,8 %, une fois neutralisées les dépenses de santé directement liées à la crise sanitaire, prévues à environ un milliard en 2023. Elles intègrent notamment l’effet en année pleine de la revalorisation du point d’indice dans la fonction publique hospitalière ainsi que les nouvelles mesures de revalorisation salariales annoncées en juin 2023. À partir de 2024, la progression des dépenses sous ONDAM deviendrait plus modérée et intégrerait des mesures d’économies : l’ONDAM évoluerait de 3,2 % en 2024, de 3,0 % en 2025 puis de 2,9 % en 2026 et 2027. Cette modération sera permise notamment par la maîtrise de certaines typologies de dépenses de soins de ville et de produits de santé ainsi que par le développement de la politique de prévention. Renforcer la prévention constitue en effet un levier d’efficience de la dépense et d’amélioration de l’état de santé de la population. | |
Concernant les dépenses de la branche famille, le Gouvernement s’engage pour la création d’un service public de la petite enfance avec le développement de nouvelles places en crèches, et pour l’augmentation de 50 % l’allocation de soutien familial permettant de répondre aux besoins des familles monoparentales. Le complément de libre de choix de mode de garde (CMG) sera étendu aux enfants jusqu’à 12 ans pour les familles monoparentales et le reste à charge sera aligné sur celui des crèches. | | (Alinéa sans modification) | Concernant les dépenses de la branche famille, le Gouvernement s’engage pour la création d’un service public de la petite enfance avec le développement de nouvelles places en crèches et pour l’augmentation de 50 % l’allocation de soutien familial permettant de répondre aux besoins des familles monoparentales. Le complément de libre de choix de mode de garde (CMG) sera étendu aux enfants jusqu’à 12 ans pour les familles monoparentales et le reste à charge sera aligné sur celui des crèches. | (Alinéa sans modification) | | | Concernant les dépenses de la branche famille, le Gouvernement s’engage pour la création d’un service public de la petite enfance avec le développement de nouvelles places en crèches et pour l’augmentation de 50 % l’allocation de soutien familial permettant de répondre aux besoins des familles monoparentales. Le complément de libre de choix de mode de garde (CMG) sera étendu aux enfants jusqu’à 12 ans pour les familles monoparentales et le reste à charge sera aligné sur celui des crèches. | Concernant les dépenses de la branche famille, le Gouvernement s’engage pour la création d’un service public de la petite enfance avec le développement de nouvelles places en crèches et pour l’augmentation de 50 % l’allocation de soutien familial permettant de répondre aux besoins des familles monoparentales. Le complément de libre de choix de mode de garde (CMG) sera étendu aux enfants jusqu’à 12 ans pour les familles monoparentales et le reste à charge sera aligné sur celui des crèches. | |
2. Mettre en œuvre une réforme des retraites pour soutenir l’emploi | | | 2. La réforme des retraites soutiendra l’emploi | 2. (Alinéa sans modification) | | 2. (Alinéa sans modification) | 2. La réforme des retraites soutiendra l’emploi | 2. La réforme des retraites soutiendra l’emploi | |
Le taux d’emploi des seniors (55‑64 ans) progresse depuis 2010 mais reste plus bas que nos voisins européens (55,9 % en 2021 contre 61,0 % pour la zone euro). En effet, les Français quittent plus tôt le marché du travail : l’âge moyen de sortie du marché du travail observé par l’OCDE en France entre 2015 et 2020 était plus faible de 3,4 ans pour les hommes (60,4 ans) et 1,5 an pour les femmes (60,9) que dans la moyenne des pays de l’OCDE. | | | Le taux d’emploi des seniors (55‑64 ans) est en augmentation depuis 2010 mais reste faible en comparaison internationale : à 56 % en 2021 contre 61 % pour nos voisins européens, avec un écart encore plus marqué parmi les 60‑64 ans (36 % contre 47 % selon l’OCDE). Cet écart reflète principalement des différences en termes d’âge de départ à la retraite. Selon la Commission européenne, en 2019, l’âge moyen de sortie du marché du travail était de 62,3 ans en France, contre 63,8 ans en moyenne dans l’UE (65,5 ans en Italie et 64,6 ans en Allemagne). | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Le taux d’emploi des seniors (55‑64 ans) est en augmentation depuis 2010 mais reste faible en comparaison internationale : à 56 % en 2021 contre 61 % pour nos voisins européens, avec un écart encore plus marqué parmi les 60‑64 ans (36 % contre 47 % selon l’OCDE). Cet écart reflète principalement des différences en termes d’âge de départ à la retraite. Selon la Commission européenne, en 2019, l’âge moyen de sortie du marché du travail était de 62,3 ans en France, contre 63,8 ans en moyenne dans l’UE (65,5 ans en Italie et 64,6 ans en Allemagne). | Le taux d’emploi des seniors (55‑64 ans) est en augmentation depuis 2010 mais reste faible en comparaison internationale : à 56 % en 2021 contre 61 % pour nos voisins européens, avec un écart encore plus marqué parmi les 60‑64 ans (36 % contre 47 % selon l’OCDE). Cet écart reflète principalement des différences en termes d’âge de départ à la retraite. Selon la Commission européenne, en 2019, l’âge moyen de sortie du marché du travail était de 62,3 ans en France, contre 63,8 ans en moyenne dans l’UE (65,5 ans en Italie et 64,6 ans en Allemagne). | |
Une mesure décalant l’âge de départ en retraite permet d’accroître la population active, l’emploi et donc la croissance. Cela s’inscrit dans l’objectif de plein emploi, dans le contexte actuel de fortes tensions de recrutement. Cela s’accompagnera d’une mobilisation des leviers permettant d’améliorer l’accompagnement des seniors et leur taux d’activité, en particulier concernant la prévention de l’usure professionnelle. | | | La réforme des retraites entrée en vigueur le 1er septembre 2023 permettra d’accroître la population active, l’emploi et donc la croissance. Elle s’inscrit dans l’objectif de plein emploi. En décalant l’âge de départ à la retraite, la réforme créerait environ 200 000 emplois en 2027, principalement parmi les 60‑64 ans dont le taux d’emploi augmenterait de 6 points à partir de 2030. Ce renforcement de la capacité productive génèrerait un surcroît de PIB de 0,7 point en 2027 qui se traduirait par des recettes supplémentaires. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | La réforme des retraites entrée en vigueur le 1er septembre 2023 permettra d’accroître la population active, l’emploi et donc la croissance. Elle s’inscrit dans l’objectif de plein emploi. En décalant l’âge de départ à la retraite, la réforme créerait environ 200 000 emplois en 2027, principalement parmi les 60‑64 ans dont le taux d’emploi augmenterait de 6 points à partir de 2030. Ce renforcement de la capacité productive génèrerait un surcroît de PIB de 0,7 point en 2027 qui se traduirait par des recettes supplémentaires. | La réforme des retraites entrée en vigueur le 1er septembre 2023 permettra d’accroître la population active, l’emploi et donc la croissance. Elle s’inscrit dans l’objectif de plein emploi. En décalant l’âge de départ à la retraite, la réforme créerait environ 200 000 emplois en 2027, principalement parmi les 60‑64 ans dont le taux d’emploi augmenterait de 6 points à partir de 2030. Ce renforcement de la capacité productive génèrerait un surcroît de PIB de 0,7 point en 2027 qui se traduirait par des recettes supplémentaires. | |
| | | Dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale en évolution | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | Dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale en évolution | Dépenses des régimes obligatoires de base de sécurité sociale en évolution | |
Dépenses ROBSS en évolution | 2023 | 2024 | 2025 | Prestations famille | 4,7% | 4,7% | 4,2% | Prestations retraite | 4,4% | 6,3% | 4,5% | ONDAM | 3,7% | 2,7% | 2,7% | | Dépenses ROBSS en évolution | 2023 | 2024 | 2025 | Prestations famille | 4,7% | 4,7% | 4,2% | Prestations retraite | 4,4% | 6,3% | 4,5% | ONDAM | 3,7% | 2,7% | 2,7% | | Dépenses ROBSS en évolution | 2023 | 2024 | 2025 | Prestations famille | 4,7% | 4,7% | 4,2% | Prestations retraite | 4,4% | 6,3% | 4,5% | ONDAM | 3,7% | 2,7% | 2,7% | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Prestations famille | 5,5 % | 3,8 % | 4,3 % | 2,7 % | 2,0 % | Prestations retraite | 4,5 % | 6,7 % | 4,1 % | 3,3 % | 3,0 % | ONDAM | 4,8 % | 3,2 % | 3,0 % | 2,9 % | 2,9 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Prestations famille | 5,5 % | 3,8 % | 4,3 % | 2,7 % | 2,0 % | Prestations retraite | 4,5 % | 6,7 % | 4,1 % | 3,3 % | 3,0 % | ONDAM | 4,8 % | 3,2 % | 3,0 % | 2,9 % | 2,9 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Prestations famille | 5,5 % | 3,8 % | 4,3 % | 2,7 % | 2,0 % | Prestations retraite | 4,5 % | 6,7 % | 4,1 % | 3,3 % | 3,0 % | ONDAM | 4,8 % | 3,2 % | 3,0 % | 2,9 % | 2,9 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Prestations famille | 5,5 % | 3,8 % | 4,3 % | 2,7 % | 2,0 % | Prestations retraite | 4,5 % | 6,7 % | 4,1 % | 3,3 % | 3,0 % | ONDAM | 4,8 % | 3,2 % | 3,0 % | 2,9 % | 2,9 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Prestations famille | 5,5 % | 3,8 % | 4,3 % | 2,7 % | 2,0 % | Prestations retraite | 4,5 % | 6,7 % | 4,1 % | 3,3 % | 3,0 % | ONDAM | 4,8 % | 3,2 % | 3,0 % | 2,9 % | 2,9 % | | | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Prestations famille | 5,5 % | 3,8 % | 4,3 % | 2,7 % | 2,0 % | Prestations retraite | 4,5 % | 6,7 % | 4,1 % | 3,3 % | 3,0 % | ONDAM | 4,8 % | 3,2 % | 3,0 % | 2,9 % | 2,9 % | | |
3. Régimes complémentaires de retraite | | | 3. (Alinéa sans modification) | 3. (Alinéa sans modification) | 3. (Alinéa sans modification) | 3. (Alinéa sans modification) | 3. Régimes complémentaires de retraite | 3. Régimes complémentaires de retraite | |
Les régimes de retraite complémentaire resteraient excédentaires sur la période du fait du dynamisme de leurs recettes, qui s’appuient sur la masse salariale, et de la modération de leurs dépenses, en raison des économies liées à une réforme des retraites. | | | Les régimes de retraite complémentaire resteraient excédentaires sur la période du fait du dynamisme de leurs recettes, qui s’appuient sur la masse salariale, et de la modération de leurs dépenses, en raison notamment des économies liées à la réforme des retraites. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Les régimes de retraite complémentaire resteraient excédentaires sur la période du fait du dynamisme de leurs recettes, qui s’appuient sur la masse salariale, et de la modération de leurs dépenses, en raison notamment des économies liées à la réforme des retraites. | Les régimes de retraite complémentaire resteraient excédentaires sur la période du fait du dynamisme de leurs recettes, qui s’appuient sur la masse salariale, et de la modération de leurs dépenses, en raison notamment des économies liées à la réforme des retraites. | |
En points de PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | | En points de PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | | En points de PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | 3,7 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | 0,2 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,5 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | 3,8 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,5 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | 3,8 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,5 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | 3,8 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,5 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | 3,8 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,5 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | 3,8 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,6 | 3,5 | Recettes | 3,9 | 3,9 | 3,9 | 3,8 | 3,8 | 3,8 | Solde | 0,3 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | | |
4. L’objectif de plein emploi contribuera au retour à l’équilibre des finances publiques | | | 4. (Alinéa sans modification) | 4. (Alinéa sans modification) | | 4. (Alinéa sans modification) | 4. L’objectif de plein emploi contribuera au retour à l’équilibre des finances publiques | 4. L’objectif de plein emploi contribuera au retour à l’équilibre des finances publiques | |
Le solde du régime d’indemnisation du chômage se redresserait significativement entre 2023 et 2027 grâce à un emploi dynamique et sous l’effet des mesures qui contribueraient à accroître l’offre de travail et à atteindre le plein emploi. Ces effets permettraient de diminuer progressivement les dépenses sur la période. L’amélioration du solde serait aussi soutenue par la hausse des recettes du fait du dynamisme de la masse salariale. | | | La dynamique du marché du travail et la montée en charge de la réforme de l’assurance chômage (2019‑2021) ont permis au régime de dégager un excédent en 2022. Le solde du régime d’indemnisation du chômage continuerait de se redresser à horizon 2027 grâce à un emploi dynamique, sous l’effet des mesures soutenant l’offre de travail en vue du plein emploi. Ces mesures permettraient de diminuer progressivement les dépenses sur la période. Dans ce contexte, le solde excédentaire du régime d’assurance chômage permettrait au régime d’augmenter sa contribution au financement des politiques de l’emploi tout en poursuivant son désendettement. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | La dynamique du marché du travail et la montée en charge de la réforme de l’assurance chômage (2019‑2021) ont permis au régime de dégager un excédent en 2022. Le solde du régime d’indemnisation du chômage continuerait de se redresser à l’horizon 2027 grâce à un emploi dynamique, sous l’effet des mesures soutenant l’offre de travail en vue du plein emploi. Ces mesures permettraient de diminuer progressivement les dépenses sur la période. Dans ce contexte, le solde excédentaire du régime d’assurance chômage permettrait au régime d’augmenter sa contribution au financement des politiques de l’emploi tout en poursuivant son désendettement. | La dynamique du marché du travail et la montée en charge de la réforme de l’assurance chômage (2019‑2021) ont permis au régime de dégager un excédent en 2022. Le solde du régime d’indemnisation du chômage continuerait de se redresser à l’horizon 2027 grâce à un emploi dynamique, sous l’effet des mesures soutenant l’offre de travail en vue du plein emploi. Ces mesures permettraient de diminuer progressivement les dépenses sur la période. Dans ce contexte, le solde excédentaire du régime d’assurance chômage permettrait au régime d’augmenter sa contribution au financement des politiques de l’emploi tout en poursuivant son désendettement. | |
Pour résorber les tensions de recrutement, qui se situent à un plus haut niveau historique en 2022, et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail sera renforcée en adaptant les règles de l’assurance chômage à la situation du marché du travail. Dans cette optique, le Gouvernement engagera dès l’automne 2022 une concertation avec les partenaires sociaux sur les règles d’indemnisation, puis sur la gouvernance de l’assurance chômage. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers seront également actionnés, dont le rapprochement de Pôle Emploi et des acteurs locaux du service public de l’emploi au sein de France Travail pour améliorer l’accompagnement des demandeurs d’emploi. | | | Pour résorber les tensions de recrutement encore très élevées et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail a été renforcée en adaptant les règles d’assurance chômage à la situation du marché du travail avec la réforme dite de la « contracyclicité » appliquée depuis le 1er février 2023. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers sont également actionnés, notamment le déploiement de l’apprentissage, les réformes du lycée professionnel, du service public de la petite enfance, du service public de l’emploi (France Travail) ou encore des retraites. | Pour résorber les tensions de recrutement encore très élevées et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail a été renforcée en adaptant les règles de l’assurance chômage à la situation du marché du travail avec la réforme dite de la « contracyclicité » appliquée depuis le 1er février 2023. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers sont également actionnés, notamment le déploiement de l’apprentissage, les réformes du lycée professionnel, du service public de la petite enfance, du service public de l’emploi (France Travail) ou encore des retraites. | | (Alinéa sans modification) | Pour résorber les tensions de recrutement encore très élevées et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail a été renforcée en adaptant les règles de l’assurance chômage à la situation du marché du travail avec la réforme dite de la « contracyclicité » appliquée depuis le 1er février 2023. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers sont également actionnés, notamment le déploiement de l’apprentissage, les réformes du lycée professionnel, du service public de la petite enfance, du service public de l’emploi (France Travail) ou encore des retraites. | Pour résorber les tensions de recrutement encore très élevées et atteindre l’objectif de plein emploi, l’incitation au travail a été renforcée en adaptant les règles de l’assurance chômage à la situation du marché du travail avec la réforme dite de la « contracyclicité » appliquée depuis le 1er février 2023. Cela s’inscrit dans une stratégie plus globale où plusieurs autres leviers sont également actionnés, notamment le déploiement de l’apprentissage, les réformes du lycée professionnel, du service public de la petite enfance, du service public de l’emploi (France Travail) ou encore des retraites. | |
| | | La loi du 21 décembre 2022 prévoit que les règles actuelles d’assurance chômage ne s’appliquent plus à partir du 31 décembre 2023 (à l’exception du bonus‑malus). Les partenaires sociaux sont ainsi invités à négocier de nouvelles règles pour la période 2024‑2026, sur la base d’un document de cadrage transmis par le Gouvernement. La préservation des économies et la résorption des tensions de recrutement permises par les précédentes réformes de l’assurance chômage fait partie des priorités fixées par le Gouvernement. | (Alinéa sans modification) | | La loi du 21 décembre 2022 prévoit que les règles actuelles d’assurance chômage ne s’appliquent plus à partir du 31 décembre 2023 (à l’exception du bonus‑malus). Les partenaires sociaux sont ainsi invités à négocier de nouvelles règles pour la période 2024‑2026, sur la base d’un document de cadrage transmis par le Gouvernement. La préservation des économies et la résorption des tensions de recrutement permises par les précédentes réformes de l’assurance chômage font partie des priorités fixées par le Gouvernement. | La loi du 21 décembre 2022 prévoit que les règles actuelles d’assurance chômage ne s’appliquent plus à partir du 31 décembre 2023 (à l’exception du bonus‑malus). Les partenaires sociaux sont ainsi invités à négocier de nouvelles règles pour la période 2024‑2026, sur la base d’un document de cadrage transmis par le Gouvernement. La préservation des économies et la résorption des tensions de recrutement permises par les précédentes réformes de l’assurance chômage font partie des priorités fixées par le Gouvernement. | La loi du 21 décembre 2022 prévoit que les règles actuelles d’assurance chômage ne s’appliquent plus à partir du 31 décembre 2023 (à l’exception du bonus‑malus). Les partenaires sociaux sont ainsi invités à négocier de nouvelles règles pour la période 2024‑2026, sur la base d’un document de cadrage transmis par le Gouvernement. La préservation des économies et la résorption des tensions de recrutement permises par les précédentes réformes de l’assurance chômage font partie des priorités fixées par le Gouvernement. | |
L’amélioration de la trajectoire financière de l’Unédic permettra de résorber progressivement la dette du régime, fortement creusée par la crise sanitaire en 2020 et 2021, et d’assurer sa soutenabilité. | | | L’amélioration de la trajectoire financière de l’Unédic permettrait de résorber progressivement la dette du régime, fortement creusée par la crise sanitaire en 2020 et 2021, et d’assurer sa soutenabilité. | (Alinéa sans modification) | | (Alinéa sans modification) | L’amélioration de la trajectoire financière de l’UNEDIC permettrait de résorber progressivement la dette du régime, fortement creusée par la crise sanitaire en 2020 et 2021, et d’assurer sa soutenabilité. | L’amélioration de la trajectoire financière de l’UNEDIC permettrait de résorber progressivement la dette du régime, fortement creusée par la crise sanitaire en 2020 et 2021, et d’assurer sa soutenabilité. | |
Tableau : Dépenses/recettes/solde de l’Unedic en comptabilité nationale | | | Dépenses, recettes et solde de l’Unedic en comptabilité nationale | Dépenses, recettes et solde de l’Unédic en comptabilité nationale | | (Alinéa sans modification) | Dépenses, recettes et solde de l’UNEDIC en comptabilité nationale | Dépenses, recettes et solde de l’UNEDIC en comptabilité nationale | |
En points de PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,3 | 1,2 | Recettes | 1,7 | 1,7 | 1,6 | 1,6 | 1,7 | 1,7 | Solde | 0,2 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | | En points de PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,3 | 1,2 | Recettes | 1,7 | 1,7 | 1,6 | 1,6 | 1,7 | 1,7 | Solde | 0,2 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | | En points de PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,3 | 1,2 | Recettes | 1,7 | 1,7 | 1,6 | 1,6 | 1,7 | 1,7 | Solde | 0,2 | 0,2 | 0,3 | 0,3 | 0,4 | 0,5 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,2 | 1,1 | Recettes | 1,6 | 1,6 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | Solde | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | 0,3 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,2 | 1,1 | Recettes | 1,6 | 1,6 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | Solde | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | 0,3 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,2 | 1,1 | Recettes | 1,6 | 1,6 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | Solde | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | 0,3 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,2 | 1,1 | Recettes | 1,6 | 1,6 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | Solde | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | 0,3 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,2 | 1,1 | Recettes | 1,6 | 1,6 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | Solde | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | 0,3 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses | 1,5 | 1,5 | 1,4 | 1,3 | 1,2 | 1,1 | Recettes | 1,6 | 1,6 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | 1,5 | Solde | 0,1 | 0,1 | 0,1 | 0,2 | 0,3 | 0,4 | | |
D. – La trajectoire des administrations publiques locales | | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – (Alinéa sans modification) | D. – La trajectoire des administrations publiques locales | D. – La trajectoire des administrations publiques locales | |
Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif et notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation. Les modalités pour atteindre cet objectif feront l’objet d’une concertation avec les collectivités locales. | | (Alinéa sans modification) | Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation. | Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif, notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif, notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation. | Le redressement des finances publiques nécessite un effort collectif, notamment la poursuite par les administrations publiques locales de la maîtrise de leurs dépenses de fonctionnement. Dans cette perspective, la présente loi de programmation prévoit que les dépenses de fonctionnement des collectivités territoriales et de leurs groupements continuent de progresser, à un rythme toutefois inférieur de 0,5 point au taux d’inflation. | |
À moyen terme, l’investissement suivrait un profil cohérent avec le cycle électoral, avec un pic en 2025 puis un fort ralentissement en 2026 et en 2027, l’année des élections municipales et l’année qui suit. Enfin, avec les perspectives d’avancées des travaux, les dépenses de la Société du Grand Paris resteraient dynamiques à l’horizon 2027. | | (Alinéa sans modification) | À moyen terme, l’investissement suivrait un profil cohérent avec le cycle électoral, avec un pic en 2025 puis un fort ralentissement en 2026 et en 2027, l’année des élections municipales et l’année qui suit. Enfin, avec les perspectives d’avancées des travaux, les dépenses de la Société du Grand Paris (SGP) resteraient dynamiques à l’horizon 2027. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | À moyen terme, l’investissement suivrait un profil cohérent avec le cycle électoral, avec un pic en 2025 puis un fort ralentissement en 2026 et en 2027, l’année des élections municipales et l’année qui suit. Enfin, avec les perspectives d’avancées des travaux, les dépenses de la Société du Grand Paris (SGP) resteraient dynamiques à l’horizon 2027. | À moyen terme, l’investissement suivrait un profil cohérent avec le cycle électoral, avec un pic en 2025 puis un fort ralentissement en 2026 et en 2027, l’année des élections municipales et l’année qui suit. Enfin, avec les perspectives d’avancées des travaux, les dépenses de la Société du Grand Paris (SGP) resteraient dynamiques à l’horizon 2027. | |
Ainsi, le solde des APUL s’améliorerait fortement au cours des prochaines années. Sur les premières années de la trajectoire, les APUL seraient quasiment à l’équilibre et seraient même légèrement excédentaires en excluant la SGP, comme c’était le cas en 2021. À moyen terme, leur excédent augmenterait, leur solde s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et 0,5 % en 2027, du fait de la maitrise des dépenses : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques et les pertes de recettes provoquées par la suppression de la CVAE en deux temps (2023 et 2024) seront compensées par l’État. | | Ainsi, le solde des APUL s’améliorerait fortement au cours des prochaines années. Sur les premières années de la trajectoire, les APUL seraient quasiment à l’équilibre et seraient même légèrement excédentaires en excluant la SGP, comme c’était le cas en 2021. À moyen terme, leur excédent augmenterait, leur solde s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et 0,5 % en 2027, du fait de la maîtrise des dépenses : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques et les pertes de recettes provoquées par la suppression de la CVAE en deux temps (2023 et 2024) seront compensées par l’État. | À moyen terme, le solde des administrations publiques locales deviendrait excédentaire, s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et à 0,4 % en 2027, du fait de l’évolution des dépenses d’investissement et de la maitrise des dépenses de fonctionnement : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques, tandis que les pertes de recettes de CVAE ont été compensées par l’État. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | À moyen terme, le solde des administrations publiques locales deviendrait excédentaire, s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et à 0,4 % en 2027, du fait de l’évolution des dépenses d’investissement et de la maîtrise des dépenses de fonctionnement : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques, tandis que les pertes de recettes de CVAE ont été compensées par l’État. | À moyen terme, le solde des administrations publiques locales deviendrait excédentaire, s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et à 0,4 % en 2027, du fait de l’évolution des dépenses d’investissement et de la maîtrise des dépenses de fonctionnement : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques, tandis que les pertes de recettes de CVAE ont été compensées par l’État. | À moyen terme, le solde des administrations publiques locales deviendrait excédentaire, s’établissant à 0,2 % de PIB en 2026 et à 0,4 % en 2027, du fait de l’évolution des dépenses d’investissement et de la maîtrise des dépenses de fonctionnement : ces dernières progresseraient en moyenne moins rapidement que les recettes. Ces dernières resteraient en effet dynamiques, tandis que les pertes de recettes de CVAE ont été compensées par l’État. | |
Tableau : Dépenses, recettes et solde des APUL au sens de Maastricht (en points de PIB) | | (Alinéa sans modification) | Dépenses, recettes et solde des APUL au sens de Maastricht | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Dépenses, recettes et solde des APUL au sens de Maastricht | Dépenses, recettes et solde des APUL au sens de Maastricht | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Dépenses totales Apul | 11,2 | 11,0 | 10,9 | 10,8 | 10,5 | 10,2 | | Recettes totales Apul | 11,1 | 10,9 | 10,8 | 10,8 | 10,7 | 10,7 | | Solde Apul au sens de Maastricht | 0,0 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,2 | 0,5 | | | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | | Dépenses totales Apul | 11,2 | 11,0 | 10,9 | 10,8 | 10,5 | 10,2 | | Recettes totales Apul | 11,1 | 10,9 | 10,8 | 10,8 | 10,7 | 10,7 | | Solde Apul au sens de Maastricht | 0,0 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,2 | 0,5 | | |
| 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 |
| Dépenses totales Apul | 11,2 | 11,0 | 10,9 | 10,8 | 10,5 | 10,2 |
| Recettes totales Apul | 11,1 | 10,9 | 10,8 | 10,8 | 10,7 | 10,7 |
| Solde Apul au sens de Maastricht | 0,0 | -0,1 | -0,1 | 0,0 | 0,2 | 0,5 |
| | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales des APUL | 11,2 | 11,1 | 11,0 | 10,8 | 10,5 | 10,2 | Recettes totales des APUL | 11,2 | 10,8 | 10,7 | 10,7 | 10,6 | 10,6 | Solde des APUL au sens de Maastricht | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales des APUL | 11,2 | 11,1 | 11,0 | 10,8 | 10,5 | 10,2 | Recettes totales des APUL | 11,2 | 10,8 | 10,7 | 10,7 | 10,6 | 10,6 | Solde des APUL au sens de Maastricht | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales des APUL | 11,2 | 11,1 | 11,0 | 10,8 | 10,5 | 10,2 | Recettes totales des APUL | 11,2 | 10,8 | 10,7 | 10,7 | 10,6 | 10,6 | Solde des APUL au sens de Maastricht | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales des APUL | 11,2 | 11,1 | 11,0 | 10,8 | 10,5 | 10,2 | Recettes totales des APUL | 11,2 | 10,8 | 10,7 | 10,7 | 10,6 | 10,6 | Solde des APUL au sens de Maastricht | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales des APUL | 11,2 | 11,1 | 11,0 | 10,8 | 10,5 | 10,2 | Recettes totales des APUL | 11,2 | 10,8 | 10,7 | 10,7 | 10,6 | 10,6 | Solde des APUL au sens de Maastricht | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Dépenses totales des APUL | 11,2 | 11,1 | 11,0 | 10,8 | 10,5 | 10,2 | Recettes totales des APUL | 11,2 | 10,8 | 10,7 | 10,7 | 10,6 | 10,6 | Solde des APUL au sens de Maastricht | 0,0 | -0,3 | -0,3 | -0,2 | 0,2 | 0,4 | | |
E. – À politique inchangée (i.e. si la législation et les politiques de finances publiques n’étaient pas réformées), le déficit public se résorberait plus lentement et le ratio d’endettement continuerait d’augmenter sur le quinquennat | E. – (Alinéa sans modification) | E. – (Alinéa sans modification) | E. – À politique inchangée (c’est‑à‑dire si la législation et les politiques de finances publiques n’étaient pas réformées), le déficit public se résorberait plus lentement et le ratio d’endettement continuerait d’augmenter sur le quinquennat | E. – (Alinéa sans modification) | E. – (Alinéa sans modification) | E. – (Alinéa sans modification) | E. – À politique inchangée (c’est‑à‑dire si la législation et les politiques de finances publiques n’étaient pas réformées), le déficit public se résorberait plus lentement et le ratio d’endettement continuerait d’augmenter sur le quinquennat | E. – À politique inchangée (c’est‑à‑dire si la législation et les politiques de finances publiques n’étaient pas réformées), le déficit public se résorberait plus lentement et le ratio d’endettement continuerait d’augmenter sur le quinquennat | |
La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive de 2011 sur les cadres budgétaires, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique. S’agissant de la dépense, la trajectoire contrefactuelle retient une hypothèse de croissance en volume de la dépense hors crédits d’impôt de +1,2 % par an, hors extinction des mesures d’urgence sanitaire et de relance, soit le rythme observé sur la période 2008‑2017. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (telle que modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive 2011/85/UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique. | La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive 2011/85/UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive 2011/85/UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique. | La trajectoire de solde public à législation et pratique inchangées, présentée ici conformément à loi organique n° 2001‑692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances (modifiée par la loi organique n° 2021‑1836 du 28 décembre 2021 relative à la modernisation de la gestion des finances publiques) et à la directive 2011/85/UE du Conseil du 8 novembre 2011 sur les exigences applicables aux cadres budgétaires des États membres, s’appuie sur les résultats obtenus ces dernières années en termes de maîtrise de la dépense publique. | |
En recettes, elle se place dans un cadre dans lequel aucune des principales mesures nouvelles prises depuis le début de la nouvelle législature ou prévues à l’horizon de la trajectoire ne serait mise en œuvre : par exemple, les baisses de prélèvements obligatoires sur les ménages et les entreprises ne sont pas intégrées dans ce scénario. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | S’agissant des recettes, il est fait l’hypothèse de retenir uniquement dans cette trajectoire contrefactuelle l’effet des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires déjà votées, par exemple la dernière étape de baisse de la taxe d’habitation sur les résidences principales ou la mise en place de la contribution sur les rentes infra‑marginales des producteurs d’électricité (CRI), alors que la trajectoire du projet de loi de programmation des finances publiques prend en compte la sortie des boucliers tarifaires. En ce qui concerne les hypothèses d’évolution spontanée des prélèvements obligatoires, elles sont identiques à celles de la prévision du projet de loi de programmation des finances publiques. De même, il n’y a pas de différence en ce qui concerne les recettes hors prélèvements obligatoires entre la trajectoire à politique inchangée et celle du projet de loi de programmation des finances publiques. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | S’agissant des recettes, il est fait l’hypothèse de retenir uniquement dans cette trajectoire contrefactuelle l’effet des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires déjà votées, par exemple la dernière étape de baisse de la taxe d’habitation sur les résidences principales ou la mise en place de la contribution sur les rentes inframarginales des producteurs d’électricité (CRI), alors que la trajectoire de la présente loi de programmation prend en compte la sortie des boucliers tarifaires. En ce qui concerne les hypothèses d’évolution spontanée des prélèvements obligatoires, elles sont identiques à celles de la prévision du projet de loi de programmation des finances publiques. De même, il n’y a pas de différence en ce qui concerne les recettes hors prélèvements obligatoires entre la trajectoire à politique inchangée et celle de la présente loi de programmation. | S’agissant des recettes, il est fait l’hypothèse de retenir uniquement dans cette trajectoire contrefactuelle l’effet des mesures nouvelles en prélèvements obligatoires déjà votées, par exemple la dernière étape de baisse de la taxe d’habitation sur les résidences principales ou la mise en place de la contribution sur les rentes inframarginales des producteurs d’électricité (CRI), alors que la trajectoire de la présente loi de programmation prend en compte la sortie des boucliers tarifaires. En ce qui concerne les hypothèses d’évolution spontanée des prélèvements obligatoires, elles sont identiques à celles de la prévision du projet de loi de programmation des finances publiques. De même, il n’y a pas de différence en ce qui concerne les recettes hors prélèvements obligatoires entre la trajectoire à politique inchangée et celle de la présente loi de programmation. | |
En 2022 et en 2023, la prévision de déficit de la loi de programmation est supérieure à celle à politique inchangée du fait des mesures prises par le Gouvernement pour baisser les impôts pour les ménages (redevance audiovisuelle) et les entreprises (CVAE) et protéger le pouvoir d’achat des Français du choc inflationniste, que cela soit en dépense ou en recettes. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | S’agissant de la dépense, la trajectoire contrefactuelle retient une hypothèse de croissance en volume de +1,2 % par an hors extinction des mesures d’urgence et de relance, soit le rythme observé sur la période 2008‑2022, qui est significativement plus élevé que la maîtrise de l’augmentation de la dépense publique à l’horizon 2027 prévue par la présente loi de programmation des finances publiques (+0,6 % en volume hors urgence et relance en moyenne sur la période 2023‑2027). | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | S’agissant de la dépense, la trajectoire contrefactuelle retient une hypothèse de croissance en volume de +1,2 % par an hors extinction des mesures d’urgence et de relance, soit le rythme observé sur la période 2008‑2022, qui est significativement plus élevé que la maîtrise de l’augmentation de la dépense publique à l’horizon 2027 prévue par la présente loi de programmation (+0,6 % en volume hors urgence et relance en moyenne sur la période 2023‑2027). | S’agissant de la dépense, la trajectoire contrefactuelle retient une hypothèse de croissance en volume de +1,2 % par an hors extinction des mesures d’urgence et de relance, soit le rythme observé sur la période 2008‑2022, qui est significativement plus élevé que la maîtrise de l’augmentation de la dépense publique à l’horizon 2027 prévue par la présente loi de programmation (+0,6 % en volume hors urgence et relance en moyenne sur la période 2023‑2027). | |
À horizon 2027 en revanche, la trajectoire à politique inchangée est plus dégradée que la prévision de la loi de programmation. En effet, en l’absence d’une croissance maîtrisée de la dépense sur la période, le déficit se résorberait plus lentement et resterait supérieur à 4 % à l’horizon de la prévision. Ainsi, le ratio de dette continuerait de croître à l’horizon de la prévision. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Dans le scénario à politique inchangée ainsi défini, le déficit serait dégradé tous les ans par rapport à la trajectoire du projet de loi de programmation des finances publiques et serait encore de l’ordre de 4,5 % du PIB à l’horizon 2027. Le ratio de dette baisserait un peu en 2023 du fait de la croissance nominale très dynamique mais recommencerait à croitre à compter de 2024 : il s’élèverait en 2027 à 114,0 % du PIB, retrouvant ainsi un niveau proche du maximum historique atteint en 2020. | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Dans le scénario à politique inchangée ainsi défini, le déficit serait dégradé tous les ans par rapport à la trajectoire du projet de loi de programmation des finances publiques et serait encore de l’ordre de 4,5 % du PIB à l’horizon 2027. Le ratio de dette baisserait un peu en 2023 du fait de la croissance nominale très dynamique mais recommencerait à croître à compter de 2024 : il s’élèverait en 2027 à 114,0 % du PIB, retrouvant ainsi un niveau proche du maximum historique atteint en 2020. | Dans le scénario à politique inchangée ainsi défini, le déficit serait dégradé tous les ans par rapport à la trajectoire de la présente loi de programmation et serait encore de l’ordre de 4,5 % du PIB à l’horizon 2027. Le ratio de dette baisserait un peu en 2023 du fait de la croissance nominale très dynamique mais recommencerait à croître à compter de 2024 : il s’élèverait en 2027 à 114,0 % du PIB, retrouvant ainsi un niveau proche du maximum historique atteint en 2020. | Dans le scénario à politique inchangée ainsi défini, le déficit serait dégradé tous les ans par rapport à la trajectoire de la présente loi de programmation et serait encore de l’ordre de 4,5 % du PIB à l’horizon 2027. Le ratio de dette baisserait un peu en 2023 du fait de la croissance nominale très dynamique mais recommencerait à croître à compter de 2024 : il s’élèverait en 2027 à 114,0 % du PIB, retrouvant ainsi un niveau proche du maximum historique atteint en 2020. | |
En % PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,2 | -4,5 | -5,0 | -4,9 | -4,8 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 110,7 | 109,9 | 110,6 | 112,0 | 113,3 | 114,2 | Ecart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | -0,6 | -0,2 | 0,7 | 1,1 | 1,6 | 1,9 | Ecart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | -0,1 | -0,3 | -0,2 | -0,2 | -0,2 | -0,2 | Solde public du PLPFP | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | Dette publique du PLPFP | 111,5 | 111,2 | 111,3 | 111,7 | 111,6 | 110,9 | | En % PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,2 | -4,5 | -5,0 | -4,9 | -4,8 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 110,7 | 109,9 | 110,6 | 112,0 | 113,3 | 114,2 | Ecart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | -0,6 | -0,2 | 0,7 | 1,1 | 1,6 | 1,9 | Ecart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | -0,1 | -0,3 | -0,2 | -0,2 | -0,2 | -0,2 | Solde public du PLPFP | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | Dette publique du PLPFP | 111,5 | 111,2 | 111,3 | 111,7 | 111,6 | 110,9 | | En % PIB | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,2 | -4,5 | -5,0 | -4,9 | -4,8 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 110,7 | 109,9 | 110,6 | 112,0 | 113,3 | 114,2 | Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | -0,6 | -0,2 | 0,7 | 1,1 | 1,6 | 1,9 | Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | -0,1 | -0,3 | -0,2 | -0,2 | -0,2 | -0,2 | Solde public du PLPFP | -5,0 | -5,0 | -4,5 | -4,0 | -3,4 | -2,9 | Dette publique du PLPFP | 111,5 | 111,2 | 111,3 | 111,7 | 111,6 | 110,9 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,8 | -5,6 | -5,3 | -5,0 | -4,7 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 111,8 | 110,4 | 111,3 | 112,5 | 113,4 | 114,0 | Ecart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | 0,0 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | 1,2 | 1,6 | Ecart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | Solde public du PLPFP | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Dette publique du PLPFP | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,8 | -5,6 | -5,3 | -5,0 | -4,7 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 111,8 | 110,4 | 111,3 | 112,5 | 113,4 | 114,0 | Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | 0,0 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | 1,2 | 1,6 | Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | Solde public du PLPFP | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Dette publique du PLPFP | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,8 | -5,6 | -5,3 | -5,0 | -4,7 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 111,8 | 110,4 | 111,3 | 112,5 | 113,4 | 114,0 | Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | 0,0 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | 1,2 | 1,6 | Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | Solde public du PLPFP | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Dette publique du PLPFP | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,8 | -5,6 | -5,3 | -5,0 | -4,7 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 111,8 | 110,4 | 111,3 | 112,5 | 113,4 | 114,0 | Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | 0,0 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | 1,2 | 1,6 | Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | Solde public du PLPFP | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Dette publique du PLPFP | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,8 | -5,6 | -5,3 | -5,0 | -4,7 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 111,8 | 110,4 | 111,3 | 112,5 | 113,4 | 114,0 | Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | 0,0 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | 1,2 | 1,6 | Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | Solde public du PLPFP | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Dette publique du PLPFP | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | | (En points de PIB) | | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | 2026 | 2027 | Solde public à législation et pratique inchangées | -4,8 | -5,6 | -5,3 | -5,0 | -4,7 | -4,5 | Dette publique à législation et pratique inchangées | 111,8 | 110,4 | 111,3 | 112,5 | 113,4 | 114,0 | Écart cumulé sur les dépenses hors crédits d’impôt | 0,0 | 0,7 | 0,9 | 1,0 | 1,2 | 1,6 | Écart cumulé sur les principales mesures annoncées en recettes | 0,0 | 0,0 | 0,1 | 0,3 | 0,3 | 0,2 | Solde public du PLPFP | -4,8 | -4,9 | -4,4 | -3,7 | -3,2 | -2,7 | Dette publique du PLPFP | 111,8 | 109,7 | 109,7 | 109,6 | 109,1 | 108,1 | | |
Tableau : Indicateur de soutenabilité des finances publiques S2 (en points de PIB) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Indicateur de soutenabilité des finances publiques S2 | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | (Alinéa sans modification) | Indicateur de soutenabilité des finances publiques S2 | Indicateur de soutenabilité des finances publiques S2 | |
| Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 2,5 | -0,5 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 4,1 | 1,1 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,6 | Notes de lecture du tableau : L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ; Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ; Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport sur le vieillissement de la Commission européenne de 2021. | | | Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 2,5 | -0,5 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 4,1 | 1,1 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,6 | Notes de lecture du tableau : L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ; Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ; Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport sur le vieillissement de la Commission européenne de 2021. | |
| Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 2,5 | -0,5 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 4,1 | 1,1 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,6 | Notes de lecture du tableau : L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ; Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027 ; Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport sur le vieillissement de la Commission européenne de 2021. | | (En points de PIB) | | Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 1,1 | -1,1 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 2,6 | 0,4 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,5 | (*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement. | | (En points de PIB) | | Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 1,1 | -1,1 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 2,6 | 0,4 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,5 | (*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement. | | (En points de PIB) | | Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 1,1 | -1,1 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 2,6 | 0,4 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,5 | (*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement. | | (En points de PIB) | | Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 1,1 | -1,1 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 2,6 | 0,4 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,5 | (*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement. | | (En points de PIB) | | Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 1,1 | -1,1 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 2,6 | 0,4 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,5 | (*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement. | | (En points de PIB) | | Scénario inchangé entre 2022 et 2027 | Scénario LPFP | Écart de soutenabilité (indicateur S2) | 1,1 | -1,1 | Dont impact de la position budgétaire initiale | 2,6 | 0,4 | Dont impact du vieillissement (à partir de 2027) | -1,6 | -1,5 | (*) L’indicateur de soutenabilité (S2) à scénario inchangé est estimé sur la base d’un scénario contrefactuel dans lequel le solde structurel primaire est supposé constant à son niveau de 2021 sur la période de programmation, indépendamment de l’impact du vieillissement : il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme (ici en 2070) compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Le S2 du scénario de cette loi de programmation est estimé sur la base du solde structurel primaire de 2027 prévu dans la présente loi de programmation. Il correspond à l’ajustement budgétaire pérenne qui devrait être réalisé en 2027 pour stabiliser le ratio d’endettement à très long terme compte tenu de l’impact du vieillissement à partir de 2027. Les chroniques de dépenses liées au vieillissement (retraites, santé, dépendance, éducation, chômage) sont celles du rapport de 2021 de la Commission européenne sur le vieillissement. | | |
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